Cavallero

Les c****** ça peut se greffer, malheureusement la malhônneté et la bêtise sont incurables.

Pas mal, mais ça doit prendre des heures d'écrire des textes anacycliques comme celui-là !? :biohazar:

Sur l'importance des rivières (donc l'absence de chemins), voir: http://www.iforum.umontreal.ca/Forum/Archi...article4314.htm ou le bouquin de Desrosiers, Les engagés du grand portage.

<troll 2>Alors je demande le divorce, parce que je me tape la pelouse, les parties de foot et une bonne partie de la cuisine et du ménage</troll 2> :gna: Donc c'est bien un problème de génération... <nostradamubidon>Je prédis que dans 20 ans les réunions de famille seront limitées au père ou à la mère et aux 2,6 enfants</nostradamubidon> Tricheur !

Certes, mais ce n'est pas comparable, les chemins vicinaux en Europe sont protégés (droit de servitude - Bridleway en anglais) et, notammment en France, on a la chance d'avoir trois réseaux routiers qui ne se recouvrent pas complètement : les chemins (qui datent parfois du Moyen-Age, voire plus...) et servaient au transport local des personnes et des bêtes, les routes secondaires (certaines suivent le tracé des voies romaines et royales) et le réseau routier moderne. Au Québec le peuplement s'est d'abord fait en suivant le St Laurent et les voies navigables, moins de personnes, donc moins de chemins.

<Troll>Est-ce que les femmes québécoises tondent la pelouse, font la vidange et jouent au foot avec les mômes ?</Troll> Qui cuisine lors des réunions de famille au Québec (avec toutes générations confondues) ?

Avant Mont St Hilaire tu as St Bruno de Montarville dont le parc est accessible en bus (43 ou 4 départ de Longueil - demander l'arrêt exact au chauffeur). Environ 20 kms de ski de fond (location sur place) + une petite piste de descent et deux ou trois lacs. Environ deux heures de balade selon ta forme. Pour Mont St Hilaire, il me semble qu'il y a aussi un bus, mais il s'arrête assez loin des pistes.

C'est pas du chialage ! c'est l'étonnement de s'apercevoir qu'il est plus facile en France de se retrouver en forêt publique et ouverte qu'ici, alors qu'on s'attend au contraire. Je veux bien mettre mes raquettes et entrer dans la foret comme tu dis, mais même à 2h de route de Montréal, j'ai vu que panneau "privé défense d'entrée" tout le long, alors je veux bien ne pas être du coin et ne pas connaître les bons chemins, mais si c'était si simple que ce que tu dis, on serait pas la en train d'en parler ! Mais si tu as des endroits précis à proposer moi je suis partant pour y aller ! Boudebouchon tu dis que les parc sont pas cher ici, et c'est vrai, mais en France c'est gratuit, alors, moi ca m'a fait bizarre de payer pour aller marcher sur une colline. Certes ca paye de l'entretiens et je suis pas contre.... Pour avoir vécu toute mon enfance dans un bled perdu au fin fond de la Normandie, je crois comprendre ce qu'il veut dire. Quand on est du coin on sait où aller, qui s'en fout et qui ferra tout un fromage si tu vas sur ses terres. Impossible à savoir pour qqun qui arrive dans la région en touriste et ne connaît personne sur place. Nous avons effectivement eu bien du mal à trouver des coins où nous promener autour de Sherbrooke, bords de lacs => privés, plages publiques minuscules, routes => privées, entrées de bois => privées, parcs publics riquiquis, etc... jusqu'au jour où on a sympatisé avec un type qui tient un club équestre et nous a donné quelques tuyaux. L'entrée des parcs n'est pas très chère et ils sont bien entretenus, voire un peu trop (les possibilités de rando y sont assez limitées). Utiles pour la protection de la nature? A voir.

Fumer est dangereux pour la santé. B)

Trop Troll !

Relis mon message, je ne parle nulle part de faillite assurée. Je dis simplement qu'il faut être très circonspect et que ce type d'investissement peut ne pas convenir en fonction de ta situation personnelle. D'ailleurs je me base sur le système anglais, qui est en apparence très proche mais probablement pas identique. Ainsi, par exemple si tu verses 1000 £ (2000 $) par an, l'Etat te fait cadeau de 25 %, soit 250 £ (300 $), qui peuvent être réinvestis dans ton fonds de pension ou déduits du montant imposable (note l'exemple donné par la Banque Royale cité plus haut). Il faut donc investir une grosse somme pour voir tes impôts diminuer de façon significative. Le but est d'encourager les gens à investir dans un fonds qui est placé en bourse (actions, obligations ou bonds du Trésor) et te servira ensuite à "acheter" une retraite. Jusque là pas de problème. Là où ça se complique c'est que les banques prennent une comission (plafonnée par l'Etat) et que tu dépends de l'évolution de la bourse. A l'heure actuelle, avec 100 000 $ (200 000 $ - ce qui est considéré ici comme beaucoup d'argent et équivaut à une cotisation mensuelle de 280 £/460 $ pendant 30 ans) tu peux acheter une pension annuelle de ... 7 500 £ (le revenu annuel moyen des ménages est d'environ 15 000 £). Ajoute à cela le fait qu'il y a pas mal de personnes qui ont vu leur investissement fondre au soleil. Encore une fois, prudence et information !

