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Tout ce qui a été posté par Zogu
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Winnipeg a une communauté francophone intéressante. Ils ont une structure d'accueil, des services en français, beaucoup de solidarité. Il y a des francophones là-bas depuis avant que les anglais n'arrivent... je te recommande de lire l'histoire de Métis et de Louis Riel. Attention, ils sont quand même une minorité et peuvent faire valoir leurs droits au niveau provincial depuis quelques années seulement (l'enseignement du français a d'ailleurs été interdit autrefois). Mais au moins, il y a des écoles en français et des clubs sportifs itou. Côté ambiance de ville... eh bien l'hiver, c'est l'une des villes les plus froides du Canada et il vente à vous glacer les os. C'est méchant comme climat... et contrairement à Calgary, la ville n'a pas de passerelles et de souterrains pour éviter le froid. Évidemment il y a à Winnipeg de bons restaurants et des bars; la ville n'a plus vraiment la mauvaise réputation chantée par Pierre Lalonde, "Winnipeg, les nuits sont longues....". Bref, ça peut valaoir la peine d'essayer. Évidemment c'est pas Montréal et le night life, mais certaines personnes tombent en amour avec Winnipeg. Une de mes amies est allé y vivre pour 3 ans. Puis, elle est revenue pour élever son enfant au Québec, dans un environnement "beaucoup plus francophone quand même".
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Être poche, c'est être pas très bon, être nul. Ça n'a aucun lien avec l'anglais.
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Les offres d'emploi en enseignement public sont rarement annoncées sur Jobboom ou Workopolis; ceux-ci annoncent surtout les offres en "formation en entreprise", bref, dans le domaine privé. Si tu veux accéder au réseau public d'enseignement, alors tu dois surveiller les offres et les annonces sur les sites web des établissements d'enseignement (Cégep ou Université). Par exemple: http://www.uqar.qc.ca/uqar/emplois/liste.htm Hé wow, ils cherchent actuellement quelqu'un en didactique du français!!! Ça rejoint un autre fil de discussion récent, ça!!!!
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Essaie de te renseigner à l'UQAM mais aussi à l'UdeM, car il peut y avoir des différences importantes dans les choix de cours et aussi dans la "philosophie" du département. Il faut magasiner son université! Surtout quand on a le choix!
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Puisqu'on parle de littérature, permettez-moi de proposer trois auteures québécoises de poésie, qui ont chacune marqué leur époque. Évidemment je ne nommerai pas des auteures importantes mais encore vivantes, telles Denise Desautels ou Nicole Brossard. - Rina Lasnier (1915-1997) Son oeuvre est un condensé de l'histoire moderne du Québec. Elle commence sa vie littéraire en écrivant des textes à thème religieux, par exemple "La modestie chrétienne" et "Féérie indienne : Kateri Tekakwitha". Mais le Québec change et en 1956, elle écrit le premier recueil de poésie résolument moderne au Québec: "Présence de l'absence" (elle a quand même été précédée par les textes de voyage d'Alain Grandbois, mais ne digressons pas). Dans les années 1970, la place de la Femme devient prépondérante avec "Femme plurielle", qui ne tombe tout de même pas dans le féminisme militant. Dans les années 80, elle touche au déconstructivisme avec "L'ombre jetée" et d'autres oeuvres post-modernes. "Laisse le nénuphar au lac, laisse le poète à sa solitude; le nénuphar n'a pas dédaigné le pré ou le jardin, le poète n'a pas choisi de chanter; même s'ils baignent dans l'eau pure de la beauté, ils restent mêlés à la boue de la terre par toutes leurs racines..." - Marie Uguay (1955-1981) Elle n'a publié que deux livres avant d'être emportée par un cancer. Et pourtant, elle est l'une de nos auteures les plus célébrées; une