basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 basel basel,tu exagères, je ne pense aucunement que ce soit des "milliers" de cas au Québec... je n ai pas écris que ce soit des millier de cas au Québec. Je parle des médecins ou techniciens rayon X ici. ca change quoi , si il est médecin ou technicien XXX ,les harcèlement sexuel peuvent se produire n importe ou n importe quand par n importe qui,au milieu du travail,a l école ,a l hôpital,au parc ,par un prof un médecin un gardien et la liste et longue....... Il est malhonnête de prendre des cas particuliers et d'en faire une généralisation... NON,je trouve que c est plutôt mal honnête de ta part de dire que je généralise, j ai dit que ca existe et j ai donnée un exemple c est tout ,et j avoue que la situation ici au Québec et beaucoup mieux que beaucoup d autre pays , cause des effort que le gouvernement fait pour protéger les citoyens. C'est aussi ridicule que de dire parce qu'il y a certains pères pédophiles et incestueux oui sur ca je m excuse y a po det so isite:wacko:, si vous permettez il y a des imams pédophiles aussi alors faut empêcher tous les pères à vivre sous le même toit que leurs enfants... C'est inepte. je ne pense pas que j ai écris le mot {tous}dans mon message précèdent:blink: je trouve ca mal honnête de ta part de copier une phrase de mon message pour dévier le sujet en direction de vos objectif raciste , qui se résume a salir la réputation des musulmans. pour cela j ai copier le texte intégral pour que ce soit clair. Un boucher, un boulanger, le facteur, le voisin, le préposé de la banque, le caissier du supermarché, le photographe pour faire les photos d'identité..... oui ca je l ai dit dans le contexte,que les agresseur peuvent être de n importe quel classe de la société,mais ce n est pas pour dire qu il faut enfermer et empêcher les femme de sortir parce qu il y a des agresseur,c est ridicule la ou tu veux en venir. Ben dis-donc, il va falloir l'enfermer à double tour chez toi, ta femme ! (je pense plutôt que t es enfermée a triple tour dans ton petit monde mesquin et raciste ) C'est cool, tu .seras un mari qui travaillera, qui ira faire l'épicerie, qui emmènera et ira chercher les enfants à l'école, à la clinique d'urgence, à l'hôpital . Waooowww! Le mari parfait! (c est ca un mari parfait pour toi ) Chomei, camélia et Benjamin35 ont réagi à ceci 3 Citer
basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 (modifié) Il est temps que le Canada bloque l'immigration musulmane au pays et annule tous les dossiers en cours. je trouve qu il est plutôt temps de bloquer l immigration face a ces nombreux RACISTES FRANÇAIS dont vous présenter l exemple parfait . et si vous êtes de plus en plus nombreux a quitté la France pour venir s installer ici (ce qui prouve la détérioration de la qualité de vie en france ), ben fermer vos gueules car vous n êtes pas chez vous ici,a la place d injecter vos poisons dans la société québécoise et canadienne ,elle a ben d'valeurs. Ca suffit on n'en peut plus, si vous saviez a quel point le monde est tanne. d après tes statistiques; ca fait même pas 3mois que t es au canada ,et tu commence a parler au noms des québécois{on n'en peut plus} ,et dans ces 3 mois t as connu assez le monde pour dire qu il est tanné! Modifié 16 juillet 2010 par basel Chomei a réagi à ceci 1 Citer
Habitués macipsa13 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 Basel, Dire que Cherrybee est raciste est totalement risible! Je relis son message je ne trouve aucun propos raciste! Pourrais-tu nous dire qu'elle est ta définition du racisme? Car être Français ne rime pas forcément avec racisme kiki75, Madame Bec-Sec et thiziri15 ont réagi à ceci 3 Citer
basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 (modifié) Basel, Dire que Cherrybee est raciste est totalement risible! Je relis son message je ne trouve aucun propos raciste! Pourrais-tu nous dire qu'elle est ta définition du racisme?(ah bon ,pi c est koi le rapport entre mon message a Victorieux et de prétendre qu on enferme nos femmes ?) Car être Français ne rime pas forcément avec racisme ( ah voila du nouveau, merci pour l info ,je ne savais pas ) et si tu veux défendre des nobles causes,t aurais du d avantage s adresser a ronan26,ou tu ne vois de racisme dans ses propos non plus? Modifié 16 juillet 2010 par basel Benjamin35 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués macipsa13 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 Basel, Dire que Cherrybee est raciste est totalement risible! Je relis son message je ne trouve aucun propos raciste! Pourrais-tu nous dire qu'elle est ta définition du racisme?(ah bon ,pi c est koi le rapport entre mon message a Victorieux et de prétendre qu on enferme nos femmes ?) Car être Français ne rime pas forcément avec racisme ( ah voila du nouveau, merci pour l info ,je ne savais pas ) Que les choses soient claires! 1-Tu ne représentes pas tous les musulmans: Cherrybee s'est adressée à toi et pas à tous les musulmans! 2-Si toi tu acceptes à ce que ta femme soit examinée par un médecin homme ok MAIS ce n'est pas le cas de tous les musulmans ( on le lit souvent ici d'ailleurs) Une petite référence: "On interdit aux femmes de paraître maquillées devant des tiers, excepté leurs esclaves et les parents avec lesquels le mariage était interdit." Sourate An-nur! Tu peux faire la conclusion tout seul. Citer
basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 macipca13, je pense que ca va pas finir car vous n êtes pas objectif dans vos conversation ,vous détournez toujours les conversation dans une nouvelle direction ,comme ce que ta fait dans ton dernier message ,je ne comprends pas pourquoi tu injecte le coran la dedans ,pourtant personne ne s est soutenue a la religion depuis le début du fil pour justifier sa cause . la c est fait ta détourner le fil pour un débat religieux, et moi je ne m embarque pas la dedans. niceman et camélia ont réagi à ceci 2 Citer
basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 (modifié) Oui tu n'as pas cité la religion! MAIS une femme qui se fait examiner par un médecin homme ne doit en aucun cas poser problème! certainement,SI elle a l habitude de se faire examiner par des hommes depuis son jeune age ! ( ça pose problème pour certains musulmans) non ca pose pas des problèmes juste a certains musulmans ,c est aussi pour certains catholiques,juifs, hindous,athées,et au femme qui en vécu un traumatisme ou de la violence et a certains femmes qui se sentent moins a l aise physiquement et la liste est longue..... Si tu ne fais aucune référence à ça et ben autant pour moi! si toi tu ne fait aucune référence a tout ce monde la ,et que tu insiste a détourner toujours le sujet pour parler des musulmans et du coran , et ben autant pour moi PS: Qu'est ce que l'Europe fait au nom de la laïcité? Modifié 16 juillet 2010 par basel Citer
mosag Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 basel !!!! je pense que tu perds ton temps sur des discussions stériles dans le but de ramener la discussion sur la religion ou plutôt sur l islam. ben le problème pour certain personnes sur ce site est l'islam et les arabes et comme par hasard ils ont le même pays natal........A toi de comprendre alors je te suppose que tu ne les réponds plus sinon tu rentera dans leur jeu. Heureusement ces gens là ne sont pas le bienvenu même par les québécois. NB: j'ai dis et je redis on ne parle pas religion sur ce forum. niceman a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kiki75 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 (modifié) basel !!!! je pense que tu perds ton temps sur des discussions stériles dans le but de ramener la discussion sur la religion ou plutôt sur l islam. ben le problème pour certain personnes sur ce site est l'islam et les arabes et comme par hasard ils ont le même pays natal........A toi de comprendre alors je te suppose que tu ne les réponds plus sinon tu rentera dans leur jeu. Heureusement ces gens là ne sont pas le bienvenu même par les québécois. NB: j'ai dis et je redis on ne parle pas religion sur ce forum. je suis la mal aimée .... sortons les violons Modifié 16 juillet 2010 par kiki75 macipsa13 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Victorieux Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 basel les harcèlement sexuel peuvent se produire n importe ou n importe quand par n importe qui,au milieu du travail,a l école , a l hôpital,au parc ,par un prof un médecin un gardien ... Cherrybee Un boucher, un boulanger, le facteur, le voisin, le préposé de la banque, le caissier du supermarché, le photographe pour faire les photos d'identité..... Ben dis-donc, il va falloir l'enfermer à double tour chez toi, ta femme ! C'est cool, tu seras un mari qui travaillera, qui ira faire l'épicerie, qui emmènera et ira chercher les enfants à l'école, à la clinique d'urgence, à l'hôpital . Waooowww! Le mari parfait! lol ! En plus d'enfermer sa femme à double tour, basel va faire mettre un ceinture de chasteté à sa femme au cas où... les hommes sont tous des obsédés sexuels qui ne cherchent qu'à faire du harcèlement sexuel... alors faut être prudent... ( sarcasme ) . Citer
