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cherry

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Tout ce qui a été posté par cherry

  1. Je vous écrit du boulot. Je suis venue lire ce qui s'était écrit sur ce sujet depuis mon départ. Je voulais juste dire.... YÉ! JAYJAY EST DE RETOUR! Il n'y a pas plus calée qu'elle en histoire sur ce forum. T'as pas pu t'empêcher, hein? En tout cas, c'est cool...
  2. L'adhésion à une société et sa culture ne s'explique pas, elle se vit. Si vraiment le mouvement souverainiste était tourné vers le passé, comment expliquez-vous que des Néo-Québécois - et pas juste des Français! - adhèrent au mouvement? Que beaucoup d'Haïtiens soient souverainistes, dont l'écrivain et journaliste Dany Laferrière? Qu'un député du Bloc, Maka Kotto, originaire du Cameroun, ait été élu? Un peu de lecture vous ferait du bien. Cet article date de 1991, mais il résume bien la situation: http://www.vigile.net/3e/socdist/langloissocdist1.html
  3. Le premier colon portant mon nom venait de la région Charente Maritime, d'une commune près de La Rochelle. Il a été tué par les Iroquois, lors du massacre de Lachine, en 1689. Et si je découvre que j'ai du sang autochtone qui coule dans mes veines, je vais être surprise et heureuse de la nouvelle. Mais je ne me sentirai pas moins Québécoise... et je ne déménagerai pas dans une réserve.
  4. Quoi, parce qu'en plus du sang français, on a peut-être du sang irlandais, amérindien... et même anglais, on ne devrait pas se sentir Québécois et différents du ROC?!? On n'a pas de raison de vouloir un pays qui nous représente, avec nos valeurs, nos priorités, notre langue, notre culture, notre héritage religieux? Je ne vois pas le rapport. Les Américains proviennent de partout et cela ne les empêche pas de se dire Américains! Moi j'veux pas savoir d'ou le monde vient, j'v'eux savoir ou y s'en vont. Le monde y peut être blanc, jaune, noir, mauve ou bleu avec des pitons jaune orange, j'm'en calisse. Si ils veulent se battre avec moé, ce sont mes frères. Pierre Falardeau, cinéaste
  5. Tu ne pouvais pas si bien dire DivaR: Ottawa détourne l'argent de la caisse d'assurance emploi à d'autres fins que pour aider les chômeurs! Un surplus cumulatif de plus de 46 milliards de dollars qui a servi à financer toutes sortes de choses... tout en donnant à Ottawa l'image d'un bon gestionnaire. En effet, le gouvernement fédéral annonce en grande pompe des surplus surprises à son budget à chaque année. Dans les faits, l'argent durement gagné par la population - et détourné, je le rappelle - est ajouté aux revenus, dans le fonds de recettes générales du gouvernement, d'où sont ironiquement sortis les 250 millions de dollars des fameux contrats fédéraux de commandites, entre autres. «Depuis de nombreuses années, les gouvernements qui se sont succédés à Ottawa ont détourné des sommes colossales de la caisse de l?assurance-chômage à d?autres fins que celles pour lesquelles ce régime a été prévu. En effet, on a notamment utilisé l?argent de la caisse à des fins aussi diverses que la formation de la main-d??uvre, les subventions salariales, les subsides aux entreprises et bien évidemment la lutte au déficit. Pendant ce temps, le taux de couverture du régime est passé de plus de 80% à environ 40%. On a donc financé une quantité impressionnante de programmes sur le dos des travailleurs et des chômeurs.» http://www.macmtl.qc.ca/Act_politique_DETOURNEMENT.htm Le Bloc Québécois - tsé, les méchants souverainistes! - demande depuis des années à ce que la caisse soit autonome et qu'elle serve à ce pour quoi elle a été crée. À ma connaissance, le gouvernement libéral fait la sourde oreille et continue de piger dans la caisse.
  6. Stantheman, je ne perdrais plus de temps avec toi. Tu es un cas désespéré anyway. Gardes tes croyances, je vais garder les miennes.
