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Messages posté(e)s par apache

  1. Quelque chose qui ferait que les québécois pardonnent à leur mère

    patrie de les avoir lâcher. Quelque chose qui ferait que les québécois

    aient un peu plus de sympathie, ne serait-ce que de la sympathie pour

    nous autres, contrairement à la grande majorité de français qui a une

    sympathie et une amitié sincère, aveugle et naïve pour les québécois.

    première fois que j'entends parler des Québécois qui ont une tel rancœur envers la France.. tu crois que les Québécois d'aujourd'hui traîne cette rancune de nos ancêtres? hé ben, je sais pas sur quels genre de Québécois tu es tombé, mais je connais aucun Québécois comme ça.

    epauvre de toi.. :rolleyes2:

    Tu demeures où au Québec ? Montréal ? Région de Montréal ? As-tu séjourné dans la campagne profonde du Québec ? Par exemple, dans les terres reculées de Gaspésie ? Pour mémoire, je rappelle que le Québec ne se cantonne pas qu'à Montréal et à ses abords...

    Je suis originaire de la campagne profonde de l'Abitibi et pourtant j'aime le vin Français et les Française! :hug:

  2. Ça brasse au Québec...Nouvelles pannes d'électricité à Montréal en raison des feux de forêt!

    Au moins huit foyers d'incendie sont toujours actifs, dont quatre non-maîtrisés, dans le nord du Québec.

    Les températures chaudes font grimper l'indice d'inflammabilité des forêts québécoises. La région de la Côte-Nord est particulièrement vulnérable, avec un danger d'incendie considéré comme extrême.

    Le nord du Lac-Saint-Jean, l'Abitibi et toute la région de la Jamésie font partie des points chauds suivis de près par la SOPFEU.

    La région d'Eastmain est la plus touchée et des Autochtones ont été déplacés. Les flammes ont ravagé pour l'instant entre 325 000 et 350 000 hectares dans le nord du Québec. Par ailleurs, la route de la Baie-James est fermée sur 301 km par mesure de sécurité.

    La Société de protection contre le feu exerce une surveillance accrue sur tout son territoire, situé au sud du 51ème parallèle.

    Après plusieurs jours d'assèchement et la faible quantité de pluie ces dernières semaines, Éloïse Richard, porte-parole de la SOPFEU estime que l'indice d'inflammabilité varie d'extrême à élevé sur une grande portion du Québec.

    L'entreprise minière aurifère, Goldcorp, a d'ailleurs annoncé jeudi avoir demandé l'évacuation de la plupart de ses travailleurs en fonctions dans la région de la Baie James, à son projet minier Éléonore.

    http://www.lapresse.ca/environnement/201307/04/01-4667718-huit-feux-de-foret-font-rage-dans-le-nord-du-quebec.php

    http://www.lapresse.ca/actualites/201307/04/01-4667757-nouvelles-pannes-delectricite-au-quebec.php

  3. Le flux de Canadiens vers les États-Unis diminue tandis que le nombre d’Américains qui viennent s’installer au pays est en croissance, selon une nouvelle étude.

    Quelque 20 138 Canadiens ont déménagé aux États-Unis l’année dernière, une baisse comparativement à 29 930 personnes en 2005, d’après des données de l’Association d’études canadiennes (AÉC) remises à l’Agence QMI.

    Le Canada a accueilli 45 015 Américains de 2006 à 2011, une hausse sur le chiffre de 31 915 pour les six années précédentes.

    La baisse du nombre de Canadiens allant vivre aux États-Unis coïncide avec l’une des pires récessions à frapper nos voisins du Sud tandis qu’un marché de l’emploi plus attrayant au Canada attire les Américains de ce côté-ci du 49e parallèle.

    Montréal (72 %) et Edmonton (95 %) ont enregistré les plus fortes croissances d’influx d’Américains au Canada entre 2006 et 2011.

    Plus d’un Canadien sur quatre (27 %) qui vit aux États-Unis est âgé de plus de 65 ans.