mosag Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 basel les harcèlement sexuel peuvent se produire n importe ou n importe quand par n importe qui,au milieu du travail,a l école , a l hôpital,au parc ,par un prof un médecin un gardien ... Cherrybee Un boucher, un boulanger, le facteur, le voisin, le préposé de la banque, le caissier du supermarché, le photographe pour faire les photos d'identité..... Ben dis-donc, il va falloir l'enfermer à double tour chez toi, ta femme ! C'est cool, tu seras un mari qui travaillera, qui ira faire l'épicerie, qui emmènera et ira chercher les enfants à l'école, à la clinique d'urgence, à l'hôpital . Waooowww! Le mari parfait! lol ! En plus d'enfermer sa femme à double tour, basel va faire mettre un ceinture de chasteté à sa femme au cas où... les hommes sont tous des obsédés sexuels qui ne cherchent qu'à faire du harcèlement sexuel... alors faut être prudent... ( sarcasme ) . Ampleur du harcèlement Ampleur du harcèlement sexuel Depuis que le terme « harcèlement sexuel » s'est imposé pour nommer une réalité historiquement fort ancienne, soit la présence importante de conduites non désirées à caractère sexuel envers les femmes en particulier, plusieurs observations empiriques ont permis de documenter l'ampleur du phénomène. Les études réalisées ont surtout porté sur les milieux de travail et sur les milieux d'étude postsecondaire. Il est toujours difficile de comparer les résultats d'une étude à l'autre, car les échantillons sont différents et les définitions, de même que les instruments de mesure, varient. Dans l'Enquête sur la violence envers les femmes menée en 1993 par Statistique Canada, les résultats ont indiqué que 6 % des Canadiennes de 18 ans et plus occupant un emploi avaient été victimes d'au moins une forme de harcèlement sexuel au travail de la part d'un homme pendant les 12 mois précédant l'enquête. Cette proportion représentait 389 000 femmes. Les femmes de 18 à 24 ans étaient les plus vulnérables, avec un taux annuel de 10 %. Considérant l'ensemble de la vie active, c'est 23 % des Canadiennes, soit 2,4 millions de femmes qui ont rapporté avoir vécu du harcèlement sexuel relié au travail (Johnson, H. 1994. « Le harcèlement sexuel et le travail », PERSPECTIVE, Statistique Canada : 11-15). La définition du harcèlement sexuel retenue dans cette enquête n'incluait pas les attouchements et les agressions à caractère sexuel, l'enquête assimilant ces actes à l'agression sexuelle. Les résultats montrent que 6 % des femmes ont déclaré avoir été victimes d'une agression sexuelle reliée au travail, les attouchements étant plus fréquents que l'activité sexuelle forcée (5 % c. 1 %). Au Québec, dans un sondage réalisé en 1994 par Le Groupe Léger et Léger (Projet 029\940B) pour le Journal de Montréal auprès de personnes de 18 ans et plus, 8,7 % des répondants et répondantes révélaient avoir déjà été la cible de harcèlement sexuel, en contexte de travail ou ailleurs. Les proportions étaient de 13,6 % chez les femmes et de 3,3 % chez les hommes. Plus récemment, l'Enquête sociale et de santé 1998 réalisée auprès d'un très large échantillon par l'Institut de la statistique du Québec examinait la présence de paroles et de gestes à caractère sexuel non désirés au travail auprès de la population de 15 ans et plus occupant un emploi rémunéré. Les résultats montrent que 8 % des travailleuses et 2 % des travailleurs rapportent avoir fait l'objet de tels gestes ou paroles au travail pendant une période de 12 mois. Encore là, les jeunes femmes sont les plus concernées avec un taux atteignant 13 % chez les 15-24 ans (Arcand, R., Labrèche, F. et Stock, S., Messing, K. et Tissot, F. 2000. « Travail et santé », dans Enquête sociale et de santé 1998, Chapitre 26, Institut de la statistique du Québec : 525-570). À l'Université de Montréal, un sondage sur le harcèlement sexuel a été effectué en 1995 auprès d'un échantillon représentatif de toutes les catégories de membres de la communauté universitaire (Cantin, S. et Proulx, C. 1995. À l'Université comme ailleurs. Rapport du sondage sur le harcèlement sexuel mené à l'Université de Montréal, Bureau d'intervention en matière de harcèlement sexuel, Université de Montréal). Les résultats de ce sondage confirment que, à l'Université comme ailleurs, le harcèlement sexuel existe et qu'il est peu dénoncé. À la question « Considérez-vous avoir été personnellement l'objet de harcèlement sexuel ou d'agression sexuelle dans le cadre de vos activités à l'Université de Montréal, que ce soit sur le campus ou ailleurs? », 12,8 % des femmes membres du personnel de soutien, 10,1 % des enseignantes, 7,2 % des femmes cadres ou professionnelles et 4,5 % des étudiantes ont répondu par l'affirmative. La proportion plus faible chez les étudiantes est essentiellement due à leur plus courte durée de vie à l'Université. Du côté des hommes, c'est pour leur part 5,8 % des membres du personnel de soutien, 3,3 % des enseignants, 2,4 % des cadres ou professionnels et 1,8 % des étudiants qui ont répondu par l'affirmative. Par ailleurs, le sondage demandait aussi aux répondantes et répondants si elles ou ils avaient déjà été la cible d'une liste de comportements à connotation sexuelle importuns, contraignants ou agressifs. La moitié des femmes et le tiers des hommes ayant répondu au questionnaire ont rapporté avoir vécu au moins un des comportements énoncés. Pour plus de détails, cliquez sur Sondage 1995. On peut obtenir une copie du rapport auprès du Bureau d'intervention en matière de harcèlement. Citer
