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Le serment d’Hippocrate : le combat de médecins issus de l’immigration dans le système de santé québécois le jeudi 8 janvier 2026 à 21 h sur la télé de Radio-Canada Mardi 2 décembre 2025 – Écrit et réalisé par Nadia Zouaoui, le documentaire Le serment d'Hippocrate suit le combat de quatre médecins issus de l’immigration qui tentent de faire leur place dans le système de santé québécois. Le film sera diffusé le jeudi 8 janvier 2026 à 21 h sur ICI TÉLÉ et sur ICI TOU.TV. À travers les destins croisés de Dr Karim Laribi, Dre Daniela Pujol, Dr Gilles Carruel et Dre Fernanda Pérez-Gay Juarez, qui ont en commun l’amour inconditionnel de la médecine, le documentaire témoigne des péripéties et des obstacles qu’ils rencontrent lors de leurs tentatives d’accéder au système de santé de leur pays d’accueil. Le Dr Karim Laribi est devenu enseignant au cégep après plus de cinq ans à passer les examens du Collège des médecins du Québec et à essayer d’obtenir un stage de résidence dans une faculté de médecine. La Dre Daniela Pujol, anesthésiste d’Argentine avec 15 ans d’expérience, s’est résignée à travailler avec Médecins sans frontières Canada dans des zones dangereuses et à vivre loin de son époux québécois. Le Dr Gilles Carruel, médecin français avec 30 ans d’expérience, découragé du temps d’attente pour les stages et autres obstacles administratifs, s’est résigné à travailler en Martinique tout en gardant un pied-à-terre au Québec, qu’il aime tant. Et la Dre Fernanda Pérez-Gay Juarez, médecin d’origine mexicaine, PHD en neurosciences de l’Université McGill, a réussi à devenir psychiatre et a décidé d’aider les médecins de l’immigration à déjouer les obstacles du système. Ce film met des visages sur la vie et le parcours de ces praticiens de l’ombre qui – un jour, dans leurs pays lointains – avaient pourtant prêté l’auguste serment d’Hippocrate. Réalisation et scénarisation : Nadia Zouaoui Production : Nadia Zouaoui (Les films Nadiaz Inc.) source : https://presse.radio-canada.ca/television/14297/le-serment-d-hippocrate-le-combat-de-medecins-issus-de-l-immigration-dans-le-systeme-de-sante-quebecois/ À voir aussi la discussion à l'Émission québécois Tout le monde en parle du 7 décembre 2025 : https://ici.radio-canada.ca/tele/tout-le-monde-en-parle/site/segments/entrevue/2245900/serment-hippocrate-medecins-immigration-quebec
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Je suis à la recherche de renseignements concernant un changement de cégep. J'aimerais savoir, si parmi vous quelqu'un pourrait me renseigner sur cette question, car je suis allé sur IRCC et il parle de redemander un permis d'étude pour changer de cégep, mais il me semble que c'est seulement pour ceux qui n'ont pas encore commencé et qui changent leur école lors de la demande de permis d'étude, dans le cas que j'expose, c'est pour ma fille qui est en première année, elle finit sa deuxième session et souhaite changer de cégep pour ses dernières sessions, c'est-à-dire sa deuxième année de DEC. Doit-elle prévenir IRC et le MIFI ou non ? Merci d'avance à tous et toutes.
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Bonjour tout le monde j’espère que vous allez bien s’il vous plaît j’ai besoin de vous, j’ai reçu ce matin un refus de Cégep programme soins infirmiers et la cause était que le résultat que j’ai passé en Français est faible ( en sachant que j’ai reçu 89/120 (B1)(j’ai passé le test bright language) Qui parmis vous a reçu aussi un refus à cause du résultat du test de français et qu’est-ce qu’il a fait car j’ai pas aucune idée de quoi faire. aidez-moi svp Merci infiniment ?