  7. En 1761, les francophones formaient 99,7 % de la population; le poids du nombre interdisait aux Anglais de pratiquer une politique colonisatrice trop radicale. Le nombre d'anglophones n'était en effet pas très élevé, il ne dépassait pas les 600 en 1765 La loi constitutionnelle, votée par le Parlement britannique en 1791, sépara la Province of Quebec en deux colonies distinctes: le Bas-Canada et le Haut-Canada (voir la carte du Haut-Canada et du Bas-Canada). Le Bas-Canada (le Québec) comptait alors environ 140 000 francophones et 10 000 anglophones, tandis que le Haut-Canada (aujourd'hui l'Ontario) ne comptait que 10 000 loyalistes anglophones Dans son célèbre rapport de 1839, lord Durham avait recommandé de réunir les deux colonies du Haut-Canada (Ontario) et du Bas-Canada (Québec). Évidemment, ce projet de fusion ne rencontra aucune sympathie de la part des francophones, qui craignaient une colonie centralisée et dirigée majoritairement par les anglophones. Le gouvernement britannique trancha en faveur de la réunion des deux colonies et promulgua en 1840 la Loi d'Union, appelée généralement Acte d'Union (ou Union Act) qui regroupa les deux colonies en une seule assemblée. Ainsi, les deux Canada (Québec ou Bas-Canada et Ontario ou Haut-Canada) devinrent le Canada-Uni par la Loi de l'Union (voir la carte du Canada-Uni) Avec une population de 650 000 habitants, le Canada-Est (Québec) comptait 42 députés à l'Assemblée législative, soit le même nombre que pour le Canada-Ouest (Ontario) avec 450 000 habitants; il s'agissait de forcer une égalité parlementaire artificielle en attendant que le jeu de l'immigration vienne combler l'écart démographique. De plus, le Canada français devait assumer les dettes du Canada anglais, contractées pour creuser des canaux et construire des routes. Enfin, l'article 41 de la Loi de l'Union décréta que la langue anglaise était la seule langue officielle du pays La minorisation et l'anglicisation des Canadiens allaient de pair et devaient constituer l'objectif prioritaire des autorités coloniales. À cette fin, lord Durham avait incité Londres à favoriser l'immigration massive d'Anglais: "L'intention première et ferme du gouvernement britannique doit à l'avenir consister à établir dans la province une population anglaise, avec des lois et la langue anglaises et à ne confier le gouvernement de cette province qu'à une assemblée décidément anglaise." À partir de 1852, les Anglais commencèrent à sentir frustrés à leur tour de se voir obligés de faire élire un nombre égal de députés anglophones et francophones: le Canada-Ouest (Ontario) dépassait de plus de 60 000 habitants la population du Canada-Est (Québec). Avec l'immigration anglaise, qui accentuait l'écart démographique entre le Canada-Est et le Canada-Ouest, la situation politique ne pouvait dorénavant que se détériorer. Pris à leur propre piège, les anglophones exigèrent un changement constitutionnel qui leur assurerait la représentation proportionnelle au Parlement. Étant donné l'instabilité continuelle qui s'était installé au Parlement, les Anglais commencèrent à songer à constituer une fédération. La promulgation de la Loi constitutionnelle de 1867 (appelée jusqu?en 1982 Acte de l'Amérique du Nord britannique) créa la Confédération du Canada, qui réunissait l'Ontario (Canada-Ouest), le Québec (Canada-Est), le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse (voir la carte du Canada en 1867). Le rêve de Sir George-Étienne Cartier (1814-1873), le coprésident du Conseil exécutif du Canada-Uni avec John A Macdonald, est devenu réalité. (...) Dès lors, les Canadiens français se trouvèrent relégués au rang de minorité permanente au sein du Dominion of Canada; même les