O'Hana

Je serai tenté de te dire, en toute subjectivité évidemment, les pets de soeur ou "flatulences de nonnes" (cf. épisode de "la Petite Vie") Dessert qui se compose de pâte à tarte enroulé avec de la cannelle, j'en raffole O'Hana

Salut, Une hypothèse que je pourrai te proposer serait la suivante, basée sur ma propre expérience et sur les petites infos que j'ai pu soutirer des procédures en interne au CIC : - théoriquement, une décision est prise à chaque étape importante du processus d'immigration (évaluation du dossier du candidat sur son profil, diplôme, etc ; résultats de la VM ; enquête de sécurité) - ainsi, l'ambassade prend une décision après chaque étape et, dans mon cas, une décision avait été prise (et affiché sur mon cyberdossier) APRÈS ma VM positive mais AVANT que l'enquête de sécurité n'ait été complétée Il se pourrait donc que, dans ton cas, une décision ait été prise suite à l'évaluation de ton dossier ou suite à la réception de tes résultats médicaux et qu'ils n'aient pas encore fini ton enquête de sécurité. C'est l'option qui tient le plus selon moi car une évaluation de dossier prend peu de temps, le médecin agrée ne perd pas de temps non plus pour transmettre les résultats médicaux. C'est donc généralement l'enquête de sécurité qui prend du temps : as-tu beaucoup voyagé depuis tes 18 ans ? Et/ou as-tu séjourné dans des pays "sensibles" (Chine, Moyen-Orient, etc) ? Enfin, rajoute à cela le fait que le CIC manque de fiabilité dans la mise à jour des cyberdossiers et la légendaire lenteur des processus administratifs ... Courage, O'Hana

Salut, L'hypothèse que je vois est que le visa de ton ami (je pars ici de l'hypothèse qu'il s'agit d'un visa de résidence permanente) : - a été officiellement délivré le 30 octobre 2003 par l'ambassade canadienne qui a traité sa demande (date d'émission du visa) - et qu'il est valide jusqu'à la date du premier anniversaire de la visite médicale que ton ami a dû passer durant le processus. Il semble donc qu'il a passé sa VM le 07 janvier 2003 (ceci allant dans le sens de l'année de validité du visa à partir de la date de la VM dont parle Pom) C'est la seule explication plausible que je vois : un visa ne pouvant être officiellement délivré avant la VM mais peut être très bien délivré des mois après la VM (de janvier à octobre, ça fait quelque chose comme 10 mois ..). Si d'autres forumistes ont une autre option à proposer ... O'Hana

Salut Themis, Cela dépend généralement du domaine de formation dans lequel tu as fait ta maîtrise. Ainsi, le baccalauréat québécois dure trois ans ce qui équivaut à la licence française qui a la même durée. Sauf que certains baccs québécois durent quatre ans (en particulier ceux en enseignement préscolaire, primaire et secondaire et ceux en génie) qui correspondent, en terme stricte d'années universitaires à une maîtrise française. Dans ce cas, une maîtrise française se rapprocherait davantage d'un bacc ou bachelor. Cependant, le MRCI considère de manière générale qu'une maîtrise française équivaut à "la première année de maîtrise québécoise complétée" car la maîtrise québécoise se fait en deux ans (et regroupe ainsi la maîtrise et le DESS ou DEA français). D'ailleurs, le grade universitaire suivant est le doctorat au Québec. Finalement, ce raisonnement s'applique essentiellement qu'au Québec qui possède ses particularités propres en éducation (exemple : c'est seulement au Québec qu'existe le niveau collégial depuis 1968 je crois entre le secondaire et l'universitaire alors que ce niveau n'existe pas ailleurs au Canada). O'Hana

Oui ... Bon an mal an, on est assurés au Québec que l'hiver s'en vienne et c'est personnellement toujours un plaisir de lui souhaiter la bienvenue (on s'en reparle au mois de mars ). Après la bordée de neige qu'on a eu hier à Sherbrooke (pas drôle de se retrouver, dans une côte, juste derrière un bus jaune scolaire qui patine : rien de telle qu'une petite frayeur le matin pour commencer sa journée ...), le temps était plus clément aujourd'hui. Pas de vent, pratiquement pas de flocons mais un beau tapis de neige et, vers 15-16:00, lorsque les rayons du soleil ont commençé à être rasants, quelle délice pour les yeux de voir le ciel rouge-orange derrière le Mt-Orford ... Merci la vie ! O'Hana

