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Tout ce qui a été posté par Laurent
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Résultats des élections européennes pour les Français de Montréal
Laurent a répondu à un(e) sujet de immigrer.com dans Lounge
Si vous n'êtes pas encore inscrits sur la liste électorale Il est trop tard, sauf dans les cas exceptionnels prévus par les articles L. 20 et L. 30 du code électoral et de la loi organique du 31 janvier 1976. -
Résultats des élections européennes pour les Français de Montréal
Laurent a répondu à un(e) sujet de immigrer.com dans Lounge
À Montréal, le premier tour des élections législatives se tiendra le samedi 29 juin 2024, et le second tour aura lieu le samedi 6 juillet 2024. Les bureaux de vote seront ouverts de 8h00 à 18h00. https://montreal.consulfrance.org/Elections-legislatives-2024-3800 -
J'attends la réponse du consulat, on va tester leur efficacité.
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La réponse officielle pour les inscriptions en ligne : « Il n'est plus possible de s'inscrire en ligne pour voter lors des élections législatives du 30 juin et du 11 juillet 2024 (ou du 29 juin et du 6 juillet pour les territoires concernés) » Mais je me demande si en personne directement au consulat c'est possible
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Est-ce possible de s'inscrire au consulat pour voter lors des élections législatives Françaises du 30 juin et du 11 juillet 2024 ?
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Pour les voyages aux États-Unis, les citoyens canadiens n'ont généralement pas besoin que leur passeport soit valide pour au moins six mois au-delà de leur date d'entrée prévue. Tant que votre passeport est valide pour toute la durée de votre séjour prévu, vous ne devriez pas avoir de problème.
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Pas triplé quand même : Taux d'inflation Au cours des dix dernières années : 2014 : 1,91% 2015 : 1,13% 2016 : 1,43% 2017 : 1,60% 2018 : 2,27% 2019 : 1,95% 2020 : 0,72% 2021 : 3,40% 2022 : 6,80% 2023 : 3,81% 2024 : 1,15% (estimation) Le changement de prix cumulé sur ces dix années est d'environ 26,88%, avec un taux d'inflation annuel moyen de 2,41%
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Demande de citoyenneté : faut-il prévenir le(s) pays dont on veut conserver la nationalité?
Laurent a répondu à un(e) sujet de Traducteinterpretautonom dans Canada
le mot « scrupule » n'est pas dans le vocabulaire du Kremlin -
Demande de citoyenneté : faut-il prévenir le(s) pays dont on veut conserver la nationalité?
Laurent a répondu à un(e) sujet de Traducteinterpretautonom dans Canada
En France, la nationalité française n'est généralement pas perdue en acquérant une autre nationalité, sauf si vous en faites la demande expresse. Il n'est donc pas nécessaire d'informer les autorités françaises que vous souhaitez conserver votre nationalité française. Cependant, il est recommandé de vérifier auprès du consulat de France ou du ministère des Affaires étrangères pour confirmer qu'il n'y a pas de démarches spécifiques à suivre. En Allemagne, jusqu'à récemment, il était nécessaire de demander une autorisation (Beibehaltungsgenehmigung) pour conserver la nationalité allemande en cas d'acquisition d'une autre nationalité. Cependant, vous mentionnez un changement législatif qui devrait entrer en vigueur le 27 juin, permettant la double nationalité sans cette autorisation. Assurez-vous de vérifier les détails de cette nouvelle législation et de consulter les autorités allemandes (consulat ou ambassade) pour toute démarche spécifique à suivre. Il pourrait être utile de notifier officiellement votre intention de conserver la nationalité allemande afin d'éviter toute complication. -
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La dépression est peut-être l'origine du problème, non? Ce n'est pas la ville la plus ouverte à la diversité, aussi les hiver y sont plus longs et plus rigoureux qu'au sud du Québec Sans vouloir remettre en question votre souffrance, je crois qu'il ne faut pas généraliser à l'ensemble des Québécois. Ça dépend de ce qu'on est venu chercher. Je ne dirais pas sans culture mais une culture plus centrée sur leur quotidien que sur le reste du monde? et encore ça dépend avec qui on échange.
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Hier soir nous avons eu droit à un spectacle impressionnant dans le ciel du Québec, avez-vous aussi pris des photos?
