Redflag

Salut, Ben depuis peu Sympatico de Bell n'impose plus aucune limite de téléchargement amont ou aval avec son forfait haute vitesse. No Limit ! Et le Câble de Videotron fonctionne à 3Mbits depuis... au moins 5 ans ! Redflag

Salut Antoine, Merci pour ce petit résumé de stations qui va en allécher plus d'un ! et moi le premier : j'ai déjà mes raquettes au pied dans le salon ! Alors quelques coins pour la raquette (désolé je ne skie plus...) : Morin-Heights, une petite station des Laurentides à 1h15 de Montréal, offre un sentier à bon dénivellé sur le flan de la station. Sympa pour une découverte. Le sentier de l'envol à l'entrée du Parc du Mont-Tremblant (1h30 de Montréal), secteur de la diable. Court en été (je viens de le refaire), c'est une autre paire de raquettes en hiver par -20°C. Parc de la Yamaska (1h de Montréal) : trop plat pour moi, mais pour ceux qui aiment les faibles pentes et les lacs gelés, ça peut être un bon coin. Proche de Montréal. À tester car des références, mais plus loin : Mont-Mégantic, le rêve pour tout randonneur hivernal. Maxi-enneigement, maxi-dénivellé, plusieurs sommets, chalets pour la nuit. Observatoire astronomique, vue incroyable, coin très sauvage, j'ai adoré cet été. 2h30-3 h de route depuis Montréal. La montagne du Diable, près de Mont-Laurier à 3h de Montréal. Quels sont tes coins à raquettes Antoine ? Au fait, détail croustillant qui en dit sur la soif de nature des immigrants Français installés au Québec : lundi, j'étais au parc du Mont Tremblant, sur le sentier du Centennaire (ça doit être un sacré morceau en hiver), et y'avait du monde. On a croisé facilement une 20aine de personnes sur ce sentier pourtant classé difficile et à fort dénivellé (400m) : au moins la moitié étaient des Français ! Redflag

Salut la gang, Je reviens sur le sujet et surtout sur le fait qu'Aliénor, tu "flippes", comme tu dis. Je crois qu'il faut simplement faire le point, et voir ce qui te pousse à venir vivre au Québec. Est-ce une petite envie de rien ? Ou un désir plus profond ? Si les raisons sont bonnes, fonce mais surtout informe-toi plutôt que de te faire peur ! Le Québec n'est pas un endroit dangereux, au contraire, c'est un des endroits où la vie est la plus facile, et où l'on progresse facilement sur le plan personnel. En plus, la vie n'y est pas si différente de celle qu'on a connu en France. C'est Laurence je crois qui me disait ça en parlant d'un livre écrit par un Québécois sur les Français : "Quel est le danger suprême pour un nord-américain ? Rouler à 200km/h sur l'autoroute. Pour un Français ? Perdre sa job !" Ici on rebondit plus facilement qu'en France, c'est certain. On atteint plus facilement ses objectifs. Les gens sont gentils, cool, pas coincés, bref, ça rend heureux ! Les motifs de frustration dans la vie de tous les jours sont rares. Si jamais le gros mal de pays te prend, qu'est-ce qui t'empêche de rentrer ? À Bishop, pour terminer : croire que "y'a pas bcp de pays ou en faisant 300km le paysage et les traditions changent", c'est vraiment être chauvin ! En Espagne, les Barcelonais ne parlent même pas la même langue que les Madrilènes ! L'andalousie est sacrément différente du reste du pays ! Que dire des Belges ? Des Suisses ? encore une fois, plusieurs langues et cultures. Redflag

Salut Impatience, Je suis content de voir que "l'Amérique tient ses promesses" : on y est encore capable d'y trouver un boulot en un jour, sans même avoir eu à répondre à une annonce. Ça le fait, comme ils disent en France, vous ne trouvez pas ? Même si c'est pour une jobine ! Une jobine met du beurre dans les épinards et évite de bouffer toutes ses économies. On apprend aussi à jaser local, on fait des connaissances... très positif tout ça... Redflag

