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Denisovan

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    Denisovan a réagi à immigrer.com dans Échappées belles : Canada, la fierté acadienne   
    Situé à l'est du Canada, entre le Québec et la Nouvelle-Ecosse, le Nouveau-Brunswick est particulier. Tout d'abord, parce que c'est la seule province officiellement bilingue du pays. Ensuite parce qu'elle forme le coeur historique de l'Acadie, où près de 250 000 francophones résident encore aujourd'hui : les Acadiens, nos cousins d'Amérique. Ceux-ci continuent de défendre leurs traditions et leurs coutumes. Avec ses forêts, ses plaines, ses collines et ses falaises, le Nouveau-Brunswick est également une destination privilégiée pour tous les amateurs de nature et de grands espaces canadiens. Jérôme Pitorin débute son voyage en arpentant le littoral.
    Présenté par : Jérôme Pitorin
    Maison de production : Bo Travail / France Télévisions
     
    Échappées belles
    S18 : Canada, la fierté acadienne
    1 h 27 min
    Diffusé le 13/04/2024 à 21h00  Disponible jusqu'au 20/08/2024

    https://www.france.tv/france-5/echappees-belles/saison-18/5836851-canada-la-fierte-acadienne.html
     

  2. Merci
    Denisovan a reçu une réaction de immigrer.com dans Près de 155 000 travailleurs qualifiés veulent immigrer au Québec   
    Alexandre Duval Publié à 4 h 00 HAE   Annoncée l’an dernier, la réforme des programmes d’immigration du gouvernement Legault ne semble pas freiner le désir de nombreux travailleurs qualifiés de s’établir au Québec. Près de 155 000 demandeurs sont en attente dans le portail Arrima du gouvernement, a appris Radio-Canada, et de récentes données offrent un portrait très détaillé de leur profil sociodémographique.
    Plus précisément, en date du 31 janvier dernier, ce sont 154 700 travailleurs qualifiés qui avaient une déclaration d’intérêt active dans le portail Arrima, c’est-à-dire qu’ils avaient déjà formulé une demande en bonne et due forme, toujours valide, dans le but d’immigrer au Québec de manière permanente.
    En ordre décroissant, les Algériens semblent les plus intéressés par le Québec (20 465 demandes d’intérêt), suivis des Camerounais (17 249), des Marocains (14 073), des Sénégalais (13 088), des Égyptiens (10 969) et des Syriens (10 395).
    Suivent les Tunisiens (8284), les Ivoiriens (6148), les Français (6091), les Indiens (6038), les Togolais (2705) et les Haïtiens (2579). Viennent ensuite une longue série de pays d’origine qui ont tous généré moins de 2000 déclarations d’intérêt.
    Ces données, qui proviennent d’une demande d’accès à l’information disponible sur le site web du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), démontrent que le Québec continue d’être attrayant, selon Me Maxime Lapointe, avocat en droit de l’immigration.
       
    Ouvrir en mode plein écran Me Maxime Lapointe, avocat en droit de l’immigration
    PHOTO : RADIO-CANADA / XAVIER GAGNON
    L’an dernier, le gouvernement Legault avait annoncé une série de changements à venir dans ses programmes d’immigration économique.
    PUBLICITÉ À compter de novembre 2024, par exemple, les travailleurs qualifiés qui déposeront une déclaration d’intérêt dans le portail Arrima devront démontrer une connaissance du français à l’oral de niveau 7 (intermédiaire) préalable à leur arrivée en sol québécois.
    Des talents éventuellement écartés?
    Cela étant, les données démontrent qu’à l’heure actuelle, à peine 30 000 déclarations d’intérêt actives, soit moins de 20 % du total, proviennent de travailleurs qualifiés ayant fait la démonstration de ce niveau de français.
    Cette donnée a de quoi surprendre puisque la liste des pays d’origine démontre que la majorité des déclarations d’intérêt sont issues de pays francophones ou francophiles.
    L’ex-directrice de la planification au MIFI, Anne Michèle Meggs, qui est d’ailleurs à l’origine de la demande d’accès à l’information qui a généré ces données, soupçonne que plusieurs demandeurs qui maîtrisent le français n’ont tout simplement pas passé le test de connaissance, peut-être en raison des coûts.
    Or, lorsque le critère de connaissance préalable du français entrera en vigueur, en novembre, ces travailleurs seront-ils rejetés à tort par le système? Mme Meggs s’en inquiète, car cela priverait le Québec de talents qui répondent pourtant aux exigences linguistiques.
     