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Florian est le papa d’un enfant né par GPA (gestation pour autrui) au Canada. Il raconte : « En 2019, cela faisait trois ans que nous étions en couple avec mon mari et nous avons commencé à discuter de l’opportunité de construire notre famille, d’agrandir notre cercle avec des enfants. Nous avons alors réfléchi à nos différentes options pour construire notre famille. » Florian et son mari ne se doutaient pas alors des heures de recherche, des dizaines de milliers d’euros et des mois de démarches qui les attendaient avant d’accueillir leur miracle. Il continue : « Nous avons regardé en premier lieu l’adoption, mais nous nous sommes rendu compte que c’était très compliqué, d’abord parce qu’il y a peu d’enfants à adopter. En outre, l’adoption par les couples homosexuels est très rare en France. La seule autre option était la GPA. Au début, nous étions un peu réticents, car comme beaucoup de gens, nous ne savions pas très bien ce que c’était. Nous pensions tout de suite à la marchandisation du corps humain et à l’exploitation des femmes précaires, etc. Cependant, en nous documentant, en nous renseignant et en contactant des agences aux États-Unis et au Canada, nous avons compris ce qu’était vraiment une GPA éthique, réalisée sans transfert d’argent entre les parents d’intention et la mère porteuse. » En France, la GPA (gestation pour autrui) est totalement interdite. Cette interdiction est stipulée par la loi bioéthique qui la considère incompatible avec les principes de respect du corps humain et de la dignité de la personne. La législation française prévoit des sanctions pénales pour quiconque facilite ou tente de faciliter une GPA, y compris les agences ou intermédiaires. Cette interdiction s’applique à tous les citoyens français, y compris ceux qui vivent à l’étranger. Les couples français qui ont recours à la GPA à l’étranger peuvent se voir refuser la reconnaissance de la filiation de l’enfant en France. Il existe des exceptions à cette interdiction, par exemple pour les couples infertiles qui ont obtenu une autorisation spéciale des autorités françaises avant de recourir à la GPA à l’étranger. Au Canada, la situation est différente. La GPA est légale, mais elle est strictement réglementée par la loi sur la procréation assistée. La loi interdit tout paiement à une mère porteuse au-delà du remboursement des dépenses encourues en relation avec la grossesse. Cela comprend les frais médicaux, les coûts de maternité appropriés, et d’autres dépenses approuvées. L’objectif de cette régulation est de prévenir la commercialisation et l’exploitation du corps des femmes. Les couples hétérosexuels et les couples homosexuels peuvent avoir recours à la GPA. Il n’y a aucune limite sur le nombre d’embryons qui peuvent être transférés à la mère porteuse. La mère porteuse doit signer un contrat avant le transfert d’embryons, dans lequel elle renonce à ses droits parentaux sur l’enfant. Après la naissance, les parents d’intention sont considérés comme les parents légaux de l’enfant. Leur choix se dirige donc vers le Canada, qu’ils considèrent plus éthique. « C’est une GPA qui est très éthique, purement altruiste puisqu’il n’y a pas de gain financier. Ce sont vraiment des femmes qui ont à cœur d’aider des parents d’intention à devenir parents. Notre mère porteuse nous a dit qu’elle adorait être enceinte. Elle avait 31 ans, elle était tout à fait capable de porter encore un enfant. Elle a deux enfants à elle et, dans sa famille, il y avait des cas d’infertilité, des gens qui n’ont pas pu avoir d’enfants. Elle s’est dit, ‘Moi qui peux le faire, il y a des gens qui ne peuvent pas, alors je me porte volontaire pour le faire’. Cela coûte une fortune, c’est quasiment inaccessible. Les frais médicaux sont considérables et au total, ça nous a coûté à peu près 100,000 € tout compris, avec des frais médicaux qui représentent à peu près la moitié. Nous payons aussi des frais d’assistance sociale, de psychologue pour l’ensemble des parties, donc pour la mère porteuse et les donneuses