Habitués Victorieux Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 MDR ! mosag, tout le monde sait que le harcèlement sexuel existe, c'est le fait de considérer tous les hommes comme des obsédés sexuels et des harceleurs sexuels qui cause problème... C'est une généralisation inacceptable et malhonnête... C'est comme dire que certains arabes sont des terroristes, tous les arabes sont des terroristes. C'est faux. Pour les hommes, c'est la même chose... Jade et Madame Bec-Sec ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués macipsa13 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 (modifié) macipca13, je pense que ca va pas finir car vous n êtes pas objectif dans vos conversation ,vous détournez toujours les conversation dans une nouvelle direction ,comme ce que ta fait dans ton dernier message ,je ne comprends pas pourquoi tu injecte le coran la dedans ,pourtant personne ne s est soutenue a la religion depuis le début du fil pour justifier sa cause . la c est fait ta détourner le fil pour un débat religieux, et moi je ne m embarque pas la dedans. C'est moi qui ne suis pas objectif? Tu n'aurais pas écrit ceci?: je trouve ca mal honnête de ta part de copier une phrase de mon message pour dévier le sujet en direction de vos objectif raciste , qui se résume a salir la réputation des musulmans. Pourquoi tu cites les musulmans? D'où mon intervention et ma référence. Si j'ai mis le verset si pour juste appuyer mon argument, puisque tu as cité les musulmans ( que tu représentes pas au passage) car la référence c'est le Coran et pas Basel Modifié 16 juillet 2010 par macipsa13 espoir2010 a réagi à ceci 1 Citer
mosag Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 Lagression sexuelle : Les mythes et les faits Le mythe : Lagression sexuelle nest pas un problème courant. Les faits : Les femmes canadiennes sont agressées sexuellement tous les jours à la maison, au travail, à lécole et dans la rue. LEnquête sur la violence envers les femmes a révélé que plus de la moitié (51 %) des femmes canadiennes ont été victimes dau moins un incident de violence sexuelle ou physique. Parmi ces femmes, près de 60 % ont été la cible de plus dun incident de ce type. (Note de fond 1) Un sondage effectué en 1998 a révélé que 56 % des femmes qui ont déclaré avoir été agressées sexuellement à 169 services de police au Canada étaient âgées de moins de 18 ans. (Note de fond 2) Plusieurs études ont indiqué que les femmes ayant un handicap présentent un risque élevé de mauvais traitements. Les recherches indiquent que 40 % des femmes ayant un handicap ont été agressées, violées ou maltraitées. De plus, on estime que 83 % des femmes ayant un handicap seront agressées sexuellement au cours de leur vie. (Note de fond 3) Le mythe : Les agressions sexuelles sont le plus souvent commises par des inconnus. Les faits : Le risque dagression sexuelle le plus élevé auquel les femmes sont exposées implique des hommes quelles connaissent et non des inconnus. Une étude effectuée en 1998 a révélé que 33 % des femmes victimes dagression sexuelle âgées de 18 ans et plus avaient été agressées par un ami ou une connaissance, et que 25 % lavaient été par un membre de leur famille (y compris un conjoint ou un ex-conjoint). (Note de fond 4) Lorsquune femme connaît lhomme qui lagresse sexuellement, il y a moins de chances que lincident soit reconnu comme un crime, même par la femme elle-même. Or ces agressions sexuelles sont des crimes au même titre que celles qui sont commises par des inconnus. Le mythe : La meilleure façon pour une femme de se protéger contre les agressions sexuelles est déviter de se trouver seule la nuit dans des lieux sombres et déserts tels que des ruelles ou des aires de stationnement. Les faits : Quatre-vingts pour cent des agressions sexuelles se produisent à la maison et 49 % ont lieu en plein jour. (Note de fond 5) La plupart des agressions sexuelles nont rien à voir avec le stéréotype de « linconnu dans une ruelle sombre ». Il existe actuellement une tendance qui consiste à faire prendre des drogues à la partenaire pour lagresser sexuellement sans son consentement. (Note de fond 6) Le mythe : Les femmes qui sont agressées sexuellement « lont bien cherché » par la façon dont elles shabillent ou leur comportement. Les faits : Largument voulant que les femmes « laient bien cherché » est souvent utilisé par les agresseurs pour justifier leur comportement. Cest également une façon de faire porter la