    Ouvrir en mode plein écran Anne Michèle Meggs, ex-directrice de la planification et de la reddition de comptes au MIFI
    PHOTO : RADIO-CANADA / ZOOM / CAPTURE D'ÉCRAN
    Au moment d’écrire ces lignes, le MIFI n’avait pas encore répondu aux questions de Radio-Canada à ce sujet.
    PUBLICITÉ Des travailleurs jeunes et éduqués
    Les données démontrent par ailleurs que près des deux tiers (62,8 %) des déclarations d’intérêt sont faites par de jeunes adultes âgés de 18 à 35 ans. Plus de 7 demandeurs sur 10 (71,9 %) sont des hommes.
    Presque la moitié ont un diplôme universitaire, qu’il soit de premier cycle (29,5 %) ou de cycle supérieur (19 %).
    Environ 1 demandeur sur 10 (9,6 %) occupe une fonction de cadre supérieur ou intermédiaire, tandis que 31,2 % ont une profession exigeant un diplôme universitaire.
    Selon Mme Meggs, le Québec aurait tout intérêt à prioriser ces travailleurs dans la planification de l’immigration.
    Arrima est nettement préférable pour tout le monde, pour le gouvernement, pour la société, pour les personnes immigrantes, plutôt que de passer par toutes les étapes et des années de statut temporaire, dit-elle.
    Me Lapointe ne partage toutefois pas son avis. Il donne en exemple les immigrants temporaires, comme les étudiants et les travailleurs étrangers, qui sont déjà au Québec, qui s’intègrent déjà et qui pourront éventuellement essayer d’immigrer en passant par le Programme de l’expérience québécoise (PEQ).
    Je prioriserais quand même les gens au Québec versus des gens dans leur pays d'origine. Il y a déjà des gens au Québec qui sont sur les lignes de côté, illustre-t-il.
    L’offre ne suffit pas
    Par ailleurs, Me Lapointe maintient que les seuils d’immigration du Québec sont trop bas. En plus des 154 700 demandes d’intérêt actives dans Arrima, il rappelle que plus de 122 000 personnes étaient récemment en attente de leur résidence permanente dans la province.
    C’est sans compter les autres immigrants temporaires actuellement au Québec, qui pourraient bientôt déposer une demande de sélection permanente.
    Selon Me Lapointe, il y a [donc] plus de 300 000 personnes aujourd’hui qui aimeraient immigrer au Québec de manière permanente, mais le seuil du Québec devrait plutôt tourner autour de 60 000 pour l’année en cours.
    Ce déséquilibre entre l’offre et la demande n'a plus de sens, selon Me Lapointe, surtout dans la mesure où le gouvernement du Québec continue d’effectuer des missions de recrutement à l’étranger.
    Le gouvernement devrait peut-être cesser de faire des missions de recrutement à l'étranger pendant les prochaines années [...]. On recrute des travailleurs étrangers et, de l'autre côté, on se dit que la capacité d'accueil est atteinte [...]. Il y a un manque de cohérence, dit-il.
    Près de 155 000 travailleurs qualifiés veulent immigrer au Québec | Radio-Canada
     
  3. J'aime
    Denisovan a réagi à immigrer.com dans Reportage français sur "nos cousins d'Amérique" en 1960   
    Fascinant reportage de 1960 sur le Québec par une équipe française !