d’ovocytes. Et puis nous remboursons les frais qui sont liés à la grossesse. Pour la mère porteuse, nous avons une liste de frais que nous pouvons rembourser, donc il n’y a pas de versement d’argent, elle produit des sortes de notes de frais et elle fournit ses reçus de dépenses à l’agence qui nous dit ce que nous devons rembourser. » La procédure dure deux ans et est compliquée par la Covid et la fermeture des frontières. « C’est très stressant. Nous ne sommes pas présents aux rendez-vous médicaux, donc nous attendons les résultats des échographies, des tests, etc., a posteriori. À un moment, notre mère porteuse a dû être alitée pendant deux semaines, donc nous nous demandions si tout allait bien se passer. Nous aurions aimé être là pour l’aider, mais nous ne pouvions pas, donc en fait, nous subissions la distance. Après, une fois que nous sommes arrivés sur place, un mois avant la naissance, c’était génial. Nous avons passé beaucoup de temps avec elle, nous avons pu faire plus ample connaissance, voir sa famille, et évidemment, voir son ventre avec notre fils dedans. C’était très rassurant. Nous nous sentons heureux, comme des parents qui ont envie d’être parents. C’est le soleil de nos vies, c’est presque un miracle pour nous. Avec la donneuse comme avec la mère porteuse, nous échangeons par messages, nous nous envoyons des petites photos de l’évolution de notre fils. Ils sont ravis de voir qu’il va bien, qu’il grandit bien. Voilà, nous nous donnons des nouvelles régulièrement. » Florian et son mari pensent déjà au second enfant. Le contraste principal entre les deux pays réside dans l’approche de la légalité de la GPA. En France, l’interdiction totale vise à protéger la dignité de la personne humaine et éviter la commercialisation de la procréation. Au Canada, la régulation vise à permettre la GPA tout en assurant qu’elle se déroule dans un cadre non-commercial et éthique. Source : Gouvernement du Québec – BFMTV
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Pour l’animateur de télévision, l’accent québécois fait « débander ». En 2001, le sort qu’il fait subir à l’autrice lors de son passage à l’émission «Tout le monde en parle» a tout à voir avec le bâillonnement, témoigne l’écrivaine Martine Delvaux. Mon souvenir est vif : une très jeune Nelly Arcan est invitée sur le plateau de Tout le monde en parle. Elle est reçue par Thierry Ardisson à qui on doit le concept « Pour faire passer Easton Ellis, Tom Wolfe ou Houellebecq, il faut des bimbos, de la lumière, de la musique ». Manière, explique l’animateur, de rendre la culture digeste au lieu qu’elle soit punitive. Ça a lieu le 29 septembre 2001, un an après le passage de Christine Angot, deux semaines après les attentats du 11 Septembre. Nelly Arcan vient de publier son premier roman, Putain, aux éditions du Seuil. C’est l’histoire d’une escort girl, dit l’animateur. Ce n’est pas un témoignage, dit l’écrivaine, c’est de la littérature. Il est question du sexe des hommes Après une série de questions sur les hommes et la sexualité, après avoir bien confondu la narratrice et celle qui l’a inventée, c’est l’interview up and down pour clore le segment, on ne bouge pas pendant le gingle. L’animateur demande : «Qu’est-ce que vous avez de moins sexy ?» Entre étonnement et malaise, l’écrivaine ne sait pas quoi répondre. «Moi je sais, dit-il, mais je ne dirai pas.» Puis il quitte son podium pour venir lui chuchoter fort à l’oreille : «Il faut perdre cet accent canadien.» Un accent qu’elle doit perdre, dit-il, à l’aide de cours donnés en France, par exemple, «parce que c’est terrible, cet accent, je vous jure. On ne parle plus comme ça depuis le XVIIIe siècle». Dans cette émission de « Tout le monde en parle » de 2001, l'animateur Thierry Ardisson a fait des commentaires dépréciatifs sur l'accent québécois de Nelly Arcan, affirmant que cet accent faisait « débander ». Ce jour-là, le concept d'Ardisson était de rendre la culture « digeste » par l'ajout de divertissements superficiels. Arcan y présentait son premier roman, Putain, qu'elle définit non comme