    Top 5 des destinations canadiennes pour les Américains, de 2001 à 2011:

    Toronto

    Vancouver

    Montréal

    Calgary

    Ottawa

    Top 5 des destinations américaines pour les Canadiens, de 2000 à 2009:

    New York

    Miami /Fort Lauderdale

    Los Angeles

    Phoenix

    Seattle

    Source : Association d’études canadiennes

    http://argent.canoe.ca/nouvelles/canada/croissance-de-la-migration-damericains-au-canada-3072013

    post-2-0-05076200-1372937403_thumb.jpg

  4. Christophe Corré, 37 ans, fête ces jours-ci son premier anniversaire de vie au Québec. Recruté à Paris, lors des Journées Québec de décembre 2011 par Systematix, il est arrivé avec son conjoint dans la ville de Québec en mai 2012. Il est conseiller en gestion du changement dans l’entreprise de consultation spécialisée en technologie de l’information, qui compte 27 % d’employés issus de l’immigration (sur 200 au total au bureau de Québec).

    «Depuis sept à huit ans, l’essentiel des employés étrangers que nous embauchons le sont lors de missions internationales», indique Annie Bouchard, vice-présidente principale, marketing de Systematix, qui s’apprête à partir en mission de recrutement en Europe pour la neuvième fois.

    À ce jour, l’expérience de Christophe est positive. Même s’il n’a pas retrouvé le même niveau de rémunération ni de responsabilités, « j’ai gagné en qualité de vie », reconnaît-il. «J’ai dû m’habituer aux heures conventionnelles de travail alors qu’en France, je travaillais 120 heures par semaine ! J’ai appris à voir la vie au-delà du travail», raconte-t-il avec le sourire.

    Lui, qui avait en tête le projet d’immigrer au Québec depuis cinq ans, ne cherchait pas « à avoir les même conditions qu’en France », où il avait créé son entreprise. «Je ne me retrouvais plus là-bas dans l’ambiance, les décisions politiques, économiques. Après avoir fait un échange de maison avec des Québécois et avoir rencontré des gens ici, il me semblait que le Québec se rapprochait plus de ma philosophie », explique Christophe Corré.

    Le choix de la ville de Québec
    Le couple a donc sauté le pas l’année dernière et s’est installé à Québec, une ville au charme de laquelle il a succombé lors d’un séjour en vacances. Un an après son arrivée, Christophe ne regrette rien. Il faut dire que son conjoint a trouvé rapidement du travail, ce qui a aidé à l’intégration dans la Belle Province.

    Quant à Christophe, il n’a pas été facile au début de le placer en mandat dans une entreprise ou un organisme gouvernemental, frileux devant l’arrivée d’un étranger dont on ne connaît pas les capacités. Mais ce fut l’affaire de quelques mois et maintenant, tout se passe bien même s’il a fallu s’adapter aux différences de méthodes de travail et de relations professionnelles.

    On pense souvent au fossé culturel entre les employés québécois et ceux issus de l’immigration, mais « c’est finalement sur les méthodes de travail, les normes et les standards que la différence se voit le plus », témoigne Annie Bouchard.

    Un changement d’environnement qui demande des ajustements. « J’ai eu un peu de mal au début avec le tutoiement systématique notamment au travail mais j’ai compris que ce n’était pas de la familiarité ni du manque de respect donc je m’habitue », relate Christophe.

    Il a aussi fallu qu’il apprenne les protocoles propres à son métier au Québec. « Ici, tout est normé et encadré. Par exemple, contrairement à la France, il faut fournir des biens livrables après chaque mission, ce qui n’est pas toujours facile dans mon activité où peu de choses sont palpables. Mais ça permet de laisser des traces, c’est bien», dit-il.

    L’accompagnement , un atout important
    Malgré ces efforts indispensables d’adaptation, Christophe se sent à l’aise. Si son intégration s’est bien déroulée, c’est aussi parce que son entreprise l’a accompagné.

    D’ailleurs, après les Journées Québec, des trois offres d’emploi qu’il a reçues, c’est celle de Systematix qu’il a choisie « notamment parce qu’elle offrait un encadrement et un soutien à mon projet professionnel et personnel », se souvient Christophe.

    Systematix a par exemple mis en place un guide à l’attention de ses travailleurs immigrants où sont consignées les démarches à effectuer, où s’adresser pour les faire, des informations sur les hypothèques, etc. Une conférence est aussi organisée au moment de préparer sa première déclaration d’impôts.

    « Mon conjoint a même été invité à visiter les locaux pour voir où je travaille. C’était rassurant pour lui de voir mon environnement professionnel », applaudit Christophe.

