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Je ne connais pas beaucoup ce groupe, mais suite à ton post, je suis allé sur leur site écouter plusieurs de leurs chansons, mais les textes m'ont un peu découragé. En particulié celle qui déplore qu'on ne fasse plus autant d'enfants que dans le bon vieux temps. Ce genre de réflexion patriotique me met un peu le feu au cul. Biscuit.
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Franchement, cette fameuse "délégation du Québec" à Paris, elle commence pas mal à m'énerver. J'ai de la misère à piger le concept. Elle semble "beurrer épais". D'une part, lorsqu'un organisme vient vous chercher par un bras pour vous convaincre que votre vie serait meilleure ailleurs, c'est louche! Étant donné l'aspect très marketing de cette dite délégation, il faudrait vraiment être naïf pour lui accorder toute votre confiance, en particulier lorsqu'il sagit de jouer tous vos avoirs et acquis. Toujours, essayer de cerner les 2 côtés d'une médaille : c'est un principe de base. Deuxièmement, si vous avez besoin de vous faire séduire par une délégation pour venir chez moi, c'est peut-être que vous devriez rester chez vous. Les Benito, Petits-Prince, Fortsympa et autres habitués du forum ont fait le grand saut parce qu'ils y rêvaient depuis longtemps. Pour vivre différemment et non pas pour s'enrichir en croyant que cela serait plus facile de l'autre côté de l'atlantique. Troisièmement, pourquoi le gouvernement français tolère'-il que l'on vienne leur piquer leur main d'oeuvre qualifiée? C'était mon premier commentaire de l'année! Biscuit.
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Les etats unis ont decide d'envahir canada
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de horsy dans Québec
RÉVOLUTION REFUSÉE : LE CANADA ET LA GUERRE DE L?INDÉPENDANCE AMÉRICAINE 1774-1791 Quand les armées britanniques prirent Québec en 1759 et Montréal en 1760, la colonie française du Canada devint un territoire occupé administré par un gouverneur étranger. Jusqu?en 1763, les Canadiens (c?est-à-dire les habitants francophones du Canada) pouvaient espérer que cette situation ne soit que temporaire et que le Canada soit un jour rendu à la France. Mais le 10 février de cette année-là, la France reconnut sa défaite dans la guerre de Sept-Ans et signa le Traité de Paris, qui cédait le Canada à la Grande-Bretagne. En 1763, les Canadiens étaient donc justifiés de s?attendre à passer le reste de leur vie dans la nouvelle province britannique de Québec, petit coin du grand empire britannique. Pourtant, à l?heure même de son triomphe, le premier empire britannique commençait à se disloquer. À court d?argent pour rembourser les prêts qui avaient financé la guerre de Sept-Ans, le gouvernement britannique tenta de recueillir de l?argent en Amérique du Nord grâce à des taxes directes sur des biens tels que le thé et les journaux. Ces mesures suscitèrent un profond ressentiment, tant dans les colonies américaines originelles de la Grande-Bretagne que parmi les marchands britanniques du Canada, qui partageaient nombre des valeurs et des aspirations de leurs homologues américains. La tension montant et le monde anglophone s?acheminant vers la guerre civile, les stratèges britanniques en vinrent à voir dans les Canadiens des alliés potentiels. Le premier gouverneur britannique du Canada, James Murray, avait déjà pris des mesures pour se concilier les Canadiens. Il ignora des ordres de Londres d?imposer le droit civil anglais, subventionna les communautés religieuses et appuya la nomination de Jean-Olivier Briand comme évêque de Québec en un moment où le gouvernement britannique mettait en doute la loyauté de l?Église catholique romaine. Le successeur de Murray, Guy Carleton, persuada le gouvernement britannique d?adopter en 1774 l?Acte de Québec. Les Britanniques tentaient ainsi de consolider leur position au Canada en se montrant conciliants à l?