Salut la gang, Si j'avais le mal du pays à chaque fois que je passais la porte d'un resto, je serais souvent malade ! Comme Antoinemtl, j'ai régulièrement des nouvelles d'amis d'études qui sont en France et qui se sont faits un bon week-end ensembe, et ça me fait un petit pincement au coeur d'avoir manqué ça. Ma famille me manque aussi, toujours au bout d'un certain temps. Se voir une fois par an ou moins est très peu, et je dirais même pas assez. Mais comme on dit ici, "c'est ça qui est ça". On l'a choisi, libre à nous de rentrer si on le veut. En ce qui me concerne, ce n'est pas le mal du pays qui pourrait me faire rentrer. Manquer quoi ? les grèves, le manque de service, la morosité générale ("c'est la crise", "croissance zéro"... enfin les trucs habituels). Très peu pour moi ! Ah oui ! Objectivement, la diversité des paysages de France me manque un peu. Mais rien ne m'empêche de faire du tourisme quand je rends visite à ma famille. Redflag qui a "bu" les couleurs de l'automne toute la fin de semaine

Salut l'ourson Pourquoi? Ça me semble la suite logique du processus d'immigration, ça augmente l'appartenance à un endroit. Je me sens Montréalais, Québécois, et c'est officialisé par la citoyenneté canadienne, puisque la citoyenneté québécoise n'existe pas. Je parle d'une appartenance physique surtout. C'est sûr que je me sens Français aussi ! Je crois que beaucoup de Français se posent la question d'acquérir ou non la citoyenneté canadienne une fois ici. En fait, cela dépend de l'état d'esprit avec lequel on est venu. Est-on venu pour rester ou pour "voir" juste quelques années ? Si l'on sait à l'avance que l'on ne vient que 3-4 ans ou même moins, la citoyenneté n'est pas nécessaire. Certains vont la chercher quand même. Sur le plan pratique, être Canadien procure des avantages par rapport à être RP. Professionnellement, cela offre un avantage pour obtenir un visa de travail temporaire aux États-Unis et comme d'autres l'ont dit, pour travailler au gouvernement du Canada. Dans la vie de tous les jours, rien ne change. Redflag

Salut la gang, Juste une remarque en passant : il est tout à fait possible de trouver du poulet élevé au grain au Québec, j'ai encore vu des pancartes hier au bord de la route 125 dans la région de Lanaudière. Est-ce qu'il a gambadé dans l'enclos de la ferme ? Ça je ne sais pas, mais il est clairement mentionné "poulet de grain". Je doute qu'on ne puisse pas en trouver à Montréal, aux marchés Jean-talon et Atwater, et dans certaines boucheries-charcuteries. Redflag cot-cot-cot-codec

Salut Maganoub, Je dirais non à 95%. Pour enseigner au secondaire (primaire aussi je crois) au Québec, il faut un permis d'enseigner, que l'obtient maintenant en faisaint un bac de 4 ans à l'université. Cependant, les écoles secondaires (12-17 ans) vivent une pénurie de prof et les vacataires, appelés ici les "précaires" ou non-titulaires, sont parfois des gens qui n'ont pas de permis ! Seulement, bonjour la précarité du travail...enfin tu dois connaître ça, car ces gens-là se retrouvent derrière les non-titulaires qui possèdent le permis, et les étudiants au bac d'enseignement qui sont en fin de cycle. À savoir : les cégep et collèges (enseignement pré-universitaire et technique professionnel, soit 17-19 ans) ne demandent pas de permis à leurs enseignants. Cependant, les bay-boomers ne sont pas encore partis, et le secteur est bouché. De plus, le niveau demandé pour y enseigner est élevé : minimum d'un bac (licence française), maitrise (DEA-DESS français) préférée, plus réussite à un examen de français, le jesaisplusquoi, que j'ai passé, mais qui n'est pas si évident que ça. Redflag

Salut les pti nouveaux Pas facile au début, c'est certain, surtout quand la job est limite niveau salaire. Mais soyez encore un peu patients ! Dans mon domaine (biotechnologie), très difficile, j'ai malgré tout réussi à évoluer. Quand je suis arrivé, j'ai fait des jobines à 8$ de l'heure. Trois ans après, j'étais à 20$ de l'heure. Vous verrez, ça monte vite. Et merci de dire à la planète France qui ne le croit pas quand je le lui dit : la viande est MEILLEURE et dix fois plus tendre au Québec Et aussi on peut manger super bien... Redflag