    Un an plus tard, Christophe et son conjoint veulent rester au Québec. Ils attendent avec impatience leur résidence permanente. « Nous avons bien sûr parfois des périodes de remise en cause parce qu’à part la langue, rien n’est similaire à la France ici. Mais c’est sain de se poser les bonnes questions et notre conclusion, c’est que nous espérons être acceptés par le Québec. Mon projet est de demander la nationalité canadienne », confie le jeune homme.

    http://www.lesaffaires.com/dossier/immigration-recruter-a-letranger-en-20-questions/christophe-corre-un-immigrant-heureux/558294#.UdNhRaa1bDB

  5. Un citoyen japonais irrité par l'utilisation trop fréquente de mots dérivés de l'anglais a décidé de poursuivre en justice la télévision nationale afin de la contraindre à revoir ses pratiques linguistiques.

    Hoji Takahashi, âgé de 71 ans, a déposé une plainte devant le tribunal du district de Nagoya contre la NHK, à qui il réclame une indemnisation de 1,41 million de yens, soit environ 15 000$.

    L'homme, qui a fondé une petite association vouée à la défense de la langue japonaise, affirme que les émissions de divertissement et d'information sont truffées de mots d'origine anglaise adaptés à la structure phonétique japonaise comme «risuku» pour risque ou «shisutemu» pour système.

    «Alors que la société japonaise est de plus en plus américanisée, Takahashi estime que NHK devrait, à titre de diffuseur national, s'opposer à la tendance et continuer à utiliser avec détermination le japonais», a précisé le principal avocat du plaignant, Mutsuo Miyata, au quotidien The Japan Times.

    Le septuagénaire a déclaré que la NHK devait demeurer «neutre» et prendre en compte le fait qu'elle s'adresse notamment à un public âgé qui est attaché à la langue traditionnellement parlée dans le pays.

    Parallèle en France

    Cette préoccupation pour l'intégration de termes d'origine anglaise dans la langue nationale trouve un écho en France, où les médias font régulièrement état de polémiques liées à cette question.

    Le Monde diplomatique avait dénoncé il y a quelques années «l'envahissement» de la vie quotidienne par l'anglais en montrant notamment du doigt diverses sociétés d'État.

    La compagnie ferroviaire nationale, relevait alors le journal, proposait des billets «TGV-Family» tandis que France Télécom utilisait le slogan «Time to move».

    Un groupe de militants soucieux du phénomène remet chaque année, avec force ironie, le «prix de la Carpette anglaise» pour dénoncer la place croissante de l'anglais dans le pays.

    Un «prix spécial» a été remis en 2012 à l'Agence française pour les investissements internationaux qui a lancé une campagne publicitaire avec le slogan «Say oui to France - Say oui to innovation».

    Au Québec, l'utilisation d'anglicismes est surveillée de près par l'Office québécois de la langue française, qui propose régulièrement des expressions de remplacement pour les bloquer.

    Claude Poirier, qui est professeur de linguistique française à l'Université Laval, note que l'attitude de la France et du Québec au sujet d'emprunts à la langue anglaise diffère radicalement.

    Outre-Atlantique, cette pratique constitue une manifestation de «snobisme». «C'est comme ça depuis un siècle et demi», souligne-t-il.

    Au Québec, elle était plutôt le résultat de la «domination économique» des anglophones et touchait notamment à ce titre les milieux ouvriers.

    Aujourd'hui, la population est sensible à la question des anglicismes, poursuit le linguiste, qui voit le fait de se voir contraint de parler anglais et non les emprunts à l'anglais comme la principale menace pour la place du français au Québec.

    Quant au citoyen japonais qui veut s'en prendre à la télévision nationale, il en a en fait contre la société dans laquelle il vit «puisque c'est elle qui permet ce type de pratique» linguistique, conclut M. Poirier.

    http://www.lapresse.ca/international/asie-oceanie/201306/28/01-4665815-le-japon-en-croisade-contre-langlicisation-des-ondes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_international_29810_accueil_POS3

  6. le taux de divorce ça veut pas dire grand chose pour moi. si dans tel pays, le taux de divorce est presque nul, est-ce que ça veut dire pour autant que les couples sont heureux? épanouis? non. est-ce que parce qu'un couple reste marié que ça veut dire que les enfants seront heureux ou bien élevés? non.

    l'hypocrisie de faire semblant qu'on est heureux dans un couple pour montrer aux autres autour que tout va bien, de rester marié toute sa vie dans une relation malsaine ou malheureuse rien que pour faire comme tout monde ou parce que le divorce est mal vu, c'est bien pire et bien plus grave que de montrer le % de divorce.

