-
Compteur de contenus
3 273 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Blogs
Tout ce qui a été posté par JayJay
-
Je suis plutôt de l'avis d'Alain. Je crois que certains sont un peu naïfs, avec des attentes utopiques, rêvant parfois inconsciemment de ces beaux $$$$$$ qui couleront à flots... Certains s'imaginent que leur carrière prendra un nouvel essor, alors que c'est prouvé qu'elle en prend souvent un coup les premières années - et ça, qu'on cesse de blâmer le fait que vous êtes étranger - le seul fait d'avoir fait votre expérience à l'étranger, même si vous avez la citoyenneté, vous fait parfois recommencer de zéro. Si visiter des musées et regarder des émissions littéraires à la TV (je n'ai pas dit "si la lecture vous branche", attention!!!) vous branche, pensez-y deux fois avant de demander votre CSQ. Je crois qu'il faut avoir "trempé dans la masse" ("baigné dans la culture", autrement dit) pour savoir si l'immigration réussie. La masse, c'est pas Natasha St-Pierre ou Isabelle Boulay sur France 2, c'est pas, pour les "vieux" comme mon mari, une chanson de Charlebois et les images des Olympiques de 76 (date du début de sa fascination pour le Québec), c'est pas avoir mangé de la poutine une fois chez Moosehead. Je vous laisse deviner ce que "tremper dans la masse" signifie. Pour finir, j'ai une question à Mary. Pourquoi tiens-tu mordicus à ne pas être enceinte en France? Qu'est-ce que ça te poserait comme problème, d'être enceinte en France? Juste curieuse (la question de la maternité m'intéressant vivement depuis la naissance de mon aîné).
-
Partir avec des enfants, c'est vraiment plus difficile, je te l'accorde. La pression est énorme. En plus, un voyage de prospection n'est pas toujours abordable... Mais c'est une angoisse normale que je comprends tout à fait, contrairement à l'angoisse du "j'vais plus jamais manger de yaourt ni de fromage" qui me fait, personnellement, rager. Il y a tellement de questions plus cruciales, il me semble!!! Il n'y a pas de recettes magiques, et c'est sûr que qd on ne connaît pas un pays, c'est difficile de juger. Mon mari, lui, affirme que de toute façon, les vacances n'ont rien à voir avec l'immigration et qu'il ne faut pas se fier aux vacances pour faire son jugement. Moi, personnellement, ça m'a aidé de faire une liste avec les + et les -. Il y a qq facteurs qui avaient plus de poids que d'autres, c'est sûr. Chose certaine, il fallait avoir envie de prendre de méchants risques. Pour moi ça tourne plutôt bien financièrement, il faut dire. Je suis extrêmement "employable" - mon mari l'est beaucoup moins. Bientôt je vais devoir payer ma maison seule, je vais peut-être trouver ça plus difficile. L'air pur que nous respirons n'a pas de prix. Si j'avais habité en Normandie, par exemple (mon coin de rêve), je n'aurais peut-être pas trouvé ça si exceptionnel que ça, cela dit. Mais voilà, ça se résume à une équation, pour moi, et c'est le Québec qui a gagné...
-
J'aurais dû mentionner que c'était chez Bouygues.
-
J'ai annulé dans les règles, après avoir ralé méchamment pq on me demandait des preuves de résidence à l'étranger (j'ai tout de même envoyé les dites preuves en écrivant une lettre furieuse disant que c'était de l'abus) et on m'a en fait... remis un chèque!!! De 9 euros! Que j'ai toujours d'ailleurs! Mais c'est vrai qu'au départ, ça s'annonçait corsé. Maintenant il y a l'hosto de Neuilly qui me poursuit avec ses 13 euros d'honoraires (visite aux urgences de mon fils un samedi soir = facture de 13 euros, et pourtant c'est un hôpital public... ).
