bencoudonc

Mais Stan, c'est tout à fait vrai. C'est cette tension créative entre différentes communautés qui fait le charme et la vitalité de Montréal.

Super, comme coin. C'est au coeur du Plateau, aucun souci !

Queenie, c'est très joli ce que vous venez d'écrire... et c'est exactement ce que je pense aussi!

On n'est pas aux Etats-Unis, heureusement.

Aucune raison de dissimuler la participation à une organisation politique légale, voyons... on est quand même en démocratie!

Jouable...et très très cher. Vous avez regardé le prix des abonnements pour le Canada à partir de la France ?

Bonjour, Ce n'est pas du tout le même système - si vous voulez qu'ils aient ce qui ressemble au bac français il faudra les inscrire à l'école privée. Dans notre système public on a ce qu'on appelle Secondaire I à V (enseignement général) puis deux années de CEGEP qui correspondraient grosso modo au bac français. C'est au CEGEP que vous choisissez votre filière (sciences pures, sciences humaines...) en vue de l'université. Plus d'info sur le site du ministère de l'éducation : http://www.mels.gouv.qc.ca/

Bonjour Nanne, Laurence a mis le doigt sur le problème. Contrairement à la France, nous avons un tout petit, minuscule marché alors que les coûts de production, eux, sont les mêmes... Je ne sais pas si c'est vrai, mais j'ai déjà lu qu'ici, un "succès de librairie" québécois, c'était 3000 exemplaires. Alors... Je suis une lectrice très très vorace, alors j'ai dû me résigner depuis longtemps à acheter soit d'occasion, soit en anglais.

Le métier d'électricien, comme tous les métiers de la construction, est très réglementé. Vous devrez obtenir votre "carte de compétence" pour obtenir le droit d'exercer au Québec. Je serais bien étonnée que vous puissiez travailler immédiatement dans le domaine avec un diplôme étranger (réglementation pas la même, etc) et je ne sais pas si vous devez refaire toute votre formation, mais vous trouverez sans doute plus d'info sur le site de la commission de la construction - http://www.ccq.org Bonne chance !

Merci Cherry, j'avais déjà vu ce document sur la sécurité à St-Michel mais je ne me rappelais plus où! C'est vrai qu'il faut peut-être relativiser - ce qu'on appelle insécurité ici, ce n'est pas la même chose que l'insécurité dans les quartiers "chauds" de la banlieue parisienne... mais bon, St-Michel est notre quartier "chaud" à nous.

Alex, pour aller au bureau vous avez peut-être raison, mais pour se présenter à un rendez-vous ça ferait un peu, comment dire, artisanal. Il existe des manteaux d'hiver faits pour être portés par dessus un costume-cravate (plus longs, généralement en laine et avec une bonne doublure). Une personne qui a poste de "commercial" (terme pas utilisé ici, on dirait plutôt représentant) ou qui est appelée à s'habiller plus formellement dans le cadre de ses fonctions s'équipera généralement d'un tel manteau qui va certainement mieux avec le reste de ses fringues qu'une grosse doudoune en duvet ! Et puis généralement, cette personne sera appelée à se déplacer en voiture pour se rendre au lieu de ses rendez-vous et n'aura donc pas à affronter les éléments pendant des heures... Par ailleurs les complets pour l'hiver sont en laine un peu plus épaisse que les complets pour l'été, et il y a moyen de porter un débardeur sous sa chemise. C'est vrai que notre hiver est dur, mais à moins de travailler pour la voirie on ne passe pas la journée dehors quand même...

Un avis d'une québécoise "un peu plus" âgée (je suis probablement le seul vieux croûton ici) : l'adoption galopante du tutoiement à toutes les sauces, moi ça me hérisse, parce que c'est d'abord et avant tout un calque de l'anglais. De la même façon que lorsqu'un vendeur au téléphone m'appelle par mon prénom, comme si nous avions fait l'école maternelle ensemble. Dans un contexte professionnel à tout le moins, j'aurais tendance à vous conseiller de vouvoyer jusqu'à ce qu'on vous invite au tutoiement. En fait, il y a toute une série de nuances dans l'utilisation du tu et du vous (pas forcément les mêmes nuances qu'en France, faites attention !), et tout dépend du contexte, du milieu, de la génération de vos interlocuteurs, de leur niveau d'éducation... enfin bref ce n'est pas si évident et il y a toujours possibilité de commettre un impair.

Bonjour Emilie, Si vous ne faites pas beaucoup de sports d'hiver ou de trucs qui vous font marcher pendant des heures et des heures à trente sous zéro, vous n'avez pas à vous tourmenter pour trouver les meilleurs ou les plus chaudes des bottes. Ce qu'on trouve dans tous les magasins est plutôt bien adapté à notre climat; assurez-vous seulement qu'elles soient 1) doublées, 2) pas trops serrées (de façon à pouvoir porter une paire de chaussettes additionnelle s'il fait vraiment très très froid) et 3) en cuir pas en "plastique", de façon à ce qu'elles "respirent" sans que l'humidité s'accumule à l'intérieur. Il s'agit ensuite de les entretenir correctement : mettre régulièrement un enduit pour cuir, les essuyer en rentrant chez vous pour éviter que le sel des trottoirs ronge le cuir... Pour les kanuks, en faisant des recherches vous verrez que les avis sont un peu partagés. Bons manteaux bien sûr, à ce prix-là c'est la moindre des choses, mais dans 99% des cas un manteau bien ordinaire aurait tout aussi bien fait l'affaire... Un dernier petit truc, bon à savoir pour l'avenir : le meilleur moment de l'année pour acheter les vêtements d'hiver, c'est en janvier, pendant les soldes d'après Noël. Oh, et soyez les bienvenus au Québec !