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Bonjour, Je me permets de vous écrire car je suis à la recherche d'un CEGEP à Montréal ou bien sur Québec, le problème étant que je n'arrives pas à me décider quel CEGEP choisir, The liste est très longue... Pour ceux qui se sont déjà inscrit auparavant j'aimerai vous demander quels sont les facteurs qui vous ont pousser à choisir tel CEGEP à un autre ? Je vous remercie d'avoir pris le temps de me lire. Excellent Week-end à tout le monde.
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Bonjour Je suis Luego jhabite actuellement en France,j'ai 17ans et vient d'être admis au cegep de Matane pour 3 ans d'études en DEC Technique d'intégration multimédia. Je suis à la fois très excité et pleins de petites peur. Y a til des étudiants locaux ,des futur étudiants comme moi ou des habitants? Avez vous des recommandations ? Merci par avance
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Bonjour à tous, Je viens de recevoir un refus du cégep, ils m'ont dit que mon niveau au test de langue est insuffisant PS : j'ai eu un B1 tcf tp . Du coup je passe au 3eme tour. Ma question est : est-ce qu'il un cégep qui accepte mon tcf ou bien je repasse le test en espérant avoir une meilleur note sur ce dernier ? Merci d'avance pour vos réponses.
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Étudiants étrangers « Nous avons cru à ce rêve québécois »
immigrer.com a posté un sujet dans Études et stages
Étudiants étrangers Un élève dépité, son cégep « préoccupé » Simon ne comprend pas. Ses parents ne comprennent pas. Son cégep ne comprend pas. Mais s’il n’en tient qu’au gouvernement du Québec, cet étudiant en soins infirmiers devra retourner en France après trois années d’études conclues avec de très bonnes notes. Publié à 5h00 Suzanne Colpron La Presse Pourquoi ? Parce qu’il est victime des efforts du gouvernement québécois pour réduire le nombre d’étudiants étrangers. « J’ai le moral dans les chaussettes », confie Simon Moreau, au bout du fil, à Matane. Cet étudiant de 22 ans, originaire de Nantes, en France, étudie au cégep de Matane, en Gaspésie, depuis 2021. En mars, il a entrepris des procédures pour prolonger son permis d’études, qui était de trois ans. Pour ce faire, il a demandé au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) un nouveau certificat d’acceptation du Québec (CAQ), un document préalable à la délivrance du permis d’études par le fédéral, réservé aux étrangers souhaitant étudier au Québec. Mais, surprise, le MIFI a refusé de le lui accorder parce qu’il n’avait pas fait des études sa principale activité pendant toute la période de validité de son premier CAQ. À la session d’automne, Simon a suivi trois cours. Il aurait dû en suivre au moins quatre pour répondre aux exigences, selon le MIFI. Résultat : à moins d’une décision contraire, il ne pourra pas terminer son DEC en soins infirmiers et devra quitter sa résidence du cégep d’ici la mi-septembre. Le problème, c’est que Simon ignorait qu’il devait faire au moins quatre cours par session pour obtenir un nouveau CAQ. Même son cégep n’était pas au courant ! « Ce refus est une première pour nous », affirme Francis Turcotte, coordonnateur au service des communications et du développement international du cégep de Matane. « Il faut savoir qu’on accueille des étudiants étrangers depuis plus de 20 ans. On est parmi les cégeps, au Québec, qui accueillent le plus grand nombre d’étudiants étrangers. » suite et source : https://www.lapresse.ca/actualites/education/nous-avons-cru-a-ce-reve-quebecois/2024-09-09/etudiants-etrangers/un-eleve-depite-son-cegep-preoccupe.php -
Bonjour à tous, Je viens de recevoir un refus du cégep, ils m'ont dit que mon niveau au test de langue est insuffisant PS : j'ai eu un B2 461 points (tcf dap). Du coup je passe au 2eme tour. Ma question est : est-ce que vous me conseillez de changer de cégep et trouver un cégep qui accepte mon tcf ou bien je repasse le test en espérant avoir une meilleur note sur ce dernier ? Merci d'avance pour vos réponses.