-
WOW, 100 000 domaines en 4 ans, ça fait bien.... euh... 68 domaines par jour, ça, non? Ils t'ont peut-être trouvé un peu "inconstant", les employeurs?
-
Mr JayJay et moi sommes catégoriques là-dessus : nous ne sommes pas des cousins. Comme j'ai essayé de l'écrire à Enjeux (qui bloque apparemment mon message pourtant très soft), l'erreur est de penser que nous sommes des Français qui vivent en Amérique du Nord. Nous sommes Nord Américains, c'est clair, et notre particularité est de parler "un genre de" français. Là s'arrête la similitude. Mon ancêtre, Michel Boudrot, est arrivé en 1645 à Port-Royal en Acadie. Ça fait un méchant bail, ça, et les générations suivantes ont amplement eu le temps depuis de se "diluer" au contact des Indiens, des Britanniques, des Américains... et même des colons français qui, déjà à l'époque, revendicaient leurs différences des Français.
-
Kabi, je suis d'accord avec ce qui a été dit précédemment; lâche pas, et sois un peu moins euh... "dynamique" avec les recruteurs. Personnellement, je n'aurais pas apprécié me sentir comme lors d'un interrogatoire. Faut pas lâcher, c'est pas la meilleure saison. Ne laisse pas tes perceptions te mener à un mauvais jugement!
-
Il a bien un CSQ, il est entré par l'Ontario mais cela dit, l'adresse du domicile qu'il a donnée est au Québec. Je ne crois absolument pas que ça pose problème, cependant. Si pour des raisons d'emploi vous avez changé vos plans initiaux, c'est compréhensible. Attention, les agents d'immigration ont tendance à oublier de vous remettre le CSQ après, "faites certain" (comme on dit ici) de le récupérer.
-
Assumez votre trouille!!! C'est normal!!! C'est comme mon papa qui disait "Les gens qui n'ont pas peur en avion sont fous" (euh... il était pilote). Pas qu'il faille avoir peur en avion, c'est pas ce que je dis (je m'enfonce ), c'était dans un but rhétorique seulement, mais il y a des occasions où c'est normal d'avoir la trouille, il n'y a pas de honte à ça! Je peux vous assurer que mon mari et moi étions pétrifiés de PEUR!!! PS : la peur, c'est aphrodisiaque...
-
T'as l'intention de partir du boulot à 18h20, toi??? Tu vas te faire mordre par ta Québécoise, j'te préviens! La ligne de train de la rive Sud est toute neuve Totof, c'est peut-être pour ça qu'elle n'est pas utilisée à pleine capacité, mais ça viendra. Autrement, j'ai bossé avec des cadres aux dents longues à Montréal, et je t'assure qu'après 17 h, c'était ben, ben rare qu'il restait encore du monde au bureau (une importante société de conseil en stratégie). Ou alors, en période de rush, tu prends ton ti-laptop et tu dis que tu vas finir ton rapport chez toi.
-
Smiley étonné Comment? Redflag, serais-tu anti-Diesel???
-
Héhéhé, je viens de voir tes messages sur Enjeux Schumarette. Bien dit! J'ai fait un petit blitz de messages moi aussi mais je ne les vois pas encore, modération oblige. Vous avez lu le commentaire de ce mec qui dit « se faire des amis est aussi très difficile vu les connaissances générales très moyennes de la population »? Eh ben, heureusement qu?il y en a pour relever le niveau, hein !
-
Moi aussi, j'avais de grooosses crises à Paris et là maintenant, c'est fini depuis que je suis à Ottawa! Mais par contre, pour mon bébé, c'est pas encore complètement réglé. Mais l'asthme des bébés est différent.
