Zogu

Les Québécoises sont bien adaptées aux Québécois. Les Françaises sont bien adaptées aux Français. Il faut comprendre que ce sont des équilibres basés sur des forces différentes. En situation de drague, les Québécoises sont moins cinglantes que les Françaises. Leur "non" sera plutôt doux. Mais c'est parce que les Québécois sont moins insistants, moins "explicites" en général. Forcément, quand on fait des mélanges, ça peut causer des explosions. Les Québécoises apprécient énormément les petits gestes courtois (tenir la porte, laisser son siège). Par contre, elles n'aiment pas du tout les gestes qui peuvent démontrer un désir de domination (s'approprier la facture, insister pour conduire, commander le repas pour les deux, répondre à sa place).

Il y a un départ par heure à partir de la station centrale d'autobus de Montréal (Berri). Le trajet fait environ 2h15 et la gare d'autobus à Québec est située au centre. Tu peux trouver un hôtel ou une auberge sur la rue Sainte-Anne à Québec, comme cela tu pourras marcher de la station jusqu'à l'hôtel.

(Après le gros party, il y a toujours des restants de sandwich sans croûte pis de salade de patate tiède, sur le coin de la table.) Jimmy me permettra certainement une lecture un peu différente de "La moitié gauche du frigo": - Un gars est malheureux dans son emploi (très conventionnel: ingénieur industriel en production). - Inconsciemment, il s'arrange pour saboter sa carrière et ses relations interpersonnelles (puisqu'il est malheureux dans son rôle de travailleur et dans son identité). - Il fait le vide autour de lui et se lance dans une importante introspection. - Il se rend compte qu'il ne veut pas faire partie d'un système qu'il déteste. - Il part à Vancouver pour vivre son "trip", tenter sa chance dans un domaine artistique. Bref, c'est un film anarchiste et révolutionnaire. C'est aussi un film qui donne de l'espoir: il est toujours possible de refuser la "voie conventionnelle" offerte par le sacro-saint "système, et de suivre son instinct. Beaucoup de gens de 25 à 35 ans se reconnaissent dans ce modèle. Ça prend beaucoup de courage et de détermination pour "faire sa place". Non pas la place qu'on nous a assigné, mais LA place qu'on veut.

Oulala... soupir... C'est pas grave, Jimmy... J'pense pas qu'il y ait tant de "losers" dans ma génération. J'pense juste qu'on a pas la même manière de voir les choses.

Jusqu'à preuve du contraire, ce sont EUX qui contrôlent nos médias.

Les Invasions Barbares? Beurk. Film démagogique et exploitation les obsessions d'une certaine génération vieillissante qui s'imagine que la mort, c'est pour les autres, voyons donc. Et qu'après eux viendra le déluge. Moi j'ai trouvé que Les Invasions Barbares s'adressaient directement (presque en disant "tu") aux baby-boomers québécois, qu'il berce et réconforte tout gentiment. Tout en cassant du sucre sur la nouvelle génération, avec toute la complaisance possible. Ce film m'a laissé l'impression de ne pas avoir été invité. Bref, malgré ses quelques qualités évidentes, il m'a donné l'impression de tabler sur les conflits inter-générationnels et sur une certaine facilité, voire sur une rhétorique un peu perverse, un peu méprisante, du genre: "Ah les jeunes, peu importe ce qu'ils font, ils n'auront jamais autant de fun que nous, qui vivions à la belle époque des années 60". L'hypothèse du déclin, c'est l'hypothèse que nous vivrons sur les ruines de nos parents. Que nous allons laisser "leur" monde se dégrader, leurs belles réalisations rouiller sous la pluie. Refusons cette attitude cynique, refusons de jouer le rôle que nos boomers de parents s'imaginent que nous allons jouer. C'est si facile de se dire que nous n'allons jamais revivre le "flower power", l'avant-SIDA, la libération sexuelle, le développement exponentiel (et polluant) de l'économie, la mondialisation des opinions, le bed-in de John et Yoko, le premier homme sur la Lune, le yéyé, l'Expo 67, etc. Ce sont les icônes d'une autre époque, alors nous n'avons pas à nous sentir nullissimes d'êtres nés plus tard... Mais si nous commencions à regarder les incroyables réalisations de NOTRE époque? Les 150 000 personnes qui ont défilé à Montréal, par -25 degrés, pour dire NON à la guerre d'Iraq, par exemple. Enfin... je vais peut-être me faire des ennemis à villipender ce film qui a été (assez curieusement) couvert d'un concert absolument unanime et quasi gênant d'éloges et de prix de toute sorte. Allez louer "La moitié gauche du frigo", docu-fiction génial, et demandez-vous pourquoi les nouveaux cinéastes ont de la difficulté à se faire une place. Peut-être qu'ils ne s'adressent pas assez aux ex-hippies en perte d'autonomie. En passant, j'ai trouvé "La vie avec mon père" génial aussi. Et plus actuel que papy invasions.

