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petite question à qui pourra me répondre......... comment se fait-il que pour enseigner au primaire, il faut un permis et pas au CEGEP????????? ← Nanne au pays des soviets ! ← ha bon, j'suis pas au Québec, mince alors je me suis trompée

petite question à qui pourra me répondre......... comment se fait-il que pour enseigner au primaire, il faut un permis et pas au CEGEP????????? ← Nanne au pays des soviets !

Merci Aline... Pour tes questions je vais y répondre car à l'origine j'ai une experience de 10 ans comme prof de techno en France seulement le problème c'est qu'ici au Québec pour enseigner en primaire ou en collège au public comme au privé (je reviendrais sur ce detail) il faut un permis delivré par le ministère, il y a tout un dossier à remplir et surtout il faut savoir que l'experience ne compte quasiment pas par contre il faut justifier d'avoir suivi un cours d'au moins 450 heures de pédagogie... bref quand j'ai vu cela j'ai renoncé à une eventuelle carrière d'enseignante et comme ces dernières années j'avais travaillé en administratif j'ai essayé de concilier les deux... Cela fait un an que j'ai commencé à poser des jalons en faisant du bénévolat en soutien scolaire... J'ai posé ma candidature dans plusieurs établissements et commissions scolaires dès le mois de Mai ... et voilà j'ai été accepté dans celui là. Pour les commissions scolaires en général on commence par des remplacements ce qui fait que les propositions d'emploi arrivent seulement maintenant car c'est en ce moment que les absences commencent à se faire sentir... il y aura une autre vague d'embauche m'a t on dit en Avril... Plus haut j'ai dit que dans le privé il fallait aussi un permis d'enseigner, ce n'est en effet pas obligatoire mais de fait les etablissements privés de plus en plus exigent le permis car pour le commun des mortels c'est un gage de qualité d'enseignement puisque référé par le ministère. De plus je crois (à vérifier) que les etablissements privés recevant des subventions ministérielles sont obligés d'exiger le permis... je t'en dirai plus peut être quand je serai à "l'intérieur"... Par contre tu peux enseigner sans permis en CEGEP, au Québec le CEGEP correspond en gros à la terminale et aux premières années de fac... Il faut dans ce cas postuler directement dans les etablissements car eux ne dependent pas des commissions scolaires. Si je peux me permettre un conseil vise plutôt l'enseignement du français plus que celui de l'histoire car il y a bien plus d'offres dans le premier... Bon courage à toi... Ebsline ← Merci pour ta reponse! En effet, n'ayant pas de diplome comme enseignante (qui de toute facon n'aurait pas ete reconnu au Quebec) je pense plutot aux ecoles privees et aux CEGEPs. J'aurais voulu savoir si dans l'ecole francaise (qui devrait avoir son propre fonctionnement interne independant des legislations quebecoises concernant les recrutements) tous les profs sont de l'education nationale ou bien pas forcement. Bref, quel est leur profil. Mais ca tu le verras surement une fois dans le bain! Tiens moi au courant! Bonne rentree! Aline

petite question à qui pourra me répondre......... comment se fait-il que pour enseigner au primaire, il faut un permis et pas au CEGEP?????????

