L'Atrébate

Absolument d'accord avec bleu-sang.
J'ai une situation très confortable en France et je gagne autant qu'un jeune médecin généraliste. Je ne cherche pas au Canada à améliorer ma situation tant professionnelle que financière car cela va être très difficile. Je pars pour autre chose quitte à perdre en confort financier. Je ne pars pas pour des raisons fiscales non plus car au Québec je vais payer 3 fois plus d'impôts qu'en France qui sont déjà très élevés. Je pars pour de très nombreuses raisons qui peuvent se résumer par la recherche d'une meilleure qualité de vie.
Comme quoi il n'y a pas que l'argent dans la vie même s'il contribue à lui seul à une certaine qualité de vie.

Bonjour,
 
De nouvelles règles ont été annoncées aujourd'hui par le ministre fédéral de l'immigration qui réduisent les conditions de santé voire les suppriment pour les handicapés.
Un espoir pour des familles ayant un enfant handicapé se voyant refusé la résidence permanente.
 
Pour les autres triplement du plafond du coût de santé au-delà duquel la résidence permanente est refusée dans l'attente d'une étude pour se prononcer définitivement également sur leur suppression.
 
https://www.theglobeandmail.com/politics/article-feds-axe-rule-that-turned-away-would-be-immigrants-with-disabilities/?cmpid=rss
 

Personnellement j'ai ouvert depuis la France un compte chez Desjardins depuis la France. Mon compte a été ouvert le jour même après envoi des papiers par mail. Desjardins m'offre un compte sans aucun frais pendant 1 an à partir de ma date effective d'arrivée au Québec. 1 an après mon arrivée mon conseiller au vu de l'utilisation de mon compte me proposera le forfait le plus adapté.
 
De plus Desjardins m'a envoyé ma carte AccesD qui me permet depuis la France d'accéder à mon compte par internet pour me familiariser à son utilisation et constater que le transfert de fond a été bien effectué.

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Bonjour tchouck.
 
Votre question est la question que l'on se pose forcément tous lorsque l'on a des enfants et que l'on part au Québec. Elle est d'autant l'une des plus importante car il s'agit de l'avenir de nos enfants !
 
Voici l'état de nos réflexions :
Pour une immigration temporaire il vaut mieux peut-être rester dans le système français car le retour dans le système français n'est que plus simple : une continuté dans les programmes et les méthodes de travail. A l'opposé si votre intention est d'immigrer pour une très longue période voire définitivement une école québécoise est à privilégier pour une parfaite intégration. Vous ferez des enfants qui auront le même enseignement que les québecois, le même socle de connaissance, la même culture, les mêmes méthodes de travail, la même pensée. Je pense que les inscrire dans une école française en ce cas serait une erreur.
 
Très souvent la justification pour inscrire son enfant dans une école française est le prétendu faible niveau des écoles Québecoises. J'ai même entendu parfois que le Primaire est bon au Québec mais pas le Secondaire et aussi l'inverse. On entend tout et n'importe quoi sur le sujet ! Si tel était le cas je m'interroge alors pourquoi le Canada est classé nettement devant la France au classement PISA (Canada 7e rang mondial la France 26e). Comme en France tout dépend de l'école, de l'enseignement et de votre enfant. J'ai comparé avant de venir au Québec les enseignements : les programmes sont presque identiques la nette différence étant en histoire-géographie (normal bien que l'Antiquité, l'histoire européenne soient étudiées) et l'anglais où il y a plus d'heure de cours. La différence aussi est dans le nombre d'année : le primaire dure 6 ans au Québec (de la 1ère à la 6e) au lieu de 5 ans en France (du CP au CM2), le secondaire dure 5 ans au Québec au lieu de 4 ans en France (années de collège). Le lycée au Québec (appelé CEGEP) dure quant à lui 2 ou 3 années selon le choix d'orientation.
 