anglophones du Québec obtinrent un statut privilégié qui les mettait à l'abri de la majorité francophone de la province. Dans la plupart des villes du Québec, l'anglais s'imposa comme la langue de l?affichage, du travail, du commerce, de l'innovation, donc de la promotion sociale. C'est aussi naturellement vers l'anglais que se dirigèrent les milliers d'immigrants qui arrivaient chaque année au Québec (un demi-million entre 1900 et 1950). À force de vivre dans un univers qui ne leur appartenait pas et qu'ils ne contrôlaient pas, les Canadiens français en arrivèrent à ne plus pouvoir nommer cet univers. Les termes anglais s'introduisirent massivement dans la langue de la population ouvrière urbanisée, qui ne connaissait pas les équivalents français. Partout, même dans des villes où les francophones étaient majoritaires, l?anglais était omniprésent, le français boiteux, le bilinguisme rare. En effet, des photos datant de 1900 à 1950 montrant des affiches des villes telles que Québec, Montréal, Trois-Rivières, Drummondville, etc., révélèrent l?omniprésence de l?unilinguisme anglais dans l?affichage. Même la plupart des marchands canadiens-français affichaient en anglais, tellement le commerce était associé à la langue anglaise. De plus, l?étiquetage était à 95 % en anglais, sans compter les modes d?emploi, les catalogues, etc. Etc, etc, etc. Les Canadiens français, envers et contre tous, ne plièrent pas l'échine. Contrairement à ce que tu prétends, les francophones ont toujours été majoritaires au Québec. Les lois linguistiques "honteuses" n'ont été promulguées que pour renverser la vapeur, pour réfléter la réalité francophone. À toi de réviser ton histoire.
  8. StantheMan, tu vas me faire pleurer. T'as raison, les Canadiens Français ont été des gros méchants qui ont fait des lois linguistiques pour vous faire fuir... et non pour conserver leur langue passablement amochée par la Conquête anglaise et par la politique d'assimilation qui a suivi. Ah les pas bons! Après tous ce que les Canadiens Anglais ont fait pour eux!!!
  9. Tous les francophones qui se sont déplacés à Montréal au cours du 20è siècle c'était pour le paysage? lol, non je ne crois pas. L'argent est aussi important pour n'importe quel peuple. Essayer de caricaturer pour se rassurer dans sa position ne marche pas. ← On parle d'un événement précis, de blokes qui débarquent temporairement par milliers chez nous parce qu'ils ont peur et qu'ils prétendent nous aimer, pas de mouvements migratoires!!!! Et je ne comprends pas. Les francophones sont arrivés ici au cours du 20ème siècle?!? Ah ben, tu me l'apprends, je pensais qu'on était arrivé ici au 16ème siècle...!
  10. Je ne cherche pas à faire peur cherry, je m'interroge sur des déclarations claires et précises d'hommes politiques, tu me donnes ton avis je le lis et le respecte mais il n'y a rien de vraiment concret dans tes propos, simplement des convictions mais elles te sont propres. Quand tu écris "Le Canada et les USA n'auraient pas plus le choix de négocier avec nous car ils ont autant besoin de nous que nous d'eux et ils le savent" tu n'as pas l'impression d'être extrêmement subjective là-dessus ? Bonne journée cherry. ← C'est vrai que Paul Martin est plus crédible! C'est vrai qu'en tant que Ministre des Finances, il n'a pas fait d'évasion fiscale. C'est vrai qu'il n'était pas au courant dans le scandale des commandites, où des millions de dollars ont été engloutis pour tapisser les immeubles du Québec du mot Canada et de drapeaux unifoliés... et remplir le coffre du Parti libéral par la bande (de même que les poches de quelques escrocs). Je persiste et signe: le Québec ne pourra pas être ignoré advenant sa souveraineté auto-proclamée.