égard des seigneurs et du clergé, en qui ils voyaient les leaders naturels des Canadiens. L?acte garantissait la tolérance pour les catholiques canadiens, leur permettant de détenir des postes dans l?administration et de siéger au conseil législatif. Il obligeait aussi les Canadiens à payer la dîme et reconnaissait la langue et le droit civil français ainsi que la tenure seigneuriale. Les frontières du Canada se déplacèrent vers l?ouest pour inclure la région des Grands Lacs et le « Territoire indien » entre la rivière Ohio et le fleuve Mississippi. Populaire auprès de l?élite francophone du Canada, l?Acte de Québec ignorait les préoccupations des « habitants » concernant les tentatives des seigneurs de hausser les loyers et de dominer les communautés rurales. Il mit aussi en fureur les marchands britanniques du Canada, qui s?indignaient de l?absence d?assemblée élue et de la reconnaissance du droit civil français. Les Américains, contrariés par la tolérance du catholicisme et l?expansion du Canada dans des terres qu?ils avaient espéré se réserver pour eux-mêmes, considéraient l?Acte de Québec comme un « acte intolérable », autre exemple de l?insupportable tyrannie britannique. Les Américains, qui envisageaient une rébellion armée, cherchèrent aussi à s?assurer le soutien des Canadiens. À l?automne 1774, le premier Congrès continental invita « les habitants opprimés de la province de Québec » à envoyer des délégués. Les Américains traduisirent l?invitation en français et en envoyèrent deux mille exemplaires à Thomas Walker, marchand de Montréal s?opposant farouchement à l?Acte de Québec. Au printemps 1775, quand ces invitations arrivèrent, Walker les distribua aux Canadiens de la région de Montréal. Très lu et discuté, ce texte provoqua peut-être une certaine sympathie à l?égard de la cause américaine, même quand une guerre contre la Grande-Bretagne en découla. Le 15 avril 1775, les soldats britanniques et les rebelles américains s?affrontèrent à Lexington Green, dans le Massachusetts. Ce fut le début de la guerre de l?Indépendance américaine. Trois semaines plus tard, des Américains conduits par Benedict Arnold et Ethan Allan s?emparèrent des forts Ticonderoga et Crown Point, sur le lac Champlain, juste au sud de Montréal. Leur prise permit aux Américains d?avoir accès aux réseau de voies navigables lac Champlain?Richelieu?Saint-Laurent et prépara la voie à une invasion du Canada. George Washington, le commandant en chef américain, espérait que la conquête du Canada et la prise de Québec garantiraient le flanc nord des rebelles contre toute intervention britannique. Encouragé par les rapports optimistes de Thomas Walker, il s?attendait à ce que les Canadiens se joignent aux rebelles et transforment l?invasion en guerre de libération. Le gouverneur Carleton était tout aussi certain que les Canadiens, acceptant désormais l?autorité britannique grâce à l?Acte de Québec, se rallieraient à lui pour défendre la province. Il reconstitua la milice canadienne, importa des uniformes et des armes et attendit que se présentent des recrues. À l?automne 1775, quand les rebelles américains envahirent le Canada, Carleton et Washington furent tous deux déçus. Certains Canadiens appuyèrent les rebelles, d?autres les Britanniques. La majorité demeura neutre. Les marchands anglophones du Canada ne se montrèrent pas davantage empressés à s?engager en bloc pour un camp ou pour l?autre et se partagèrent en factions probritanniques et proaméricaines. Tandis que les Canadiens et les marchands examinaient les choix qui s?offraient à eux, une armée américaine conduite par Richard Montgomery gagna le nord en bateau par le lac Champlain et attaqua Chambly et Saint-Jean, sur le Richelieu. Quand les garnisons de l?armée régulière britannique et les miliciens canadiens capitulèrent, Montgomery occupa Montréal, le 12 novembre, et poursuivit sa route le long du Saint-Laurent jusqu?