Eh bien... hihihi... Parizeau a été lucide en analysant la situation, et j'ai été lucide en analysant Parizeau. Y'a pas de mal à ça. Une partie de la haine anti-québécoise au Canada anglais (et au Québec anglo aussi surtout) est basée sur l'hypothèse que nous sommes une société "raciste", "fasciste" et "d'exclusion" -- c'est d'ailleurs leur arme médiatique la plus puissante, la plus frappante. À nous de montrer que ce n'est absolument pas le cas. Et pour cela, nous devons -- autant que possible -- éviter d'avoir l'air de leur donner raison. Parce que ce sera invariablement récupéré, dénaturé et amplifié par les médias complaisants. Que voulez-vous, en tant que groupe culturel en position de faiblesse en Amérique du Nord -- minorité à la couenne dure, mais faible à plusieurs égards --, nous avons intérêt à marcher droit, à être "plus vertueux que vertueux". Ce que Parizeau a fait ce fameux soir-là, c'est ressortir le bon vieux défaitisme à la "p'tit Québec", tout en donnant un cadeau inespéré à ses adversaires. Car s'il y a un prochain référendum, croyez-vous que ça va nous faire du bien quand le clan fédéral va inonder les ondes de messages publicitaires accusatoires, avec des clips de Parizeau (hors contexte) en train de se mettre le pied dans la bouche, le tout assorti d'une réthorique culpabilisante? Les québécois sont toujours facilement culpabilisable (héritage catho et réflexe de groupe dominé) et les immigrants (en toute conscience de leur caractère "ethnique") vont prendre Parizeau au pied de la lettre, d'autant plus qu'il sera cité hors-contexte!!! Cela mettra les indépendantiste dans une difficile position défensive, qui ne convaincra peut-être ni les québécois culpabilisés, ni les immigrants furieux. L'utilisation d'images fortes et suggestives, sans leur contexte explicatif, n'est-elle pas l'arme la plus pernicieuse des médias? Et le but d'un parti politique dans son utilisation des médias n'est-il pas de se présenter comme plus moral que ses adversaires, et d'affirmer à la population qu'il est là pour les protéger de l'immoralité des autres partis? À la lumière de ces deux constatations, la "sortie" de Parizeau nuira au prochain référendum, peu importe l'interprétation personnelle qu'on puisse en faire. Y'a du Chomsky dans l'air.

Petite rectification, le référendum a été perdu par environ 52000 voix, soit 1.16%.

J'ajouterais -- sans rentrer dans les détails -- que les magouilles du gouvernement fédéral en 1994-1995 ont probablement aidé à aller cherche le 1% des voix qui ont fait la différence. Je nommerai (sans approfondir): - les abus lors du recensement (des milliers d'étudiants et de stagiaires non-québécois inscrits à la liste référendaire sous prétexte qu'ils sont physiquement à Montréal; l'université McGill qui invite des centaines d'étudiants ontariens habiter à Montréal à ses frais; j'ai vu de mes propres yeux ces magouilles) - les fraudes lors du dépouillement des votes (constatées dans 25 équipes pour le OUI, 30 équipes pour le NON, et favorisant nettement le NON par leur ampleurs relatives) - le monstrueux rallye pro-Canada organisé à quelques jours du scrutin, qui contrevenait aux lois fédérales sur le financement électoral et sur les campagnes politiques (des dizaines d'autobus gratuits vers Montréal, repas compris, jour de congé pour ces gens, etc.) - les magouilles de différents ministères pour "recruter" des nouveaux québécois non-francophones soigneusement choisis et provenant de pays en crise (donc des gens fragilisés émotionellement), et pour leur faire suivre un agressif "cours de patriotisme canadien" digne du régime de Corée du Nord ("je te donne ton passeport si tu jures de voter NON, sinon tu peux retourner dans ton pays en guerre") (-- ces méthodes m'ont été confirmées plusieurs fois par des fonctionnaires fédéraux que je connais bien --)

