immigrer.com Posté(e) 9 septembre Posté(e) 9 septembre Un rapport présente la métropole québécoise comme l’une des meilleures villes du monde. Une journaliste montréalaise met en garde les expats et les invite à voir l’envers de la médaille. Courrier Expat Lecture 1 min. Publié le 9 septembre 2024 à 09h18 La Presse remarquait en juin que Montréal se retrouvait désormais au 118e rang dans le nouveau palmarès de la firme Mercer des 226 villes les moins abordables de la planète, un bond de 17 positions par rapport à 2023. Si le quotidien local constate que “le coût de la vie à Montréal est moins abordable… que l’année dernière”, il ajoute qu’“heureusement il fait bon y vivre”, relevant que la ville canadienne “figure parmi les villes où le coût de la vie est le plus bas et la qualité de vie la plus élevée, aux côtés de Varsovie, de Budapest et de Kuala Lumpur”. Une ville “magnifique”… Une collaboratrice montréalaise du site new-yorkais Business Insider apporte toutefois un important bémol pour ceux qui seraient tentés de s’y installer : “J’adore [cette ville], mais cela ne veut pas dire que déménager ici est une bonne idée.” Helen Wolkowicz distribue d’abord les bons points : “Montréal est une ville magnifique : elle est sûre et accessible à pied, dotée d’une vie nocturne animée et d’un calendrier culturel rempli d’événements […]. J’aime flâner dans ses différents quartiers, chacun ayant sa propre histoire, son charme, son architecture et ses délices culinaires distinctifs.” Celle qui habite la métropole québécoise avec sa famille depuis plus de cinquante ans ajoute : “C’est aussi l’une des villes qui connaît la croissance la plus rapide au Canada, alors pourquoi ne pas en profiter ?” … qui a son lot de problèmes Mais “cette notion d’une ville magique et miraculeuse où ‘tout le monde devrait déménager’ est un mirage”, tempère Helen Wolkowicz. Elle aborde des facteurs moins reluisants de Montréal. Premièrement, trouver un logement peut se révéler être “extrêmement difficile”. Avant la pandémie, avance le courtier en immobilier Michael Fadulto, on pouvait dénicher un condo luxueux pour environ 1 000 euros par mois. Aujourd’hui, pour le même prix, dit-il, on obtient un appartement de deux chambres à coucher, et le prix d’une première maison y a bondi de 40 % depuis 2020. source et suite : https://www.courrierinternational.com/article/canada-la-qualite-de-vie-de-montreal-un-mirage_221909 Citer
Habitués qwintine Posté(e) 9 septembre Habitués Posté(e) 9 septembre il y a 12 minutes, immigrer.com a dit : “Montréal est une ville magnifique : elle est sûre […]. .” Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire. Quand on voit maintenant, le nombre d'agression au couteau et par balles à toutes les semaines ... et même dans des quartiers "familiaux" et favorisés. il y a 12 minutes, immigrer.com a dit : Premièrement, trouver un logement peut se révéler être “extrêmement difficile”. Avant la pandémie, avance le courtier en immobilier Michael Fadulto, on pouvait dénicher un condo luxueux pour environ 1 000 euros par mois. Aujourd’hui, pour le même prix, dit-il, on obtient un appartement de deux chambres à coucher, et le prix d’une première maison y a bondi de 40 % depuis 2020. Faux, il y a dix ans on ne pouvait déjà pas avoir un appartement "luxueux" pour ce prix. Citer
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