    NOS COUSINS D’AMÉRIQUE «Ce que les Français oublient très souvent en arrivant au Canada, c’est qu’ils n’habitent plus l’Europe. Ils habitent en Amérique !». Avec ses faux airs français, le Québec est en réalité dépaysant par bien des aspects. En 1960, Pierre Tchernia expérimente le mode de vie québécois et tente de choisir un réfrigérateur… On lui parle alors de "pieds cube", de "degrés fahrenheit" et on paye en "piastres".

    https://www.facebook.com/watch/?v=1145844183520995

  4. J'aime
    Denisovan a reçu une réaction de jimmy dans Quand les Français larguent « du coup » pour « faque »   
    PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE
    Nadège Fournier, doctorante en linguistique à l’Université de Montréal
    Faque ? Qu’est-ce qui fait que des Français qui s’établissent chez nous laissent tomber leur « du coup » caractéristique pour adopter le « faque », si cher aux Québécois ? Tsé, que certains absorbent l’accent d’ici, et d’autres pas ? C’est ce que tentent de comprendre deux chercheuses de l’Université de Montréal.
    Publié à 1h41 Mis à jour à 5h00    MARIE-EVE MORASSELa Presse Quand elle est arrivée dans la métropole il y a sept ans, la Française Nadège Fournier a constaté avec étonnement que ses compatriotes installés ici avaient parfois un tout autre accent que le sien.
    Étudiante en linguistique, elle a fait de sa question un projet de doctorat pour savoir dans quelle mesure les Français installés à Montréal adoptaient des éléments du français québécois. Pour y répondre, elle a fait équipe avec Julie Auger, professeure au département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal.
    Elles ont interrogé sur plusieurs années 35 Français, hommes et femmes, tantôt fraîchement débarqués à Montréal, tantôt ici depuis plus de huit ans.
     
    PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE
    Julie Auger, professeure du département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal
    Déjà, un constat se dégage : il est « très fréquent » que le « du coup » soit remplacé par « fak », ou « faque ».
    « En France, beaucoup de personnes critiquent les plus jeunes, en particulier, qui disent “du coup” tous les trois mots. Les personnes qui sont ici acquièrent le “faque”. Elles ne le prononcent pas tout à fait comme nous, souvent elles disent “féque”. Mais on voit que c’est quelque chose qui s’intègre dans leur parler », dit Mme Auger.
    Autre observation : plus elles sont au Québec depuis longtemps, plus le « voilà », tend à être remplacé par « c’est ça ».
    La professeure Auger constate que des Français, entre eux, disent parfois que pour s’intégrer au Québec, mieux vaut ne pas garder sa façon de parler.
    « Il se dit que si vous parlez toujours à la française, avec la bouche en cul de poule, comme on dit, vous risquez d’être laissés de côté », dit Julie Auger.
    Certains participants ont confié qu’ils aimeraient bien parler comme les Québécois, mais craignent que ce ne soit perçu « comme une moquerie », dit Nadège Fournier.
    En général, les participants disent que l’accent et les mots [du français québécois] ne les dérangent pas, mais une bonne partie n’aime pas la syntaxe. Ils trouvent qu’il y a des fautes de français, à l’oral, ou dans les articles journalistiques. On me donne des exemples comme “j’ai tombé”, ou “je vas” au lieu de “je vais”.