responsabilité du crime à la victime et non à lagresseur. Les déclarations des victimes dagression sexuelle indiquent que ces femmes étaient habillées et se comportaient très différemment au moment de lagression. Toutes les femmes, quels que soient leur âge et leur type physique, peuvent être agressées sexuellement dans quasiment nimporte quelle situation. Si une femme est victime dune agression sexuelle, ce nest pas de sa faute. Aucune femme ne « cherche » jamais à être agressée sexuellement, ni ne le mérite. Quels que soient les vêtements quelle porte, lendroit où elle va et la personne avec qui elle parle, quand elle dit « non », cest « non ». Cest la loi. Une agression sexuelle après administration de drogues est perpétrée sans le consentement de la partenaire et nest donc pas voulue non plus. Le mythe : Les hommes qui agressent sexuellement les femmes sont soit des malades mentaux, soit en état de manque sexuel. Les faits : Les hommes coupables dagression sexuelle ne sont ni des malades mentaux, ni en état de manque sexuel. Les recherches sur le profil des auteurs de viols indiquent quil sagit apparemment dhommes « ordinaires » et « normaux » qui agressent sexuellement les femmes pour affirmer leur emprise et leur pouvoir sur elles. (Note de fond 7) Le mythe : Les hommes de certaines races et de certains milieux sont davantage susceptibles dagresser sexuellement les femmes. Les faits : Les hommes coupables dagression sexuelle sont de tous les âges et issus de tous les groupes économiques, ethniques, raciaux et sociaux. La croyance selon laquelle les femmes seraient plus souvent agressées sexuellement par des hommes de couleur ou appartenant à la classe ouvrière est un stéréotype fondé sur le racisme et les préjugés de classe. Les hommes qui commettent des agressions sexuelles peuvent être des médecins, des enseignants, des employeurs, des collègues, des avocats, des parents ou le conjoint de la femme quils agressent. Le mythe : Une agression sexuelle implique nécessairement lutilisation dune arme ou le recours à la violence physique. Les faits : La définition de lagression sexuelle selon le Code criminel comprend un certain nombre dactes allant des attouchements sexuels non désirés à la violence sexuelle qui a pour effet de blesser ou de mutiler la victime, ou bien de mettre sa vie en danger. La plupart des agressions sexuelles sont commises par un homme connu de la victime. Pendant lagression, lhomme est susceptible dutiliser des pressions verbales, des ruses comme ladministration de drogues sans le consentement de la victime, et/ou des menaces. Le mythe : Si elle nest pas blessée physiquement, la victime dune agression sexuelle nen ressentira pas deffets à long terme. Les faits : Toute agression sexuelle peut avoir de graves conséquences sur la santé et le bien-être dune femme. Selon une étude effectuée au Canada, neuf incidents de violence envers les femmes sur dix ont des répercussions psychologiques sur la victime. Les femmes victimes dagression sexuelle ressentent de la colère et de la peur, et peuvent souffrir dinquiétude et de manque de confiance. (Note de fond 8) Les femmes qui ont des antécédents dagression présentent un risque élevé de problèmes de santé mentale pendant toute leur vie. (Note de fond 9) On estime que 30 % des femmes victimes dagression sexuelle pensent à se suicider. (Note de fond 10) Le mythe : Les femmes ne peuvent pas être agressées sexuellement par leur mari ou leur petit ami. Les faits : Aux termes de la loi, les femmes ont le droit de dire non à toute forme de rapports sexuels, même au sein du mariage ou dans le cadre dune relation. Le Comité canadien sur la violence faite aux femmes a révélé que 38 % des femmes victimes dagression sexuelle étaient agressées par leur mari, leur conjoint de fait ou leur petit ami. (Note de fond 11) Bien que lagression sexuelle au sein dune relation soit illégale au Canada depuis 1983, rares sont les femmes qui déclarent ce type dincident à la police. Les agressions sexuelles perpétrées par les partenaires ont des effets négatifs à long terme sur les femmes, avec des conséquences traumatisantes qui peuvent même savérer plus graves que si lagresseur était une personne autre que le partenaire. (Note de fond 12) Ressources supplémentaires Statistique Canada (1999). La violence familiale au Canada : un profil statistique, 1999. Ottawa : Statistique Canada. Ressources audio-visuelles : Le Centre national dinformation sur la violence dans la famille (CNIVF)coordonné par Santé Canada, a compilé une collection de plus de 90 vidéos sur la violence à légard des femmes et des enfants, que lon peut emprunter à lOffice national du film du Canada et dans les bibliothèques partenaires. www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/index.html Documents