-
Pour ma part, ce fut plutôt facile de lier amitié en France - enfin, ça dépend. J'ai trouvé que j'avais bcp d'affinités intellectuelles avec mes collègues. Nous avions toujours des tas de sujets à discuter. Je les trouvais très ouverts. J'étais dans un milieu vraiment privilégié : jeune, international, super éduqué, avec des gens de diverses nationalités qui avaient habité et voyagé un peu partout. Par contre, je n'ai jamais lié amitié avec les gens que je côtoyais autrement : voisins, parents de camarades d'écoles de mon fils, amis de mon mari, etc. Alors là, c'était le désert total. Contrairement à toi Mylène, ce sont ces amitiés que je trouve superficielles. Nous étions très solidaires, toujours ensemble. Et depuis mon départ, presque personne ne me donne des nouvelles (sauf une petite clique de filles, dont la majorité sont... québécoises!). Je trouve ça très curieux. Je leur ai envoyé des courriels de temps en temps, et certains me répondent, notamment un copain qui était plus proche. Mais les autres me disent "n'avoir jamais le temps", etc. C'est un peu pour ça que lorsque les gens me disent que les Québécois sont "superficiels en amitié", je suis un peu perplexe. Je crois que tout le monde l'est un peu. Ici, c'est étrange. Je ne discute pratiquement pas avec mes collègues. Ils sont plutôt froids. Et ça n'aide pas que je sois plutôt timide (quoique je me soigne et que personne ne le devinerait). Nous n'avons absolument aucune affinité, cela dit. Je suis certaine que si je changeais de milieu, ce serait bien différent. Avec mon ancienne collègue anglophone, on discutait beaucoup et on se posait des questions sur nos vies personnelles (nous avions eu des parcours similaires - alors que je revenais de Paris, elle revenait de Colombie-britannique après un séjour de 8 ans là-bas). Mais je suis loin de blâmer les Québécois ou les Canadiens pour ces difficultés. J'ai deux amies québécoises qui vivent en France (dans le Sud) qui ont un mal énorme à tisser des liens d'amitié. Et ce, malgré le fait qu'elles soient toutes les deux très, très sociables. Ça ne marche tout simplement pas. L'une d'elle, après plus de 10 ans de séjour, vient tout juste de se faire une bonne amie. Ça fait des années qu'elle rend service à tout le monde, sans rien attendre en retour... pour rien, justement. Ces deux amies sont drôles, mignonnes comme tout, intelligentes, cultivées, pas timides du tout... et pourtant elles souffrent de ne trouver personne à qui se confier. C'est également mon cas, car j'ai perdu toutes mes amitiés ou presque au Québec, mais c'est un choix. C'est certain que je privilégie plutôt ma famille. Qd j'y repense j'ai eu une année assez coriace (décès dans la famille, grossesse, maladie, naissance, déménagement, changement d'emploi, licenciement, etc...) et je n'ai tout simplement pas envie de faire les efforts nécessaire pour établir des liens d'amitié. Je n'ai plus d'énergie. Et ça en prend beaucoup, pour se faire des amis!
-
Je prépare ma réponse à Enjeux car j'ai été vraiment déçue de ce reportage. Si j'avais fait la moitié des fautes que la journaliste a faites, lorsque j'étais moi-même reporter à la SRC, je me serais fait taper méchamment sur les doigts. Non mais c'est quoi, ces chiffres? Qd on n'est pas foutu de trouver la véritable statistique, on ne démarre pas son reportage avec une accroche pareille. Ça dénote un manque de rigueur scientifique. Et puis elle a fait des fautes de français. ("éligibles à l'assurance-maladie"). Les Français ont ceci de différent des autres immigrants qu'ils quittent un pays plutôt bien nanti, avec des politiques sociales généreuses. Le séjour au Québec est une aventure pour eux, qu'ils ne souhaitent pas nécessairement, dès le départ, rendre permanente. Il faut donc, avant de se lancer dans de telles statistiques, définir les intentions réelles de ceux qui partent. Pour l'avoir vécu, et n'étant pourtant pas particulièrement proche de ma famille, l'éloignement (la maladie, et le décès) de mes parents âgés a été plutôt difficilement vécu. Dois-je blâmer la France de ne pas avoir su me retenir? Bien sûr que non. Les critiques - on est d'accord, ou on ne l'est pas. J'avoue que je me sens plutôt mitigée à cet égard - je pourrais émettre certaines critiques, mais avec un bémol certain. Mais comme me faisait remarquer Mr. JayJay au sujet de leur critique du système scolaire, "ça paraît qui z'ont jamais été à l'école à Sarcelles (93) eux...". Le niveau des écoles en France est LOIN d'être le même partout. Mais bon, that is not the question. Enfin - je garde mes commentaires pour Enjeux.
