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Messages posté(e)s par apache

  1. Saguenay-Lac-Saint-Jean :whistlingb: Un Français se perd à Sainte-Rose-du-Nord

    Par Catherine Bouchard | Agence QMI

    Une simple balade s'est transformée en nuit à la belle étoile pour un Français de 77 ans qui s'est perdu samedi à Sainte-Rose-du-Nord, au Saguenay-Lac-Saint-Jean, avant d'être retrouvé dimanche après-midi.

    «Il est allé en randonnée et voyant qu'il ne revenait pas, la dame (sa femme) l'a rapporté disparu vers 19 h», a raconté Ann Mathieu, de la Sûreté du Québec. La femme était restée au chalet dans lequel il séjournait.

    Des recherches ont été effectuées samedi soir et dimanche matin. Il a été retrouvé à 3 km d'une pourvoirie en après-midi.

    «Il a été localisé vers 13h30 par la Garde côtière canadienne. Il était mouillé et en début d'hypothermie» a ajouté Mme Mathieu. Sa conjointe a rapidement été prévenue de la bonne nouvelle.

    Selon la porte-parole, l'homme avait l'air en forme. Il a été transporté dans un centre hospitalier de la région.

    «Il ne s'est pas perdu dans un immense territoire. Il est très chanceux d'avoir été localisé rapidement, a-t-elle expliqué. Après une nuit dehors, il devait être content de voir quelqu'un. Il aura vécu une expérience différente du Québec, c'est certain.»

    http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2013/09/20130922-211938.html

  2. ROUYN-NORANDA - La demande est très grande autant de la part de l’industrie que de ceux qui veulent étudier en charpenterie-menuiserie. Jusqu’à maintenant, le Centre Polymétier offrait le cours aux deux groupes à Rouyn-Noranda. La cohorte s’agrandira de 22 étudiants qui vont commencer la formation le 11 septembre prochain à Notre-Dame-du-Nord.

    Le centre de formation professionnelle, qui offre ce programme depuis 1992, n’a pas vu un tel boom depuis longtemps. L’école offrira maintenant le programme à une soixante d’étudiants, mais cela ne répond pas complètement à la demande. Une autre soixantaine de personnes sont sur une liste d’attente.

    http://www.lafrontiere.ca/2013/09/05/charpentiers-menuisiers-en-demande

    http://www.cpcsrn.qc.ca/

    http://www.inforoutefpt.org/progSec.aspx

  3. c'est drôle, on entend jamais sur le forum les histoires des cimetières vandalisés. les pierres tombales cassées. ils sont où ces sujets là?

    il y a eu plusieurs cas un peu partout au Québec.

    moi je connais bien les histoires des cimentières mon frère m'a assuré que la pluspart de temps sont des groupes rock de heavy metal et ce genre de musique qui font ca pour le fun, aucun arabe ni musulman impliqué selon ce que mon frère a vu de ses yeux, au cimentière de Lachine, il a souvent vu du monde la bas et il a reconnu quelque voisins, tous québécois.

    Pauvres de nous Québécois, on prend le premier bateau et retournons tous en France ensuite nous vous laissons notre Québec.

    Continuer vos attaques contre les Québécois!!! Lâchez pas la patate...

  4. ceux que je parle se plaignaient de rien et puis ils ont parlé en Français...

    leur péché?

    peut être ils ont eu assez des mauvaises expériences qu'ils préfèrent se tenir juste avec leur monde?

    et puis travailler en anglais je vois pas le problème car c'est légal, à ce que je sache cette province est bilingue.

    À lire pour approfondir votre connaissance du Québec...

    Le français est la langue officielle du Québec. http://www.oqlf.gouv.qc.ca/charte/charte/clflgoff.html

  5. Et les immigrants qui sont heureux au Québec et bien intégrés comment ils ont fait, selon votre interprétation? Informez-vous, l'Ontario et l'Alberta ne connaissent absolument rien du Québec comme le ROC d'ailleurs!

    Je vous souhaite une heureuse vie dans les autres provinces et laisser les Québécois choisir leurs destinées, ça leurs appartient.

  6. Le Québec n'est pas l'Europe...qu'on se le dise!

    Pendant ce temps, à Londres…

    Richard Martineau - 2 septembre 2013

    J’ai passé les derniers jours à Londres.

