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Salut, Mirabel-centre-ville de Montréal (ou dans l'autre sens) : 22 $ l'aller, 33 $ l'aller-retour. Compter 1 heure, plus si gros trafic. Aérobus : 1-800-465-1213 (horaires) et aussi http://www.orleansexpress.com/ Redflag
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Nico, t'as pas écouté ma (vieille) chronique linguistique ? La règle : Les Québécois prononcent TOUJOURS un -s- ou -z- derrière respectivement un -t- ou -d- et devant un -i- ou un -u-. C'est simple non ? Type --> tsype Mardi (et les autres jours...) --> mardzi linguistique ---> linguistsique dur --> dzur maudit --> maudzit voiture ---> voitsure ...et ainsi de suite Résultat : effet de bourdonnement d'abeilles garanti (garantsi ) lorsqu'on entend ça la première fois ! Red
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Salut, La lettre de présentation est assez courte, plus courte que son équivalent français. Une vingtaine de lignes suffisent amplement. Les ingrédients sont les mêmes en revanche : je réponds à "ça" ou j'offre mes services en tant que "ça", je sais faire ça, ai ça comme exp et formation, j'ai développé telle et telle aptitude pro... Vous apprécierez mes qualités personnelles qui sont.... Voilà la trame. La lettre est toujours dactylographiée. Au fait, les ordinateurs sont arrivés en France ? Plus obligé d'écrire sa lettre "à mitaine" ? Redflag
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Alain, faut mieux mettre l'accent que ça, lô lô, sinon les ptis Françâ, vont pas comprendre ! Ch'te l'dzis ! Red
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Saut Philie, Non la carte d'assurance maladie est provinciale. Seule la région d'Ottawa accepte la carte soleil, car le Québec est frontalier. Tu es canadienne, donc tu peux aller vivre et travailler n'importe où au Canada. Les papiers spécifiques des provinces sont en général la carte d'assurance maladie et le permis de conduire. À part ça, je vois rien d'autre. Tu as sûrement une carte NAS, et c'est elle ton meilleur passeport. Tu sais, avec la permission de la famille, tu pourrais sûrement aller faire un tour dans l'ouest canadien avant tes 18 ans. Il existe je crois des camps d'immersion en anglais pour les jeunes francophones. Je ne sais pas si tu es déjà bilingue, mais ça serait un bon plan pour aller rendre visite aux voisins de l'Ouest. Redflag
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Et vive le Québec ! Red
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Ah ben moi j'ai cru que c'était l'arrivée à Paris par l'autoroute A6 (enfin celle quand on arrive par le sud). À peu près 12 voies, des tours immondes avec des antennes paraboliques immenses, et des panneaux "Panasonic" et "Sony Music" aux sommets (notez le "Sony Music"). Au moins au Québec, sur le bord de la métropolitaine, le siège de Sony arbore un "Sony Musique" ! Red
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Salut la gang, Eh bien Zogu t'as encore tapé dans le mille ! Un bon CV et une bonne lettre ne sont pas choses faciles à réaliser. Moi je suis un accro du détail, et je passe de longues heures à peaufiner tout ça. En ce qui concerne l'envoi massif de CV, non seulement je suis contre, mais je ne peux simplement pas m'investir personnellement dans 50 candidatures : je fais quasiment une lettre pour chaque offre, ou au moins c'est adapté en fonction de l'offre. Pareil pour le CV, j'en ai plein de versions : français/anglais, comme chercheur, comme vendeur, comme spécialiste de ceci ou cela, selon l'offre. J'étais au chômage récemment, et j'ai envoyé une dizaine de CV, pas plus. Résultat : un a fait mouche, et les autres pistes étaient des vieilles pistes qui se sont réactivées toutes seules, puisqu'on m'a appelé. Mais voici l'histoire - non pas d'un CV - mais d'une lettre de présentation... Dernièrement j'ai été embauché par une boîte dans un domaine où j'ai zéro expérience professionnelle, mais où ma formation de base était exigée. Mes chances étaient minces. Pour une offre qui me tenait plus à coeur que les autres, j'avais tenté le tout pour le tout