Qui parle d'arnaque ? Tu dis que c'est LA manière, je dis que c'est UNE des manières et que l'on ne peut pas déduire le montant brut de ses impôts. Nuance. Tes fonds sont placés en bourse, le fait que ce type de fonds fasse l'objet de déductions d'impôts ne garantit en rien son rendement. Il faut être très prudent dans ce domaine et prendre conseil auprès de nombreuses sources indépendantes. Le problème des pensions est une bombe à retardement.

Easy tiger, je ne crois pas que ce soit si simple que ça, cf >>> http://www.rbcbanqueroyale.com/RBC:Q9aXdY7...nvest-rrsp.html Le REER en action Voici un aperçu des avantages immédiats liés aux cotisations versées, dans le cas d'une personne ayant un revenu imposable de 30 000 $ et un taux d'imposition fédéral-provincial de 26 %. 0 $ Cotisation REER 3000 $ Cotisation REER Revenu imposable 30 000 $ 30 000 $ Impôt fédéral 7 800 $ 7 020 $ Impôt différé 0 $ 780 $ >>>> Si je comprends bien un REER est un fonds de pension qui offre des réductions d'impôt, sous forme de pourcentage et les revenus seront de toute façon imposés plus tard. Je cotise à un fonds de pension anglais, les pourcentages et le détail des règles sont bien sûr différents... mais le principe est le même : réduction d'impôts contre épargne retraite. Toutefois les fonds de pension ont de très gros désavantages : - placements en bourse, donc rendements imprévisibles (parfois négatif) - la réduction d'impôt est réelle mais demande une épargne solide - le produit du fonds est imposé lorsque tu le touche - à l'heure actuelle il faut avoir un fonds très - très - bien garni pour un revenu très moyen - ces fonds sont généralement assez complexes avec tout un tas de clauses et de frais Donc prudence...................

Félicitations aux conservateurs!

Ils peuvent encore demander l'asile politique au Nunavut !

Couple sans enfant..., et avec mon ID tu as ta reponse non ?? Ah, faudra que j'en parle à ton banquier alors ! :poilant:

Super, très complet ! Quel a été le verdict du banquier ?

On dit qu'en Ontario les taux d'imposition (sur le revenu surtout) sont inférieurs à ceux du Québec. Mythe ou réalité ? Est-ce que la différence est vraiment significative ?

Je crois que les comparaisons entre systèmes scolaires ont des limites. On tombe sur une bonne école ou une moins bonne, quelles que soient les stats internationales et tout le blabla, si ton école est à 100 % géniale, tout va bien, si tout va mal idem. Une école c'est un peu comme un bon vin, c'est plus de l'alchimie que de la science. Ceci dit, je pense que les jeunes d'aujourd'hui... en savent bcp plus que nous à leur âge.

Il n'y a pas eu une révolution, mais des révolutions. Les Sans culotte de la Terreur n'ont pas grand chose en commun avec les bourgeois de la Constituante. L'Académie est une Académie... comme l'Académie des Beaux-Arts, elle n'a aucun pouvoir. Elle est conservatrice par nature, mais elle ne "contrôle" pas la langue. Tout au plus elle émet des recommandations. La langue est un être vivant (je crois que je me répète)... La seule organisation qui ait un réel pouvoir c'est en fait l'OLF du/au Québec, mais surtout l'école et les médias, c'est là où ça évolue. Etre identique n'est pas souhaitable, possible, mais pour que la francophonie survive il faut bien mettre quelques règles. Il y a bien un moment où ce qui est dit est du français et un autre où ce n'en est plus. Mais c'est comme prouver une impossibilité en sciences ou en maths, il est toujours très difficile de donner des limites reconnues par tous. Pourquoi pas ? Mais on ne parle pas français de la même façon partout au Québec, quand on écoute Radio Canada ça ne sonne pas comme radio Sherbrooke. Quand on lit Bombardier c'est très, hmm, "français". Pierre Bourgault, pas un parisien celui là, se plaignait de la qualité du français au Québec et écrivait de façon très classique... Last but not least, l'OLF est assez souple pour la terminologie, mais intraitable sur la grammaire.

Les révolutionnaires avaient d'autres chats à fouetter... D'ailleurs on dit que Napoléon avait lui même un accent à couper au couteau. C'est la troisième République, Jules Ferry et ses instits, qui a le plus fait pour imposer et unifier le français, en France, mais aussi dans les colonies. C'est à cette époque que l'école est devenue centrale pour la progression sociale.

Pour ceux qui veulent appronfondir la chose, il y a une émission justement sur le sujet sur Europe 1, ce 19/1. Dans le site Europe 1, sélectionnez Comprendre puis Jacques Pradel, l'émission du 19 avec Claude Hagège devrait alors être disponible. Hagège est beaucoup moins conservateur que Druon. Ou si vous préférez lire : http://www.lire.fr/enquete.asp/idC=35600&i...15&idR=200&idG=

A ce sujet on parle beaucoup du déclin du français, de l'envahissement de l'anglais, blablabla... mais on oublie trop souvent que le français a aussi écrasé des langues régionales ou des langues tout court comme dans certains pays d'Afrique ou ... en Amérique.

No comments..... :heyho:

Pour ceux que ça intéresse, une clarification sur la féminisation des noms de métier en France et sur le pouvoir très relatif de l'Académie. http://www.ulaval.ca/afi/revue/articles/1999_317.htm