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Bonjour mon fils, franco-canadien depuis sa naissance, présentement en secondaire 5, est tenté par le parcours Sciences, lettres et arts au Cégep de Sherbrooke ET par des études universitaires en Europe (incluant le Royaume-uni, le France, le Portugal, l'Italie, etc.) Plusieurs questions Pour la France - 1) est-il mieux de passer le BAC en parallèle via le CNED? - 2) en tant que français, doit il obligatoirement postuler via parcours Sup ou peut il être admis comme étudiant étranger? Plus cher, mais éventuellement plus facile - 3) est-ce que ce programme peut il lui ouvrir les portes d'une école d'ingénieur avec prépa intégrée? Merci d'avance
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Peut-on revenir étudier après un refus de renouvellement de CAQ ?
CyprienBKB a posté un sujet dans Québec
Salut à tous ! Je voudrais savoir si il est possible de nouveau avoir un CAQ après s’être fait refuser le renouvellement de son ancien CAQ ? Plus précisément, j’étais au cégep dans un programme pré universitaire jusqu’en mai 2023 mais j’ai été accepté à l’université en février 2023 et grâce à mon baccalauréat français, j’ai appris que je n’avais pas besoin de terminer le cégep car j’avais déjà les études pré requises pour aller à l’université en septembre 2023. J’ai donc continué d’aller en cours au cegep jusqu’à la fin de session mais je n’ai pas étudié pour les examens finaux car j’avais déjà mon admission pour l’université. J’ai donc eu tous mes cours échoués pour ma dernière session. Malheureusement, je ne vais pas aller à l’université en septembre 2023 pour des raisons financières et je vais donc rentrer en France en juillet 2023 pour travailler et essayer de revenir en janvier 2024 pour faire un DEP. Sauf qu’entre mars et maintenant (donc juin 2023), j’ai fait une demande de renouvellement de mon CAQ collégial pour un CAQ universitaire et comme vous vous en doutez, elle a été refusée car je n’ai pas fait de mes études ma priorité lors de ma dernière session au cégep et que je n’avais pas de capacités financières assez grosses pour l’université. Dans tous les cas, ce n’est pas une grande perte car j’avais déjà prévu de ne plus aller à l’université en cours de renouvellement. Cependant, je compte redemander un nouveau CAQ en fin d’année pour pouvoir revenir faire mon DEP en janvier avec les fonds suffisants. Pensez-vous qu’ils pourraient refuser ma future demande de CAQ car je n’avais pas fait de ma dernière session de cégep ma priorité lors de mon dernier CAQ ? J’aurais les fonds nécessaires pour mon DEP, ma lettre d’admission etc mais je crains qu’ils me refusent à cause de mes « erreurs » de mon passé. Merci de vos réponses! Bonne journée! -
Des infirmières et infirmiers formés en Afrique de l’Ouest et recrutés par le Québec font face à des difficultés après avoir été retirés du programme de formation d’appoint de la province. Ils dénoncent le fait qu’un échec unique dans leur parcours de formation les exclut du programme, une possibilité dont ils disent n’avoir jamais été informés avant leur arrivée au Québec. C’est seulement après la pause des fêtes, lorsqu’une consœur n’est pas revenue en classe, qu’André* et ses camarades ont découvert qu’un échec signifiait leur exclusion du programme. L’enseignante, incapable de supporter la situation, a demandé une pause pour que les élèves puissent se défouler, se souvient André. “C’était des pleurs”, raconte-t-il. À la mi-juin, après près d’un an d’études au Cégep Beauce-Appalaches à Saint-Georges, André a appris qu’il avait échoué à la section pratique de l’avant-dernier module de sa formation. Cette nouvelle a entraîné une série de conséquences, notamment la perte de sa bourse d’études de 500 $ par semaine, de sa couverture d’assurance maladie et de son droit de travailler. Il se demande maintenant s’il ne rêve pas, espérant se réveiller de ce cauchemar. André est formel : s’il avait su que l’échec entraînerait de telles conséquences, il n’aurait pas quitté son emploi en Afrique ni déménagé sa famille au Québec. Il est maintenant confronté à des options limitées : rentrer chez lui ou travailler comme préposé aux bénéficiaires (PAB) au CISSS de Chaudière-Appalaches. Selon Mireille Gaudreau du CISSS de