    De nos jours je ne crois pas que le divorce soit mal vu mais il est plutôt en train de devenir une normalité, voir une banalité.

    Maintenant concernant l'hypocrisie, on peut aussi bien s'interroger sur le fait de vouloir s'engager dans le mariage alors que justement de nos jours personnes ne nous y oblige. Nos ancêtres pour qui la notion de mariage avait encore un semblant de sacre était t ils plus malheureux que maintenant?

    poser la question c'est y répondre, et je ne parle pas de la condition féminine d'une sacrée partie des québécoises aujourd'hui :

    • des névroses, des antidépresseurs,
    • des gourous raéliens,
    • de la chirurgie esthétique, du botox,
    • des régimes alimentaires à répétition,
    • d'Anne-Marie Losique, de Nelly Arcan posées en idéal à suivre,
    • de l'injonction de rester squelettique et conforme aux fantasmes des publicitaires,
    • etc, etc ...
    et de la solitude qui est la suite logique quand on pense que le sexe opposé est l'ennemi irréductible ...

    la conjugalité, la féminité et la chevalerie ont été détruites au Québec, il faudra des générations pour les reconstruire, si jamais cela était encore possible ...

    Tu fais un bien beau procès du culte de la beauté dans nos sociétés occidentales. L'ennui est qu'il n'y a rien de spécifique au Québec.

    Si tu connaissais mieux cette belle province, tu saurais que l'on se paye allègrement la tête de Anne-Marie Losique justement parce qu'elle représente la quintessence d'une femme jugée pas de tête, toute obnubilée qu'elle est par son souci d'apparence. Elle n'est donc pas présentée comme un idéal à suivre, plutôt une dérive....

    Quant à Nelly Arcan (une jeune écrivaine qui s'est suicidée), je dirais au pif que 98% de la population ne la connaissait pas. On repassera pour ce second idéal à suivre....

    quand on pense que le sexe opposé est l'ennemi irréductible ...

    la conjugalité, la féminité et la chevalerie ont été détruites au Québec, il faudra des générations pour les reconstruire, si jamais cela était encore possible ...

    Qu'est-ce qu'on ne peut pas lire.... :wacko2:

    Kobico,l'indifférence fait des miracles pour ce genre de provocateur,à essayer!

  7. http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9servoir_Manicouagan

    Le cratère se présente sous la forme d'un lac circulaire ! :excl:

    Ah ben, mince alors, ce lac rond a été inondé par la construction du barrage (et des autres...) dont j'ai mis la photo précédemment. Ce qui lui donne son aspect actuel vu du ciel.

    attachicon.gifManicouagan-EO.JPG

    On en apprend à tous les jours!

    C'est sur :flowers:

    On peut le visiter en kayak :db: .

    J'espère vraiment pouvoir y aller apres mon installation au Québec. :sorcerer:

    Surtout ne pas oublier ceci dans le Grand Nord...et ce n'est pas pour vous découragez, le spectacle du Grand Nord est inoubliable et ça vaut l'effort d'essayer de conserver tout son sang! :biggrin2:

    * Il y a 52 espèces d'insectes piqueurs au Québec. Les espèces les plus communes au Canada sont les mouches à chevreuil (tabanidés), les brûlots (cératopogonidés), les mouches noires (simulies) et les maringouins (culicidés).

    http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/archives/2011/07/20110706-075649.html

  8. Bon sang, mais est-ce possible d'arriver ici, de ne pas se présenter et de devenir aussi agressif et provocateur ? Est-ce représentatif de la culture algérienne (puisque merci, l'autre, je la connais) que de croire et d'affirmer par une banale généralité, sans autre preuve que vos propres affirmations que la femme québécoise ne résiste pas au cap de la quarantaine, du divorce et de la solitude?

    Je sens qu'à ce train, vous n'allez pas faire long feu sur ce forum.

    Il est peut-être la réincarnation du diable!!! Qui sait? :girl_devil::biggrin2:

  9. Génial un Pati politique pour immigrant au Québec, qui a eu cette bonne idée! C'est la meilleur façon de se mettre les Québécois à dos et ça... sa ne pardonne, si vous voulez rater votre intégration c'est la recette parfaite.