à Québec. Le 3 décembre, il y rejoignit une deuxième armée américaine, sous le commandement de Benedict Arnold. Après une marche épouvantablement difficile le long des rivières Kennebec et Chaudière, souffrant du froid, d?épuisement, de la faim et de maladies, les survivants de la colonne d?Arnold avaient atteint Québec le 15 novembre. À elles deux, les armées rebelles avaient réduit le territoire aux mains des Britanniques à une minuscule étendue à l?intérieur des murs de Québec. Pourtant l?issue du siège était douteuse avant même qu?il ait commencé. Quoique rudimentaires par rapport à ce qu?on pouvait trouver en Europe, les fortifications de Québec étaient bien assez solides pour résister à un ennemi qui ne disposait pas du moindre canon assez gros pour endommager les murs. En outre, les triomphes américains sur terre n?eurent aucun effet sur la maîtrise des mers des Britanniques. Sans gros navires leur permettant d?affronter la Royal Navy et de bloquer le Saint-Laurent, les rebelles ne purent empêcher les navires britanniques de transporter approvisionnements et renforts à Québec. Donc, tandis que les Américains souffraient de la faim et du froid sur les Plaines d?Abraham, les 357 soldats de l?armée régulière, les 450 marins ainsi que les 543 miliciens canadiens et les 300 miliciens anglophones de la garnison, bien pourvus en nourriture, vêtements, habitations, armes et munitions, étaient prêts à affronter l?hiver. La stratégie de Carleton était entièrement passive. Au lieu de risquer la défaite en sortant défier l?envahisseur, il préférait garder son armée à l?intérieur des murs et attendre que la Royal Navy lève le siège au printemps. Incapable de nuire à la garnison depuis l?extérieur, voire de la gêner véritablement, les Américains tentèrent de s?emparer de la basse ville au cours d?une attaque désespérée dans la nuit du 30 au 31 décembre 1775. Vers 4 heures du matin le 31, alors que Québec était balayé par des vents furieux et une poudrerie cinglante, un officier de la garnison jeta un coup d??il à travers les Plaines d?Abraham et vit des lumières clignotantes, peut-être des lanternes. Il sonna l?alarme et la garnison se mit en état d?alerte au moment même où deux fusées s?élançaient dans le ciel, signalant le début de l?attaque américaine. Quelques secondes plus tard, le feu commença, des groupes de Canadiens, servant avec les rebelles, faisant des attaques de diversion. Près du fleuve, en aval, Richard Montgomery menait 300 New Yorkers vers Près-de-Ville, du côté ouest de la basse ville. Suivant un sentier étroit entre la falaise et le Saint-Laurent, progressant avec peine à travers la neige profonde et des blocs de glace géants, la colonne de Montgomery passa sous le bastion du cap Diamant et se fraya un passage à travers deux palissades. Apercevant la première maison de la basse ville, Montgomery cria « Québec est à nous! » et chargea. À l?intérieur de cette maison, une trentaine de miliciens canadiens commandés par le capitaine Chabot et le lieutenant Alexandre Picard, et quelques marins britanniques sous les ordres du capitaine Barnsfare, étaient en état d?alerte. Quand les Américains s?approchèrent, ils ouvrirent le feu et tuèrent Montgomery et plusieurs de ses officiers. La colonne américaine, gagnée par la panique, s?enfuit et ne revint pas. Au nord de la ville, Arnold et 600 soldats se rassemblèrent dans la banlieue de Saint-Roch et marchèrent sur Québec. D?énormes bancs de neige les ralentissaient; de minuscules flocons de neige s?infiltraient dans leurs mousquets et détrempaient les charges de poudre. Poursuivant sa progression, toujours dans l?obscurité, fouettée par la tempête, la colonne d?Arnold avança à l?aveuglette dans un déroutant dédale de maisons, de hangars, d?entrepôts et de quais reliés par d?