Chaudière-Appalaches, en cas d’échec, ils évaluent si la personne peut occuper un poste de PAB. Si c’est le cas et que la personne est intéressée, des démarches d’immigration sont entreprises pour obtenir un permis de travail fermé. Cependant, ce permis ne permet plus d’étudier au Québec. Le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) a déclaré qu’il pourrait également trouver un autre employeur prêt à entreprendre les démarches nécessaires pour obtenir un permis de travail. André, épuisé par cette situation, peine à subvenir aux besoins de sa famille. Radio-Canada a parlé à plusieurs autres participants du programme dans la même situation qu’André. Deux d’entre eux ont accepté de témoigner anonymement. Simon*, un autre participant, se sent trahi et explique qu’il avait l’impression de participer à une course où à tout moment, quelqu’un pouvait tomber. Le MIFI réfute ces accusations et assure que les partenaires du projet font tout leur possible pour aider les étudiants à réussir. En 2022, le gouvernement Legault a mis en place un programme pour recruter 1000 infirmiers et infirmières à l’étranger afin de combler les besoins de main-d’œuvre dans le secteur de la santé. Ce projet, nécessitant un investissement de 65 millions de dollars, implique trois ministères : le MIFI, le ministère de l’Enseignement supérieur (MES) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Les infirmiers et infirmières recrutés devaient suivre une formation d’appoint et obtenir une attestation d’études collégiales (AEC) de neuf à quatorze mois. Bien qu’ils aient assumé les frais de déménagement, plusieurs coûts d’immigration ont été annulés et ils ont bénéficié d’exemptions de frais de scolarité, d’allocations hebdomadaires et d’accompagnement pour trouver un logement et une garderie. Cependant, la formation s’est révélée plus difficile que prévu. Guillaume Boivin, directeur général de l’organisme Le Tremplin à Lévis, constate que la formation d’appoint a été mal expliquée aux participants. Ces derniers s’attendaient à une simple formalité, pensant qu’ils feraient le même travail qu’ils faisaient dans leur pays d’origine. Depuis les échecs, les participants se sentent floués et trompés. Ils rencontrent également des difficultés pour trouver un logement, une garderie ou un emploi pour leurs conjoints, ce qui ajoute au stress. Les participants ont été informés qu’ils devaient réussir leur formation d’appoint pour exercer en tant qu’infirmiers au Québec. En cas d’échec, ils peuvent reprendre le cours échoué, mais cela doit se faire dans le même cégep ou dans un cégep de la même région. Cependant, André et ses camarades n’ont pas la possibilité de réintégrer une cohorte avant l’expiration de leur permis d’études le 30 novembre 2024. Le MIFI envisage de lancer une nouvelle formation au Cégep de Thetford, mais la date de début n’est pas encore confirmée. Cyndia Lacasse du Cégep Beauce-Appalaches souligne que, bien que la rigueur soit nécessaire pour assurer la sécurité des patients, la situation actuelle est déplorable. Avec un taux d’échec de 27 % au campus de Saint-Georges et de 20 % au Cégep de Lévis, les participants ne comprennent pas pourquoi ils ne peuvent pas intégrer une autre région. L’OIIQ avait stipulé que les participants pouvaient reprendre leur formation en cas d’échec. Les participants de la phase 3 du programme ont un taux de réussite plus faible que les phases précédentes. Guillaume Boivin estime qu’il est crucial de mieux communiquer les réalités du Québec et les détails de la formation aux prochaines cohortes pour assurer le succès du programme. André, qui a quitté son pays pour répondre à la pénurie d’infirmiers au Québec, espère maintenant obtenir une seconde chance pour reprendre sa formation et atteindre son objectif. * Noms fictifs pour préserver l’identité de ces personnes. D’après le texte de Radio-Canada
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Explosion des demandes d’admission d’étudiants étrangers au Cegep
immigrer.com a posté un sujet dans Études et stages