et rédigé une lettre de présentation très agressive, vraiment différente, pour sortir du lot. Quand en février dernier j'ai eu la boss des Opérations cliniques en entrevue (j'avais déjà passé une entrevue avec la boss du bureau et une chef de projet il y a longtemps), je lui ai demandé : pourquoi m'avoir retenu, moi qui n'ai pas d'expérience ? La réponse a été très douce à mes oreilles : "Sur les 200 candidatures reçues, une lettre sortait vraiment du lot, la vôtre !" En même temps, je me suis presque excusé d'avoir fait une telle lettre, que je trouvais franchement gonflée. Mais ça a marché, et aujourd'hui je suis à l'emploi d'une vraie compagnie, performante, jeune, et cool, exactement ce que je voulais ! Redflag
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Salut, C'est l'gars du Plateau qui est dû pour aller à Outremont En fait c'est la ville d'Outremont mais c'est la jonction Laurier/Mile-end. Si tout va bien un petit 5 1/2 va me tendre les bras prochainement... à un prix... inavouable, très en-dessous du marché. Bon les goûts et les couleurs... Laurence, ce qui fait justement l'attrait visuel du plateau, c'est le soin apporté par certains proprios à leurs condos, la décoration de bon goût, la rénovation fréquente (balcons, escaliers)... les rues bordées d'arbres, les carrés de terre autour des arbres mis en valeur dès le mois de mai (fleurs...). Mais je suis tout à fait d'accord avec toi quand tu dis que son architecture n'est pas exclusive : Rosemont et Villeray ont la même, et même d'autres endroit à Montréal. Les "belles" grosses maisons du centre et de l'ouest, en pierre grise, au look anglais, me dépriment au plus haut point : c'est gris et terne, look royal défraîchi, et ça me rappelle les villes françaises avec leur crépis couleur béton et la pierre grise. Beurk ! C'est déjà mieux quand y'a de la brique brune, comme à Cote-des-Neiges (bien que je ne sois pas grand fan non plus), et je trouve que c'est mille fois mieux quand c'est de la brique rouge, ou même peinte en bleu, en vert, ou même en jaune ! En tout cas c'est étonnant de voir comme l'architecture de Montréal pose souvent problème aux Français. Moi j'aime bien ! Redflag
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Salut, À mon avis si tu ne travaille pas à Toronto mais assez loin (Hamilton par hasard ?) ton loyer devrait être bien plus modéré. Mais avec 1000$, la colocation semble inévitable. Une lectrice (j'en ai déjà eu !) est une jeune fille du pays dont on étudie la langue, et qui remplace de temps en temps le/la prof de langue, justement. Histoire de voir comment parle un "autochtone". Très intéressant, puisqu'il faut alors parler dans la langue de la lectrice, mais faut aussi que les élèves soient motivés, ce qui n'est pas évident... Red
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Salut Shagrine, Difficile voire impossible de trouver un vol en dessous de 1000$ pour cette période. Va sur http://www.capvoyages.com/ (agence montréalaise) pour avoir une idée des prix, mais ça tourne encore autour de 1000-1100$. Redflag
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Ben t'es mal barré mon gars ! C'est à peu près ce qu'il y a de plus pittoresque et beau comme quartier urbain à Montréal (hors secteurs résidentiels (maison individuelles), donc pas vrainment urbains). Redflag
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Salut la gang, Le cas de val est à mon avis la seule chose qui soit valable de faire et qui a plus de chances d'aboutir : commencer sa recherche d'emploi juste avant son départ, vias en poche, avec une date ferme d'arrivée. Là ça sonne un peu plus aux oreilles d'un employeur ! Je dirais aussi que chaque secteur a sa façon de recruter. Dans certains, tout va extrêmement vite, dans d'autres c'est beaucoup plus long. D'une manière générale cependant, l'employeur veut TOUJOURS nous voir vite, ça lui prend comme une envie de faire pipi ou de magasiner En revanche, une fois l'entrevue passée, certains mettent des semaines à répondre, parfois des mois (j'ai connu ça !), malgré un suivi téléphonique. L'expérience française est