Un des principes de base en politique est de ne pas donner trop de munitions à ses adversaires. Surtout lorsqu'ils sont maîtres de la démagogie, qu'ils ont le pouvoir/l'argent/les médias... et qu'ils s'adressent à un public qui désire ardamment les croire. L'enjeu du prochain référendum au Québec, c'est de convaincre: - les "fédéralistes mous" (ceux qui ont peur de perdre les Rocheuses, la fière route transcanadienne et le nom du Canadien de Montréal), - les souverainistes "chicken soup" (ceux qui paniquent totalement et changent de bord au moment d'aller voter, qui votent comme leur patron, ou encore qui se sont fait menacer d'une "diète du minouche-minouche" s'ils votent pas comme il faut) - les "450-tout-confort" (ceux qui ont peur de perdre leur pouvoir d'achat) - les "maman-sécurité" ("soccer mom", qui défendent leur progéniture avec vigueur contre toutes les menaces, réelles ou non). - les "dodocratiques" (ceux qui ne votent pas parce que leur vote est "un parmi 3 millions", ce qui les fait se sentir mal-aimés et bah, qu'est-ce que ça change, on est baisés par les politiciens de toute manière, un pays ou un autre on va tous mourir, bla bla bla, et ainsi de suite) Tout cela, dans un environnement politique et médiatique qui risque d'être beaucoup plus difficile qu'en 1995, avec la loi fédérale sur la "clarté référendaire" (qui n'a elle-même pas de définition juridique claire, donc, qui n'est pas constitutionnelle), la loi sur la "majorité claire de 66%" (qui contrevient à plusieurs articles de l'ONU et du droit international, entre autre le principe de base de démocratie soit le "50%+1 voix"), l'érosion du pouvoir économique québécois (transfert de la Bourse de Montréal vers Toronto, vente des fleurons de notre économie, mondialisation), le contexte de sécurité en Amérique, le militarisme américain, l'intégration continentale / la ZLEA, etc. Je crois que Parizeau a donné des munitions aux adversaires de la souveraineté, surtout avec les journaux anglophones/fédéralistes qui traitent les québécois de racistes (ou de nazis) au moins une fois par semaine. Hors de notre petite bulle québécoise bonasse, ce qui circule comme info sur le Québec, c'est qu'il y a ici une "police de la langue" qui terrorise la population. Faites des recherches sur "language police" et "quebec" dans Google pour voir. Ce n'est pas à notre avantage, car nous ne faisons rien dans cette guerre sur l'image internationale du Québec. Exemple du ton utilisé dans les médias anglophones: "Quebec's premier may unleash the language police to crack down on the growing use of English in workplaces around the province (...)" C'est bien dommage, car je respecte beaucoup Parizeau, j'ai de l'admiration pour lui car il est très intelligent et il a fait beaucoup pour le Québec. Hélas, les 3 ou 4 gaffes du clan souverainiste ont été très fortement médiatisées. Ils marchaient sur des oeufs, ils n'avaient PAS droit à l'erreur. Voici le palmarès de leurs pires gaffes: 1) "Nous avons perdu à cause de l'argent et du vote ethnique" (Parizeau). Commentaire post-référendum. Nous nuira probablement lors du prochain référendum. 2) "Le Québec est l'état de race blanche qui fait le moins d'enfants en Amérique" (Bouchard). Phrase très TRÈS maladroite, au beau milieu de la campagne. A choqué bien des gens, même si on comprend très bien ce qu'il voulait dire. Le message était: La dénatalité et l'érosion du poids démographique du Québec vont nous faire disparaître. Ses propos ont été interprétés comme du racisme, évidemment. 3) "Nous allons utiliser une astuce..." (Parizeau). Au tout début de la campagne, Parizeau a utilisé cette expression pour répondre à la question "Comment pensez-vous gagner le référendum?". A fait sourciller bien des souverainistes; ça ne fait pas très honnête. (Note: le référendum a été perdu par moins de 30 000 votes, soit environ 1%.)