    Faites vos devoirs, informez-vous avant de vous présentez sur cette terre d'accueil ,qui vous donneras votre chance un jour.

    quelle suffisance, mon Dieu mais quelle arrogance, bientôt les immigrants auront eux aussi droit au Speak White !

    venir au Québec pour y payer les retraites de ceux qui ont permis ce genre d'exploits :

    Perte de 40 milliards à la Caisse de dépôt - L'opposition fait front commun pour réclamer une enquête

    Québec — Les partis d'opposition ont fait front commun hier pour exiger une enquête du vérificateur général sur les pertes colossales affichées par la Caisse de dépôt et placement du Québec en 2008.

    Amir Khadir, de Québec solidaire, la chef péquiste Pauline Marois et la leader par intérim de l'ADQ, Sylvie Roy, espèrent faire fléchir le gouvernement Charest, qui est déterminé à tourner la page au plus vite sur les déboires du «bas de laine» des Québécois.

    «N'oublions pas que les pertes de 40 milliards de dollars à la Caisse de dépôt, ça veut dire 40 fois le Stade olympique. C'est 1 % de toutes les pertes à travers le monde, pour un petit État comme le nôtre. Alors, je crois que les citoyens ont droit à la vérité», a fait valoir Mme Marois, en conférence de presse à Québec, flanquée de M. Khadir et de Mme Roy.

    Les 30 heures d'audiences publiques sur les pertes de la Caisse ont laissé de nombreuses questions sans réponse, a martelé la chef de l'opposition officielle.

    En outre, les déposants ne savent toujours pas pourquoi la Caisse a continué d'acheter pour près de 900 millions de dollars de papier commercial adossé à des actifs (PCAA) en août 2007, après avoir été prévenue de l'effondrement imminent de ce marché.

    Mme Marois souhaite notamment que le vérificateur interroge l'ancien président du conseil d'administration, Pierre Brunet, et qu'il scrute les procès-verbaux des rencontres et les enregistrements entre les acheteurs et les courtiers.

    L'objectif n'est pas tant de désigner un coupable que d'envoyer un message clair aux grands dirigeants qui gèrent l'argent du peuple, a souligné M. Khadir.

    «Le but n'est pas de jeter des blâmes ou de crucifier sur la place publique M. Henri-Paul Rousseau. L'idée, c'est d'établir des faits et, s'il y a erreur, qu'il y ait des conséquences, un effet dissuasif, pour que ceux qui sont en poste de commande prennent des décisions avec moins de légèreté avec l'argent du public», a expliqué le député de Mercier.

    Pour démontrer que leur démarche est non partisane, les trois représentants de l'opposition ont signé publiquement la lettre demandant au vérificateur général Renaud Lachance d'intervenir dans le dossier.

    «Nous ne faisons pas de partisanerie. Celui qui se sacre grand bâtisseur, bien, qu'il s'élève au-dessus de la mêlée et qu'il vienne signer cette lettre-là», a dit la chef de l'ADQ par intérim, à l'intention du premier ministre Jean Charest.

    Charest dit non

    À l'Assemblée nationale, le premier ministre a répété que la commission parlementaire spéciale sur les résultats de la Caisse avait amplement permis de lever le voile sur la catastrophe financière et d'en tirer les leçons adéquates.

    Plus tôt cette semaine, le ministre des Finances, Raymond Bachand, a d'ailleurs annoncé un bouquet de mesures pour accroître la transparence et la reddition de comptes de la Caisse de dépôt.

    Imperturbable, le ministre Bachand a reproché hier aux trois leaders de l'opposition de vouloir étirer la sauce indéfiniment à des fins partisanes. «Dans la vie, l'opposition ne cherche que des enquêtes. Il y a 120 milliards à gérer à la Caisse et l'intérêt public commande de laisser la nouvelle équipe de direction faire son travail. Une enquête viendrait paralyser l'organisation», a avancé M. Bachand.

    La Caisse de dépôt et placement du Québec a perdu 40 milliards en 2008, 10 milliards de plus que les institutions comparables.

    non merci

    Encore des vieilles nouvelles!!! ça n'arrêtera dont jamais...

    ``Les dix plus importantes caisses de retraite du Canada alimentent la prospérité nationale, révèle une étude marquante``

    http://www.lacaisse.com/fr/nouvelles-medias/communiques/dix-plus-importantes-caisses-retraite-canada-alimentent-prosperite

  10. Génial un Pati politique pour immigrant au Québec, qui a eu cette bonne idée! C'est la meilleur façon de se mettre les Québécois à dos et ça... sa ne pardonne, si vous voulez rater votre intégration c'est la recette parfaite.