imprimés : Le CNIVF propose 100 articles, feuilles de renseignements, rapports de projet et trousses dinformation pertinents, ainsi quune liste décrivant plus de 90 vidéos sur la violence à légard des femmes et des enfants qui sont à la disposition du public. Références Note de fond 1 - Statistique Canada (1993). Enquête sur la violence envers les femmes. Ottawa : Statistique Canada. Note de fond 2 - Tremblay, S. (1999) : « Statistiques de la criminalité au Canada, 1998 ». Dans le Juristat,vol. 19, no 9. Ottawa : Centre canadien de la statistique juridique (CCSJ), Statistique Canada. Juillet. Remarque : Il est reconnu que les données utilisées dans ce rapport sous-représentent les taux dincidence réels. Les chiffres utilisés pour cette recherche sont issus du Programme révisé de déclaration uniforme de la criminalité effectué par le CCSJ en 1998. Seuls 169 services de police dans 6 provinces ont participé à ce sondage, et les données ne représentent que 46 % des actes criminels commis en 1998. Il est important de noter quen 1993, lEnquête sur la violence envers les femmes a rapporté quatre fois plus de cas de violence conjugaleque la police (Programme révisé de déclaration uniforme de la criminalité) Note de fond 3 - Stimpson, L. et Best, M. (1991). Courage Above All: Sexual Assault against Women with Disabilities. Toronto : DAWN. Note de fond 4 - Tremblay, S. (1999). Note de fond 5 - Sexual Assault Care Centre (Centre de soins en cas dagression sexuelle) (1999). Violence, Myths and Facts of Sexual Assault (La violence, les mythes et les faits en matière dagression sexuelle). Dans SUJETS DE SANTÉ, Femmes en santé (revue électronique) Note de fond 6 - Metro Toronto Research Group On Drug Use (sans date). Fax on Drugs Facts on Rohypnol (Flunitrazepam). Note de fond 7 - Lenskyj, H. (1992). An Analysis of Violence Against Women: A Manual for Educators and Administrators. Toronto : Institut détudes pédagogiques de lOntario. Note de fond 8 - Statistique Canada (1993). Note de fond 9 - Roberts, J.V., Grossman, M.G. et Gebotys, P. J. (1996). « Rape Reform in Canada? » : Journal of Family Violence 11 (2), 133-148. Note de fond 10 - Libertel de la Capitale nationale (SANS DATE). . (disponible en anglais seulement). Note de fond 11 - Comité canadien sur la violence faite aux femmes (1993). Un nouvel horizon : éliminer la violence, atteindre légalité. Ottawa : Comité canadien sur la violence faite aux femmes. Note de fond 12 - Tutty, L. (1998). Mental Health Issues of Abused Women: The Perceptions of Shelter Workers. Revue canadienne de santé mentale communautaire, vol. 17 (1). Printemps 1998. Lagression sexuelle : « Viol sur rendez-vous » et viol par une connaissance Faits à prendre en compte Dans bien des cas dagression sexuelle, lauteur de linfraction est lhomme avec lequel la femme sort. Cest ce quon appelle communément le « viol sur rendez-vous ». Dautres fois, lagresseur est une personne que la femme connaît, peut-être un collègue, un employeur, un voisin ou un ami. On parle alors de viol par une connaissance. Bien que ces viols constituent un crime au même titre que le viol perpétré par un inconnu, on a tendance à ne pas y prêter attention ou à nier les faits parce que lagresseur est connu de la victime. Parmi toutes les formes dagression sexuelle, cest pour le « viol sur rendez-vous » que le taux de déclaration est le plus faible. On estime que seulement 1 % de lensemble des « viols sur rendez-vous » et des viols par une connaissance font lobjet dune déclaration à la police. (Note de fond 1) Moins de 10 % des étudiantes des universités et des collèges canadiens qui sont violées par leur compagnon de sortie en informent un responsable au sein de leur établissement. (Note de fond 2) Les femmes ne signalent pas ce type dagression pour un certain nombre de raisons, parmi lesquelles le fait quelles ne reconnaissent pas le « viol sur rendez-vous » comme une agression sexuelle, quelles se sentent en quelque sorte responsables de lagression, quelles craignent de ne pas être crues et quelles ont honte de ce qui leur est arrivé. Selon le Comité canadien sur la violence faite aux femmes, 31 % des agressions sexuelles se produisent dans le cadre de sorties et de rapports avec une personne connue. (Note de fond 3) La majorité des victimes de « viol sur rendez-vous » et de viol par une connaissance sont des jeunes femmes entre 16 et 24 ans. (Note de fond 4) Dans une étude effectuée en 1993 sur les « viols sur rendez-vous » dans les universités et les collèges canadiens, 28 % des femmes participant à létude ont déclaré quelles avaient été agressées sexuellement dans les 12 mois précédents et 45 % ont déclaré avoir été agressées sexuellement depuis quelles avaient quitté lécole secondaire. (Note de fond 5) Dans une étude effectuée