Explosion des demandes d’admission d’étudiants étrangers au cégep Une annonce gouvernementale qui faisait miroiter des exemptions de droits de scolarité a provoqué un raz-de-marée de candidatures en provenance de l’Afrique francophone. Cependant, seule une poignée d'entre eux pourront en bénéficier et se retrouveront sur les bancs d’un cégep québécois en septembre prochain. Fannie Bussières McNicoll Publié le 21 mars 2023 Bon an, mal an, pandémie ou pas, le Service régional des admissions au collégial de Québec (SRACQ) reçoit environ 2000 demandes d’admission d’étudiants étrangers. Mais cette année, il en a reçu plus de 13 000, une véritable avalanche. C’est du jamais vu! Les derniers mois ont été infernaux, lance Marc Viens, le directeur général du SRACQ, dont sont membres environ le tiers des cégeps de la province, tous hors de la région de Montréal. En général, explique Marc Viens, les étudiants français représentent environ 50 % des demandes d’admission et ceux d’Afrique francophone constituent une grande partie des demandes restantes. Cette année, il y a eu presque 10 fois plus de candidatures africaines, au point de représenter près de 80 % de l’ensemble des demandes. En fait, les demandes d’admission d’étudiants étrangers ont plus que quadruplé dans les cégeps hors Montréal entre 2022 et 2023. Et cette tendance se manifeste dans presque tous les programmes techniques. Tant en éducation à l’enfance qu’en génie, en passant par des techniques d’animation 3D ou de gestion d’entreprises agricoles, le nombre de demandes a bondi de manière exponentielle. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1964766/explosion-demandes-admission-etudiants-etrangers-cegep-afrique -
Équivalent Lycée seconde à Secondaire ou Cegep?
Katt a posté un sujet dans Comparatifs et équivalence des diplômes
Bonjour Ma fille terminera sa seconde au Lycée. Si nous déménageons au Québec ensuite, à quoi correspond son niveau d’étude? Elle n’aura pas son Bac car elle n’aura pas fait sa Terminale. Peut-elle obtenir un diplôme équivalent du secondaire et valoriser 1 année de Cégep? Peut-elle accéder à l’université dans 1 an? Merci d’avance -
Bonjour à tous, Famille de 5 personnes en processus d'immigration TQQ, j'ai quelques interrogations et aimerais avoir des retours d'expériences de personnes déjà installées ou qui sont déjà passées par le même cheminement. Voilà mon cas : couple, 3 enfants (9,12 et 16 ans) de nationalité française, résidents en France. CSQ reçus le 16/11/2022. dépôt demande RP le 26/11/22, invitation pmi+ reçue le 28/11. Nous préparons la demande de PTO pour mon mari et moi. Mes questions sont : 1- Doit-on faire une demande de permis d'études pour mon ainé (actuellement en première, et passera BAC français en juin) pour qu'il puisse étudier au Québec l'année prochaine en CEGEP? Un permis visiteur au point d'entrée a l'aéroport n'est-il pas suffisant dans son cas ( chose que l'on va faire pour les deux petits - suivant l'expérience de Willpolak sur le forum! )? 2- Si le permis est nécessaire, l'inscription préalable en CEGEP est-elle obligatoire? doit-on faire une demande de CAQ alors qu'il a déjà le CSQ? Merci d'avance pour vos réponses. Cordialement.
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Bonjour , ayant postuler au mois de janvier pour la session d'automne du DEC en comptabilité-Gestion , j'ai essuyé un refus de la part du Sracq ( Cegep Garneau), qui n'était pas du à des résultats scolaires insuffisants mais a comme la lettre qui m'a été jointe l'indique : ''Les documents que vous avez fournis ne permettent pas de vous accorder l'équivalence du diplôme d'études secondaires du Québec '' (Je précise que je suis un étudiant étranger). Comme je devais rejoindre le Québec avec un amis , sa maman a téléphoner au Cégep , et celui-ci à indiquer que je devais rendre les bulletins des trois trimestres de la 5 ème année secondaire ou autrement il y'aurait un risque ou cas je suis accepté mais que je redouble , que j'immigre illégalement au Québec en n'ayant aucun statut. La maman de l'amis en question a donc contacter le Cegep pour leur adresser une lettre et se porter garante de mon entrée sur le territoire canadien sous réserve d'avoir mon Des en poche , suite à quoi le Cegep lui a répondu que c'était effectivement une possibilité et qu'ils allaient s'adresser au staff juridique. Ma requête est donc simple , pensez vous que le Cégep puisse valider provisoirement ma candidature ? Merci de votre amabilité. Amicalement.