  11. De un, on avait la France de notre bord. De deux, l'ONU ne nie pas le droit à l'auto-détermination des peuples. La communauté internationale n'aurait PAS LE CHOIX de nous reconnaître, d'autant plus que le Canada a accepté les règles dès le départ (il tente de les changer depuis, mais bon ). De trois, Le Canada et les USA n'auraient pas plus le choix de négocier avec nous car ils ont autant besoin de nous que nous d'eux et ils le savent. Notre départ leur aurait fait mal, et c'est pourquoi ils se sont battus pour qu'on reste d'ailleurs. On ne peut pas faire "comme si", le Québec existe et brasse des affaires. Et quand il y a du fric à faire... Wind, tout ce que tu brandis, ce sont des épouvantails destinés à nous faire peur.
  12. Oui, j'ai aussi été surprise que le comité du NON demande expressément à ce que le ROC ne s'en mêle pas, et pas juste aux politiciens, aux médias anglophones! Depuis quand dit-on aux médias quoi dire et ne pas dire?!? Or, à l'époque, ils pensaient se débarasser de la menace souverainiste facilement comme en 1980, ne s'attendaient pas à ce que ça soit si chaud. L'ingérence souhaitée du ROC est compréhensible (après tout on veut "brisé" leur beau pays! ), mais ça augmente les chances de "gaffes" qui auraient eu des conséquences dramatiques. Donc, profil bas. Voyant que le vent changeait de bord, ils ont paniqué et ont organisé ce fameux love in. Or, cela ne s'est pas fait selon les règles de l'art: des compagnie ont payés les congés aux gens désirant se rendre à Montréal, Air Canada a offert des billets d'avions gratuits, et tout ce beau monde a débarqué avec leur drapeau du Canada. Ces gens ne savent rien sur nous, ils se sont toujours crissés de nous, et là, ils nous aime et ne veulent que notre bien? Ya right! Juste écrire qu'on est une société distincte dans la Constitution leur donne des boutons! Ils ne pensaient qu'à leur cul et à leur portefeuille, point. Ils ont senti la soupe chaude et du coup, se sont "rappelés" qu'on existait. Le pire, c'est qu'ils restaient entre eux, à brandir leur petit drapeau, à crier, à chanter des chansons. Ils ne sont pas venus NOUS voir, ils sont venus parader, nuance. Un voyage tous frais payés...
  13. J'ai beaucoup aimé la première partie, et effectivement, il y a un semblant d'objectivité (je dis bien semblant car comme vous le savez, l'objectivité est un leurre ). Juste une remarque: Lucien Bouchard ne participe pas au documentaire. Il a probablement été approché et son refus en dit long sur le personnage. Ne vous attendez pas à ce qu'il revienne en politique, je le crois totalement désabusé. En plus, son couple a finalement pêté (sa femme ne voulait pas qu'il devienne premier ministre du Québec après le référendum). Dommage, car il avait de la verve et du verbe. Vivement la deuxième partie, c'est là qu'on voit à quel point le Canada nous "aime". Pour ceux qui ne le savent pas, il y a eu un love in à Montréal et des milliers d'anglos du ROC sont venus nous faire ch**r chez nous. Nous nous sommes sentis hyper-agressés. J'ai bien aimé l'extrait qu'ils ont passé hier, où un homme leur dit: "Hier, j'étais un NON, mais aujourd'hui, je suis un OUI!", une façon de leur dire que cette tactique se retournait contre eux.
  14. + 1 ← + 10 ← +100 jimmy ← + 49,42 ← + 50 + 1
  15. + 1 ← + 10
  16. Vous comprenez ce que vous voulez bien comprendre. Je donne des leçons? Fine, restez entre vous et auto-congratulez-vous d'avoir immigré.