    Faites vos devoirs, informez-vous avant de vous présentez sur cette terre d'accueil ,qui vous donneras votre chance un jour.

  11. Dénigrement du Québec, c'est pas beau ça...aller chercher des statistiques plus récentes au moins! Et regarder ce qui se passe dans les autres provinces ou pays,ensuite nous pourrons comparer entre nous si nous sommes plus fin que les autres. Ensuite, vous prenez la décision de partir ou de rester au Québec,voilà c'est très simple.

  12. y'a rien de choquant dans l'article. juste qu'il apprend rien de nouveau.

    le Québec veut préserver la langue française à tout prix et opte vers

    les dossiers francophones pour ne pas voir ses immigrants partir ensuite

    vers d'autres provinces anglophones.

    même en faisant ça, rien ne garantie que la personne va rester au Québec. à moins qu'elle soit unilingue. et même là, elle peut aller ailleurs dans le monde où ça parle français.c'est pas cohérent ce qu'il dit

    L'auteur ne fait que de rapporter des faits et des constats.

    oui, mais si au début je vois une énormité comme les erreurs d'informations, moi j'ai pas voulu continuer à lire. qui sait les autres mensonges qu'il a dit.

    Bien pour le savoir, il faut lire jusqu'au bout...

    La personne peut aller, en effet, n'importe où dans le monde mais là, on parle bien du Québec.

    Quoi qu'il en soit, je suis ravie que cet article ait suscité autant de réactions. Cela change des études OCDE, des test Pisa et des "t'es vilain, j'suis gentil".

    Une personne aussi négative que toi, n'apporte vraiment rien d'intéressant sur ce forum!

    Qui es-tu, toi qui te nomme Apache pour venir me dire que je n'ai rien à faire sur ce forum ? Laisses donc ce libre arbitre à ceux qui sont plus aptes que toi à virer les personnes inutiles sur ce forum. A savoir, les modos.

    Entre nous, que connais-tu des Apaches ? Que connais-tu de ce peuple pour oser t'identifier à eux ?

    En plus très agressive...ça sera pas beau tout à l'heure! Attachez vos tuques!!!!!

  13. y'a rien de choquant dans l'article. juste qu'il apprend rien de nouveau.

    le Québec veut préserver la langue française à tout prix et opte vers

    les dossiers francophones pour ne pas voir ses immigrants partir ensuite

    vers d'autres provinces anglophones.

    même en faisant ça, rien ne garantie que la personne va rester au Québec. à moins qu'elle soit unilingue. et même là, elle peut aller ailleurs dans le monde où ça parle français.c'est pas cohérent ce qu'il dit

    L'auteur ne fait que de rapporter des faits et des constats.

    oui, mais si au début je vois une énormité comme les erreurs d'informations, moi j'ai pas voulu continuer à lire. qui sait les autres mensonges qu'il a dit.

    Bien pour le savoir, il faut lire jusqu'au bout...

    La personne peut aller, en effet, n'importe où dans le monde mais là, on parle bien du Québec.

    Quoi qu'il en soit, je suis ravie que cet article ait suscité autant de réactions. Cela change des études OCDE, des test Pisa et des "t'es vilain, j'suis gentil".

    Une personne aussi négative que toi, n'apporte vraiment rien d'intéressant sur ce forum!

  14. Un peu de culture futur citoyen du Québec, connaissez-vous ce Québécois qui a travaillé avec des vedettes internationales?

    Devinez qui se trouve sur la vidéo avant de l'écouter...

    Il a produit des albums pour nombre d'artistes et quelques-uns sous son propre nom. Il a travaillé avec Neil Young, Bob Dylan, U2, Peter Gabriel, Robbie Robertson, Ron Sexsmith, Michael Brook et Nick Cave.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Lanois









  15. Question sans doute 0 mais n'a-t-il pas besoin d'un permis pour utiliser son arme en plus du permis de chasse ou les 2 sont liés?

    La réponse est oui...