-
Allez, crache le morceau maintenant... C'est quel, de plan, c'lui-là?
-
Par contre, si qq'un a trouvé une place au Qc où il y a des BELLES nappes, je suis preneuse. Pq là je m'apprête à commander à la Redoute en désespoir de cause...
-
Vade Retro, Seb de malheur!!! Touche PAS à MON Kitchen Aid! On en a rien à cirer du design! Mon ovatio de Moulinex qui tombait en ruine au bout d'un an, je m'en souviendrai longtemps, je te le garantis! Mon fantasme le plus délirant est d'avoir une cuisine équipée de Kitchen Aid, uniquement. PS : Vous croyez que mon nouveau RP, il accepterait d'entrer à la Fac de médecine? J'ai plus de chances avec mes fils peut-être hein? Mais ça fait long à attendre...
-
Moulinex, ils ont fermé l'usine à Alençon, mais les produits se vendent encore. C'est marrant pq on a tous cru, à l'époque, que c'était la fin de Moulinex. Mais en fait, ce n'est qu'une usine qui a fermé (5000 travailleurs, quand même). Dans les médias, c'était vraiment dépeint comme la fermeture de Moulinex, point final. Même mon syndicaliste à la maison croyait ça, malgré qu'il soit super informé. Retour au babycook... j'ai tjrs trouvé que c'était vraiment du gadget, ça, Mylène. Je ne veux pas me chicaner, cela dit! Qd j'avais osé dire ça, je m'étais fait incendier méchamment sur magicmaman. Je suis la Reine des Purées de Bébé... et franchement, rien de plus facile. Tu cuis tes légumes dans une casserole à marguerite. Tu les moulines au robot (bah oui, faut un robot). Moi j'en fais des quantités considérables que je congèle. En fait, nous-mêmes, on mange des purées parfois, tellement elles sont à tomber par terre de bonheur! Ton petit bout mangera bientôt des morceaux de toute façon, les purées, c'est pas éternel...
-
Je n'ai pas vécu à Strasbourg, fortsympa, j'y suis allée en visite. Moi j'habitais Paris. Mais mon mari est lorrain. Est-ce la même mentalité que la mentalité alsacienne? Pq mon mari, l'est qq'un, des fois!!! Très conciliant en apparence, mais une vraie TÊTE DE MULE. Très chauvin ("la Lorraine, y a que ça de bien") aussi. Autrement, j'ai trouvé la ville plutôt jolie (sauf une oeuvre architecturale qui est vraiment immonde), l'accent marrant, les desserts... super bons.
-
Personnellement, je n'ai jamais autant gelé de ma vie qu'à... Strasbourg!!!