  17. Boooooooooon, que dire? Oui, le forum est super, oui il vous a aidés avant, pendant et après l'immigration, oui il vous a permis de rencontrer des gens sympas, des gens qui en plus, traversent les même étapes que vous. Grand bien vous fasse. Mais bon, faut en revenir un peu là. La vraie vie est ailleurs, par sur ce forum, par sur quelque forum que ce soit. Pendant que vous êtes ici à comparer vos notes, la Terre continue de tourner. À force de focaliser sur votre statut d'immigrant reçu et à vous fréquenter mutuellement, vous vous éloignez des raisons pour lesquelles vous êtes venus: changer d'air, découvrir une nouvelle culture, bâtir une nouvelle vie. Et ce n'est pas en vous tenant exclusivement ensembles que vous allez vous "québéciser", que vous allez tirer profit de votre nouvel environnement. Au contraire: vous avez ainsi tendance à regarder derrière plutôt que devant, et l'épanouissement que vous êtes venus chercher ne sera que très limité. Le point de vue n'est pas du tout le même quand vous côtoyez des immigrants comme vous, que quand vous côtoyez des natifs. Vous avez beau manger notre bouffe, visiter, travailler et habiter ici, cela ne suffit pas selon moi pour bien cerner une culture et l'apprécier (ou la détester! ). Attention, je ne vous dis pas de nier vos origines! Je ne dis pas non plus d'envoyer paître les compatriotes que vous croisez! Mais de grâce, ne vous limitez pas aux collègues de travail pour dire que vous côtoyez des Québécois. Je connais plusieurs Français qui ont volontairement pris leurs distances du forum. Ils m'ont dit ne pas avoir envie de focaliser sur le fait qu'ils avaient immigrer, qu'ils en avaient marre de se rappeler comme un mantra qu'ils venaient d'ailleurs et qu'ils étaient étrangers ici, ils m'ont dit souhaiter vivre au présent et mordre à pleines dents dans leur nouvelle vie québécoise. Mon avis: excellente démarche...
  18. Elbsine, inverse les rôles deux minutes: j'immigre en France et je ne me tiens qu'avec des Québécois. J'explore le pays en leur compagnie, je compare, je critique... et je repart au bout de quelques années, en maugréant contre les Français, en n'ayant pas compris la moitié de leur culture (qui se découvre autrement qu'en mangeant du camembert ou en visitant les lieux touristiques), en m'étant sentie éternellement étrangère. Ne fréquenter que des compatriotes n'aide pas à l'intégration et à la compréhension des moeurs car le regard reste toujours extérieur. Ce qui départage un pays d'un autre, ce sont surtout ses habitants, et il n'y a pas meilleur véhicule de la culture profonde. En fréquenter est le meilleur moyen de comprendre vraiment et d'apprécier la culture d'un pays, et ultimement de s'intégrer. C'est mon humble avis.
  19. cherry

    Désillusion

    Oui et non. J'ai l'ouverture d'esprit, la curiosité, j'ai voyagé, je suis débrouillarde et indépendante, mais... j'aime le Québec et je ne ressens pas le besoin de partir.
  20. C'est clair. Mais si on ne fréquente pas que des compatriotes issus d'un autre pays, et qu'on a des amis québécois qui focalise plus sur le présent (et non sur l'avant-après), je crois sincèrement que cela ne peut qu'aider.
  21. Bravo Jimmy et Laurence! Il faut savoir s'adapter à une nouvelle culture. Ce n'est pas qu'une question de bouffe ou de climat, c'est vraiment global. Nous sommes québécois ET nord-américains, et ça a un impact sur TOUT, tant au niveau professionnel qu'au niveau des rapports sociaux, des rapports homme-femme, etc.
  22. Ah, ces Français qui n'arrêtent pas de critiquer...! Je remarque que vous n'avez toujours pas abordé la question du tempérament nécessaire, ou du moins souhaitable, pour réussir son immigration ici. Ne s'intègre pas qui veut, mais aussi qui peut...
  23. En tout cas, Emma a même l'accent québécois! Une super intégration ça! Et c'est vrai que d'avoir des amis québécois, ça aide en ta...!
  24. "Faut une attitude particulière que je n'ai probablement pas", dixit Jimmy. En tout cas, comme tu as la citoyenneté française, tu peux toujours t'installer en France. Mais va falloir te taper toute l'histoire de ce pays avant là!
  25. C'est triste, la webcam ne fonctionne pas. J'aurais bien aimé voir vos bouilles!
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