Tout dépend si les pompistes sont payés selon le "taux général" (salaire minimum) ou s'ils sont "salariés à pourboire". S'ils sont salariés à pourboire, ils gagnent possiblement moins que le salaire minimum et s'attendent donc à recevoir un pourboire. Mais seulement SI. Est-ce que quelqu'un est au courant du type de salaire pour un pompiste? PS: Il n'y a jamais de pourboire obligatoire, sauf si vous êtes un groupe dans un restaurant

Hmmm dans le 418 aussi y'a eu une majorité de gens gens qui ont voté OUI pour l'indépendance en 1995. Dans Lanaudière, dans le Bas-Saint-Laurent, au Centre-du-Québec, à Québec, etc. C'est drôle comment les z'urbains a une image floue "des régions", comme si le 418 et le 819 était un gros bloc lointain, froid et uniforme......

Ouaiiis! Tout l'monde chez Frite Alors!

La comédienne et chanteuse Isabelle Blais (je répète!!!) Une beauté spéciale, un peu froide et un peu mystérieuse... Photo de ses débuts comme chanteuse (elle n'avait pas encore son style actuel): Tournage du film Les Aimants:

Les "candidatures spontanées" sont bien acceptées au Canada. Tu trouves une liste d'entreprises dans un secteur d'emploi qui t'intéresse et tu envoies des CV. Par contre ça demande beaucoup de travail et dis-toi que le taux de réponse ne dépassera pas 5%. Et là je ne parle pas du taux de succès, juste du nombre de réponses que tu recevras (généralement des "non merci", "pas besoin de gens pour l'instant" ou "on garde votre CV en banque"). Mais ça fonctionne parfois... même si ce n'est pas toujours prévisible! Une fois j'avais envoyé mon CV comme cela et il a refait surface dans une entreprise que je n'avais même pas contacté. Donc il avait bien circulé! Je sais cela car je "marque" toujours mon CV de manière à pouvoir identifier quelle version a circulé. Bref j'ai été contacté par cette entreprise et j'ai accepté l'emploi. Quand tu fais des candidatures spontanées, arrange-toi pour bien cibler ton CV et pour écrire une lettre de présentation qui soit correcte et pas trop générique. Indique bien tes disponibilités et ta situation. Indique que tu commences tes démarche à l'avance, ça te fera paraître dynamique, proactif et motivé. Pour trouver des listes d'entreprises, tu peux chercher sur yahoo.ca, sur le site fédéral Strategis, etc. Il y a de nombreuses banques d'entreprises sur Internet.

Argh! Désolé! J'ai un peu perdu le fil et je croyais que c'est Normandie qui avait écrit cela!!! Ouuuuups!

Super!!! Tu seras dans quel coin?

Les USA ont des cas de vache folle, mais ils ont donné des instructions à leurs laboratoires d'analyse pour cacher les cas. C'est du moins ce qu'affirme un inspecteur américain qui a fait "défection" au Canada et qui se dit prêt à passer le détecteur de mensonges. « Si l'animal présente des symptomes, débarrassez-vous de la carcasse discrètement. S'il n'a pas de symptomes, passez le test. » Avec des mesures aussi malhonnêtes, comment être certain que LEUR viande est sécuritaire? Notons qu'il y a eu de nombreux cas de CjD (variante humaine) aux USA ces dernières années. Références: http://www.lci.fr/news/sciences/0,,3213311...0lEIDUy,00.html http://www.lesoir.be/rubriques/s_e_n_s/pag...63_321059.shtml