étroites rues et ruelles. Conduite par Arnold, la tête de la colonne emporta d?assaut une barricade barrant la rue du Sault-au-Matelot. Arnold tomba, blessé à la jambe, mais ceux qui le suivaient continuèrent de remonter la rue jusqu?à une seconde barricade. Là, ils hésitèrent, attendant des renforts, tandis que derrière eux le reste de la force d?Arnold errait d?une rue à l?autre, perdu et désorienté. De l?autre côté de la barricade, les soldats de la force régulière britannique menés par le colonel Henry Caldwell s?alignèrent dans la rue tandis que les miliciens canadiens commandés par le colonel Noël Voyer prenaient position dans les bâtiments environnants. Les Américains avancèrent munis d?échelles et occupèrent une maison ayant vue sur les défenseurs. Puis Charles Charland, de la milice canadienne, traîna une échelle par-dessus la barricade et la plaça contre le côté de la maison. John Nairne et François Dambourgès, du Royal Highland Emigrants, conduisirent un groupe d?Écossais des Highlands et de miliciens canadiens dans cette maison en escaladant l?échelle. Ils expulsèrent les rebelles et ouvrirent le feu sur les Américains se trouvant dans la rue en dessous. Attaqués de tous les côtés et pris au piège par une colonne britannique venant de l?arrière, les Américains capitulèrent, mettant fin à la bataille. En tout, les rebelles perdirent entre soixante et cent hommes, morts ou blessés, et 426 prisonniers. Cinq des défenseurs furent tués et un fut blessé. Les survivants américains se retirèrent sur les Plaines d?Abraham, où ils restèrent, souffrant de la faim, du froid et de la variole, jusqu?à l?arrivée du Surprise le 6 mai 1776. L?armée rebelle évacua le Canada et n?y reviendrait pas du reste de la guerre. source : Musée de la guerre -
Les etats unis ont decide d'envahir canada
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de horsy dans Québec
+1 Moi, y'a rien qui ne me fait plus frustré que des immigrants qui arrivent ici en ayant aucun intérêt pour la culture locale et son histoire. Et malheureusement, il y en a beaucoup. Alors des horsy qui s'intéressent à leur futur pays et qui partagent leurs connaissances, j'encourage cela Biscuit. -
Les etats unis ont decide d'envahir canada
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de horsy dans Québec
Bof, les américains ont essayé à plus d'une reprise de nous envahir. Ils ont tenté le coup au trente et un décembre mille sept cent soixante - quinze. Les trois quarts de ces pauvres soldats sont soi morts gelés, affamés ou gravement affaiblis par le froid et deux mètres de neiges. Ils auraient dû attendre la saison estivale Biscuit. -
Mes aïeux? Selon moi, c'est un gros bof... Leurs sonorités fait un peu musique québécoise des années '70. Bref, encore un autre groupe qui ne fait que brailler des histoires passées et révolues. D'ailleurs, les Cowboys Fringants semblent vouloir prendre le même tournant. Hors, est-ce qu'on a vraiment envi de se faire dire tous les jours que l'on fait dur et que le monde s'en va nulle part? Dans ce sens, j'aime 100X mieux les Trois Accords. Leurs paroles, c'est du n'importe quoi, mais au moins, ils sont joyeux et très rythmés. Site des 3 Accords Mais bon, ce n'est que mon opinion :heu1: Biscuit.
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L'année 2005 ... un événement ? Une nouvelle ?
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
C'est drôle, je suis presque incapable de nommer un événement positif majeur pour cette année. Nos médias seraient-ils en cause? On devrait les obliger à présenter 15 minutes de bonnes nouvelles à chaque bulletin. -
L'année 2005 ... un événement ? Une nouvelle ?