bibliothèque municipale à Montréal porte même son nom! Nous possédons de nombreux documents audio-visuels à son sujet: l'enregistrement de la célèbre "Nuit de la poésie" de 1980 et juste avant sa mort, des entretiens avec Jean Royer. Ses textes sont sombres, avec un pressentiment de la mort à venir. "il y a ce désert acharnement de couleurs et puis l'incommode magnifience des désirs il faut se restreindre à dormir à attendre à dormir encore j'ai fermé la fenêtre et rentré les chaises" - Geneviève Desrosiers (1970-1996) La plus jeune et la plus morte de nos auteures. Publié à titre posthume, par des amis, son recueil n'a pas eu une diffusion énorme mais laisse déjà sa marque. Une légende se construit autour de cette auteure et de ses écrits, voire de sa vie. De qui ou de quoi est-elle morte? Mystère. Écrivait-elle vraiment pour être publiée? Mystère. Quoi qu'il en soit, sa correspondance abondante et touffue avec Gilles Marcotte, critique littéraire célèbre, laisse songeur. Pourquoi une artiste aussi bourrée de talent est-elle tombée dans le cynisme, l'autodérision, voire l'auto-destruction? Mystère encore. Ses textes, une trentaine en tout, sont de petits bijoux d'inventivité avec une prose tortueuse et toujours amusante. "Elle a construit mille et un navires qu'elle a déposés sur vos rives Sans songer un seul instant que l'on pouvait calculer les eaux Le ciel l'a abandonnée sur une valise à moitié vide de petits soucis Allez savoir pourquoi, je vous récompenserais Je vous récompenserais."
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La communauté francophone de Winnipeg est très intéressante. Il y a des structures d'accueil, des services en français et beaucoup de solidarité. Pour bien comprendre cette région, je te recommande de lire l'histoire des Métis francophones du Manitoba, avec Louis Riel et toute l'épopée.
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Dis-moi Bouh, peux-tu m'aider à raccomoder ma pauvre mémoire... c'est quelle compagnie de bus qui dessert les Laurentides??? Je crois que ce n'est pas Orléans Express. J'ai déjà pris le bus de Montréal à Saint-Jovite pour aller voir une amie, mais je n'avais pas porté attention à la compagnie de bus. PS: Mes grands-parents ont habité à Labelle pendant 30 ans, et j'y ai passé des vacances mémorables souvent!!! Nous allions pêcher à La Macaza, se baigner au lac Caché, etc. Aujourd'hui, ma grand-mère est toujours dans les Laurentides, mais à Sainte-Agathe, dans une place pour les vieux. Je suis bien content qu'elle soit toujours dans les Laurentides, jusqu'à la fin de ses jours... elle a un beau jardin fleuri et l'air frais qui sent bon le sapinage.
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oh la mauvaise volonté, vous deux!!! je vais vous chauffer les oreilles!!!! PS: J'ai mangé beaucoup de junk food et du mauvais chocolat en France, na!!!
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L'autoroute 25 est une autoroute à débit "normal" (selon les normes québécoises): - travées nord et sud séparées - 2 voies dans chaque sens Ce qu'on appelle "l'accotement" au Québec, c'est le côté de la route, là où on peut arrêter son véhicule (et où la neige est poussée!). L'accotement a été élargi et pavé sur 2m de largeur, pour permettre le passage d'un autobus du CIT des Moulins (CIT: Conseil Intermunicipal des Transports). La voie spéciale est identifiée par une ligne orange double et par des affiches de signalisation au-dessus de la tête. Sur ce plan, la section avec voie réservée correspond au tracé vert à partir de l'entrée sur l'île de Laval (après Terrebonne) et jusqu'au centre de l'île de Laval (après cela, la 25 rejoint la 440, qui est une autoroute bétonnée avec 3 voies dans chaque sens).
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Je vois dans ton profil que tu es ingénieur. Est-ce que tu es ingénieur reconnu par l'OIQ? Quelle est exactement ta spécialisation?