Pas en Alberta, je ne crois pas, et encore moins si vous êtes déjà résident permanent au Canada.

C'est malheureusement considéré comme un des pires quartiers de Montréal. Délinquance élevée, "gangs de rue" (drogue, prostitution, vols, etc.)...

Vous êtes certain que votre ami ne voulait pas plutôt dire 10000$US ??? 1000$, ce n'est probablement pas assez pour tenir un mois... de la petite monnaie, quoi.

Tout dépend de vos objectifs. Si on parle de mettre un peu d'argent de côté pour parer aux imprévus, Ingdirect n'est pas un mauvais plan. A noter qu'ils offrent aussi des certificats de dépôt (fonds gelés pendant un an ou plus) à des taux un peu plus élevés. Sinon, il y a les fonds mutuels (fonds d'investissement) offerts par les banques, les compagnies financières et les caisses populaires, mais les rendements (potentiellement pas mal plus élevés) fluctuent et votre capital n'est pas garanti. Bien s'informer avant de plonger, on en trouve des bons et des mauvais, certains sans frais et d'autres pour lesquels il faut payer une commission...

Attention, il s'agit d'une police d'assurance-vie, assez chère d'ailleurs, avec une toute petite portion qui s'en va en épargne. Il est pratiquement toujours plus avantageux de prendre une police d'assurance-vie "temporaire" qui vous coûte beaucoup, beaucoup moins cher, et de mettre vous-même la différence (entre les primes de la police "universelle" et celles de la police "temporaire") dans un véhicule d'épargne. Le principal avantage de la police d'assurance-vie universelle c'est pour l'agent qui vous la vend (grosse commission) !

Je ne suis pas Abouzyad, mais bon, effectivement ce serait par mois...

Bizarre, mon compte principa; est à la Banque nationale (très bien, service super) et j'ai demandé il y a environ deux mois s'ils offraient des comptes en euros. Ils m'ont dit que non ? Après avoir lu votre message je me suis précipitée sur leur site internet et ils ne font aucune mention de tels comptes. Peut-être s'agit-il d'un nouveau produit ? Où avez-vous obtenu cette information ? Pour répondre à La Féline, moi je vois un intérêt certain à détenir un compte en euros pour quelqu'un qui voyage souvent sur l'Europe (ou qui a des attaches en Europe) et qui désire se prémunir contre les fluctuations du dollar canadien vs. l'euro. Je fais la même chose pour les dollars américains. Lorsque le dollar canadien est fort (comme maintenant), j'achète des dollars américains. Lorsque le cours redescendra, je n'aurai qu'à piger dans mon compte lorsque je voudrai faire un voyage aux États-Unis sans avoir l'impression d'être saignée à blanc...

M'ouais, attention - Canadian Tire n'a pas forcément très bonne réputation. A défaut de connaître un mécanicien qui puisse faire ça pour moins cher, l'inspection de la CAA est vraiment complète ; you get what you pay for.

Euh...non. Vous bénéficiez des mêmes droits tant que vous êtes sur notre territoire. A l'étranger vous avez besoin de visa.

Électricité : si vous habitez un appartement ou un condo, je dirais une moyenne de 120$ par mois. Peut-être 175$ pour une maison individuelle? Qu'en disent ceux qui en habitent une? Eau : je ne sais pas pour le reste du Québec mais pour le moment, à Montréal, c'est gratuit. Ça ne le sera peut-être pas éternellement. Téléphone : service de base environ 30$ par mois (les appels locaux sont gratuits) et internet haute vitesse de 40$ à 50$ par mois.

Même aps besoin d'être conseillère financière : Epargne-pension: on appelle ça le REER ici (régime enregistré d'épargne-retraite) et vous pouvez y déposer jusqu'à un certain maximum (le moindre de 18% de vos revenus bruts ou d'un plafond de 16500$ pour 2005). Dans certaines entreprises vous pouvez bénéficier d'un REER collectif, avec déductions de votre chèque de paie et une contribution de votre employeur. La pension légale n'est PAS vraiment suffisante pour vivre correctement et vous devez donc cotiser à un REER en parallèle. Ci-après une calculatrice: http://www.rhdcc.gc.ca/asp/passerelle.asp?...fo.shtml&hs=ozs ...finalement, le prêt hypothécaire n'est PAS déductible des impôts. Si vous détenez une hypothèque sur un immeuble à revenus, vous pourrez déduire les frais d'intérêts de vos revenus locatifs. Pour votre résidence personnelle aucune déduction - mais le gain de capital que vous réaliserez à la revente n'est pas assujetti à l'impôt.

À ma connaissance, mon mari étant informaticien, à partir du moment où vous avez affaire aux usagers ou aux clients vous avez besoin de l'anglais. Par exemple pour le support technique, pour développer des spécifications... la plupart des conférences importantes, des séminaires de développement professionnel, etc. se tiennent en anglais également. Notre marché au Québec francophone est tout petit et la plupart des firmes québécoises d'informatique exportent donc vers les États-unis ou le Canada anglais.