parfois prise en compte, parfois non. En revanche ceux qui ont une expérience anglo-saxonne (Angleterre, Irlande) vont trouver plus rapidement je pense, car leur façon de travailler est plus proche de celle d'ici. L'image qu'ont les Québécois des Français au travail est très floue, ils ne savent qu'une chose : on est tout le temps en grève, ce qui ne nous aide pas vraiment Alezane, tu parles d'esprit critique, mais tu vas beaucoup plus loin que ça : C'est ce qui a choqué Jay Jay et cela me choque aussi : tu aimerais ques les immigrants soient favorisés à l'embauche par rapport aux locaux. Là, c'est rêver en couleur, et je trouve que ce serait scandaleusement injuste pour les Québécois, en même temps que la meilleure façon de se les mettre à dos. Quant à ton affirmation Je me demande bien sur quoi tu te bases pour dire ça. Il est évident qu'il faut un coussin financier important (au moins 10 000$), bien plus encore dans le cas d'une famille, pour avoir le temps de réussir. Autre point : l'angoisse de rester sans job n'a pas de raison d'être au Québec. On n'est pas en France. Ici on trouve facilement des petits boulots en attente d'un vrai boulot. Évidemment, il faut être motivé, car certains ne le feront pas, et verront fondre leurs économies à grande vitesse. Mais faut savoir ce que l'on veut... Dernier truc : comme le montre l'exemple de Léo, l'entrevue téléphonique est très utilisée. J'y ai eu presque systématiquement droit. Parfois très rapide (5min), parfois beaucoup plus longue (20 minutes), toujours un test en anglais. Soit l'employeur fait son jugement imméditament et propose une date d'entrevue, soit il nous rappelle pour fixer une entrevue. Assez différent de ce que j'ai vécu en France : on m'a fait venir de Toulouse à Paris pour passer des tests pendant toute une matinée, et à 13h, on m'a dit "désolé, vous pouvez rentrer chez vous" ! Jamais vu ni parlé à quelqu'un des RH ! Redflag
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Salut Alezane, La recherche d'emploi fonctionne toujours en suivant la figure des cercles concentriques. L'employeur cherche d'abord ce qu'il a chez lui, autour de lui, avec son réseau local, puis élargit petit à petit. Le tout dernier cercle, c'est d'aller chercher quelqu'un de l'étranger car le poste n'est toujours pas pourvu. Il est donc évident qu'une recherche à distance ne donne rien dans 95% des cas. Même si tu dis que tu vas être là, tu n'EST PAS là. Beaucoup de québécois ne connaissent rien à l'immigration que fait leur gouvernement, sur le plan pratique. Pour les employeurs c'est pareil, et faire venir un immigrant doit paraître compliqué pour certains, même si ça ne l'est pas. Venir à une entrevue ici depuis la France est prendre un bien gros risque à mon avis. Cela coûte une petite fortune, et ça ne vaut pas dire que tu auras la job. Je pense qu'il faut faire preuve d'humilité, et accepter les conditions comme elles le sont. T'es pas arrivée que t'es déjà en train de te plaindre Si tu as de la famille ici, essaie plutôt d'utiliser ce réseau-là pour entrer en contact téléphonique avec des vraies personnes, pas avec des email ou des CV laissés sur Internet. Redflag
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Salut la gang, Je pense que 2 facteurs essentiels vont jouer dans le fait de se retrouver citron pressé ou peinard : la culture de l'entreprise et les gens (l'équipe, mais surtout le/la boss). Pour moi, plus la boîte est grosse, plus gros sont les avantages et les salaires. Je le constate depuis des années. Et la réciproque est vraie. Ensuite le paramètre "patron" joue beaucoup : il peut rendre invivable une job où normalement les conditions de travail sont super, comme l'inverse, ou bien être neutre. En combinant avec le facteur culture d'entreprise, ça nous fait 8 possibilités qui décrivent à mon avis assez bien l'échelle de pression, de "citron intact plein de jus" à "citron explosé". Aujourd'hui j'ai la chance de me trouver dans une boîte de presque 3000 employés, mais seulement une douzaine au Canada. J'ai donc les avantages de la grosse boîte (organisation, haut standard de qualité (ISO9001), bons salaire et avantages sociaux, pas ou peu d'heures sup non payées) et de la petite structure (horaires flexibles, pas de sentiment d'être un numéro...). Je trouve pour l'instant que la pression est faible, très faible même. Et la boss de dire aux employés y'a deux semaines : si vous trouvez que vraiment vous devez trop en faire, dites-le et on embauchera (!) Il semble que la priorité soit donnée au travail correctement fait et à la satisfaction du client sans sacrifier l'employé. Ça me va ! Redflag
