Miya Miyassa Posté(e) 15 juillet 2020 Posté(e) 15 juillet 2020 Bonjour a tous, Je souhaiterai poser une question qui sera bénéfique a tous les futurs immigrants, on sait qu'il ya des écoles partout, mais on a su qu'il yavait certaines écoles primaires ou secondaire a éviter car pour une raison ou une autre, elles ont mauvaise réputation. Je voudrais savoir pourquoi certaines ont mauvaise réputation et es ce que on peut les identifier, qu'es ce qui fait que tel école est "dite" mal fréquenté. Je parle de l'école publique, et ma cible dans un premier temps étant Montréal. Ce forum est un forum d'échange, je cherche de l'information, en aucun je voudrais critiquer, diminuer, ou rabaisser un lieu, une communauté, un quartier, je veux juste comprendre afin de faire le bon choix. Merci Df: Juillet 2018 lsa: avril 2020 Ivm: 08/07/2020 vm: 13/07/2020 Bvc: Paris Citer
Habitués Qc19 Posté(e) 15 juillet 2020 Habitués Posté(e) 15 juillet 2020 Les meilleures sont souvent situées dans les quartiers favorisés ou sont privées. Le contraire est aussi vrai. Un quartier défavorisé aura parfois une clientèle provenant de familles moins raffinées. Citer
Fredetchic Posté(e) 15 juillet 2020 Posté(e) 15 juillet 2020 En fait, c'est comme en France: si tu vas en école publique, tu n'auras pas le choix car c'est ton lieu de résidence qui décidera. Après, il y a les écoles avec programme vocation (comme "Santé Globale" ou "Bac International" ) qui font une sélection à l'entrée et permettent ce "dézonage" et une clientèle plus sélectionnée. À ma connaissance, j'ai jamais entendu parler de "boite postale" pour inscrire un enfant ailleurs d'où il devrait aller Sinon il reste les écoles privées: à Montréal et Québec, une bonne sélection et des couts variables (environ 5000$/an). En région, moins de sélection et des couts qui baissent (environ 2500-3000$/an) Même genre de décalage entre public/privé comme en France et même guéguerre Citer
Miya Miyassa Posté(e) 16 juillet 2020 Auteur Posté(e) 16 juillet 2020 Justement c'est pour mieux choisir le lieu de résidence que je pose la question.Donc, c'est comme partout dans le monde ( je ne connais pas specialement la France). Il ny'a pas de raison de s'inquiéte d'avantage alors.Merci pour votre retour. En fait, c'est comme en France: si tu vas en école publique, tu n'auras pas le choix car c'est ton lieu de résidence qui décidera. Après, il y a les écoles avec programme vocation (comme "Santé Globale" ou "Bac International" ) qui font une sélection à l'entrée et permettent ce "dézonage" et une clientèle plus sélectionnée. À ma connaissance, j'ai jamais entendu parler de "boite postale" pour inscrire un enfant ailleurs d'où il devrait aller Sinon il reste les écoles privées: à Montréal et Québec, une bonne sélection et des couts variables (environ 5000$/an). En région, moins de sélection et des couts qui baissent (environ 2500-3000$/an) Même genre de décalage entre public/privé comme en France et même guéguerre [emoji4] Df: Juillet 2018lsa: avril 2020Ivm: 08/07/2020vm: 13/07/2020Bvc: Paris Citer
Fredetchic Posté(e) 16 juillet 2020 Posté(e) 16 juillet 2020 En effet, le décalage entre le public et le privé est sensiblement le même partout, avec des écarts plus ou moins important cependant selon à quel point l'école publique est financée (par exemple, aux USA, il y a un très gros décalage!). Pour faire court, disons qu'au Qc, les écoles privées sont subventionnée à 60% par l'état. Dans les grands centres urbains comme Montréal ou Québec, il y a une certaine sélection des élèves donc il peut y avoir une différence dans la qualité du contenu et de l'enrichissement entre privé et public. En revanche, en région (Estrie particulièrement), du fait d'un bassin de population plus réduit et du nombre important d'écoles secondaires, il y a pas mal de compétition entre les 2, donc moins de sélection à l'entrée. La différence se joue alors surtout au niveau du suivi/soutien des élèves tout en gardant un certain enrichissement et innovation. Mais comme partout dans le monde, vous entendrez la guéguerre de clochers entre public et privé. Débat stérile en soit car souvent du marketing émotionnel.... Citer
Miya Miyassa Posté(e) 16 juillet 2020 Auteur Posté(e) 16 juillet 2020 En effet, le décalage entre le public et le privé est sensiblement le même partout, avec des écarts plus ou moins important cependant selon à quel point l'école publique est financée (par exemple, aux USA, il y a un très gros décalage!). Pour faire court, disons qu'au Qc, les écoles privées sont subventionnée à 60% par l'état. Dans les grands centres urbains comme Montréal ou Québec, il y a une certaine sélection des élèves donc il peut y avoir une différence dans la qualité du contenu et de l'enrichissement entre privé et public. En revanche, en région (Estrie particulièrement), du fait d'un bassin de population plus réduit et du nombre important d'écoles secondaires, il y a pas mal de compétition entre les 2, donc moins de sélection à l'entrée. La différence se joue alors surtout au niveau du suivi/soutien des élèves tout en gardant un certain enrichissement et innovation. Mais comme partout dans le monde, vous entendrez la guéguerre de clochers entre public et privé. Débat stérile en soit car souvent du marketing émotionnel.... Je vous remercie infiniment. Citer
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