Représentation du Québec

[pninon]

Bonjour,

Voici un article intéressant dans la presse :

http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fargent.canoe.ca%2Flca%2Faffaires%2Fquebec%2Farchives%2F2010%2F10%2F20101028-073446.html&h=26054

Bonne journée.

Pierre.

[seve kekebequoise]

Il serait interressant d'avoir un lien accessible par tous. Et de nous donner un léger résumé pour savoir de quoi il est question.

Autrement dit ceux qui ne veulent pas utiliser facebook, par exemple...

Merci

Sève

[munetta]

je ne suis pas sur facebook et j'ai réussi à ouvrir le lien pas de soucis!

[munetta]

voici l'article

Alors que le gouvernement demande aux Québécois de se serrer la ceinture, les coûts d'exploitation des délégations du Québec à l'étranger ont bondi de 28 % cette année, a dénoncé l'ADQ, mercredi.

En pleine période d'austérité budgétaire, « le premier ministre lui voyage comme jamais pendant que la classe moyenne fait les frais du retour à l'équilibre budgétaire », a déploré mercredi le député adéquiste François Bonnardel.

L'étude des crédits lui a permis d'apprendre que les frais de fonctionnement des 38 délégations générales du Québec à l'étranger sont passés d'une moyenne de 45 millions $ par année, entre 2003 et 2009, à 57 millions $, en 2009-2010.

Pourquoi, dans l'année budgétaire la plus difficile, alors que le gouvernement avait promis de réduire ses dépenses, « on les a augmentées de 12 millions $ », s'est insurgé le député de Shefford, sans manquer d'écorcher au passage le Parti québécois, qu'il accuse de ne pas s'intéresser aux questions économiques.

Selon l'ADQ, les bureaux de Rome-Milan, Hong-Kong, Chicago et Shanghai ont connu des hausses de leurs frais de fonctionnement de 65 à 84 %.

De plus, l'ADQ a appris que Québec n'était plus locataire du 68, Pall Mall, à Londres. Le ministère des Relations internationales a payé 21 millions $ pour acheter le terrain où se trouve la délégation québécoise.

Piqué au vif, le premier ministre a littéralement bondi de son siège. « Oui, on voyage, parce que c'est dans l'intérêt des Québécois que nous le faisons », a-t-il répliqué.

Arrivant d'un déplacement en Suisse, où se tenait le Sommet de la Francophonie, Jean Charest a tenu à dire que près de 50 % du PIB du Québec dépend de l'exportation.

« Notre économie à nous est tributaire justement de notre capacité à vendre à l'extérieur. [...] On fait ça pour les familles du Québec, on fait ça pour l'économie du Québec, on fait ça pour la prospérité », a affirmé le chef libéral.

[seve kekebequoise]

Autant pour moi...

L'avertissement de sécurité m'a mis en alerte plus que nécessaire