Salut, Les ordres professionnels justifient leur existence notamment pour jouer un rôle de régulateur sur le marché en imposant des conditions strictes d'exercice de telle ou telle profession. Mais, à mon sens, ils sont là surtout pour protéger le public et encore plus pour préserver leurs intérêts économiques. Un bon exemple : le collège des médecins du Québec. Sachant qu'il n'y a que trois facultés de médecine au Québec (Montréal, Laval et Sherbrooke), c'est certain que le Collège et ses trois universités doivent marcher main dans la main pour une préservation mutuelle des intérêts de chacun ... En ce sens, je rejoints Passemots sur le fait que ce ne sont pas les immigrants qui sont spécifiquement visés par l'abondance et la contrainte qu'imposent les ordres professionnels au Québec. Je dirai même que les ordres proposent de plus en plus des admissions parallèles, i.e. une possibilité de devenir membre même si la personne a une formation hors Québec (j'ai pas dit hors Canada mais bien hors Québec). Après, comment chaque ordre élabore le processus de sélection et d'admission, c'est une autre histoire : une bonne intention n'est pas nécessairement suivie de bonnes actions ... O'Hana

Salut Fleuf, C'est vrai qu'un stage non-rémunéré à distance, c'est pas la joie et certainement à oublier ... Car le CIC exige une rémunération pour que tu puisses subvenir à tes besoins durant toute la durée de ton séjour ici à mions que tu ne puisses prouver que tu as déjà les fonds nécessaires (avec preuves à l'appui). Je crois donc aussi qu'il faudrait que ton ami devrait demander une rémunération, un dédommagement appelle cela comme tu veux et cela devra être clairement inscrit noir sur blanc sur la lettre de proposition de stage à remettre à l'ambassade. Après cela, tout dépendant de l'ouverture de la boîte en question, si elle peut proposer officiellement des choses juste pour rassurer le CIC ... Pour ce qui est des stages automatiquement rémunérés, en général ils le sont oui mais cela peut dépendre aussi du domaine d'activité : en sciences humaines par exemple, c'est l'exception encore d'être payé. Mais en info, généralement, il y a une rémunération. O'Hana

Salut Ambre, Moi itou j'ai fait ma demande de résidence depuis le Canada et j'ai donc dû faire ma demande de CJ à distance : si je me rappelle bien, si tu es née en France, c'est effectivement à Nantes qu'il faut que tu adresses ta demande, si non, c'est au Tribunal de Grande Instance de ton lieu de naissance qu'il faut que tu fasses ta demande. Dans mon cas, je suis passé par un TGI et ça a pris un mois et demi pour recevoir les deux extraits de CJ que j'avais demandé (deux exemplaires au cas où, de toute façon, c'est gratuit). J'imagine qu'avec Nantes, c'est plus rapide. O'Hana