Salut Cassos, En effet au Québec, pas de quoi s'affoler avec les dénivelés, comme l'indique Laurence. MAIS, car il y a un mais, quelques stations offrent des pentes raides comme pas possibles et certaines un gros dénivelé. À ma connaissance, Owl's head, en Estrie, offre un bon dénivellé et surtout de fortes pentes. Petite station. J'y suis déjà monté à pied. Sans compter sur le panorama sur le Memphremagog (ou le magog ?) gelé en hiver. C'est à 1h30-2h de Montréal. En fait dans le coin les stations se ressemblent du point de vue pentes et dénivellé. Il y a aussi Orford (mont-Orford) et Sutton (mont-Sutton). La station avec ZE plus grand dénivellé à l'est des Rocheuses est au Québec : c'est celle du massif de la petite rivière St-François. www.le massif.com. Il y tombe 650 cm de neige par an !!! Assez loin de Montréal puisqu'en Charlevoix, soit 4h de route environ. Il paraît que la vue sur le Saint-Laurent quand on dévale les pistes est époustouflante. Redflag pas skieux-dévaleux, mais bien raquetteux-grimpeux-descendeux

Salut Enzobre, Pour moi, le mot technologue est du jargon de fonctionnaire qui tente de faire la différence entre un technicien et un ingénieur qui n'en a pas le titre. Clairement, pour le ministère de chépaquoi du Québec, un technologie est hiérarchiquement situé au-dessus du technicien. Maintenant dans les faits, dans le vrai monde du travail, je n'ai JAMAIS vu le mot technologue !!! Aucune offre d'emploi (et j'en ai consultées des milliers) avec ce mot ! Ah si, je l'ai vu une fois : quand j'ai fait une demande d'exonération d'impôts provinciaux à titre de chercheur, celle-ci a été refusée après l'étude de mon dossier, car j'ai été jugé... "technologue" par les gens du ministère de la recherche. Donc pas de souci avec ça. Oublie technologue... Si tu trouves une job dans un grosse pharmaceutique (il y en a régulièrement en dans le domaine du contrôle qualité), attends-toi à un bon salaire Redflag

Salut la gang, Ah douce France... Ça va pas ben pantoute là-bas... comme d'habitude ou presque ! En fait, y'a eu quoi ? 6 ans de prospérité depuis que j'y suis né ? À peu près ça en effet, tout le reste, c'était la crise ! Faut dire aussi que, comme l'a dit un forumiste, les Français sont forts en autoflagellation. On nous apprend tellement à être parfaits dans ce pays que dès que ça déconne un peu, on se tape sur la tête (ou sur celle du voisin) pour compenser ! Eh bien moi je n'ai pas peur de le dire, j'ai FUI la France, son immobilisme, son étatisme, sa culture de la non-ambition, et surtout du cynisme ! Laurent l'a déjà dit sur ce site je crois : en France, la jeunesse est une maladie qu'il faut combattre ! Pas question de sortir des sentiers battus, les portes se fermeront de toute façon. Pour parler de mon domaine : la France forme au bas mot 300 chercheurs en biologie par an. Son marché (si on peut parler de "marché", disons l'État dans ce cas-ci) en absorbe une cinquantaine, les autres iront faire un post-doc aux USA et beaucoup ne reviendront pas, même ceux qu'ils le veulent, car y'a pas d'ostie de job ! Faites le test : sélectionnez "industries pharma et biotechnologie" dans monster.fr, choisissez "toute la France"; il sort entre 33 offres d'emploi. Même test sur Monster.ca : 90 offres, pour une population deux fois moindre. Même test sur Monster.com, restreignez au seul Massachussets (Boston) : il sort 600 offres ! CQFD Vous comprendrez que je ne pouvais pas rester sur le banc de touche, avec le chômage ou le RMI, jusqu'à ma retraite anticipée à 99% de mon salaire que je n'aurais jamais eu.... Redflag "la vie est belle au Québec"