-
Meeeuh nooon, tu passes pas pour une grosse niaiseuse, c'est ta connaissance qui passe pour une niaiseuse. Elle a dû mal interpréter les propos de son contact... ou alors le contact en question aime exagérer et entretenir le mythe auprès des Français! Non je ne vis pas en appart, Matou, et c'est moi qui pellete en général (pq j'aime ça, le croirez-vous!). J'insiste, les précipitations au sud de Drummondville (précision) sont moins importantes, c'est un fait. Ex. En janvier, 81 cm pour Sept-Iles de mesure de neige au sol (j'sais pas pourquoi je donne cet exemple), pour 21 cm à Montréal (source, statistiques de Météomédia). À Ottawa, chez moi, 50 cm de précipitations (pour 30 cm de neige au sol au total) en janvier. Ça ne vaut pas le coup d'acheter une souffleuse, personnellement, je trouve (il faut dire que j'ai grandi dans une région où ça dépassait le mètre, à l'époque, donc mes "normes" sont p-ê différentes). PS : Bien sûr, les Québécois portent plainte - il y a même un ombudsman au gouv. du Qc, mais ils ne râlent pas systématiquement comme certains. C'est plutôt rare de voir des esclandres dans les lieux publics, contrairement à d'autres pays que je ne nommerai pas mais dans lesquels j'ai vécu six ans. Je vois mal mon voisin, par exemple, aller au poste de police pq je n'ai pas enlevé la neige sur mon pare-brise...
-
Qu'est-ce que les gens peuvent raconter comme niaiserie sur le Québec! La Féline, j'apprécie ton choix de question étant donné qu'on nous prévoit 31 degrés aujourd'hui... Vivement l'hiver!!!!! N'est-ce pas, PP????? 1) Il n'est vraiment pas fréquent de "porter plainte" au Québec, point final. 2) Les trottoirs et les rues sont déblayées par les villes 3) Si le voisin ne déblaie pas son entrée de garage, c'est son problème, et l'autre voisin n'en a rien à cirer. 4) Si tu habites en ville, tu es responsable de nettoyer ta propre voiture, et la déplacer si la ville pose des affiches disant qu'elle va déblayer la rue à tel ou tel moment. C'est ce "timing" qui est parfois difficile. J'avais un copain qui bossait de nuit, des shifts de 12 heures, et parfois c'était UN PEU difficile de s'organiser pour aller déplacer la voiture (il n'allait pas bosser en voiture). Mais c'est tout. Il y a une éthique du déblaiement entre voisins cependant : ne jamais rejetter la neige qu'on déblaie sur le terrain du voisin. Il est de bon ton, si on possède une souffleuse, d'offrir de déblayer à des voisins qui sont âgés ou qui ont des petits enfants en bas âge, ou qui sont malades, etc. Une souffleuse coûte environ 1 000 $. Elle est rarement "rentable" au sud de Québec cela dit, la neige n'y tombe pas en si grande quantité. Je commence déjà à avoir chaud, qu'est-ce que ça va être à midi...
-
Pendant les entrevues, personne au Québec ni en Ontario ne m'a jamais demandé mon âge, ni ma situation maritale, ni l'âge de mes enfants (ni même si j'avais des enfants). Toute question reliée à ces sujets n'est pas bienvenue. Cela dit, ce n'est pas un el Dorado non plus hein...
-
Ma pire brosse : avec des vagues connaissances, on avait fait toutes sortes de cocktails. J'avais personnellement commencé par du vin, ensuite c'était passé au Pernod. Puis mes cop s'étaient mis à faire des cocktails de toutes sortes : orgasme - sex on the beach - B52... Des trucs bien gras et bien sucrés. J'ai souvenir qu'un des gars me cruisait méchamment - j'étais jeune et cruisable à l'époque. Puis j'ai entendu "JayJay? Youhou JayJay?" et j'ai dégueulé là devant tout le monde. Puis après, j'étais à moitié sans connaissance sur le sol dans les toilettes. Le gars qui me cruisait était un petit peu déçu, il paraît. J'ai justement raconté ça à mon mari ce w-e, il était outré. Eh ben depuis, j'ai ma leçon, je m'arrête à 1 ou 2 verres car je ne supporte pas l'alcool. Pourtant, Dieu sait si j'aime ça. Alors je confirme, malgré leur réputation, les Québécois sont des moumounes lorsqu'il s'agit de supporter la boisson!!!!!!!!!!! Alors faites ben attention qd vous voulez leur faire des jokes de boisson!