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Bonjour , Sur la voie d'obtenir mon DES (SN 5) , j'ai demander mon admission au Cegep Garneau à Québec , j'ai essuyé un refus à priori parce-que je n'avais pas encore mon DES.Etant donnée que je suis un candidat international , il m'est impossible de postuler pour le troisième tour car le CAQ ainsi que le permis d'étude ne me parviendrait pas à temps pour le début des cours. J'ai donc décidé de rester dans mon pays d'origine et d'étudier pour la première session (Science humaine administration préuniversitaire) et de venir a Québec à la session d'hiver. Ma question est donc la suivante ; Est-ce que le fait d'être pris à la session d'hiver dans le même programme m'oblige à refaire ma première session , ou est-ce que je peux directement continuer mes trois sessions restantes. Je précise que je vais suivre ma première session au Cegep Maisonneuve campus de Tunis. Merci beaucoup.Amicalement.
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Bonjour, Je viens demander l'avis et le conseil, et l'expérience de sachants. Je suis maman d'une ado de bientôt 17 ans en classe de 1ère générale dans un établissement privé à programme français dans notre pays d'origine en Afrique. Visa déjà en main, nous irons nous installer à Montréal dès la fin de l'année scolaire en cours en tant que résidents permanents. Vu que ma fille est en fin de son cycle, je me suis dit que l'inscrire dans une école française en classe de terminale pour l'obtention de bac français serait idéal et moins difficile pour la suite de son parcours, malheureusement selon mes recherches il n'y a que 2 école française à Montréal et elle sont très prisées. J'ai fait une demande d'admission dans chacune des écoles et j'ai eu une réponse de l'une négative car déjà complet, reste l'autre qui me donnera une réponse en janvier. En cas de réponse négative aussi, je pense alors au cegep. Pensez vous qu'ayant fais tout son cycle en enseignement français jusqu'en 1ere elle puisse intégrer la dernière année du cegep sans trop de difficultés ? Le DEC est-il l'équivalent du BAC français ? Je note qu'elle souhaite intégrer une université après. Dois-je attendre d'être sur place pour rechercher le cegep ou faire un demande d'admission maintenant ? je précise qu'ayant 2 enfants bien plus jeunes, il va de soit que eux intégreront le système scolaire québécois. Merci de me donner vos avis et partages d'expérience. Merci
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Salut à tous ! J’ai un bac technique en comptabilité dans mon pays ! Et je veux aller faire le dec au Canada en technique de comptabilité et de gestion ! Est ce que j’ai la chance d’être admis ? J’ai eu le bac mais en math j’ai pas eu lA moyenne
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Bonjour, J'ai activé ma résidence permanente peu avant la fin de la date de validité de mon CRP (3 avril 2022). Pour des raisons personnelles je suis immédiatement rentré en France sans attendre la carte ayant la possibilité de passer par un TVRP. Dans le même temps et dans l'optique de reprendre des études sous mon nouveau statut de résident permanent, je me suis inscrit auprès du SRAM afin d'entamer un DEC à la prochaine session d'automne 2022. N'ayant jamais étudié auparavant au Québec et donc ne possédant aucun code permanent, il m'a été demandé d'envoyer une copie de certificat de résident permanent valide ou une copie de ma carte de résident. Je n'ai par conséquent aucun de ces documents hormis ma CRP expirée. La carte elle et selon les estimations d'Immigration Canada devrait arriver sous 101 jours après la date d'activation de ma RP. Dans ces conditions, comment fournir une confirmation valide ou tout autre document sans posséder encore de carte et dans un délais assez court ? Immigration Canada fournit-il des certificats valides dans un tel contexte ? Si oui, comment ? (Je n'ai trouvé aucune information sur le site, dois-je les appeler ?) Merci d'avance.