     Nadège Fournier, doctorante en linguistique à l’Université de Montréal
    Mme Fournier ajoute qu’en sa qualité de linguiste, elle « ne juge pas ».
    Des participants ont également dit qu’ils corrigent leurs enfants quand ils commettent de telles fautes, mais « mettent des “tabarnak” dans les entrevues », dit Nadège Fournier en riant.
    À cet égard, Julie Auger explique que les études en sociolinguistique montrent que les gens ont avantage à parler comme les personnes qui les entourent. « On le fait de façon inconsciente. On le fait parce qu’on veut établir des liens, bâtir quelque chose ensemble », explique-t-elle.
    Toé et moé, de la France au Québec
    Les participants qui ont été interrogés viennent de Paris, mais aussi du nord et de l’ouest de la France, des régions où le parler français partage des traits avec le français québécois.
    Moé, toé, ça existe en Normandie. On peut dire croére au lieu de croire. Dire asteure pour maintenant, c’est quelque chose qui a existé partout en France, mais qui n’existe plus en bon français. C’est disparu à Paris, mais ça se maintient dans l’ouest et le nord de la France.
     Julie Auger, professeure du département de linguistique et de traduction de l’Université de Montréal
    Dans le cadre de cette étude, on cherchera donc à savoir si les personnes de ces régions sont plus enclines à adopter du vocabulaire ou des tournures de phrases québécoises contrairement à des Parisiens, par exemple, qui pourraient être plus résistants au fait de modifier leur français.
    Prennent-ils d’autres plis d’ici ? Julie Auger fait remarquer que les Français utilisent très peu l’inversion quand ils posent des questions. Ils diront « tu viens me voir demain ? » plutôt que « viens-tu me voir demain ? ».
    « Au Québec, c’est une construction qu’on utilise beaucoup. Ce n’est pas familier, ni non standard. En fait, les Français trouvent qu’on parle bien, quand on dit ça », dit Mme Auger.
    L’acquisition d’une autre variété de sa langue varie en fonction du parcours individuel de chacun : avec qui on partage sa vie, avec qui on travaille, ou pas. « Il y a énormément de facteurs qui varient », dit Julie Auger.
    Nadège Fournier est un bon exemple de l’influence de l’entourage : pendant quatre ans, elle a partagé sa vie avec un Beauceron.
    « À ce moment-là, j’ai adopté plus d’éléments québécois », dit-elle. Elle s’entendait alors dire « tsé » ou « en tout cas » en début de phrase, a adopté le « moé itou », ou le « mais que je fasse ça ».
    Mais elle constate que depuis trois ans, sa façon de parler a changé à nouveau. « C’est dynamique », dit-elle.
      EN SAVOIR PLUS 65 550 Nombre de Français vivant à Montréal SOURCE : CONSULAT GÉNÉRAL DE FRANCE À QUÉBEC  https://www.lapresse.ca/actualites/2024-03-08/quand-les-francais-larguent-du-coup-pour-faque.php  
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    Denisovan a reçu une réaction de immigrer.com dans Faux avocats en immigration   
    Le Barreau de Montréal met en garde contre de faux avocats en immigration
     