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Eh bien y'a pas de problème de ce côté, puisque l'AMT regroupe toutes les régies de transport autour de Montréal. Le texte date de 2003 et donc la voie réservée est déjà en service depuis décembre 2003. Et je n'ai pas pu l'utiliser en octobre de cette année, quand je suis allé voir ma mère à Mascouche... parce que nous n'étions que 2 dans la voiture... Au contraire, il y a un fort volume et des heures de pointe pénibles; l'autoroute 25 dessert un bassin de population de plus de 300 000 habitants (un large secteur de la rive-nord et tout l'est de Laval). Je ne sais pas exactement quel est le volume de voitures, mais la 25 est une autoroute à 2 voies dans chaque direction et quand j'habitais Mascouche, cette autoroute était déjà utilisée à pleine capacité (et c'était au milieu des années 90. Aujourd'hui, l'autoroute est un peu désengorgée mais c'est la 40 à Repentigny qui déborde. La forte croissance démographique dans ce secteur, couplée à une stagnation du réseau routier et des transports en commun, y sont pour quelque chose. Disons que la voie réservée dans l'accotement de la 25 a grandement amélioré les choses à Terrebonne... et surtout, ils ont ajouté des bus supplémentaires sur le circuit, car il y avait aussi ce problème à l'époque... c'est bien beau les bus inter-municipaux mais quand ils débordent et qu'on doit faire la file pendant 1 heure dehors parce que tous les bus sont pleins, ce n'est pas mieux.
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Sinon... Squirrella, puisque la Green Card est une denrée rare, peut-être que tu devrais en profiter!!! Établis-toi dans le nord des États-Unis et viens visiter le Canada quelques fois, tu auras tout le loisir de choisir... éventuellement! Côté emploi et qualité de vie... c'est très difficile de comparer les deux pays et ça tombe souvent dans les guéguerres idéologiques. Par exemple, mon élan premier serait de te dire "Non non viens-t'en au Canada, c'est bien mieux!!!"... mais c'est l'opinion d'un Canadien qui n'est allé qu'une vingtaine de fois aux USA alors ça n'a qu'une valeur anecdotique.
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La péninsule gaspésienne a quelques villes intéressantes. Rimouski Grande ville universitaire, beaucoup d'emplois. Musées, commerces, etc. Un beau cadre de vie et une croissance économique soutenue. Mont Joli / Sainte-Flavie Un noeud routier important et un aéroport national. Ville industrieuse et beau bord de mer. Institut océanographique. Matane Grande ville industrielle avec un Cégep et des services. Pêcheries, foresterie, etc. Industries qui se diversifient (éoliennes, taille diamantifère, tourisme, ...) Sainte-Anne-des-Monts / Cap Chat Ville de services. Gaspé Ville de services, orientée surtout vers le tourisme. Beau coin pas trop froid. Percé Grand centre touristique. Hors de ces villes, c'est beaucoup moins urbanisé et les services se font rares. Ne serait-ce que pour avoir accès à un supermarché digne de ce nom! Petites exceptions, la vallée de la Matapédia et la vallée de la Témiscouata se portent relativement bien. Leur économie n'a pas été aussi touchée par le déclin de la pêche et de la foresterie. Il y a de larges secteurs de la péninsule gaspésienne où les villages se meurent; par exemple la côte gaspésienne après Sainte-Anne-des-Monts, où des villages comme Marsoui sont en fort déclin. Murdochville, future ville fantôme. Ou encore, certains secteurs de la Baie des Chaleurs, où les emplois se font rares. PS: J'habite près de Rimouski.
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C'est pas vrai... me v'la obligé de trimballer des citadins dans la brousse...
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Si on pouvait faire un bacc dans notre spécialité, puis un certificat (30 crédits) en enseignement... ce serait génial. Mais il me semble que c'était comme cela avant le "virage institutionnel de l'enseignement" dans les années 90.
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OM53: La Nouvelle-Angleterre, ce sont les états du nord-est des USA. Traditionnellement, ce sont les états à l'est de l'Ohio et au nord de Washington.