Salut la gang, Pour ceux qui ne connaissent pas le Journal de Montréal, disons qu'effectivement, ça vole pas haut, et qu'on y retrouve en 1ère page, soit la guerre quand y'en a une (ça c'est vendeur), sinon ça peut être le dernier accident d'un camion de 53 pieds sur l'autoroute 15. Vous voyez le tableau... Ah oui ! Je me rapppelle même d'une "une" d'il y a quelques mois : une madame s'est fait vendre un vieux char au compteur kilométrique truqué ! Oui, en 1ère page ! L'enquête en elle-même me laisse perplexe. J'ai lu deux épisodes : le refus du vrai-faux noir (qui est un blanc déguisé) dans un bar. Et aussi le fait qu'on lui dise quelquepart "y'a pas de boulot ici" et qu'à son ami blanc, 5 minutes après, on dise "on cherche toujours du monde icitte, donne ton cv". Elle montre quoi l'enquête ? Qu'il y a toujours du racisme, même à Montréal, et qu'en cherchant bien on finit par en trouver. Car UNE SEULE PHRASE dans un article de 3 pages nous informe que le gars noir a été reçu convenablement dans sa recherche d'emploi PARTOUT là où il est allé à l'exception d'UN SEUL ENDROIT. Pour le bar, il a été soigneusement choisi, le journaliste savait qu'il y avait eu de la bagarre entre noirs dans ce bar avant de s'y présenter avec une autre personne de couleur. Y'avait donc pas mal de chances que les deux "visiteurs" soient mal reçus, ce qui a été le cas. Alors que penser de tout ça ? Fidèle à son habitude, le JdM exagère, caricature, et donne plus d'importance au racisme qu'il n'en a en réalité. Ce que j'ai trouvé niaiseux dans cette "enquête", c'est que le résultat était couru d'avance !!! Sans même lire on connaît la fin ! Il est évident que dans n'importe quelle grande métropole, en cherchant un peu, on va trouver des gestes de racisme envers les noirs ou autres. Le JdM enfonce des portes ouvertes à coup de sensationnalisme pour faire vendre. Demain il nous trouvera un immigrant médecin qui fait taxi et en fera un gros titre, si c'est pas déjà fait. Ah oui, le JdM a pris aussi 2 grosses pages pour nous expliquer comment le gars blanc avait été "peint" en noir, a fait une grosse pub pour le maquilleur, a indiqué le temps que ça a pris, nous a dit que le maquillage était parfait, que la maman du journaliste fraîchement peint ne l'avait pas reconnu en noir et qu'elle avait eu les yeux plein d'eau (sic ! Vous imaginez... la pauvre maman blanche qui voit son fils en noir... elle ne peut que pleurer... c'est terrible ! Son fils est noir !!! À croire que le journal cautionne lui-même une forme de racisme...). On aurait aimé savoir combien de crayons de couleurs ont été nécessaires pour peindre le journaliste en noir, merdeuuuuu !!!! Redflag

Salut, Peut-être que le nouvel accord France-Canada sur le travail des jeunes va faciliter l'accès à des Françaises pour être jeunes filles au pair au Canada. Voir le message suivant : http://forum.immigrer.com/index.php?showtopic=2928 Redflag

Salut Olivejuju, En fait la question à se poser c'est si le coût du transport excède la valeur d'une tour neuve. Une tour coûte environ 60-70$. La souris, tu peux encore la garder, à moins que tu veuilles la changer Le clavier sera à changer (type qwerty ici), environ 25$. Tu trouveras de bons écrans d'occase chez Avantagemicro, sur la rue Papineau, juste au-dessus de l'avenue du Mont-Royal. Va voir leur site Internet (pas toujours à jour) pour avoir une idée. Au fait, tu ne parles pas de mémoire, mais ne l'oublie pas ! (la tienne et celle du PC !) Redflag

Salut, C'est vrai que cette conseillère en fume du bon ! 100m2 pour un trois pièces ! J'espère que le reste de son discours colle un peu plus à la réalité. Allez, le bénéfice du doute : elle s'est plantée dans la conversion pieds carrés/mètres carrés. Redflag

Salut la gang, Et pour en rajouter une couche, de tous les Français rencontrés ici, soit une bonne vingtaine de personnes, la plupart ne parlent pas de retour en France. Seul un couple, des amis d'amis, est rentré après 5-6 ans. J'ai également rencontré un couple de Français dans la cinquantaine sur un sentier de raquettes (ce qui représente une forte probabilité tellement ce sont les Français qui sillonnent les sentiers de raquettes autour de Montréal... ). Ils étaient là depuis 5 ou 7 ans, devenus citoyens canadiens et disaient ne même pas penser à repartir tellement ils se plaisaient ici... Redflag