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Bonjour , je suis Amine , étudiant en 5 ème SN à l'école Canadienne de Tunis (école accréditée par le ministère de l'éducation québécois).Je voudrais savoir dans un premier temps , si il était possible d'effectuer mes études préuniversitaires avec les tarifs d'un résident régulier. Sinon , comment pourrais-je faire pour ne pas avoir à payer les frais d'universités. Merci beaucoup , j'apprécierais grandement votre aide.
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Je viens de recevoir un refus du cégep, ils m'ont dit que mon niveau au test de langue est insuffisant PS : j'ai eu un B1+ brightlanguage Du coup je passe au 3eme tour. Ma question est : est-ce qu'il un cégep qui accepte mon tcf ou bien je repasse le test en espérant avoir une meilleur note sur ce dernier ?
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Enseigner au Québec
Nicolas Laconique a posté un sujet dans Votre entreprise (avis et postes disponibles)
Bonjour PVT, Être Français et enseigner au Québec, c'est très possible ! Je voudrais faire un petit billet pour parler de l'enseignement au Québec, pour celles et ceux qui sont intéressés par cette profession, via mon expérience personnelle. Né en France, Ancien PVT (2008), je suis maintenant citoyen du Canada. Ingénieur en Électronique (diplôme Français), je suis maintenant enseignant en Génie Électrique dans la grande région de Montréal. Ce billet intéressera quiconque ayant des aspirations à enseigner au Québec, de surcroît si c'est dans un domaine proche du mien. 1/ Les correspondances entre les études Françaises et Québécoises Les 2 systèmes d'enseignement sont assez différents (voir image ci-jointe). Les études au Québec sont obligatoires jusqu'au Secondaire 5. Ainsi, c'est 1 année de plus que notre collège Français. Une fois rendu au CÉGEP (équivalent de notre Lycée), l'étudiant peut choisir entre un programme "préuniversitaire" (qui porte bien son nom) ou un programme "technique" (qui du coup prendra 1 année de plus que le préuniversitaire). Issu d'un programme technique, l'étudiant pourra entrer directement sur le marché du travail et espérer assez facilement trouver de l'emploi (variable selon le domaine d'études). Il peut aussi poursuivre ses études dans des écoles d'ingénierie par exemple. Licence, Maîtrise et Doctorat sont similaires aux nôtres. Cependant les études d'ingénierie ne prennent que 4 années (au minimum : sans session redoublée) pour compléter un Diplôme de baccalauréat québécois, quand l'étudiant Français devra en effectuer minimum 5 (souvent 2+3). Ainsi, enseigner au Québec nécessite déjà de connaître le contexte désiré : Enseigner en maternelle, au primaire, au secondaire, au CÉGEP ou à l'université. 2/ Les études pour devenir enseignant - au préscolaire (maternelle), primaire ou secondaire : Dans les 3 cas les exigences sont les mêmes : détenir un "permis d'enseignement" dans la catégorie désirée. Cela représente des études deu Baccalauréat en enseignement (4 ans) avec des équivalences difficiles à obtenir depuis le système Français. - au CÉGEP : Au minimum, on exige des candidats (recrutés par les établissements directement) un BACCALAURÉAT (ou équivalent) dans la spécialité de l'enseignement. Devant la disproportion entre l'offre et la demande, une surenchère de compétences des candidats sur le niveau d'embauche se constate en pratique. Ainsi, il est souvent nécessaire ou plus avantageux de disposer d'une Maîtrise ou mieux dans le domaine de spécialité. Aussi, pour les mêmes raisons, un diplôme ou une preuve de compétence en pédagogie est souvent un atout considérable. Il peut s'agir d'expérience dans l'enseignement, ou bien mieux, d'un Certificat (diplôme obtenu en 3 à 5 trimestres) en Enseignement Collégial. Ce genre de Certificats (appelé "Microprogramme") s'obtient en Université, dans les Facultés de Pédagogie. UDeM, Sherbrooke, UQAM et Université Laval en offrent (à ma connaissance). https://www.usherbrooke.ca/education/futurs-etudiants/deuxieme-cycle/microprogrammes/microprogramme-de-2e-cycle-de-formation-initiale-en-enseignement-au-collegial-mifiec/ https://admission.umontreal.ca/programmes/microprogramme-en-enseignement-postsecondaire/ http://www.etudier.uqam.ca/programme?code=0680 - En Université : Comme en France, il est nécessaire de disposer d'un Doctorat, et très difficile de saisir une opportunité. Souvent un long cheminement au sein de ladite université, en tant qu'assistant à l'éducation, chercheur, etc ... est la clé du succès. 