    Ouvrir en mode plein écran La proportion des plaintes reliées à l'immigration s'est multipliée par trois entre 2018 et 2022. (Photo d'archives)
    PHOTO : ISTOCK / LIGHTFIELDSTUDIOS/GETTY
    La Presse canadienne Publié hier à 14 h 17 HNE Le rêve canadien peut vite devenir un cauchemar pour les nouveaux arrivants qui deviennent la proie de faux avocats spécialisés en droit de l'immigration, a déclaré le bâtonnier de Montréal en faisant état d'un drame local.
    David Ettedgui, bâtonnier élu du Barreau de Montréal, affirme que les fraudeurs ciblent l'une des populations les plus vulnérables de la ville, facturant souvent des sommes exorbitantes en espèces uniquement pour fournir une aide à l'immigration, au mieux médiocre. D'autres abandonnent simplement leurs victimes.
    Nous voyons tout autant des investisseurs aux poches profondes qui sont tombés dans cette arnaque que des demandeurs d'asile, dont certains traversent les frontières avec rien d'autre que leurs vêtements et leur valise, a raconté Me Ettedgui à propos des victimes en entrevue, vendredi. Mais le point commun entre eux est qu'ils essaient tous de commencer une nouvelle vie au Canada.
    Le Barreau de Montréal a lancé cette semaine une campagne de sensibilisation au phénomène, incitant le public à vérifier que ses avocats spécialisés en immigration sont autorisés à exercer au Québec. La campagne comprend des graphiques invitant les observateurs à se méfier des tactiques suspectes, telles que les réunions dans des espaces informels, les promesses de résultats rapides ou l'absence de contrat en bonne et due forme.
    PUBLICITÉ La campagne est nécessaire, a déclaré Me Ettedgui, en raison d'une augmentation significative du volume de plaintes liées à l'immigration que le barreau a reçues ces dernières années. L'organisation n'a pas fourni le nombre total de plaintes qui transitent par son bureau, mais a déclaré que la part des signalements concernant de faux avocats a triplé entre 2018 et 2022. De tels cas représentaient 13 % de toutes les plaintes en 2018, a indiqué le barreau, mais ils ont grimpé en flèche jusqu'à 39 % quatre ans plus tard.
      Les rapports officiels ne représentent probablement qu'une fraction de l'ensemble des cas, ajoute l'organisation.
    David Ettedgui a déclaré qu'il n'était pas clair si cette hausse était due à la croissance de la population immigrée, à une compréhension plus large des droits des immigrés ou à une autre raison. La plupart des plaintes proviennent d'avocats légitimes dont les clients sont d'anciennes victimes d'escroqueries, a-t-il expliqué.
    Il a précisé que dans de nombreux cas, les faux avocats sont des personnes qui ont été radiées du barreau ou sont eux-mêmes des immigrants autorisés à exercer le droit dans leur pays d'origine, mais qui ne sont pas certifiés au Québec.
    Une façon de vérifier les qualifications d'un avocat consiste à effectuer une recherche dans le catalogue en ligne des membres du Barreau du Québec, qui répertorie leur spécialisation, leurs coordonnées et l'adresse de leur cabinet ou de leur employeur. La campagne du Barreau de Montréal comprend également une liste de ressources vérifiées pour trouver une représentation accréditée.
    PUBLICITÉ Pour quiconque quitte son pays pour s'installer ici, il est essentiel d'avoir le soutien adéquat, a écrit Me Ettedgui dans un communiqué lors du lancement de la campagne. Confier votre dossier d'immigration à un faux avocat peut avoir des conséquences majeures sur votre processus d'établissement au Canada.
    Une démarche encourageante
    Rose Ndjel a été témoin de ces conséquences. La directrice du Centre de services aux immigrants de Montréal Afrique au Féminin a rappelé deux personnes qui se sont présentées à l'organisme en larmes après avoir reçu l'ordre des agents frontaliers de quitter le pays. Elles pensaient que le Canada était toujours en train de traiter leurs demandes d'immigration, mais ont découvert plus tard qu'elles avaient été trompées par un faux avocat, a raconté Ndjel.
    Des cas comme ceux-là sont très, très, très fréquents dans notre quartier, a-t-elle déploré.
    Mais Me Ndjel a expliqué que les victimes résistent souvent aux suggestions de déposer une plainte officielle, de peur de compromettre davantage leur statut d'immigration.
    Elle a qualifié la campagne du Barreau de Montréal d'encourageante et a ajouté qu'elle espère qu'elle perdurera et s'étendra.
    Il faut que quelqu'un porte plainte pour que quelqu'un assume ses responsabilités, a-t-elle déclaré à propos des faux avocats spécialisés en droit de l'immigration. Parce que, comme je l'ai souvent dit, s'ils déposent une plainte et nous pouvons ensuite la traiter.
    Le Barreau de Montréal met en garde contre de faux avocats en immigration | Radio-Canada
     
