Laurent Posté(e) 28 décembre 2019 Posté(e) 28 décembre 2019 Rose St-Pierre Publié le 11 décembre 2019 Alors que des écoles du Nouveau-Brunswick veulent activement recruter des enseignants, de nouveaux arrivants qui possèdent plusieurs années d’expérience en éducation peinent à être embauchés. C’est un grand point d’interrogation pour tout le monde. C’est un grand paradoxe, lance Zouhair Kahlaoui. Ce Tunisien d’origine s’est installé à Moncton avec son baccalauréat en langue anglaise en poche. Il accumule plusieurs années d’expérience au sein d’écoles primaires et secondaires en Tunisie. Mais le père de famille est forcé de travailler dans un centre d’appel pendant les huit premières années qui ont suivi son arrivée. Ça n’a rien à voir avec mon profil, avec mon diplôme, explique-t-il. Dix ans après son arrivée en Acadie, Zouhair Kahlaoui n'a toujours pas obtenu de poste permanent en enseignement. PHOTO : RADIO-CANADA / IAN BONNELL Depuis quelques années, il travaille pour des écoles francophones à titre de travailleur d’établissement, pour faire le lien entre les écoles et les familles allophones. Je n’ai toujours pas de poste, malgré l’expérience, malgré le diplôme, malgré que je parle arabe, français, anglais. Pourtant, le District francophone répète les appels afin de pourvoir des postes d’enseignants. Il y a une pénurie dans l’enseignement [...] mais en même temps ils prennent pas les gens d’ailleurs. Moi je ne peux pas l’expliquer, avoue Zouhair. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1427396/immigration-integration-economique-acadie-enseignement yaz14 et Alex2020 ont réagi à ceci 2 Citer
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