Merci Aline... Pour tes questions je vais y répondre car à l'origine j'ai une experience de 10 ans comme prof de techno en France seulement le problème c'est qu'ici au Québec pour enseigner en primaire ou en collège au public comme au privé (je reviendrais sur ce detail) il faut un permis delivré par le ministère, il y a tout un dossier à remplir et surtout il faut savoir que l'experience ne compte quasiment pas par contre il faut justifier d'avoir suivi un cours d'au moins 450 heures de pédagogie... bref quand j'ai vu cela j'ai renoncé à une eventuelle carrière d'enseignante et comme ces dernières années j'avais travaillé en administratif j'ai essayé de concilier les deux... Cela fait un an que j'ai commencé à poser des jalons en faisant du bénévolat en soutien scolaire... J'ai posé ma candidature dans plusieurs établissements et commissions scolaires dès le mois de Mai ... et voilà j'ai été accepté dans celui là. Pour les commissions scolaires en général on commence par des remplacements ce qui fait que les propositions d'emploi arrivent seulement maintenant car c'est en ce moment que les absences commencent à se faire sentir... il y aura une autre vague d'embauche m'a t on dit en Avril... Plus haut j'ai dit que dans le privé il fallait aussi un permis d'enseigner, ce n'est en effet pas obligatoire mais de fait les etablissements privés de plus en plus exigent le permis car pour le commun des mortels c'est un gage de qualité d'enseignement puisque référé par le ministère. De plus je crois (à vérifier) que les etablissements privés recevant des subventions ministérielles sont obligés d'exiger le permis... je t'en dirai plus peut être quand je serai à "l'intérieur"... Par contre tu peux enseigner sans permis en CEGEP, au Québec le CEGEP correspond en gros à la terminale et aux premières années de fac... Il faut dans ce cas postuler directement dans les etablissements car eux ne dependent pas des commissions scolaires. Si je peux me permettre un conseil vise plutôt l'enseignement du français plus que celui de l'histoire car il y a bien plus d'offres dans le premier... Bon courage à toi... Ebsline

Oui il a plusieurs école ou tu pourras suivre ses formations ici à Montréal tu es mieux d'attendre d'être ici pour bien choisir l'école qui te plaît et les cours interressée... Moi je suis uen formation de technique de comptabilité et de gestion dnas un CEGEP à distances cause que j'ai des jeunes enfants... Tu es de qu'elle ville au Maroc je dois m'y rendre en Janvier pour un mariage alors p-e que je pourrasi t'encourager en achetant tes bijoux pour la cérémonie.. Nancy

Ah !! Merci ZHU !! C'est une très bonne idée de photocopier les pages du passeport : c'est plus simple !! J'espère que tout ira bien et que mes démarches n'empièteront pas trop sur ma dernière année au cégep, surtout pour la visite médicale, l'entrevue, ... Bonne journée, bye bye, Sarah. Merci !!

Bjr, "Les probabilités de réussite Il est risqué de lancer sa propre entreprise" Tout le monde ne peut pas etre entrepreneur,evidement c'est ce caractere et le gout du risque qui definit l'entrepreneuriat,quand les affaires marchent,on est applaudis et honnores,quand ca ne marche pas on passe le charbon,donc il faut un caractere pour se lancer. Cela ne veut pas dire que c'est impossible,s'il y a des faillites a gauche et a droite,cela ne veut pas dire que vous subirez la meme chose,chaque entreprise a sa mission et buts a atteindrent. C'est vrai qu'il faut tenir compte des infos qu'on a des autres entreprises pour mieux se preparer. Vous savez : 1-On ne se lance pas en affaires pour ne plus avoir de patron sur le dos! dans les faits,vous aurez plus de patrons( vos clients) qui sont ou seront plus exigeants que votre patron actuel. 2-On ne se lance pas non plus pour pouvoir prendre des conges quand cela nous chante;En realite ,vous travaillerez plus que vous le faites actuellement en travaillant chez votre patron. Le chef vient le premier et pars le dernier. On est Chef 24 H / 24 H et partout,alors que quand vous travaillez pour un patron,vous pouvez vous limiter seulement aux heures de travail. 3-On ne se lance pas aussi dans l'unique but de faire des profits,en entreprenariat il y a des termes :BENEFICES ET FAILLITES qui existent,un bon entrepreneur doit savoir se contenmir quand il passera par les benefices ou la faillite 4-On ne se lance pas pour reduire son degre de stress,bien au contraire Bref,l'entreprenariat sort de l'interieur ,je dirais meme c'est la vision de l'utlisation de son potentiel. Cela dit,il y a d'excellentes raisons de demarrer une entreprise. -On utilise l'ensemble de ses talents -On est meneur ou leader -On a une vie excitante car fini Madame la routine -On devient un agent economique -On realise son reve et on continue a rever ! Mais avant de connaitre la reussite,il faudra relever quelques defis . Il n'est pas mal de prendre des cours avant de demarrer son entreprise,je pense que cela ne suffit pas,il Faut plutot etre anime par UN DESIR FORT sinon un reve ,une vision qui fait bouger les choses. On peut avoir toute la connaissance,mais on a pas la vision. Quand on a la VISION, on peut s'acquerir les connaissances qu'il faut au fur et a mesure qu'on evolue. Il y a des CEGEP qui offrent des cours de demarrages d'entreprises et tenue des cahiers. Ce qui est bien au canada, est que vous avez toutes l'informations sur internet ,des organismes qui peuvent vous accompagner et les gens sont tres sympas pour vous aider. You welcome dans le monde des affaires ! Ing.Charlemagne Mfera

