Médecine au Québec

[Invité]

Bonjour a tous

Je vous remercie infiniment pour vos precieux renseignements. J'ai recement envoye mon CV a recrutement sante quebec et je suis en attente de leur reponse. Neanmoins, un doute m'ulcere: J'exerce en Italie depuis 5 ans comme substitut medecin de famille. Je ne suis par contre pas en possession de la residence de 2 ans qui est demande au Canada et qui, en Italie, ne m'est pas requise.

Pensez-vous que cela portera probleme?

Bonne journee

[Pyrus]

Hello,

Je ne pense pas vu ton expérience.Le CMQ peut faire valoir tes années de pratiques comme l'équivalent d'une résidence en fonction de ce dont tu as exercé...

P.

[Invité]

C'est vrai? y a-t-il des cas precedents? Je suis quelque peu inquiete par ce probleme.

Je te remercie pour ton aide

[Pyrus]

Je connais une personne qui était dans ton cas...et le CMQ a reconnu, plutôt assimiler ses années d'expérience comme celle exigées pour la résidence.

Je pense qu'un des obstacles souvent énumérés est si ton diplôme de médecine de base( pas de spécialité ni de formation supp pour med gén) provient de pays non-européens.Ils sont plus stricts.

J'avais un collègue chir ayant eu son diplôme en Equateur (il est équatorien) mais exercant en Belgique à qui la responsable pour le CSQ lui a refusé le CSQ pcq son diplôme était équatorien.

Je connais des cas similaires mais là c'est le le service de recrutement santé qui a refusé...

Mais, aie la foi...rien est impossible, quand tu as la foi.

Courage.

P.

[Equinox]

Salut

Les 2 années de résidence sont exigées actuellement, c'est même un gros critère de sélection. :desole:

[Pyrus]

Les 2 années de résidence sont exigées actuellement, c'est même un gros critère de sélection. :desole:

[Pyrus]

Rien à voir Dr Eqnox....Tu es arrivé à 694....Tu ne peux pas t'en passer...

Bye.

P.

[Equinox]

C'est vrai, j'aime bien discuté et rendre service, quand je peux

[Invité]

Bonjour,

Connaissez-vous le verdict pour Dr. Bischero?

[Pyrus]

Bonjour,

Connaissez-vous le verdict pour Dr. Bischero?

Salut Rocan,

tu peux esayer d'envoyer un Mp à Bischero( mais il est nouveau) ; je ne connais pas la suite.

A mon avis, tu es aussi doc dans la même problématique ou tu as une connaissance idem?

P.

[Invité]

Bonjour,

Connaissez-vous le verdict pour Dr. Bischero?

Salut Rocan,

tu peux esayer d'envoyer un Mp à Bischero( mais il est nouveau) ; je ne connais pas la suite.

A mon avis, tu es aussi doc dans la même problématique ou tu as une connaissance idem?

P.

Oui, je viens de découvrir ce sujet sur ce forum.

Je suis diplômée en médecine générale en Roumanie, j?ai fait six ans pré-doctoraux, une année de stage postdoctoral, j?ai travaillé presque cinq années comme médecin généraliste/médecine de famille dans mon pays.

En 2003, j?ai immigré au Québec.

J?ai déposé mon curriculum vitae, le chèque et la demande en vue d?obtenir un permis restrictif pour travailler comme omnipraticienne dans un centre de réadaptation en toxicomanie. Je viens de finir un DESS en toxicomanie à l?Université de Sherbrooke, j?ai fait, comme étudiante dans ce programme, un stage de 5 mois dans un centre de réadaptation. Les professeurs, les collègues d?études m?ont beaucoup encouragé à faire ces démarches. Tous m?ont dit qu?il y a une pénurie de médecins dans le domaine de la toxicomanie. J?ai déposé ma candidature il y a une année, au début de mes études.

RSQ a refusé ma candidature, après quelques mois de négociations durant lesquels les choses avançaient bien. Ils ont traité ma demande comme une application pour la médecine de famille, le refuse était justifié par le manque des 24 mois post-doctoraux dans ma formation.

D.

[Invité]

La suite:

J?ai dit que je veux travailler en toxicomanie, pas en médecine de la famille, j?ai demandé une copie du refus officiel énoncé par le CMQ, comme le principal facteur décideur nommé dans la lettre. RSQ ne m?a pas donné une telle copie.