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L'agonie de l'Afrique se poursuit depuis 4 siècles déjà. Peu de puissances occidentales ont les mains propres; et tant qu'à y être, la Russie et les pays du Moyen-Orient ont aussi leur part de blâme. Au Moyen-Âge, on rêvait en Europe de la grandeur de l'empire du Mali, de l'or de Nok et de la Nubie. On entendait des histoire sur la grande Éthiopie (Aksoum) et sur la reine de Saba. On rêvait des merveilles lointaines et exotiques, dans un imaginaire hérité de la tradition romaine... une Afrique noire embellie par la distance, puisqu'on ne pouvait la voir ou la toucher (à cause du "cordon musulman" sur le nord du continent); bref, l'Afrique noire faisait encore rêver. Mais quand les européens sont débarqués en Afrique noire, à la Renaissance, qu'ont-ils trouvé? Le Mali s'était effondré (à cause des changements sur les grandes routes commerciales), le royaume d'Aksoum, en déclin, était en guerre contre ses voisins Somali, les arabes vendaient déjà des esclaves noirs, les terres bantoues étaient en proie à la sécheresse. Ainsi, il y a eu un changement radical de perceptions: l'Afrique de rêve est devenue, dans notre imaginaire, une terre de pauvreté et un lieu sans grandes civilisations. C'est le point tournant dans la perception européenne de l'Afrique. Avant il y avait de la curiosité; après, du mépris. Ensuite? - Traite des esclaves (avec la complicité des peuples du littoral, qui allaient capturer des tribus entières dans l'Afrique intérieure). - Rouleau-compresseur chrétien (en concurrence avec le rouleau-compresseur musulman). - Colonialisme et exploitation du territoire et des gens. - Indépendance des états africains... avec frontières coloniales (donc, arbitraires et ethniquement ingouvernables). - Guerres civiles et massacres inter-ethniques. - Saignée de l'économie africaine (par des "prêts au développement" impossibles à rembourser... les intérêts aux créanciers de certains états dépassent aujourd'hui leur PIB). - Ingérence idéologique (communisme, anti-communisme, révolutions provoquées, aide aux dictateurs). - Néocolonialisme économique (par les grandes entreprises occidentales, par exemple BP au Nigéria qui "gère" la guerre civile à son avantage). Et quoi encore? Heureusement il y a de l'espoir... Les leaders occidentaux oeuvrant pour la renaissance de l'Afrique sont le Canada et certaines églises chrétiennes. Au Canada et ailleurs, beaucoup de gens militent pour: - l'effacement de la dette des pays du tiers-monde (héritage idéologique de Jean Chrétien... le Canada a effacé pour des centaines de millions de dollars de dette) - le développement durable et viable - les coopératives de développement local (souvent des groupes de femmes) - les pays africains comme partenaires d'égal à égal et non comme des "succursales" - le boycott des produits "sanglants", comme les diamants qui financent la guerre civile au Congo - le support aux organismes pan-africains
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Moi je connais surtout Denise Bombardier Mais en passant... je crois que dans ce genre d'exercice, on devrait éviter de porter notre dévolu sur les personnes encore vivantes. Faut pas oublier que jusqu'à son dernier soufle, le plus grand génie peut encore devenir un crétin. Et ça peut être gênant pour ceux qui l'ont encensé de son vivant. C'est plus facile (et plus sûr) d'avoir une certaine objectivité quand on parle des personnes déjà mortes; bref, on a une meilleure perspective sur les gens qui ne nous sont pas contemporains. Sur ce... n'oubliez pas de mentionner Jeanne Le Ber.
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Avec une maîtrise française (réduite à un bacc québécois), tu peux enseigner seulement au Cégep. Pour enseigner à l'université il te faut le doctorat (et souvent du travail postdoc est exigé); par contre, tu peux faire des charges de cours si tu as une maîtrise ou un doctorat. Pour enseigner au primaire ou au secondaire, ça te prend un bacc en enseignement (donc 3 ans et +). Gnaaaa! C'est vraiment idiot... pendant que je faisais mon bacc en informatique à Montréal, le Ministère de l'Éducation a décidé que désormais, tout enseignant au niveau secondaire devra posséder un bacc en enseignement. Paf! Je suis tombé en bas de ma chaise. Moi qui aurait aimer enseigner l'informatique aux jeunes... voilà qu'on me l'interdisait! Alors qu'est-ce qu'on devrait provilégier? Des gens compétents dans leur spécialité, ou bien des experts en pédagogie? Évidemment on ne peut pas avoir les deux. Moi je crois que le MEQ a fait fausse route; je connais plein de gens très compétents dans leur domaine, des passionnés qui aimeraient l'enseigner à l'école secondaire... mais ils ne peuvent pas. La priorité du MEQ, c'est d'avoir des enseignants polyvalents et interchangeable, des "enseignants généralistes experts en enseignement" et pouvant enseigner 3 ou 4 matières au besoin, sans trop se spécialiser. Ça ne favorise certainement pas des passionnés dans leur matière d'enseignement; pas étonnant que les étudiants décrochent.