Tu veux étudier là-bas ? Ou venir en tant que résident permanent ? Déjà la plupart des étudiants qui n'ont pas le sou travaillent... ensuite, si tu es fauché, tu habites près de résidences universitaires ou cegep et tu fais de la colocation donc ça revient moins cher

Salut, Ne manques pas de me contacter ,je suis dans la distribution des accessoires Photo-Video-audio et telephone cellulaires(Sacs,flashs electronique,chargeurs,filtres,objectives,ecouteurs,etuis,batteries Li-Ion ,Cartes numeriques etc etc.....). Il y a des CEGEP qui offrent des ateliers de demarrage d'entreprise et la tenue des cahiers. Entretemps, tu as le CDEC de ton arrandissement qui peut te soutenir dans les demarches ,il y a aussi la Jeune chambre de commerce qui peut fournir des elements,bref , tu as plein d'infos en commencant par votre CDEC . Voici le site de celui de Notre Dame de Grace www.cdeccdnndg.org Courage a vous ! Ing.Charlemagne Mfera

Bonjour !! Je commence auj à remplir mes documents pr mon parrainage (par mon copain) et pour la Demande de résidance permanente au Canada, il y a qq points pr lesquels je ne suis pas certaine, pouvez-vous m'aider ? Question 12 : scolarité année de formation officielle : depuis la maternelle ? je suis au cégep, il me reste 1 an, dc je coche quoi pr le niveau d'étude le plus élevé ? Formation professionnelle même s'il me reste 1 an ? et mon emploi actuel : étudiante ? Voilà, merci d'avance pr vos conseils !! Sarah

Si mes souvenirs sont exacts (et j'avoue d'avance que le CEGEP, dans mon cas ça date de 30 ans au moins) il y avait deux grandes "familles" de cours - les sciences pures (qui menaient à des études universitaires en médecine, mathématiques, physique, chimie, etc) et les science humaines qui regroupaient un peut tout le reste : effectivement des trucs comme les langues ou l'histoire, mais aussi l'administration et donc, la comptabilité Si vous faites une petite recherche sur le site d'un CEGEP vous aurez sans doute un éclairage plus à jour...

Merci kabi pour ton témoignage !! -dans quel Cégep tu suis ta formation ?? -tu t'es inscrit avec un permi d'étude ou tu es résident permanent ?? bonne chance a toi