3/ Les opportunités Il est certain que ce genre d'emplois est difficile à décrocher. Cependant, il faut savoir que les enseignants au CÉGEP voient leur démographie lourdement marquée par la génération des "Baby Boomers". Ainsi, de nombreux départs en retraite ont eu lieu, sont en cours, ou auront lieu prochainement. Les CEGEP sont nombreux à renouveler ces postes. Mais il reste encore peu d'élus pour de nombreux candidats. Aussi, les postes en enseignement technique présentent souvent moins de candidats que les autres : en effet, pour un professionnel très diplômé et très spécialisé, il est peu commun de faire le choix de l'enseignement, vue la grande différence de salaire entre une carrière en enseignement et une carrière de professionnel. CE type de candidature attire plus facilement les personnes désireuses de contexte et de conditions de travail différents que dans le privé. 4/ Quelques conseils Les différences culturelles entre les deux nations ne sont pas à négliger dans ce type d'emploi. Pour tout candidat-enseignant issu du cursus scolaire Français, il est très difficile de connaître le contexte d'évolution de l'étudiant Québécois si l'on ne s'est pas profondément documenté sur celui-ci. Dans les CEGEP, pragmatisme et entraide l'emportent sur élitisme et théories. Les méthodes pédagogiques, les évaluations (examens, tests), le coût des études, les calendriers, sont autant de choses très différentes entre la France et le Québec. Ayant enseigné des deux côtés de l'atlantique, je peux vous assurer que la différence est considérable. Ainsi, si une expérience d'enseignement en France peut paraître un atout majeur, méfiance : - Les approches pédagogiques sont très différentes, pour ne pas dire opposées. Si la scolarité en Lycée Français est souvent dirigiste (Conseils de Classe, Bulletins, Autorité, CPE, Conseils de Discipline, Retenues, Appel ...), de ce côté-ci de l'atlantique il faut envisager le métier sous l'angle consensuel (discussions, approche humaniste, volontariat, cours à la carte, tutorat ...) - Le diplôme de CEGEP n'est pas un si-ne-qua-non pour obtenir un emploi pour un jeune. Certes les emplois sont modestes, mais de nombreux jeunes travaillent au sortir du Secondaire. Ainsi, l'ambiance de travail entre enseignants et étudiants au CEGEP est beaucoup plus convivial que dans les Lycées Français. Le CÉGEPien est plus motivé et plus mature que son cousin Lycéen. - Les cursus Québécois d'études ne sont pas élitistes. Les concours d'entrée dans des établissements de prestige n'existent pas. Ainsi, je conseille vivement à tout candidat enseignant issu de France de décrocher son Microprogramme. De plus, celui-ce se conclut dans la plupart des cas par un stage d'insertion en milieu du travail, une excellente porte d'entrée dans la vie professionnelle du futur enseignant. Si vous décrochez un entretien de sélection pour un poste d'enseignant, ne négligez pas votre préparation. 5/ Le mot de la fin ... Si vous êtes Ingénieur d'une école Française et que l'enseignement vous séduit, c'est le moment où jamais. Mais ne pas négliger la préparation. Pour conclure, j'inviterais tout PVT diplômé d'une école d'ingénieur Française, ou Maître ou Docteur, spécialisé en Électronique ou Télécom, et intéressé par le métier, à me contacter. En espérant que ces conseils sauront vous être utiles, Cordialement, Nicolas. -