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de Petit-Prince dans Québec
À mes yeux, l'année 2005 en est une qui aura été très chargée en actualité. Il ne s'est pas passé 2 semaines sans événements médiatiques : - Tsunami - Commission Gomery - l'affaire Nathalie Simard - Mort de Jean-Paul II - Nomination de Michaelle Jean - La situation en Irak qui ne s'améliore pas - Hausse du prix de l'essence - Mariage gai - Retour du hockey - La nature qui se déchaîne un peu partout sur la planète - L'affaire Karla Homolka - Reconnaissance de l'échangisme - Les attentats musulmans - Les élections fédérales - Le mécontententement de la population face au gouvernement Charest - La faiblesse L'Union européenne - Nombre record d'Ouragans Pour ma part, ce que j'ai remarqué, c'est l'absence de "discours d'autruche" face aux perturbations climatiques relié à l'activité humaine. Avec toutes les catastrophes qu'il y a eu cette année, tout le monde se rend bien compte que notre petite planète en arrache. Même ceux qui ne font rien sont maintenant d'accord pour dire qu'il se passe quelque chose. Biscuit. -
Québec vs Australie, Nouvelle Zelande ou Etats-unis
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de sakura dans Québec
Je ne crois pas que ce soi le manque de clarté soi en cause. Ces peuples de chasseurs nomades ont vécu pendant plusieurs millénaires dans un rythme de vie adapté à la survie en article. Puis, du jour au lendemain, nos gouvernements s'y sont pointés en leur donnant un # civique et un chèque de bien-être social en leur disant : maintenant, tout ce dont vous aurez à faire, c'est d'attendre que le temps passe... Biscuit. -
Viens mon chou, mon bijou, mon joujou, t'asseoir sur mes genoux pour lancer des cailloux à ce hibou plein de poux. - Les 7 exceptions sur la terminaison des noms en OU. Vive le français et toutes ses irrégularités, Biscuit.
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Salut, je m'appelle Michel et je suis Québécois B)
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Il n'y a pas qu'au Quebec qu'il neige
BiscuitDérable a répondu à un(e) sujet de celine09 dans Lounge
Elles sont bizare tes photos... Par l'architecture de la maison et l'espace, on se croirait dans une campagne québécoise. Et puis, y'a personne sur les photos? En Europe, vous n'êtes pas censé être 100 000 au kilomètre carré? Ok, je sors... Biscuit. -
Ouais, bien j'ai exagéré un peu en parlant d'arnaque, mais j'ai bien spécifié que les prix sur les articles saisonniers en vallent la peine. Pour le reste, j'ai tendance à être très méfiant. Biscuit.
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Étudier mon français, car mes notions de grammaire sont vraiment... très loin Terminer mon foutu logiciel dont je développe depuis maintenant presque 3 ans et démarrer mon entreprise. Quitter pour de bon la maison de papa et maman. (Ben oui, Biscuit est un grand Tanguy ) Manger plus sainement. Ne plus traumatiser les forumistes d'immigrer.com en piquant des montés de lait sur les sujets chaud. Voilà, je crois que ce sera amplement suffisant pour l'année Biscuit.
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Hihi, toi, tu as tout compris, félicitation! Pour répondre à marie-lo, hier, j'avais un party : 18 Québécois, dont aucun n'est allé au Boxing Day... comme quoi cette journée "mythique " n'est pas un incontournable... Je me suis fait avoir qu'une seule fois avec cette maudite journée : des rabais de 50% annoncés chez HMV music store, 2 heures d'attentes dehors par -20 degrés. Puis, à l'intérieur du magasin, une petite étagère du CD de Chantal Paris chante noel avec son banjo, en liquidation. Je sais bien que j'ai l'air désagréable, mais tenez toujours pour acquis que business is business... Biscuit.
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BOXING DAY = GROSSE ARNAQUE, POINT FINAL! Le phénomène peut laisser croire à une mystérieuse journée quasi mythique ou tout devient soudainement gratuit... mais ce n'est pas aussi merveilleux que l'on pourrait le croire. Les articles saisonniers sont effectivement mis en vente (déco de Noël, vêtements d'hiver, etc.) Pour le reste, n'allez pas croire que la TV au plasma format 16/9 dont vous rêvez tant sera mis à 50% du prix juste parce que c'est le lendemain de Noël Au plaisir de vous faire revenir sur terre, Biscuit.