    1) Gouvernement Fédéral: ''Permis d'armes à feu Possession et Acquisition' 'justement ce que le Québec veut en récupérant les données des chasseurs pour continuer d'exiger ce permis, suite à son abolition pour les chasseurs des autres provinces. Le Québec est devant les tribunaux à ce sujet, mais en attente d'un règlement le ''Permis d'armes à feu Possession et Acquisition' est toujours obligatoire au Québec et on doit le présenter aussi pour l'achat de munitions ou d'armes.

    http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/loisAnnuelles/2012_6/page-1.html

    http://www.rcmp-grc.gc.ca/cfp-pcaf/index-fra.htm

    2) Gouvernement du Québec: ''Certificat du chasseur ou du piégeur'' Le certificat du chasseur ou du piégeur est obligatoire pour l’achat d’un permis de chasse de résident du Québec.

    http://www4.gouv.qc.ca/FR/Portail/Citoyens/Evenements/carte-permis-certificat/Pages/certificat-chasseur-piegeur.aspx

    Pour l'obtention du certificat du chasseur;

    http://www.fedecp.qc.ca/sous-menu-formation/cours

  16. Bonjour a toi,

    c'est quoi cette histoire de tirages au sort ??

    Existe

    t il des asso ou des privés comme par chez nous ou on peut louer un

    territoire ou est ce un peu comme notre DPM/DPF, c'est a dire libre.

    Plus on s'éloigne vers les régions, plus il y a de territoires publics pour la chasse et plus de lacs pour la pêche. Dans le sud de la province il y a beaucoup de terrains privés.

    http://www.quebecgeographique.gouv.qc.ca/approfondir/information/sports-chasse-peche.asp

    http://www.mrn.gouv.qc.ca/publications/enligne/faune/reglementation-chasse/cartes/index.asp

    http://www.aventure-chasse-peche-video.com/video/4627/Orignal--Chassez-les-meilleurs-territoires-du-Québec-SEPAQ

    Aussi un jeune chasseur (Kid Panache) de mon coin de pays l'Abitibi, qui a plusieurs DVD a son actif et qui se déplace en forêt pour la chasse. Il peut toucher son orignal suite a un appel(Call).

    http://www.aventure-chasse-peche-video.com/video/3587/Kid-panache-3-Touche-un-male-Dominant

    http://kidpanache.ca/index.php

    Google:

    http://www.google.ca/#gs_rn=17&gs_ri=psy-ab&suggest=p&cp=7&gs_id=q&xhr=t&q=kid+panache&es_nrs=true&pf=p&sclient=psy-ab&oq=kid+pan&gs_l=&pbx=1&bav=on.2,or.r_qf.&bvm=bv.48175248,d.aWM&fp=c691f6007461346c&biw=1536&bih=819

  17. Tu as raison Silicon...

    Le Bourget: plus de 25 M$ pour attirer Aerolia à Mirabel

    La société française Aerolia, filiale du géant aéronautique EADS, aura joué de tout son poids pour tirer plus de 25 M$ des fonds publics en échange de l’implantation de son usine au Québec.

    Aerolia est cette société spécialisée dans la fabrication de structures aéronautiques qui a annoncé sa venue en grande pompe il y a un an, avec la promesse de créer quelque 150 nouveaux emplois.

    Profitant de la tenue du Salon aéronautique et de l’espace Paris-Le Bourget, Aerolia a annoncé aujourd’hui qu’elle s’installerait finalement à Mirabel dans une usine toute neuve de 7 300 m2, construite aux frais d’Aéroports de Montréal (ADM).

    Total de la facture pour la société gestionnaire des aéroports de Dorval et de Mirabel : 9,5 M$ pour un bâtiment capable d’accueillir la société française d’ici janvier 2014.

    « Nous sommes très enthousiastes à l’idée de nous installer à Montréal-Mirabel, car ce site nous offrira un environnement des plus propices au succès du groupe Aerolia au Canada et à son développement à l’échelle de l’Amérique du Nord », a déclaré Marie-Agnès Vève,présidente-directrice générale d'Aerolia Canada, anciennement patronne d'Eurocopter en Ontario.

    En plus de la contribution d'ADM, des subventions et des prêts ont déjà été promis à la filiale d’EADS. Du nombre, rappelons une subvention de 5 M$ du gouvernement du Québec, et deux prêts remboursables : l’un de 10 M$ provenant d’Investissement Québec, et l’autre de 2,4 M$ de Développement économique Canada.

    http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/le-bourget-plus-de-25-m-pour-attirer-aerolia-a-mirabel/558970?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=le-bilan_19-juin-2013#.UcI33ka1bDA

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