un témoignage, mais comme une œuvre littéraire. En mars 2024, lors d'une entrevue avec Dominic Tardif de La Presse, Ardisson a réaffirmé son aversion pour l'accent québécois, sans exprimer de regret pour ses paroles passées. Il a fait ces remarques dans le contexte de l'enregistrement du 500e épisode de la version québécoise de « Tout le monde en parle ». La critique de l'accent de Nelly Arcan, et par extension de celui de millions de Québécoises, est perçue comme une forme de répression : une injonction à être belle et silencieuse. Cet incident souligne une attente sociale où certaines caractéristiques féminines sont marginalisées. Peu avant sa mort, Nelly Arcan avait écrit sur le manque de justice à la télévision, un média qui, selon elle, ne reflétait pas la réalité ni l'équité. Suite et source : Libération
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La région de Niagara, célèbre pour ses majestueuses chutes à la frontière entre le Canada et les États-Unis, se trouve face à un événement exceptionnel : la rare éclipse solaire totale prévue pour le 8 avril. En anticipation des défis que cela pourrait représenter, les autorités locales ont pris la décision proactive de déclarer l'état d'urgence dès le 3 avril. Mais pourquoi une telle mesure a-t-elle été jugée nécessaire, et que signifie-t-elle pour les habitants et les visiteurs de cette région pittoresque ? Anticipation d'une affluence exceptionnelle La principale raison derrière cette décision réside dans les attentes d'une affluence sans précédent. Les chutes du Niagara, déjà une destination touristique de renom attirant des millions de visiteurs chaque année, s'apprêtent à accueillir ce que le maire Jim Diodati a décrit comme “de loin la plus grande foule que nous ayons jamais eue”. Les estimations suggèrent la présence possible d'un million de personnes venant observer l'éclipse, un nombre écrasant comparé aux 14 millions de visiteurs annuels habituels. Précautions pour la santé et la sécurité La décision de déclarer l'état d'urgence est avant tout une mesure de prudence. Selon le président de la région, Jim Bradley, cette déclaration “renforce les outils dont dispose la région pour assurer la santé et la sécurité des résidents et des visiteurs”. Cela permettra une gestion plus flexible et efficace des ressources pour faire face à tout scénario imprévu, qu'il s'agisse de contrôler les foules, d'assurer des services de secours efficaces, ou de maintenir l'ordre public face à un afflux massif de curieux. Protection des Infrastructures Essentielles L'affluence exceptionnelle attendue pose également un défi de taille pour les infrastructures locales. L'état d'urgence donne aux autorités la capacité de prendre des mesures proactives pour protéger ces infrastructures essentielles. Cela comprend non seulement les routes et les ponts mais aussi les réseaux d'eau, d'électricité, et les installations sanitaires, qui seront tous soumis à une pression inhabituelle du fait de la densité exceptionnelle de la population. Modification des programmes et dervices Pour se préparer à cet événement unique, la région de Niagara ajustera également certains de ses programmes et services le 8 avril. Ces modifications visent à assurer que les besoins de base des résidents et des visiteurs seront satisfaits sans compromettre la sécurité ni l'ordre public. Bien que les détails spécifiques de ces ajustements n'aient pas été divulgués, ils reflètent l'engagement de la région à gérer l'événement de la manière la plus fluide et sécurisée possible. La déclaration de l'état d'urgence par la région de Niagara en prévision de l'éclipse solaire totale du 8 avril est un témoignage de l'importance que les autorités locales accordent à la préparation et à la gestion des risques. Cette mesure, loin d'être alarmiste, est un pas prudent vers l'assurance que cet événement astronomique rare puisse être célébré dans les meilleures conditions possibles, tout en garantissant la sécurité et le bien-être de tous ceux qui seront présents pour témoigner de ce spectacle naturel époustouflant.