  7. J'aime
    Denisovan a réagi à immigrer.com dans Les médecins au Québec en progression; quelles régions en manque encore ?   
    Le nombre de médecins augmente au Québec

    Radio-Canada
    Publié à 7 h 35 HNE
    Le Québec continue d'augmenter ses effectifs médicaux, puisque 280 médecins de plus se sont ajoutés au réseau de la santé depuis un an. selon les plus récentes données du Collège des médecins (CMQ) publiées jeudi matin.
    En date du 31 décembre 2023, le tableau du Collège des médecins (CMQ) publié jeudi matin, indique que le Québec comptait 26 001 médecins inscrits. Parmi les médecins actifs, 47 % sont des médecins de famille et 51,4 % sont des médecins spécialistes. Environ 1,5 % détiennent un permis délivré dans le cadre de l'entente Québec-France.
    Les données montrent également qu'une centaine de médecins de plus qu'en 2022 sont inactifs, c'est-à-dire qu'ils sont en congé de maladie, année sabbatique, congé parental, à la retraite ou encore qu'ils sont temporairement partis à l'extérieur du Québec pour faire une formation spécialisée. Au total, 11,9 % des médecins étaient inactifs en 2023.
    Pratiquement toutes les régions du Québec ont fait des gains d'effectifs, Montréal étant celle qui en a le plus avec 33 nouveaux médecins de famille et 63 médecins spécialistes. Québec arrive au deuxième rang avec 38 médecins de plus, suivi par les Laurentides avec l'ajout de 29 médecins.
    PUBLICITÉ L'Estrie compte, pour sa part, 27 médecins actifs de plus et le Centre du Québec, 15.
      Par ailleurs, 457 médecins exercent hors du Québec, un nombre qui est resté stable.
    Deux médecins de famille de moins au Centre-du-Québec
    Quatre régions ont perdu des médecins de famille en 2023. Lanaudière est celle qui a vu le plus de ces professionnels déserter avec huit médecins de famille en moins. Quatre médecins de famille ont quitté l'Abitibi-Témiscamingue, le Saguenay-Lac-Saint-Jean en a perdu trois et le Centre-du-Québec deux. De son côté, l'Estrie en a gagné 6.
    source et suite : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2049564/medecins-famille-centre-du-quebec
  8. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de qwintine dans Les premiers jours d'un Français à Montréal...   
  9. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de Sweety16 dans Les premiers jours d'un Français à Montréal...   
  10. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de immigrer.com dans Les premiers jours d'un Français à Montréal...   
  11. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de bencoudonc dans Les premiers jours d'un Français à Montréal...   
  12. J'aime
    Denisovan a réagi à immigrer.com dans Nouvelle Émission française "Notre vraie nature" spéciale Québec diffusé hier sur France 2   
    En compagnie de Frédéric Lopez, Gérard Jugnot, Donel Jack'sman, Adriana Karembeu et Barbara Pravi se livrent à une immersion 100 % nature, pour vivre des émotions hors normes. Ensemble, ils se lancent dans un parcours itinérant, à travers le Canada, pour se déconnecter du monde virtuel et se reconnecter à soi, aux autres et à la nature. L'animateur et ses quatre invités évoluent en quasi-autonomie, guidés par un "architecte de l'aventure". Un voyage qui mêle activités et moments d'introspection pour permettre à ces personnalités de sortir de leur zone de confort afin de vivre de façon authentique des moments drôles et émouvants, en un mot, inoubliables. Visionner: https://www.immigrer.com/gerard-jugnot-donel-jacksman-adriana-karembeu-et-barbara-pravi-au-quebec/
     


  13. Merci
  14. J'aime
    Denisovan a réagi à jimmy dans Ces Français qui ont tout quitté pour vivre au Québec   
    Hey, un reportage positif sur le Québec, ca fait mal hein ? ....ca doit être faux, faut ch**r dessus hein ?
     
    Deuxièmement, on a vu plusieurs textes récemment de Français qui veulent retourner en France et qui chient sur le Québec...je vous ai pas entendu ''relativiser'' leur propos négatif hein? C'était pas des clichés ce qu'ils écrivaient ?
     
    Troisièmement dans ces textes négatifs de Français qui veulent retourner en France qu'on a vu récemment ils ont tous dit que la publicité que le Québec fait pour attiré des immigrants est trompeuse et trop positive.
    Ben la ce sont des Français qui parlent (positivement) dans un reportage de la télé Française (TF1) animé et commenté par des Français....
     