Salut la gang, En effet Tut, comme tu le dis, cette mesure ne changera sans doute rien de la procédure d'immigration classique. Elle vise plutôt à permettre à des Français de vraiment "goûter" au Canada de façon complète et pas chère, c'est-à-dire en y travaillant pendant un séjour plutôt qu'en brûlant tous ses $ dans un voyage touristique pré-immigration. Je ne connais pas les différences entre un PVT et un visa de RP en détail, mais la principale est qu'un PVT est fermé (durée déterminée de 1 an je crois) alors qu'un visa de RP est valable à vie (quoique maintenant avec la nouvelle loi, c'est peut-être 10 ans à renouveler....). Un an ça passe vite... et ça oblige à un retour en France même si tu te plais au Canada. Résultat : faut poireauter un an de plus en France pour faire une procédure de visa de RP. Par rapport à un PVT qui s'adresse à des gens ayant déjà fait leur études et possèdent de l'exp professionnelle, la nouvelle mesure donnera à des jeunes, étudiants ou non, l'accès au travail en sol canadien, probablement sur une durée courte (on parle d'un "séjour" ou de "vacances"). L'obtention de ce visa spécial sera peut-être plus facile et rapide qu'un PVT, enfin, il reste à mieux connaître la teneur de l'accord. >>Pourquoi Redflag tu aurais aimer faire ca si on te l'avais proposer à l'époque? Moi j'étais déjà fasciné par l'Amérique quand je regardais "Drôle de Dames" au début des années 80... Ça te donne une idée Si après mon bac en France, j'avais eu la chance de me financer un voyage au Canada avec un jobine à la clé, j'aurais sûrement embarqué dans l'aventure ! Redflag Canadien depuis..... hey !!!! Un an déjà !!!

Salut Sebson, Tu dois t'en douter, comme c'est requis par la plupart des pays pour leurs polices respectives, il faut être citoyen canadien pour faire partie de l'un les 3 principaux corps policiers du Québec (Service de Police de la ville de Montréal, Sûreté du Québec, Gendarmerie Royale du Canada). Cela veut dire que tu ne pourrais postuler à un tel poste avant au moins 3 ans 1/2-4 ans ans de présence sur le sol canadien en tant que résident permanent du Canada. Tu auras sûrement plus de renseignements sur les sites des corps policiers du Québec. À noter : les policiers jouissent d'un bon salaire au Québec. Au SPCUM par exemple (ville de Montréal), un policier débute à 30000$ par an et atteint le maximum après seulement 6 ans de service (!), soit 60000$ par an. www.suretequebec.gouv.qc.ca www.rcmp-grc.gc.ca www.spcum.qc.ca Redflag

Salut les néo-québécois, En fait personne ne sait vraiment ce que veut dire cette phrase, prononcée par.... je ne sais plus qui. Le sens le plus "admis" est que cette phrase fait référence à l'histoire particulière des "Canadiens français". Pour certains, elle exprime un certain ressentiment des Canadiens français vis-à-vis des Anglais qui ont eu le pouvoir pendant très longtemps au Québec. D'autres en diront certainement plus que moi là dessus. Redflag

Salut la gang, En voilà une sacrée bonne nouvelles pour "les jeunes qui n'en veulent" et trippent sur l'Amérique ! Si j'avais pu faire ça il y a dix ans, je pense que j'aurais sauté sur l'occasion. Joanna, regarde en détail les différentes rubriques du site, tu en apprendras beaucoup sur comment venir vivre ici. Peut-être même que tu pourras bénéficier de cet accord. Redflag

Salut la gang, Deuxième rectification (décidément !) Il existe au Québec un (peut-être même plusieurs) DESS ! Et le sigle signifie exactement la même chose qu'en France. Une ancienne collègue de travail était titulaire d'un tel DESS, et voilà qu'une nouvelle collègue m'apprend qu'elle est en train de faire ce même DESS en "développement du médicament" à l'Universtié de Montréal (UM). Apparemment c'est un diplôme pour adultes, qui peut se faire sur une durée de 1 à 4 ans. Il faut un bac québécois pour y être admis. J'aurai sûrement d'autre renseignements là-dessus la semaine prochaine. Redflag

Salut la gang, Je ne vois pas où est la propagande dans cette histoire !!! Le chiffre de 15% est avancé par les journalistes, non ? Pourquoi ce chiffre serait-il faux ? Kremmig, pourquoi crois-tu que ce chiffre est faux ? Peux-tu nous démontrer le contraire ? On dirait que tu crois que ce pourcentage de retour est en réalité beaucoup plus élevé. Explique-nous le fond de ta pensée... Redflag

Félicitations Impatience ! Redflag

Et juste pour faire une mise à jour, Je crois qu'il a récemment été démontré que le vin blanc est aussi bon pour la santé que le vin rouge ! Red-and-white-flag Hip !