Bjr, Au Canada les bonnes initiatives sont encourragees. Je suis en phase de demarrage d'entreprise. Grossomodo, il y a plein d'organismes gouvernementaux et prives qui aident dans le demarrage d'entreprise.( je pourrai donner des liens le moment venu ou par demande,parcequ'il y en a tellement trop qu'il faut trier de tout ces blabla bla) Ha oui, c'est possible et vivement recommander de suivre des formations ou cours dans les CEGEP , HEC etc etc...sur le demarrage d'une entreprise pour avoir plus de lumiere la decu,il y a le plan d'affaire a faire et il faut apprendre a le faire. Dans certains cas,il y a le gouvernement qui finance par le biais de ses organismes misent en place les bons plans d'affaires, il y a aussi ceux qui veulent en profiter des idees des autres ce sont les "anges". Tres prochainement je devrai suivre un atelier de demarrage d'entreprise et sur la tenu des livres;en septembre un autre (atelier) cour de pres de 4 H sur l'import au canada. Bref en octobre l'entreprise devrait etre deja en marche. Il va de soi que je partage mon experience sur le forum. Une emission la decu pourrai aider tout le monde. Amclt Ing.Charlemagne Mfera

Lorsque ta fille souhaite faire des études en interprétariat, est-ce pour devenir interprète en langage visuel (auprès des personnes malentendantes) ou interprète en langues (traduction oralement d'une langue vers une autre) ? Dans le premier cas, je crois que le Cégep du Vieux-Montréal dispense une formation en ce sens (AEC en communication et surdité) qui exige la réussite de cinq niveaux de formation de la Langue des Signes Québécoise (LSQ). Dans le second cas, il n'existe pas à mon sens de formation spécifique pour devenir interprète en langues : un baccalauréat en traduction (équivalent de la licence en France) serait peut-être le plus approchant. L'Université de Montréal offre cette formation ainsi que l'Université Concordia (établissement anglophone). La spécialisation en interprétariat exige souvent un deuxième cycle en traduction (maîtrise, équivalent du DESS en France). Enfin, la maîtrise d'une troisième langue est souvent nécessaire pour travailler dans un organisme international. Il existe un Ordre des traducteurs du Québec dont il faut apparemment être membre pour porter le titre d'interprète agréé. Cet ordre reconnaît deux types d'interprète : celui de conférence et celui judiciaire. Tous les détails ici. O'Hana

Bonjour tout le monde, Ma fille a terminé ses études secondaires en Belgique (6 années )et s'est inscrite à l'école d'interprétariat (E.I.I à Mons). Dans la perspective de s'établir au Québec (en région montréalaise), quel serait le meilleur programme à suivre (on me parle de deux années de Cegep suivies de quatre années universitaires ?)Est-ce vrai et quelle université choisir ? Merci à tous Zofia

Toutes les provinces n'ont pas exactement le même système scolaire. Le Cegep est par exemple typiquement québécois. C'est pour ça qu'il ne faut pas se baser sur les équivalences québécoises pour le ROC. Par ailleurs, il n'existe pas d'équivalences officielles entre la France et le Canada, donc même si nos diplômes sont évalués par des organismes reconnus, les employeurs et les universités ne sont absolument pas obligés d'en tenir compte. En ce qui me concerne, mon DESS est considéré comme un master en Colombie Britannique.

Salut Pathos alias le récepteur Si je résume ta situation, tu désires effectuer des études universitaires au Québec mais tu ne possèdes par le diplôme minimalement requis (bacc français ou son équivalent le DEC québécois) pour y accéder. Je pense qu'il est important tout d'abord de savoir si tu as un ou des programmes de formation précisément en tête : de ces choix peut en découler ce qu'on appelle ici des préalables (cours spécifiques dans des matières précises) qu'il faut obligatoirement avoir pour accéder à ces programmes. Surtout s'il s'agit d'aller en sciences pures ou techniques comme cela semble être dans ce qui t'intéresse. Pour l'admission à l'université, il existe une voie d'accès qui s'appelle l'admission en tant que candidat adulte : personne qui ne possède pas le DEC ou son équivalent mais qui détient une expérience professionnelle pertinente et/ou suffisante pour compenser ce "manque". Malheureusement, de manière générale, il est exigé d'avoir au moins 25 ans pour se prévaloir de ce type d'admission. Cependant, je t'invite vivement à contacter le responsable du département dont dépend le programme que tu vises pour lui exposer ton profil et tes compétences et évaluer avec cette personne ton admissibilité ou non. Pour l'admission au cégep, il n'existe pas d'année de transition en tant que telle : encore une fois, je t'invite à contacter le service d'admission (et en particulier l'API ou aide pédagogique individuel en charge du DEC qui t'intéresse) pour voir s'il y a "moyen de moyenner" Les avantages que tu possèdes selon moi est que le français est ta langue maternelle et que tu sembles posséder de l'expérience et des compétences dans le domaine où tu envisages d'étudier. À ta disposition si tu as d'autres questions : il me fera plaisir d'y répondre si je suis en mesure de le faire bien évidemment. O'Hana