Nous sommes arrivés à Lévis (ville de 145 000 habitants en face de Québec) il y a plus de 2 mois et nos enfants de 6 et 8 ans sont ravis de l'école québécoise. Le petit dernier de 4 ans était scolarisé en moyenne section en France a intégré ici le CPE qui n'est pas une école mais plutôt une crêche. Ils se sont très bien intégrés et parlent déjà avec les mots québécois (tuque, souliers, mitaines, bas, capuchon) des expressions québécoises (il fait frête, il est tanant, peux-tu te tasser ?) voire avec un léger accent québecois surtout sur la lettre a qui est prononcé très ouverte (à la façon des chtis). Ils parlent aussi de plus en plus en franglais : "check ça !, je vais faire de la crazy carpet, c'est full". D'après ce que nous avons vu le système québécois encourage en permanence l'enfant à mieux faire, le stimule et n'est nullement répréssif. Le travail en groupe est plus développé, le travail avec les moyens informatiques aussi. Les devoirs sont donnés à la semaine. Le rapport parent/prof est totalement différent : l'enseignement est plus accessible. La plus grande difficulté rencontré est que l'apprentissage de la lecture se fait ici avec la méthode globale. Notre fils avait commencé son CP en France en septembre avec la méthode syllabique. Nous avons donc continué à la maison avec cette méthode qui je pense personnellement est meilleure pour avoir appris à lire dans mon enfance avec les deux méthodes ayant changé aussi de classe. L'autre difficulté est l'anglais : nos fils sont les plus mauvais de la classe et un gros effort de travail personnel à la maison est à fournir donc dessins animés en anglais obligatoires :-)
 
Enfin avec l'argent économisé que coûterait une école privée française vous pourrez offrir à votre enfant soit des cours particuliers que vous estimez nécessaires ou des visites d'expositions, de musées voire un voyage en famille qui développera les connaissances et ouvrira votre enfant vers une culture non européenne.
 
Voilà mon humble conseil et expérience...