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Rejoignez-nous pour une session enrichissante où Laurence Nadeau, accompagnée de trois invités qui ont franchi le pas de s’installer au Québec, partagera des conseils précieux et des retours d’expérience pour naviguer les défis de l’immigration. Cette discussion ouverte abordera les pièges courants auxquels sont confrontés les nouveaux arrivants et proposera des stratégies pratiques pour les éviter. Que vous envisagiez de déménager au Québec ou que vous soyez déjà en plein processus, ce webinaire est une occasion incontournable de gagner en confiance et en clarté sur votre parcours d’installation. Nos intervenants couvriront une variété de sujets, allant de la compréhension des nuances culturelles à la navigation dans le système de santé, le marché du travail, et bien plus. Marquez vos calendriers et préparez vos questions pour cette session interactive et informative. Présentation : Laurence Nadeau avec 3 invités spéciaux, Victor Armony, Elvire B. Toffa et Arnaud Catherine. Date : mardi 26 mars 2024 à 13:00 en direct de Montréal (18:00 de France)
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https://www.immigrer.com/le-programme-de-mobilite-internationale-plus-pmi-entre-en-vigueur/ Afin d'accélérer la venue de nouveaux travailleurs temporaires étrangers le gouvernement du Québec a mis en place à partir du 24 mai 2022 le programme de mobilité internationale plus (PMI +). Et c'est également à cette date que débute aussi l'élargissement d'un nouvel assouplissement au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET). En quoi consiste le PMI + ? Ce nouveau programme vise les personnes qui détiennent un Certificat de sélection du Québec (CSQ) délivré dans le cadre d'un programme de sélection des travailleurs qualifiés et qui résident toujours à l'étranger. Il s’agit plus précisément des personnes : qui possèdent une expérience de travail dans un secteur prioritaire visé par l'Opération main-d'œuvre, ou encore dans une profession évaluée en déficit de main-d'œuvre dans l'ensemble du Québec; ou qui détiennent une offre d'emploi permanent d'un employeur du Québec, validée par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration. Concrètement, 7 000 personnes par année pourront recevoir un permis de travail ouvert de la part d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Avec ce permis, les personnes pourront donc arriver au Québec plus rapidement et amorcer leur intégration en emploi, en attendant l'obtention de la résidence permanente. Pour le nouvel assouplissement du PTET en vigueur le 24 mai, au total 65 nouvelles professions s'ajouteront à la Liste des professions admissibles au traitement simplifié, laquelle n'a toujours compris que des professions spécialisées.
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🥐 Achat d'une boulangerie au Québec 🥖
Laurent a répondu à un(e) sujet de francketflo dans Acheter, vendre ou créer une entreprise ou un commerce
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Les conséquences de l'adoption d'une loi renforçant la protection de la langue française au Québec a conduit à l'arrêt des activités de plusieurs entreprises dans la province. L'Association for Supply Chain Management (ASCM), basée à Chicago, a suspendu ses opérations au Québec en raison de cette loi, qui exige notamment que les entreprises rédigent en français contrats, offres d’emploi, factures, etc. L'ASCM, ainsi que d'autres entreprises comme PetSmart, OtterBox et London Drugs, ont cessé leurs opérations ou leurs livraisons au Québec à cause de cette législation. Karl Blackburn, président du Conseil du patronat du Québec (CPQ), exprime son inquiétude quant aux répercussions économiques de cette loi, notamment en termes de difficultés à attirer des talents étrangers. L'avocat Vincent de l’Étoile souligne également le dilemme pour les entreprises étrangères, qui doivent évaluer les coûts et bénéfices de se conformer à cette législation. La loi pose aussi des défis pour les petites et moyennes entreprises, avec des coûts supplémentaires et un processus de francisation complexe supervisé par l’Office québécois de la langue française. Les entreprises non conformes risquent de ne pas obtenir de contrats ou de subventions gouvernementales. Francis Bérubé de la Fédération canadienne des entreprises indépendantes souligne le besoin de services pour faciliter la francisation. Le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, n’a pas commenté la situation. Source: https://www.ledevoir.com/societe/804550/protection-langue-francaise-nouvelles-exigences-proteger-francais-font-fuir-entreprises?utm_source=infolettre-2023-12-29
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bilan Témoignage retour en France après 12 ans au Québec
Laurent a répondu à un(e) sujet de Ajer123 dans Bilans et tranches de vie
C’est pas ce qu’elle a dit , et même si c’était le cas ça fait partie de la liberté d’expression et c’est pertinent d’avoir le ressenti de personnes qui quittent le Québec après 12 ans- 72 réponses
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bilan Témoignage retour en France après 12 ans au Québec
Laurent a répondu à un(e) sujet de Ajer123 dans Bilans et tranches de vie
C'est évident qu'avec le temps on finit par oublier pourquoi on est parti et on a tendance à enjoliver son pays d'origine, c'est donc une bonne idée de faire un petit "touchbase" de temps en temps.- 72 réponses
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bilan Témoignage retour en France après 12 ans au Québec
Laurent a répondu à un(e) sujet de Ajer123 dans Bilans et tranches de vie
Merci @Ajer123 pour ce témoignage très pertinent, nous l'avons mis en page d'accueil.- 72 réponses
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Parfois, se rendre directement dans un bureau des passeports et expliquer votre situation peut aider. Ils peuvent être en mesure de vous donner un rendez-vous plus tôt ou de traiter la demande sur place, surtout en cas de voyage urgent.