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Pour moi, il est totalement délirant de toucher du chômage pendant une période plus longue que la période de travail qui sert de référence.... ...Ou comment encourager la fainéantise Red
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Salut la gang, J'aurais mon mot à dire mais comme je suis un citron fraîchement embauché que l'on presse franchement en ce moment-même, eh bien j'ai pas vraiment le temps... Elle es-tu assez bonne ? Red
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En québécois, un "buggy", de taille VTT (quad en français de France) Pas évident de se comprendre hein !? À mon avis, les sentiers de motoneige, utilisés par les VTT au printemps-été-automne, te seront ouverts. À voir cependant les histoires d'homologation. Les VTT québécois sont-ils immatriculés ? Je ne sais pas... Autre détail, la forêt québécoise ne ressemble pas vraiment à la forêt française. Les arbres sont en général beaucoup plus petits, et tout est très serré, impénétrable parfois quand on est hors sentier. Les raisons : la forêt est naturelle (pas de coupe pour aérer et laisser grandir les arbres), le climat rigoureux (période de croissance courte). Redflag
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Salut la gang, Qui a prononcé l'ignoble mot "Diesel" ??? Je vais t'aider si tu veux. Par pitié, ne parlons de Peugeot Diesel ici, les souvenirs sont trop douloureux... Redflag
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Je dirais même... gay Red
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Salut la gang, De mon côté 500$ à payer alors que j'ai mis quelques milliers de $ dans mes REER... Voilà ce qui arrive quand on a 2 jobs ! Red
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L'école des fans - version québécoise
Redflag a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
J'ai capoté en voyant la bande-annonce ! Redflag -
La BD francophone est née au Qc non en Fr
Redflag a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
Moi qui croyait que BD voulait dire Belges Dessinés ! Redflag -
Salut Jay Jay, En photo-souvenir voici l'avion de Bobby Piché peu après son atterrissage sans moteurs, sans hydraulique, sans volets, et... sans freins ou presque. Red A-330 Air Transat vue d'ensemble Ya quelques petites traces dans l'asphalte de la piste ! Le train d'atterrissage est pas mal amoché !
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Salut Eric, Bon c'est un peu compliqué : un mandat est en général émis uniquement à une personne ou une compagnie. Avec ma banque, la Banque Royale du Canada (BRC), c'est le cas si ça reste en $CAD. Si on veut émettre un chèque dans une monnaire étrangère, alors il faut faire faire un chèque de banque. La différence est qu'en plus du nom du bénéficiaire, on ajoute l'adresse d'une banque située au pays où on envoit le chèque. À la BRC, un chèque de banque émis en euros d'un valeur inférieur à 1000$ s'apelle encore un mandat, et si c'est 1000$ et plus, ça devient une traite bancaire. Mais en fait les papiers et la procédure sont les mêmes. La banque qui émet le chèque n'a pas besoin d'avoir une filiale au pays où le chèque va être encaissé. La BRC n'a aucune filiale en France. Elle a une liste de banques connues (Paribas, Crédit Lyonnais), et écrit l'adresse de l'une d''elle (le siège) sur la traite. Même si la traite n'est pas destinée à être encaissée par la banque citée sur la traite, ça fonctionne. Donc dans ton cas la traite banquaire est toute indiquée il me semble, surtout si tu dois payer en $CAD. Redflag