Invité Posté(e) 29 décembre 2017 Posté(e) 29 décembre 2017 http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201712/27/01-5148457-la-penurie-touche-davantage-le-cheap-labour.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS1 Or, contrairement à la croyance répandue, cette pénurie n'est pas principalement vécue dans les secteurs de pointe, mais dans des postes de premier échelon, qui nécessitent souvent peu d'expérience ou d'études. Oui, la demande est forte pour les métiers spécialisés comme l'informatique, ce qui cause des problèmes, mais il faut se rendre à l'évidence : le gros des postes vacants est de premier niveau. Ce constat, il vient d'une étude de Statistique Canada publiée début décembre. Selon cette étude, 48% des 367 000 postes vacants au Canada en 2016 étaient des emplois de premier échelon. Et ces emplois, quatre fois sur cinq, n'exigeaient pas de diplôme ou alors seulement un diplôme du secondaire. Citer
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