Bonsoir, J'aurais besoin de conseils et d'orientations concernant mon cas personnel. Je vais essayer d'être assez succinct, car mon perfectionnisme me force parfois à donner trop de détails, peut-être utiles pour recevoir une aide plus personnalisée. Ceux qui veulent lire directement la question posée peuvent se reporter à la fin du message Voilà, d'origine russe, je suis né en France et le français est ma langue maternelle. J'ai effectué mes études en France jusqu'au début de Terminale S, stade où j'ai décroché pour travailler dans le domaine des télécommunications et d'Internet (start-ups de l'époque). Mais j'ai malheureusement arrêté très vite la désillusion et j'ai alors souhaité reprendre mes études. Plus facile à dire qu'à faire; et quelques «problèmes» psychologiques et familiaux ont suffit à me donner une fainéantise dont j'ai du mal à me guérir parfois. Maintenant je souhaiterais reprendre mes études au Québec, de par l'attrait que je porte à cette région depuis des années ajouté à des motivations bien plus personnelles ;-) Seulement voilà, je n'ai pas le Baccalauréat français - et même si je me suis mis sérieusement à niveau en étudiant aidé par des amis chercheurs en mathématiques et sciences physiques, et en travaillant tout seul les autres matières - la nature annuelle de cet examen m'oblige à perdre encore un an, or j'ai déjà 21 ans (entre mes années sabatique et maintenant j'ai étudié le russe en Russie pendant plusieurs mois). J'ai essayé de m'auto-documenter sur les sites officiels des représentations québecoises, et il en ressort qu'il faut au moins disposer d'un diplôme pré-universitaire pour rentrer dans le premier cycle d'une université ou d'une école (type Polytechnique) au Québec, et si il ne justifie que de 12 années d'études, on est redirigé dans "une année de transition". Donc voici enfin ma question : Existe-t-il une voie d'intégration dans le système éducatif québecois, sur examen, concours, ou sur entretien ? (Par exemple : passer un DEC en candidat libre comme ça se fait pour le baccalauréat en France, ou pouvoir m'inscrire dans une année de transition ou en dernière année de CÉGEP, nonobstant mes 21 ans. Je suis prêt à subir toutes les préparations nécessaires, du moment que je ne me retrouve pas tout seul à 22 ans dans une classe moyenne d'âge 16 ans.) À noter que j'ai un anglais correct, et que je serais prêt à suivre des cours en anglais, mais je préfèrerais rester dans l'éducation francophone dans un premier temps. Merci beaucoup pour cette lecture attentive, et par avance merci de vos réponses éclairées.