    Après 15 minutes, j’ai compris pourquoi autant de personnes appelaient cette ville « Londonistan ».

    Il y a des burquas partout. Quand je dis partout, c’est partout.

    On voit presque autant de burquas que de mini-jupes.

    CACHEZ CE BRAS !

    Vous voulez voir les résultats d’une application débridée du multiculturalisme ? Sautez dans un avion et allez à Londres.

    À force de multiplier les accommodements religieux, ils ont perdu le contrôle. Certaines personnes bien intentionnées se demandent pourquoi on interdirait aux infirmières québécoises d’obédience musulmane de porter un voile à l’hôpital. Après tout, quand tu es malade, tu te fous que ton infirmière soit voilée ou non.

    Ce qui importe est qu’elle te soigne bien…

    Eh bien, voici ce qui s’est passé au pays des Beatles et des autobus à deux étages.

    En Angleterre, les infirmiers et les infirmières sont tenus de porter des manches courtes. C’est une question d’hygiène, de santé publique. C’est comme ça depuis des lustres, on veut empêcher les manches longues de propager des microbes dans les hôpitaux et de rendre les malades encore plus malades.

    Or, en 2010, les infirmières musulmanes ont réussi à remporter une grande victoire auprès des autorités anglaises. On leur permet maintenant de porter des manches longues, afin qu’elles puissent respecter les préceptes de leur religion.

    Au début, c’était le voile. Maintenant, ce sont les manches longues.

    À quand un accommodement leur permettant de ne soigner que les femmes ?

    UNE QUESTION DE PRINCIPE

    En interdisant le voile (ou tout autre signe religieux ostentatoire) dans les hôpitaux, on dit haut et fort que la religion n’a pas sa place dans les institutions publiques.

    C’est une question de principe.

    Quand tu commences à plier sur ce principe, tu ne sais plus quand t’arrêter. C’est tel accommodement ; après, tel autre, et après, tel autre encore.

    Pourquoi tu dirais Non alors que tu as toujours dit Oui ?

    En disant Non dès le départ, c’est clair et net.

    En France, les jeunes filles qui fréquent les institutions publiques d’enseignement enlèvent leur voile quand elles entrent à l’école, et le remettent quand elles sortent. Les infirmières et autres employées de l’État peuvent agir de même, non ?

    Qu’est-ce qui est si raciste là-dedans ?

    UN CHEVAL DE TROIE

    Et puis, cessons d’être naïfs. Certains groupes et individus utilisent la liberté de religion comme cheval de Troie pour mieux faire reculer les libertés dont ils se prévalent quand ça fait leur affaire. Vous le savez, je le sais, tout le monde le sait.

    Même Justin Trudeau.

    La religion, pour eux, est un déguisement sous lequel se cache un agenda politique qui n’a rien à voir avec nos idées, nos valeurs.

    Vous pensez qu’en Arabie Saoudite, les hommes se promènent dans la rue en disant : « Je ne reconnais plus mon pays, il y a autant de mini-jupes que de burquas ? »

    Non.

    Et ils s’arrangent pour que jamais ça n’arrive.

    Ils tiennent à leurs valeurs, à leur culture.

    RÉACTION ASYMÉTRIQUE

    Quand certains peuples adoptent des mesures pour protéger leurs valeurs, on dit qu’ils participent à protéger la diversité culturelle.

    Quand d’autres font la même chose, on les traite de racistes.

    Cherchez l’erreur.

    http://blogues.journaldemontreal.com/martineau/franc-parler/pendant-ce-temps-a-londres/

  7. De l'amélioration enfin au Québec!

    «Usines» à chiots et à chats: les pleins pouvoirs avant la fin de l'année

    (Québec) Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation maintient toujours que le règlement censé donner les pleins pouvoirs à ses inspecteurs pour fermer les «usines» à chiots et à chats sera finalement adopté avant la fin de l'année.

    {C}

    Un règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens est en vigueur depuis juin 2012.

    Il manque toutefois de mordant pour mettre au pas les éleveurs peu scrupuleux, ceux qui détiennent ce qu'on qualifie négativement d'usine à chiots ou d'usine à chats. Même s'ils possèdent de nombreux «animaux de compagnie», ils n'ont pas besoin de permis... Les inspecteurs ne savent donc pas où ils opèrent. Dans le noir, il est difficile pour l'État d'aller vérifier si les normes édictées sont respectées.