J?ai écrit au collège, j?ai demandé si mes 2 ans supplémentaires ne se retrouvent pas dans une équivalence? J?ai expliqué toute la situation, j?ai demandé quelle est la formation obligatoire pour cette sorte de pratique et quelle est la meilleure définition pour l?omnipratique. Parce que RSQ m?a répondu qu?au Québec, «l'appellation "omnipratique" a été modifiée par "médecine de famille", on utilise l'un ou l'autre mais ces deux termes expriment la même réalité de pratique.», j?ai demandé de m?indiquer le cadre légal le plus précis et le plus crédible (loi, règlement, etc.) qui présenterait quand, où, par qui et en quoi consiste cette modification.

Premièrement, j?avais analysé les exigences du CMQ pour le permis restrictif. Je n?ai pas trouvé la mention de 24 mois de formation postdoctorale.

http://www.cmq.org/Pages/rapides/medextqc/permRest.html

J?ai écrit au collège et j?ai suggéré d?ajouter quelques étapes aux conditions d?obtention :

- Énoncez-vous comme une première étape : Une évaluation préliminaire d?une candidature faite par RSQ en collaboration avec le CMQ (parce que l?application est déposée à RSQ, mais le chèque est fait à l?ordre du CMQ), indiquez le site de RSQ;

- Condition obligatoire, indépendamment du nombre d?années d?études pré doctorales : avoir un diplôme (dans les conditions énoncées) et encore 24 mois de formation médicale postdoctorale bien encadrée (pas des stages aléatoires), pour tout le monde;

- Situation considérée favorable : Avis administratif délivré par le CMQ à RSQ;

- Réception de demande au CMQ et ensuite toutes les autres démarches énumérées;

- Situation considérée insatisfaisante : Refus officiel signé par les deux organisme, RSQ et CMQ indiquant ponctuellement les particularités manquantes et les références légales.

Fixez un échéancier en entente avec RSQ, pour chaque étape. Je me suis adressée à RSQ en automne passé. Un simple égard sur mes conditions était suffisant pour me donner une réponse rapide.

Pourquoi RSQ a demandé les lettres d?appui au centre qui désirait me parrainer si je n?avais pas les conditions exigées ?

Si j?avais regardé ces précisions sur le site du CMQ, je n?aurais jamais commencé ces démarches.

Je me suis toujours soumise aux documentes écrits, parce que « Verba volant, scripta manent. ... »

J?ai beaucoup de questions auxquelles personne n?a exactement répondu.

D.

[Pyrus]

Salut Rocan,

Désolée pour toi...

Je sais que les autorités sont réticents quand ils entendent que les candidats veulent travailler dans les grandes villes.

As-tu essayé de voir dans d'autres provinces avec ton expérience en toxicomanie?

P.

[Invité]

Salut Rocan,

Désolée pour toi...

Je sais que les autorités sont réticents quand ils entendent que les candidats veulent travailler dans les grandes villes.

As-tu essayé de voir dans d'autres provinces avec ton expérience en toxicomanie?

P.

Mais le centre n’est pas situé dans une grande ville. C’est le seul centre public en Montérégie, situé à St.-Hubert, qui offre de services dans toute cette région, de Sorel à Granby, de St-Hyacinthe à St. Jean sur Richelieu et Valleyfield, des services externes et des services internes en partenariat avec les centres communautaires. Dans chaque centre il y a un médecin d’autre institution (CLSC, UMF) qui fait des examens médicaux une journée par semaine. Selon le cadre normatif pour les centres privés ou communautaires qui offrent de l’hébergement, chaque client doit être évalué et examiné par un médecin. Parce qu’au Québec les services médicaux ne sont pas donnés en privé, je pouvais travailler comme employée du centre public et offrir mes services aux clients du centre et aux clients des centres partenaires. Dans une maison privée de thérapie, les services administratifs et une partie des services psychosociaux sont payés par le client. Les services médicaux sont offerts par la régie.