Euh je parlais de documents INTERNES rédigés entièrement en anglais! On a beau avoir des partenaires et des clients de tous azimuts, je ne comprends ni n'admets que des documents internes soient rédigés en anglais ou lorsqu'ils sont bilingues, que la partie anglaise vienne avant le français! Et le siège social n'est pas dispersé partout dans le monde, il est ici à MONTREAL au QUEBEC où en 1977 on a instauré la Charte de la Langue Française qui était déjà en vigeur lorsque le Cirque est né (1984). Donc oui je crois que cet exemple est bon pour montrer qu'il y a encore un ENORME travail à faire du point de vu du français en entreprise au Québec ou du moins dans la région métropolitaine! Un autre exemple: dernièrement j'ai assisté à une conférence aux studios du cirque qui était donnée exclusivement pour les employés (donc très majoritairement francophones) et la femme qui a fait l'introduction du conférencier a fait son speech à 50% en anglais !!!! Et 50% je suis gentille! Je ne trouve pas cela normal! On prend trop souvent pour acquis que les francos parlent forcément anglais alors que ce n'est pas vrai! Si au moins les cours au secondaire nous rendaient vraiment bilingues! Ou du moins hautement fonctionnel tant à l'oral qu'à l'écrit (la plus grosse lacune de l'enseignement que j'ai reçu)! Le problème est qu'on nous forme mal et après lorsque vient le moment d'aller dans le monde du travail on se fait virer de bord parce qu'on a pas un niveau suffisant! Et je sais de quoi je parle puisque j'ai une amie RH. Et ce ne sont pas tous les parents qui peuvent payer des cours intensifs à leurs enfants! Comment font-ils ceux qui ne peuvent se le permettre? Encore une fois je vais devoir vous renvoyer aux théories bourdieussiennes (n'est-ce pas O'Hana ). On veut protéger sa culture certes (et je n'ai pas fait des études de Français pour rien, c'est pour la défendre), mais jusqu'à maintenant ce n'est pas la culture qui paie mon loyer et mes factures. Donc je n'ai pas le choix de me tourner vers l'évidence économique tout en restant très consciente de ma culture et de tenter de la protéger et la préserver... Dans un monde idéal le Québec et surtout Montréal se vivrait entièrement en français mais ce n'est pas le cas malheureusement! Je ne peux donc pas en vouloir aux gens ayant l'argent de vouloir envoyer leurs enfants dans des écoles bilingues... Il me semble que c'est un bon "compromis" entre l'évidence culturelle et économique Mais si on veut éviter que les gens soient tentés d'envoyer leurs gamins dans une école anglophone il faudrait que le Ministère se réveille et dispense de VRAIS cours d'anglais où l'on apprendra vraiment la langue! Ils devraient se baser sur les méthodes du Cégep pour l'espagnol ou l'allemand, j'avais de bonnes notions dans ces deux langues après seulement deux semestres!

CHEEEERRRYYYY! J'avais averti Gilles que j'avais tendance à délirer quand je devenais à l'aise (j'ai déjà eu mon émission de radio au CEGEP, donc je me connais). Je n'étais pas sure que c'était une bonne idée de me laisser aller, au cas où je dise des conneries. Mais bon, ça va, je n'ai pas trop gaffé. Tiens, je viens de constater qu'on a coupé la fin! (finalement mes délires ont été censurés! ) En gros, on vous souhaitait bonne St-Jean et bonne dégustation de bière... BONNE FÊTE QUÉBEC! BONNE ST-JEAN!

Bonjour à tous, Je souhaite enseigner dans un Cegep à Montréal ou dans sa région, j'ai un bac en Histoire (et 5 ans d'expérience en France) mais il y peu de postes actuellement disponibles. Je dois arriver à Montréal en juillet 2006, et j'aimerai dans un premier temps faire des remplacements en Cegep. Je ne sais pas si certains d'entre vous ont quelques conseils : -Déjà que pensez-vous de mon profil ? -à partir de quelle époque de l'année doit-on postuler ? -Doit-on les "harceler" ? (courriel, téléphone...) -Y a t-il beaucoup de chance de faire des suppléances ? Merci de votre aide je suis très motivé et je ferai tout ce qu'il est possible.