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Hihi, figurez-vous que nos saguenéens adorés veulent faire homologuer "la tourtière du Lac-Saint-Jean " pour que ce nom devienne d'appellation contrôlée... comme quoi la vie est vraiment ennuyante dans ce coin reculé D'ailleurs, j'aimerais vraiment qu'on m'explique la différence entre un "pâté" et une tourtière. Sinon, chez moi, c'était sandwich aux oeufs, sandwich roulé, crevettes, crudité, salade de patates, dégustation de fromages : Oka, St-damasse, St-Honoré, Rouie, brie de vaudreuille, gouda. Par chez moi, la tourtière, la dinde, la farce et autres artilleries lourdes, ce sera plutôt pour le jour de l'an. Biscuit.
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Merci pour toutes vos réponses! Je crois qu'on peut conclure que le fait d'ouvrir les cadeaux au réveillon de Noël ou au matin n'est pas typique d'un pays, mais plutôt au goût ce chacun Biscuit.
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Bonjour, Seul, loin de votre famille en ce moment de festivités, vous vous emmerdez un peu? Pas de problème, venez me rejoindre à Continuum Subspace : un petit jeu d'action online gratuis ou l'on contrôle un petit vaisseau parmi plus de 400 autres joueurs. Bon, certain dirons que c'est un vieux jeu avec des graphiques boboche... mais ce n'est pas grave, l'important pour avoir du plaisir, c'est le game play! Au début, les contrôles sont un peu difficiles, mais on s'adapte assez rapidement Il y a plusieurs zones. Ma préféré est Metal Gear CFT, et mon pseudo est BareBacking. Alors si voulez vous joindre à moi, laissez-moi un MP! Au plaisir de vous rencontrer, Biscuit. Site de download : Continuum SubSpace
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Puis-je aller vivre à toronto pendant un certain temps?
BiscuitDérable a répondu à un sujet dans Québec
Tu sais, pour chercher un appartement à Montréal, la meilleure des choses serait peut-être... d'y être! De plus, en moins de 10 ans, cette ville est passée d'environ un million deux cent mille à presque deux millions. Cette ville est est aussi saturée qu'étouffante. En tout cas, c'est mon avis personnel, mais sache qu'il y a d'autres endroits au Québec ou il fait bon de vivre Biscuit. -
Acheter une maison à distance, sans jamais l'avoir visité, c'est effectivement de la folie... Mais tu sais ce qu'on dit : qui ne risque rien n'a rien. Très beau récit! J'espère que vous serez heureux ici. Au plaisir, Biscuit.
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Comment? Tu ne t'es pas encore trouvé une charmante Québécoise avec qui passer Noël? Dommage, pour avoir parlé avec d'autres forumistes, tu n'es pas le seul dans cette situation. D'ailleurs, ça risque d'être mon cas prochainement... Ça fait 2 Noëls que je passe dans ma famille à marcher sur des oeufs. Cette année, j'ai offert de faire du Barfi : un dessert indien qu'une copine m'a montré à cuisiner. La guerre a pris parce que j'ai "commis" le sacrilège d'oser introduire quelque chose d'étrangé à un Noël québécois. Tu devrais en profiter pour aller à la messe de minuit, histoire de voir comment ça se passe icitte Aussi, il est un peu trop tard, mais paraît, qu'être bénévole pour Opération Nez Rouge est une très belle expérience et une bonne occasion pour rencontrer des gens. Au plaisir, Biscuit.
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Je me demande si l'ouverture des cadeaux au matin de Noël n'est pas plutôt une coutume anglaise? À moins de me tromper, je crois que les Américains et les Anglais procèdes ainsi. Biscuit.
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Voilà, tout est dans le titre! Chez moi, nous avons toujours déballé les cadeaux lors du réveillon de Noël. Mais en parlant avec plusieurs de mes amis, je me suis rendu compte que la plupart le font au matin de Noël. Et vous, c'est comment? Sur ce, joyeux noel à tous, Biscuit.
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oui est sa conclusion d'assimilitaion est encore une fois a remetre dans le contexte de l'epoque mais veux tu que l'on parle de La Fontaine et de son"manifeste aux electeurs de terrebonne"? Attention à ce que tu vas dire sur Terrebonne, c'est mon patelin et aussi celui de Zogu Biscuit.