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Salut! Pendant ma maîtrise en informatique, j'ai fait le cours Bioinformatique 1. C'était à l'université de Montréal; nous avons un excellent labo où les gens travaillent sur la structure quaternaire (3D) du ribosome et des ARN messagers.
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Je crois que c'est une très très mauvaise traduction en français de "torpedo plate" ou quelque chose du genre. Bien franchement, je crois que même en anglais, l'expression est impropre. Bref, il s'agit probablement d'un plat de service surmonté d'une cloche en métal.
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Eh bien Olivier, tu me demandais pourquoi les québécois ont un peu peur de la "justice" aux USA. Tu vois maintenant; ça peut assez rapidement devenir un vrai labyrinthe. Surtout avec les sherif de comté, les highway patrol, la police municipale, etc. Surtout si tu es un canadien (ou si tu as une plaque d'immatriculation canadienne). Pour un shérif, la seule présence d'une plaque canadienne est une preuve que tu roules trop vite. Va savoir pourquoi! Mon père s'est fait arrêter une fois aux USA pour "speeding" (vitesse excessive), et pourtant il roulait à 65 mph... lui qui est exagérément prudent sur la route (mon père était enquêteur de police). L'explication du policier américain? "That's because of your darn kilometers. It makes you speed. " Ouaaaiiis. J'ai eu aussi une confrontation qui aurait pu mal tourner à Woburn, minuscule poste frontière, avec le douanier. Le gars a dégainé son flingue et me l'a agité sous le nez, en baragouinant des trucs incompréhensibles. J'ai fini par comprendre qu'il ne pouvait pas croire que 4 jeunes adultes roulant en voiture à 22h00, ne transportaient aucun alcool. Il a fallu vider toute la voiture devant lui pour lui prouver que nous n'avions ni alcool ni drogue. Il a même inspecté notre compartiment moteur! Puisqu'il était seul et que nous étions 4 personnes, les 3 passagers de ma voiture ont dû rester assis avec les mains visibles pendant tout ce temps. Ensuite il a fallu lui faire comprendre que nous traversions le Maine pour aller en Nouvelle-Écosse (par le traversier rapide Bar Harbor - Yarmouth)... lui, le p'tit coco fragile, il ne comprenait pas qu'on puisse passer par le Maine pour aller du Québec à la Nouvelle-Écosse. "Ferry? What ferry?" Avec tout ça, on a failli manquer notre traversier.
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Il existe une carte commune pour la STM (Montréal) et la RTL (Longueuil). De la rive-sud, tu peux prendre: - le métro (station Longueuil, à 3 stations du centre-ville et du quartier latin!) - les bus express avec voie réservée sur le pont Champlain (vers le centre-ville, station Bonaventure) - les autres bus inter-cité (entre autres, vers la station Radisson dans l'est) - le train de banlieue (mais attention le service est limité et il n'y a que quelques gares) Tout est sur le site TEC de l'AMT: http://www.tec.amt.qc.ca/
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Non. À peu près toutes les marques sont acceptables. Le reste, c'est une question de budget et de style personnel.
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Oui, il y a encore de la place pour les webmestres et pour les développeurs web. Bonne chance dans vos recherches d'emploi... et n'oubliez pas de lire Jobboom... à la fois pour les offres d'emploi ET pour les artciles sur le marché / sur la recherche d'emploi efficace.