Depuis maintenant 1 an, ma famille et moi sommes arrivés à Québec pour y vivre. Est-ce que cela sera définitif ou pas seul l'avenir nous le dira? 
Je n'ai jamais vraiment rien écrit de personnel sur ce forum mais j'ai participé à différents sujets lors de nos démarches. J'y ai par contre puisé beaucoup d'informations qui m'ont été très utiles dans la préparation de notre départ. Je me lance aujourd'hui dans ce message qui pourra vous paraître un peu long mais je l'espère utile.
Quand est-ce que cela a commencé pour nous je ne saurai vraiment le dire? Ce matin, je suis tombée sur une photo de notre 1er voyage exploratoire au Canada il y a déjà maintenant 4 ans ce qui m'a décidé à ce message mais notre désir d'expérimenter une nouvelle vie, à mon mari et à moi, est bien plus ancien.
Est-ce mon année passée aux Etats-Unis après mon Bac ou notre rencontre en Angleterre lors de nos premiers boulots respectifs? Dans tous les cas, il était certain que nous repartirions vivre à l'étranger après l'arrivée de nos enfants. 
Pourquoi le Canada et plus particulièrement le Québec? Notre expérience anglo-saxonne y a certainement beaucoup contribué. Comme nous partions avec nos 2 enfants de 9 et 14 ans, nous voulions garder la langue française pour ne pas encore plus les dépayser mais nous voulions également leur donner la possibilité de connaitre cette façon de vivre nord-américaine et d'apprendre l'anglais plus facilement.
Alors quand nous est venue cette envie de partir? Je crois qu'après 10 ans en région parisienne, nous avions décidé que ce n'était pas l'environnement que nous voulions dans lequel nos enfants grandissent. Mais avant de prendre notre décision nous voulions venir visiter ce pays qui nous attirait mais que nous ne connaissions pas. Nous sommes venus 3 semaines en été il y a 4 ans, nous avons parcouru plus de 5000 kms de Toronto à la Gaspésie tout en ayant l'impression de n'avoir vu qu'une toute petite partie de cet immense territoire. Mais nous avons été tous les 4 conquis et nous nous y sentions bien. A notre retour nous étions prêt à nous lancer et puis le train train quotidien a repris le dessus et l'idée est restée en suspens jusqu'à ce que quelques mois plus tard notre fille ne subisse un grave accident.
Et là ça été comme une évidence qu'il fallait agir maintenant. La vie est trop courte pour que nous n'agissions pas. Alors ont commencé 2 ans 1/2 d'attente pour obtenir notre résidence permanente.
Entre temps nous étions venus également apprécier l'hiver histoire de voir ce qui pouvait nous attendre.
Pendant ces 2 ans 1/2, j'ai lu de nombreux blogs d'expatriés au Canada. J'ai fait partie d'un sujet sur ce forum pour communiquer avec ceux qui vivaient la même procédure.
Je ne parlerai pas d'expérience car celle-ci est propre à chacun mais les démarches que nous avons à faire sont à peu près les mêmes pour tous. J'y ai rencontré des familles que j'ai ensuite retrouvées ici à Québec et avec qui nous continuons à partager....Ces 2 ans 1/2 ont paru tellement longs quand nous étions en France et maintenant que l'on se dit que cela fait déjà 1 an que nous sommes ici ces années sont loin dernière nous.
Vous me demanderez certainement mais alors au bout d'1 an c'est comment? Je ne parlerai pas d'immigration en tant que telle, même si bien sur c'en est une, mais plutôt d'une nouvelle vie dans un nouveau pays. Pour avoir vécu précédemment dans différents pays et dans différentes régions de France, je pense qu'à chaque fois c'est comme une expérience d'immigration. Il faut apprendre à connaitre son nouveau pays ou sa nouvelle région, voir comment fonctionne le marché du travail, les écoles pour nos enfants, le milieu social et autre .... C'est peut être pour cela que pour nous il est difficile de faire le point sur notre immigration.
Oui nous ne vivons pas dans le pays qui nous a vu naître, oui nous avons dû rechercher du travail sans expérience ici dans ce pays, oui les manières d'apprendre pour les enfants sont différentes mais nous prenons tout cela comme un challenge dans cette nouvelle vie sans pour autant rester à nous dire c'était différent avant ! Bien sur et nous le savions que cela serait différent mais il faut vivre cela au jour le jour et profiter de cette chance que nous avons été chercher.
Mon mari n'a de cesse de me dire que si nous ne nous en sortons pas si mal c'est grâce à toute la préparation, les recherches que j'ai pu faire avant notre départ. Il est vrai que j'aime que les choses soient carrées et que j'ai tout fait pour que nos enfants n'aient pas à subir en plus du départ notre stress si une fois arrivé nous ne savions pas par ou commencer.
J'ai aussi eu la chance dans toutes mes lectures de blog de tomber sur celui d'une personne qui m'a beaucoup aidé. Elle proposait son aide, étant déjà sur Québec, si nous avions des questions sur des quartiers, des écoles et autres. Je peux vous dire que je n'y croyais pas trop au début mais elle a été très présente avant notre départ et l'est toujours depuis notre arrivée. Elle m'avait expliqué qu'on lui avait tendu la main à son arrivée et qu'elle voulait rendre la pareille.
Je trouve cette idée géniale et si je peux à mon tour aider certains d'entre vous dans vos questions, visites de logement ou autres alors n'hésitez pas à me contacter en MP, il me fera vraiment plaisir de vous aider si je le peux.

Tout y est : chaque relevé de notes trimestriel pour chaque année menant à chaque diplôme.
Le tout certifié conforme par la mairie qui est une autorité compétente par la France.
 
Je vais essayer de savoir pourquoi notre demande a été rejetée. De toute façon la décision de rejet n'étant pas contestable c'est terminé.
Heureusement que nous avons notre CAQ pour 3 ans.
 
Le ridicule de la situation c'est que mes diplômes ont été acceptés pour mon CAQ et qu'ils sont refusés pour le CSQ (car au final les relevés de notes sont un moyen de preuve que les diplômes ont bien été obtenus et ne sont pas faux).

Tout y est : chaque relevé de notes trimestriel pour chaque année menant à chaque diplôme.
Le tout certifié conforme par la mairie qui est une autorité compétente par la France.
 
Je vais essayer de savoir pourquoi notre demande a été rejetée. De toute façon la décision de rejet n'étant pas contestable c'est terminé.
Heureusement que nous avons notre CAQ pour 3 ans.
 