Pour moi, c’était un travail intéressant, j’ai travaillé à la campagne dans mon pays, je faisais les visites à domicile dans dix villages. J’ai connu différents milieux sociaux, plus ou moins défavorisés, des gens plus ou moins disposés à collaborer. Au plus, j’étais très autonome, le cabinet était administré par moi, j’ai collaboré avec un infirmier, j’avais un contrat avec la régie d’assurances sociales de santé.

J’avais déjà commencé le processus d’immigration et je n’avais pas la motivation pour étudier dans une spécialité là-bas. Mais, j’ai travaillé fort avant de quitter mon pays.

J’ai voulu profiter de leur offre, mais je suis toujours ouverte aux autres propositions. J’ai immigré pour vivre ici mais je dois avoir les moyens les plus appropriés. C’était mon choix d’étudier dans ce domaine à l’université, j’ai pris cette décision avant de commencer les démarches pour le permis restrictif. J’ai cherche un programme polyvalent qui me permettrait de glisser vers la pratique médicale ou vers un emploi en intervention.

J’ai deux enfants encore petits, mon mari travaille et il étude aussi (il était ingénieur en construction), nos ressources sont très limités et pour le moment je n’ai pas le support nécessaire pour préparer les examens d’équivalence pour un permis régulier. Au plus, ce cheminement n’offre la garantie d’obtenir une place dans une faculté et après un poste sur le marché du travail. Ces démarches demandent beaucoup de temps, d’argent et la perspective est souvent incertaine (le manque des places pour la résidence, accès limité au marché caché du travail).

La voie d’obtenir un permis restrictif n’est pas très rapide, mais ça donne la possibilité de particulariser la pratique et de favoriser l’accès au milieu et le développement professionnel. Le permis restrictif implique le risque d’être refusé à un moment donné par le CMQ (le permis est renouvelable chaque année) mais les démarches pour le permis régulier sont parallèlement disponibles.

Maintenant, je suis à la recherche d’un emploi comme intervenant, agente de relations humaines, conseillère en toxicomanie, assistante en recherche, etc. Je ne peux plus faire des projets à long terme.

J’ai été déçue de la façon de réponse de RSQ. J’ai dit que je me suis adressée d’une manière officielle, par conséquence j’attends une réponse officielle. Le refus reçu par moi était un message courriel, plutôt improvisé que rédigé.

[Equinox]

L'attitude du CMQ est très stricte sur le stage post doctoral, c'est un critère de sélection qui intervient avant la sélection par santé Canada, et ainsi les médecins étrangers ne font aucune démarche avant cet accord. J'ai correspondu quelques temps avec un couple de médecin français (Vendée) qui avait 25 ans d'expérience de médecine, mais n'avait pas le Stage post doctoral, ils ont été refusé sans recours possible.

Désolé, pour toi, bon courage.

[oreste]

Bonjour,

J'ai besoin d'un renseignement auprès des médecins qui ont réussi la procédure du permis restrictif.

Je dois bienôt passer le stage d'évaluation et j'aimerais venir pour ce 1er séjour de 3 voire 4 mois à Montréal avec ma femme et non pas tout seul . La chose est-elle possible (je le souhaite vivement) ?

J'ai écris au collège des médecins ainsi qu'à RSQ mais on ne m'a donné aucune réponse.

Merci de votre aide.

[Equinox]

Bonjour

Pour amener ta femme aucun problème, puisque tu dois assurer ton logement pour un ou 2 c'est pareil.

Arranges-toi pour connaitre les dates de ton stage assez rapidement, ta femme aura un visa touristique valable 6 mois, c'est pour cela que la date du stage est importante.

Si je n'ai pas bien compris la question, précises moi tout celà.

[oreste]

Bonjour Equinox,

Je crois que tu as compris ma question. Je voulais savoir si je pouvais venir (et c'est ce que je souhaite) avec ma femme passer les 3 mois du stage d'évaluation. En effet, j'ai peur que passer ce stage tout seul à Montréal soit un peu trop dur pour moi.

J'ai envoyé il y a des mois un courriel au colège des médecins leur disant que je voulais passer le stage à partir du 1er avril 2006 et depuis j'attends une confirmation de leur part.

J'ai contacté RSQ et j'attends.

Penses-tu que les délais soient un peu courts pour que ma femme ait un visa et pour que moi je puisse faire toutes les démarches dministratives ?

Je te remercie de ta réponse