Peggy, tu devrais faire une razzia dans une bonne librairie et acheter plein de livres sur la vie au Canada. Tu ne connais pas encore les particularités de notre pays (ce qui est bien, ce qui est bof, ce qui est mauvais). Ça t'aiderait certainement à faire un bon choix! Cela dit, tu peux aussi te poser la question: quelle ville? Il y a Toronto, mais il y a aussi d'autres très grandes villes comme Montréal et Vancouver. Ce sont toutes des villes de calibre international, donc on y trouve de tout (emploi, culture, services). Au Canada, le filet social est très étendu et considéré important par la population. Chaque province est obligée par la loi d'offir des services médicaux gratuits et universels. Par contre, dans les faits... il y a de gros défauts: délais trop longs, urgences qui débordent, médecins froids et surmenés, pénurie de médecins de famille, infirmières sur le bord de la dépression, etc. D'autres détails importants au niveau médical ou social: interdit de se faire rémunérer pour le don de sang ou d'organe, réseau des CLSC au Québec (médecine familiale), régime collectif d'assurance santé (Québec et certaines provinces), etc. Côté culture, le Canada se différencie énormément des USA, mais je ne voudrais pas lancer de polémique. Les points de différence majeurs: sentiment pacifiste assez marqué (le Canada est un pays de diplomates et de missions internationales), multilatéralisme, culture du compromis (quand deux canadiens s'engueulent, c'est parce qu'ils cherchent un terrain d'entente!), influence modérée de la religion. D'ailleurs, le Canada comporte des communautés religieuses très progressistes tant du côté des Catholiques, des Protestants, des Juifs, que des Musulmans. Du côté Catholique, on peut vanter la présence de prêtres très impliqués socialement et aux idées progressistes (par exemple, celui qui a été invité à "Tout le monde en parle"). Le mariage inter-foi est très bien toléré. Du côté Protestant, on note la présence de l'Église Unie du Canada (United Church), la plus importante dénomination Protestante au pays (3.1 million de membres)... et qui est POUR l'ordination des femmes et POUR les droits des homosexuels. Enfin, du côté des Musulmans et des Juifs, on note la participation de ces groupes au Conseil Oecuménique Canadien et à de nombreuses célébrations "inter-foi " (interfaith) lors d'événements importants. Difficile de cerner la particularité canadienne quand on n'y a pas vécu... mais disons que c'est un pays multiple et socialement très tolérant.

Quelques clubs francophones de Montréal: Club ZOUM http://www.sac.umontreal.ca/photo/club.htm http://groups.yahoo.com/group/clubzoum/ Club Vision Photo http://www.clubvisionphoto.com/ Club Photo de Rivière-des-Prairies http://www.photordp.com/ ALPA (Longueuil) http://www.alpa-photo.cityslide.com Autres clubs: http://iquebec.ifrance.com/APSL/ http://www.alpa-photo.cityslide.com/page/page/210966.htm http://site.ifrance.com/atelierphoto/ http://www.membres.lycos.fr/photoverdun/ http://membres.lycos.fr/aremac/

Attention d'abord! J'ai un ami qui s'est fait arnaquer de 7000$. Ils n'ont rien fait pour lui et il doit entreprendre des recours au Canada. Malheureusement, il n'a pas toutes les preuves avec lui (papiers, reçus) car ils ne lui ont pas tout remis. Si ce n'est pas trop indiscret, quel est le nom de ton avocat?

C'est à ce moment-là que tu as fait connaissance avec l'âme québécoise: humilité et générosité. Cette dame a réussi à te mettre à l'aise et à te redonner confiance.

Est-ce que c'est un avocat en Algérie, ou bien un avocat au Canada? Est-ce que c'est un "avocat ordinaire" ou un "conseiller en immigration"?

Mon palmarès personnel des emplois. Emplois trouvés par... Contacts et amis: 3 Site Jobboom: 2 CV qui circule tout seul: 1 Agences: 1 Site Monster: 0

Côté plume, Rima s'est beaucoup améliorée depuis son premier livre. Et en personne elle est très sympa. Je suis d'accord avec son analyse très fine. Montréal s'assume beaucoup mieux aujourd'hui. L'été est une suite ininterrompue de festivals, de grands périmètres de la ville ont été aménagés avec la "chose culturelle" en tête. Ce n'est ni une ville faite "pour les affaires seulement", ni une "ville-attraction" aseptisée et bien rangée... non... la Montréal moderne a été modelée par notre désir d'avoir du fun! Quant aux complexes de Montréal, il ne faut pas oublier que la ville a subi un important choc lorsqu'elle s'est fait ravir le titre de "métropole du Canada" par Toronto dans les années 1960. La raison principale? Avec la Voie Maritime, les affaires se sont déplacées vers l'intérieur des terres, donc, vers Toronto, qui est située à mi-chemin entre le blé des prairies et le débouché maritime. Montréal a commencé à remonter la pente vers le milieu des années 1980 quand la scène "alternative" a littéralement explosé. Bars, clubs, théatres branchés ou expérimentaux, festivals de musique... tout cela a donné une raison d'être au quartier Latin et au Plateau, qui étaient bien ternes avant cela. Le reste a suivi.