Le ridicule de la situation c'est que mes diplômes ont été acceptés pour mon CAQ et qu'ils sont refusés pour le CSQ (car au final les relevés de notes sont un moyen de preuve que les diplômes ont bien été obtenus et ne sont pas faux).

Tout y est : chaque relevé de notes trimestriel pour chaque année menant à chaque diplôme.
Le tout certifié conforme par la mairie qui est une autorité compétente par la France.
 
Je vais essayer de savoir pourquoi notre demande a été rejetée. De toute façon la décision de rejet n'étant pas contestable c'est terminé.
Heureusement que nous avons notre CAQ pour 3 ans.
 
Le ridicule de la situation c'est que mes diplômes ont été acceptés pour mon CAQ et qu'ils sont refusés pour le CSQ (car au final les relevés de notes sont un moyen de preuve que les diplômes ont bien été obtenus et ne sont pas faux).

Personnellement j'ai ouvert depuis la France un compte chez Desjardins depuis la France. Mon compte a été ouvert le jour même après envoi des papiers par mail. Desjardins m'offre un compte sans aucun frais pendant 1 an à partir de ma date effective d'arrivée au Québec. 1 an après mon arrivée mon conseiller au vu de l'utilisation de mon compte me proposera le forfait le plus adapté.
 
De plus Desjardins m'a envoyé ma carte AccesD qui me permet depuis la France d'accéder à mon compte par internet pour me familiariser à son utilisation et constater que le transfert de fond a été bien effectué.

Personnellement j'ai ouvert depuis la France un compte chez Desjardins depuis la France. Mon compte a été ouvert le jour même après envoi des papiers par mail. Desjardins m'offre un compte sans aucun frais pendant 1 an à partir de ma date effective d'arrivée au Québec. 1 an après mon arrivée mon conseiller au vu de l'utilisation de mon compte me proposera le forfait le plus adapté.
 
De plus Desjardins m'a envoyé ma carte AccesD qui me permet depuis la France d'accéder à mon compte par internet pour me familiariser à son utilisation et constater que le transfert de fond a été bien effectué.

Ce que l'on a dit à ton conjoint n'est pas très exact. Notre demande est arrivée le 04/11/2015 à 11h47 et nous avons reçu le 8 juin 2016 une intention de rejet.
C'est un peu de la loterie le traitement des dossiers.

Ce que l'on a dit à ton conjoint n'est pas très exact. Notre demande est arrivée le 04/11/2015 à 11h47 et nous avons reçu le 8 juin 2016 une intention de rejet.
C'est un peu de la loterie le traitement des dossiers.

Csq reçu !!!!!![emoji12] [emoji3] [emoji39]

Franchement j'ai beau relire les instructions je ne vois pas où il est indiqué qu'il faut 1 formulaire pour le requérant principal et 1 autre pour le conjoint.
Lorsque nous avons constitué notre DCSQ nous avions lu 50 fois les consignes strictes au point de les connaître par cœur comme pour un poème.

@Larry06 bienvenue au club des dépressifs de "" l'intention de rejet "" !!!! 
Dans quelques jours ca ira mieux, le temps d'avaler la pilule ^^

Je viens de retrouver les exigences documentaires : il fallait bien ne joindre qu'un seul formulaire.
Donc là je ne comprends pas pourquoi il me demande aujourd'hui 2 formulaires !!!
 
 

Je viens de retrouver les exigences documentaires : il fallait bien ne joindre qu'un seul formulaire.
Donc là je ne comprends pas pourquoi il me demande aujourd'hui 2 formulaires !!!
 
 

Franchement j'ai beau relire les instructions je ne vois pas où il est indiqué qu'il faut 1 formulaire pour le requérant principal et 1 autre pour le conjoint.
Lorsque nous avons constitué notre DCSQ nous avions lu 50 fois les consignes strictes au point de les connaître par cœur comme pour un poème.

Oui absolument le formulaire a bien été signé par nous deux.

Je viens de retrouver les exigences documentaires : il fallait bien ne joindre qu'un seul formulaire.
Donc là je ne comprends pas pourquoi il me demande aujourd'hui 2 formulaires !!!