    Faque....
  15. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de qwintine dans Il était une fois en France...   
  16. Merci
    Denisovan a réagi à jimmy dans L’arnaque Québécoise (Ou pourquoi je te conseille de passer ton chemin)   
    En effet 
    En fait s'il y a une ''arnaque'' ici, c'est son texte !
  17. Merci
  18. J'aime
    Denisovan a réagi à mike_hustler dans Un document du gouvernement israélien propose de transférer les civils de Gaza au Canada   
    2 millions de personnes qui ont subit un endoctrinement massif d'un groupe terroriste et qui sont traumatisés par des rounds de conflits à répétition ils ont mon empathie mais je n'en veux pas comme voisins! On peut en accepter quelques uns comme toujours on fera notre part mais un transfert massif c'est niet!
  19. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de immigrer.com dans 10 phrases que les Québécois déforment   
  20. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de fryggo dans 10 phrases que les Québécois déforment   
  21. Haha
    Denisovan a reçu une réaction de bencoudonc dans 10 phrases que les Québécois déforment   
  22. J'aime
    Denisovan a reçu une réaction de jimmy dans L’automne au Québec   
    À l’automne, le Québec dévoile un paysage haut en couleur. Du jaune orangé au rouge flamboyant, la nature nous en met plein la vue.
    https://www.bonjourquebec.com/fr-ca/decouvrir/saisons/automne
     
     
  23. Confus
    Denisovan a reçu une réaction de MarieJ dans Les Canadiens auront besoin d’un permis pour visiter de nombreux pays d’Europe   
    Radio-Canada Publié hier à 19 h 20 Mis à jour hier à 21 h 30 Partager l’article Dès 2024, les touristes canadiens auront une étape supplémentaire à prévoir pour pouvoir visiter l'Europe, ou, du moins, une grande partie du continent.
    Un permis du système européen d’information et d’autorisation de voyage (ETIAS) sera exigé dans 30 pays pour tout séjour de courte durée.
    L’ETIAS permettra aux voyageurs de pouvoir visiter ces États pendant 90 jours au maximum à l’intérieur d’une période de 180 jours. Les autorités derrière l’ETIAS souhaitent toutefois être claires : il ne s'agit pas d'un visa mais d'une autorisation de voyage pour les ressortissants de pays tiers exemptés de l'obligation de visa, lit-on sur le site Internet de l'Union européenne. Ce système a été mis en place principalement pour des raisons sécuritaires. La Commission européenne a créé le système d'autorisation ETIAS pour renforcer les frontières extérieures du continent européen et parer à toutes les menaces potentielles.
    Le Canada n'est pas le seul pays visé par la mesure. Les visiteurs provenant de 60 États, dont les États-Unis, le Mexique, le Royaume-Uni, l’Australie et le Japon devront se soumettre à ces exigences.
    Le nouveau permis coûtera sept euros, soit environ 10,25 dollars canadiens, et pourra être obtenu par l'entremise du site Internet ou de l’application mobile de l’ETIAS.
    Certains individus n’auront pas besoin de payer les frais. Les voyageurs de moins de 18 ans et les voyageurs de plus de 70 ans sont exempts, tout comme les membres de la famille d’un citoyen de l’Union européenne et d'une personne n’étant pas citoyenne de l’Union européenne, mais pouvant s'y déplacer librement.
    Les 30 pays en question :
    L'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Bulgarie, la Croatie, Chypre, la République tchèque, le Danemark, l'Espagne, l'Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l'Islande, l'Italie, la Lettonie, le Liechtenstein, la Lituanie, le Luxembourg, Malte, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie, la Suède et la Suisse.
    Une fois l'autorisation obtenue, celle-ci sera valide jusqu'à trois ans, mais il faudra présenter une nouvelle demande de permis en cas d'expiration du passeport.
    La plupart des demandes sont traitées en quelques minutes, indique le site Internet de l'Union européenne, qui prévient toutefois qu'un délai allant jusqu'à 30 jours pourrait être nécessaire.
    Avec les informations de La Presse canadienne
    Les Canadiens auront besoin d’un permis pour visiter de nombreux pays d’Europe | Radio-Canada.ca
     
     
     
  24. Merci
    Denisovan a réagi à jimmy dans Une famille française en voie d'expulsion du Canada   
    Il faut savoir qu'il y a des gens sur ce forum, de droite et/ou de gauche, pour qui le moindre commentaire positif sur le Québec est taxé de racisme 😡.
    Le commentaire positif est remis en question, ridiculisé ou dénigré.
     
    La caricature plus bas ici concerne la gauche, mais la droite n'est pas mieux.
     

     
     
  25. J'aime
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