en 1996 sur les « viols sur rendez-vous » dans les écoles secondaires canadiennes, 14,5 % des filles participant à létude ont déclaré que leur partenaire les avait forcées physiquement à pratiquer des actes sexuels. Environ 8,3 % ont déclaré que leur partenaire les avait menacées de les forcer physiquement à sadonner à des activités sexuelles. (Note de fond 6) Ressources supplémentaires Education Wife Assault (EWA) (1998). Dating Violence: An Annotated Bibliography. Toronto : EWA. 1998. Fondation de la recherche sur la toxicomanie (FRT) (1996). Love Is Not Supposed To Hurt. Vidéo de 30 mn. Toronto : FRT (aujourdhui appelée Centre de toxicomanie et de santé mentale). Schwartz. M.D. (1997). Women abuse on campus: results from the Canadian national survey. Thousand Oaks : Sage Publications. Références Note de fond 1 - Russell, D. (1984). Sexual Exploitation: Rape, Child Abuse and Workplace Harassment. Californie : Sage Publishing. Note de fond 2 - Currie, D. (1995). Student Safety at the University of British Columbia: Preliminary findings of a study of student safety. Vancouver : Université de Colombie-Britannique. Note de fond 3 - Comité canadien sur la violence faite aux femmes (1993). Un nouvel horizon : éliminer la violence, atteindre légalité. Ottawa : Comité canadien sur la violence faite aux femmes. Note de fond 4 - Lenskyj, H. (1992). An Analysis of Violence Against Women: A Manual for Educators and Administrators. Toronto : Institut détudes pédagogiques de lOntario. Note de fond 5 - DeKeserdy, W. et Kelly, K. (1993). « The Incidence and Prevalence of Woman Abuse in Canadian University and College Dating Relationships ». Cahiers canadiens de sociologie. Vol. 18, 157-159. Note de fond 6 - DeKeserdy, W. et Schwartz, M. (1998). Woman Abuse on Campus. Results From the Canadian National Survey. Thousand Oaks, Californie : Sage Publishing. La déclaration des agressions sexuelles Faits à prendre en compte La majorité des agressions sexuelles ne font pas lobjet dune déclaration à la police. Daprès Statistique Canada, seulement 6 % de toutes les agressions sexuelles sont déclarées à la police. (Note de fond 1) Sur les 6 % dagressions sexuelles qui sont déclarées, seules 40 % donnent lieu à des accusations, dont deux tiers seulement donnent lieu à une condamnation. (Note de fond 2) Seulement 1 % de lensemble des « viols sur rendez-vous » et des viols par une connaissance font lobjet dune déclaration à la police. (Note de fond 3) Une étude effectuée en Alberta sur lagression sexuelle des personnes ayant un handicap a révélé que si 88 % des agresseurs sont connus de la victime (membre de la famille, connaissance, fournisseur de soins), 80 % ne sont jamais accusés et moins de 10 % sont condamnés. (Note de fond 4) On estime que plus de 80 % des femmes victimes dagression sexuelle ne déclarent pas lincident parce quelles éprouvent des sentiments de honte et dhumiliation ou parce quelles ont peur dêtre victimisées à nouveau dans le cadre du procès criminel. (Note de fond 5) Ressources supplémentaires Currie, J. (1995). Ethnocultural minority women, spousal assault and barriers to accessing problems in using the justice system: A review of the literature. Ottawa : ministère de la Justice. Roberts, G., G. Williams, J. Lawrence et B. Raphael (1998). « How Does Domestic Violence Affect Womens Mental Health? » Dans Women and Health, vol. 28 (1) Références Note de fond 1 - Statistique Canada (1993). Enquête sur la violence envers les femmes. Ottawa : Le Quotidien, 18 novembre 1993. Note de fond 2 - Parriage, A. et Renner, K.E. (1998). Do Current Criminal Justice Practices Lead to Unjust Outcomes For Adult Victims of Sexual Assault? Note de fond 3 - Russell, D. (1984). Sexual Exploitation: Rape, Child Abuse and Workplace Harassment. Californie : Sage Publishing. Note de fond 4 - Sobsey, D. (1988). « Sexual Offences and Disabled Victims: Research and Practical Implications ». Vis-à-Vis: A National Newsletter on Family Violence. Vol. 6, no 4. Hiver. Note de fond 5 - Fassel, M. (1994). Disclosure of Medical and Therapeutic Records in Sexual Assault Trials: The Implications for Womens Equality. Communication non publiée présentée au congrès du Canadian Institute, Toronto, avril 1994, p. 3. Cité dans : Diane Oleskiw et Nicole Tellier, Présentations au comité permanent sur le projet de loi C-46, 1997, Ottawa : Association nationale de la femme et du droit, p. 9. Les effets sur la santé Faits à prendre en compte Lagression sexuelle peut avoir de graves conséquences sur la santé et le bien-être dune femme. Elle peut lui causer des blessures physiques ainsi quun traumatisme psychologique et émotionnel. Statistique Canada indique que les femmes sont physiquement blessées dans 11 % des incidents dagression sexuelle. (Note de fond 1) Les