Personnellement, je suis sceptique. Même si l'audiologiste est une profession à titre réservé et non à usage exclusif (comme les médecins par exemple), de ce que j'en sais, les milieux potentiels d'emploi se trouvent essentiellement dans les réseaux public et/ou para-public : - cabinets de professionnels de la santé - centres hospitaliers - centres de réadaptation - centres d?hébergement et de soins de longue durée - centres de santé communautaire - centres de services communautaires - bureaux de santé publique - écoles - centres de développement de l'enfant - cliniques privées - établissements d?enseignements tels que les universités - Forces armées canadiennes À ce titre, ces milieux sont assujettis à des conventions collectives qui exigent généralement d'être titulaire d'une formation reconnue ou d'être membre de l'ordre professionnel relié pour pouvoir exercer au poste de travail visé (et donc de bénéficier de l'échelle salariale et des avantages sociaux consécutifs). Ex : ma profession de conseiller en orientation (c.o.) est aussi une profession à titre réservé. N'importe qui peut faire de l'orientation mais il faut être membre de l'Ordre pour porter le titre de c.o. Je peux très bien travailler dans le privé sans porter de titre mais dès que je tente le réseau public (intervention dans un cégep ou enseigner à l'université), on exige mon titre de c.o. Je laisse les autres forumistes compléter ou nuancer mes propos. O'Hana ← Merci O'Hana pour cette reponse complete. Mais dis moi, dans la liste ci dessus tu mets les cliniques privees? Elles sont quand meme liees au public? C'est sur que pour ce qui concerne les structures publiques, ils seront probablement exigeants, mais pour le reste? Par exemple, en France, il y a pas mal de cabinets d'audioprothesistes (on ne dit pas audiologue en France) et ceux ci sont souvent lies a des fabricants de protheses auditives (Audika par exemple). Mais je ne connais pas tres bien le sujet... Enfin, au Quebec, n'existe t il pas des cabinets prives ou des cliniques privees?

Personnellement, je suis sceptique. Même si l'audiologiste est une profession à titre réservé et non à usage exclusif (comme les médecins par exemple), de ce que j'en sais, les milieux potentiels d'emploi se trouvent essentiellement dans les réseaux public et/ou para-public : - cabinets de professionnels de la santé - centres hospitaliers - centres de réadaptation - centres d?hébergement et de soins de longue durée - centres de santé communautaire - centres de services communautaires - bureaux de santé publique - écoles - centres de développement de l'enfant - cliniques privées - établissements d?enseignements tels que les universités - Forces armées canadiennes À ce titre, ces milieux sont assujettis à des conventions collectives qui exigent généralement d'être titulaire d'une formation reconnue ou d'être membre de l'ordre professionnel relié pour pouvoir exercer au poste de travail visé (et donc de bénéficier de l'échelle salariale et des avantages sociaux consécutifs). Ex : ma profession de conseiller en orientation (c.o.) est aussi une profession à titre réservé. N'importe qui peut faire de l'orientation mais il faut être membre de l'Ordre pour porter le titre de c.o. Je peux très bien travailler dans le privé sans porter de titre mais dès que je tente le réseau public (intervention dans un cégep ou enseigner à l'université), on exige mon titre de c.o. Je laisse les autres forumistes compléter ou nuancer mes propos. O'Hana

goldman, eh bien j'ai eu la même rélfexion que toi...vu que je n'ai "qu'une" maîtrise moi aussi.et par maitrise au québec on entend DEA français.donc si tu peux le faire passe le, je pense que ce sera toujours un plus.ta maitrise correspond à un bacc. mais peut-être que le fait d'avoir soutenu un mémoire peut donner l'équivalence d'une matrise;car j'ai lu que la matrise québécoise peut être sans mémoire...à vérifier donc..mais si tu ne pars qu'en 2006, tu as le temps de faire un DEA, master2 d'ailleurs depuis l'an dernier pour enseigner à la fac il te faudra un doctorat.donc de toute façon tu devras retourner à la fac au québec.mais avec ta maitrise ou DEA, tu pourras enseigner en cegep je pense.du moins si ta formation correspond aux cours offerts. j'espère avoir répondu à ta question!