    «Les gens pouvaient faire de l'élevage et le [ministère] n'avait pas vraiment de carte des différents emplacements où il y avait des usines à chiots», note Maxime Couture, l'attaché de presse du ministre François Gendron. «Donc, c'était difficile pour nous, pour nos inspecteurs, d'aller inspecter dans ces usines pour voir si tout est conforme.»

    Quelques mois seulement après l'implantation du règlement, le ministre avait donc promis de modifier le texte pour lui donner plus de vigueur. Mais on attend toujours la version finale du document censé donner les coudées franches aux inspecteurs du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) pour fermer illico un établissement fautif. «On maintient toujours le cap pour cet automne, ce sera déposé dans les prochaines semaines», indique néanmoins Maxime Couture.

    Les fonctionnaires du Ministère peaufinent le texte qui ragaillardira le règlement. Quoique modifié, l'essentiel du libellé proposé en décembre 2012 sera maintenu pour «mettre un terme aux usines à chiots au Québec», certifie M. Couture. «Tous ceux qui possèdent plus de 15 chiens ou chats vont devoir posséder un permis.»

    Le règlement, en vigueur depuis le 14 juin 2012, encadre déjà les élevages. Les établissements institutionnels et commerciaux possédant un chien ou un chat doivent suivre une série de balises plutôt strictes. La taille et la fabrication des enclos; l'entretien et la désinfection des lieux; les périodes d'exercice des animaux; l'alimentation... La liste des exigences est longue. Le propriétaire doit même conserver un registre dans lequel chaque animal est inscrit.

    Saisies rapides

    Lorsque la modification sera ajoutée, ils devront aussi déclarer leurs activités au MAPAQ. Si un propriétaire de chiens et de chats de reproduction n'a pas de permis, «on va pouvoir saisir les animaux très rapidement et faire fermer ce refuge, ce centre d'élevage».

    «Ça vient donner un outil aux inspecteurs pour procéder à des saisis. On pense qu'avec ce projet de règlement, ça va mettre un terme aux usines à chiots au Québec», évalue Maxime Couture. «L'avantage, c'est que dès que quelqu'un se fera dénoncer, les inspecteurs pourront procéder très rapidement et tout de suite saisir les animaux du fait qu'il ne possède pas de permis. Donc, ça vient faciliter le travail des inspecteurs et ça va accélérer le processus.»

    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201308/30/01-4684884-usines-a-chiots-et-a-chats-les-pleins-pouvoirs-avant-la-fin-de-lannee.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS2

  8. Je vous trouve tous et ce avec admiration, très courageux d'entreprendre ce magnifique voyage de l'immigration vers l'inconnu.

    Ce grand pays vous attend et mon Québec vous accueillera à bras ouvert si l'effort est au rendez-vous,je crois sincèrement en votre réussite.

    Imaginez mon cas, d'ici deux ans je vais immigrer de mon Abitibi natale vers la ville de Québec pour ma retraite et ça m'angoisse un peu, vous allez sûrement rire de moi,mais je vous pardonne!!!

    Pour Jérémiy Allemand et vous tous, je vous offre...

    Marjo - J'lâche pas

    Faut que j'me pousse / Offenbach

    Et un gars de Val-d'Or...

    La Chicane - Calvaire

    Encore une chanson de Richard Desjardins...

    http://www.youtube.com/watch?v=ZYQrBu1s1W0

  9. Pour info!

    PRÉVENTION

    Les vêtements et les meubles doccasion, surtout les matelas et les fauteuils, peuvent abriter des insectes nuisibles, dont des punaises, et les introduire dans votre logement.

    Il faut éviter de se procurer des matelas usagés ou des meubles rembourrés doccasion, car il est

    difficile dy déceler la présence de punaises.

    Les autres meubles doccasion doivent être inspectés et nettoyés méticuleusement avant dêtre introduits dans la maison. Frotter les meubles avec de leau savonneuse ou un produit de nettoyage

    domestique permet de débarrasser le meuble des punaises qui pourraient y loger.

    Les vêtements doccasion doivent être placés dans un sac de plastique scellé et mis directement dans la machine à laver pour y être lavés à leau très chaude afin de tuer les punaises et leurs oeufs.

    Important:

    Il faut également éviter de ramasser des objets trouvés à lextérieur ou dans les ordures. Ils peuvent être infestés.

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