femmes qui ont des antécédents de mauvais traitements présentent un risque élevé de problèmes mentaux pendant toute leur vie. (Note de fond 2) Les effets de lagression sexuelle sur la santé mentale et le bien-être des femmes peuvent être tout aussi graves que les blessures physiques. Neuf incidents de violence à légard des femmes sur dix ont des répercussions émotionnelles sur la victime. Les effets les plus souvent signalés sont la colère, la peur, linquiétude et le manque de confiance. (Note de fond 3) Les effets psychologiques et émotionnels de lagression sexuelle peuvent également inclure : la dépression;la confusion mentale;les troubles du sommeil avec cauchemars;les sautes dhumeur;les troubles de lalimentation;lanxiété;les récurrences.Les agressions perpétrées sur des femmes ayant un handicap peuvent déclencher de graves réactions physiques. Une agression peut provoquer une crise chez une femme souffrant dépilepsie ou un choc insulinique chez une diabétique, ou bien augmenter encore la difficulté de parole chez une femme ayant une infirmité motrice cérébrale. (Note de fond 4) Une étude effectuée à Toronto indique que 83 % des patientes hospitalisées pour troubles psychiatriques avaient des antécédents dagression physique ou sexuelle. (Note de fond 5) On estime quen moyenne 63 % des femmes qui cherchent à se faire aider parce quelles sont victimes de violence ont aussi un problème de toxicomanie. (Note de fond 6) Lagression sexuelle par les médecins est un problème important. Une étude a révélé que 8 % des femmes de lOntario entre 25 et 44 ans avaient été harcelées ou maltraitées sexuellement par leur médecin. () Ressources supplémentaires Ticoll, M. (1994). La violence et les personnes ayant des incapacités : Une analyse de la littérature. Ottawa : LInstitut Roeher Institute et Santé Canada. Références Note de fond 1 - Statistique Canada (1993). Enquête sur la violence envers les femmes. Ottawa : Statistique Canada. Note de fond 2 - Roberts, G., Williams, G., Lawrence, J. et Raphael, B. (1998). « How Does Domestic Violence Affect Womens Mental Health? » Women and Health, vol. 28 (1). Note de fond 3 - Statistique Canada (1993). Note de fond 4 - Réseau des femmes handicapées du Canada (RAFHC) (1989). Violence Against Women With Disabilities. Toronto : RAFHC. Note de fond 5 - Firsten, T. (SANS DATE). An Exploration of the Role of Physical and Sexual Abuse for Psychiatrically Institutionalized Women. Toronto : Direction générale de la condition féminine de lOntario. Note de fond 6 - Meredith, L. (1996). Establishing Links: Violence Against Women and Substance Abuse. London : Centre de recherche sur la violence faite aux femmes et aux enfants. Note de fond 7 - Santé et Bien-être social Canada. (1991). Sondage Santé Canada. Ottawa : Santé et Bien-être social Canada. Citer
Habitués Benoit6ft6 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 On pourrait pas clore ce fil ? Un type qui est suffisament obsédé pour voir quelque chose de sexuel dans un acte medical n'a rien à faire sur ce forum. espoir2010 et Jade ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués Victorieux Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 Benoit6ft6 Un type qui est suffisament obsédé pour voir quelque chose de sexuel dans un acte medical n'a rien à faire sur ce forum. lol! Citer
Habitués macipsa13 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 On pourrait pas clore ce fil ? Un type qui est suffisament obsédé pour voir quelque chose de sexuel dans un acte medical n'a rien à faire sur ce forum. +1 Citer
Habitués ronan29 Posté(e) 16 juillet 2010 Habitués Posté(e) 16 juillet 2010 Tu as raison Benoit, l'auteur de ce fil fait pitie, ca pue l'obscurantisme. Citer
basel Posté(e) 16 juillet 2010 Posté(e) 16 juillet 2010 On pourrait pas clore ce fil ? Un type qui est suffisament obsédé pour voir quelque chose de sexuel dans un acte medical n'a rien à faire sur ce forum. +1 +2 Citer
Invité Posté(e) 17 juillet 2010 Posté(e) 17 juillet 2010 Salut, je vais me plaindre pour les xray pour les femmes soit faite par des femmes ou bien leur donner une couverture comme ici au canada. Il faut que les ambassades choisissent des medecins dont les operateurs des Xray soient des femmes pas des hommes. le lever des vetements et se montrer devant des hommes (xray) c est improprie et il faut le denoncer. moi je vais faire mon possible que ca soit un peu de respect dans la visite medicale. Je vais contacter le government du Canada a travers les deputes. Alors je veux entendre de vos experiences de ca et est ce que c est le meme cas pour vous si vous etes une femme. merci bcp. Ca c est arrive a ma femme et vraiment je le trouve qu il n y a pas de respect au maroc. La solution La solution Citer
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