Hé oui, le compte à rebours a commencé ... Car le 1er mars est, à la grandeur du Québec, la date limite pour envoyer sa demande d'admission dans tous les établissements d'enseignement que ce soit à l'école du Soleil-Levant à Sherbrooke (secondaire), au Cégep de Baie-Comeau sur la Côte-Nord (collégial) ou encore à l'Université du Québec en Outaouais (universitaire) pour espérer y effectuer sa rentrée à la session d'automne. Du côté des étudiants finissants de ces trois ordres d'enseignement, ce n'est encore qu'un frémissement à peine perceptible, mais après les fêtes de fin d'année, ça va être la course, pour ne pas dire la panique totale, pour faire ses 1er et second choix de programme à l'université ou pour trouver la meilleure stratégie pour intégrer tel cégep avec les trois tours d'admission. Les conseillers en orientation des différents services d'orientation des écoles et même ceux en pratique privée, attendent comme à chaque année, et comme l'arrivée du Beaujolais nouveau, à un déferlement d'étudiants indécis qui n'ont qu'une date en tête, la grosse deadline : le 1er mars. Mais si l'étudiant, par nature, s'y prend souvent à la dernière minute, du côté des établissements d'enseignement, on s'y prépare depuis longtemps et la machine est bien rôdée. J'ai pu le constater par moi-même aujourd'hui au Cégep de Sherbrooke où j'effectue un remplacement de congé maladie : c'était la journée de la venue des représentants universitaires au collège. Et laissez-moi vous dire que les conseillers au recrutement de ces établissements n'ont rien à envier aux publicistes et autres conseillers en marketing pour élaborer et afficher leur stratégie publicitaires ! Car on parle aujourd'hui d'une véritable guerre marketing et même commerciale que se livre les universités pour attirer les finissants du collégial. Rien qu'au cégep de Sherbrooke, il y avait plus d'une vingtaine d'universités représentées : UQAM, Université de Montréal, Sherbrooke, Laval, McGill, Concordia, HEC, Polytechnique, etc et même Moncton, Ottawa et la Faculté St-Jean ... de University of Alberta ! C'est simple, les étudiants présents étaient venus magasiner leur premier et second choix d'université. Et comme tout stratège publicitaire qui se respecte, les universités savent proposer des offres alléchantes : diversité des programmes, bourses en tout genre, qualité de vie et des résidences universitaires, brochures sur papier glacé, stages coopératifs, aide à la recherche d'emploi ... affolant. Même les Forces Canadiennes étaient présents pour tenter de recruter de futurs tits soldats Dans un contexte pancanadien de pénurie de main-d'oeuvre et de relève avec le départ massif des babyboomers, tout le monde a compris les énormes enjeux économiques qui se cachent derrière le 1er mars. Et on s'y prend de plus en plus tôt : j'accompagnais aujourd'hui la représentante de l'ÉTS (École de Technologie Supérieure - équivalent d'une école d'ingénieurs à Montréal) et elle me confiait qu'elle sillonnait les cégeps du Québec depuis le 1er septembre dernier pour faire la promotion ... Et cette année, on l'a même envoyé à Hurst en Ontario pour "séduire" les jeunes ontariens. Logique : une stratégie commerciale ne se définit qu'au travers de marchés à conquérir et à développer. Bref, on lâche pas, il reste encore 3 mois et demie à "teufer" jusqu'au 1er mars ! O'Hana

Effectivement, Ca ne t'engage en rien mais attend-toi à te faire poser très probablement certaines questions sur la région que tu as inscrit en entrevue dans ta DCS. Ex : "Pourquoi les Laurentides ?" ou "Avez-vous de la famille ou des amis dans la Beauce ..?" etc Ca peut donc avoir une certaine influence sur ton dossier en termes de motivation, d'intérêt ou encore de rigueur personnelle dans ta démarche d'immigration. Bref, ça n'engage en rien mais à creuser un minimum cependant au cas où O'Hana

Salut, À ma connaissance, tu peux emmener une somme maximale équivalente à 10 000 dollars canadien en liquide sans que cela ne te pose de problème à la douane. Au-delà, tu risques de te faire poser des questions (soupçon de trafic d'argent ou de blanchiement). Sinon, en travellers, en cartes de crédit, etc, y'a aucune limite je pense. Plus d'informations sur le site de Douane et Revenu Canada. O'Hana

Salut Kremmig, Plus souvent qu'autrement, j'aimerai être dans ta peau histoire de voir le monde comme toi tu le vois lorsque je lis tes messages : ta description du Canada est vraiment excellente J'va essayer de trouver d'autres paradoxes aussi croustillantes moi itou O'Hana

Salut Baloo, Je me joins avec plaisir à la gang pour te féliciter à mon tour de cette heureuse nouvelle sur le plan professionnel pour toi Il faut un début à tout et il semble que tu as donné un excellent début pour la suite de ton aventure québécoise O'Hana

En effet, Le DPI tel que nous le connaissons ne sera plus en vigueur à partir du 17 novembre prochain : cela signifie que le MRCI et ses délégations à l'étranger ne l'accepteront plus dans une demande de CSQ. Cependant, Immigration Québec va continuer de l'accepter jusqu'au 31 décembre prochain (mesure transitoire apparemment). Après, le DPI sera remplacé par l'Évaluation en ligne disponible sur le site du MRCI (qui est également la source d'information de mon message) : www.mrci.gouv.qc.ca O'Hana

Salut Babou, Question bien difficile que tu poses là, en tout cas en ce qui me concerne : je ne suis pas papa, donc les garderies ne font partie de mes priorités Cependant, je vais contacter les Boudhettes qui sont un couple de français récemment immigré à Sherbrooke et qui ont deux enfants : une petite de 14 mois et un tit gars de 6 ans je crois. Eux seront plus à même de te renseigner ; il y a aussi Doux_Novembre qui reste à Sherbrooke et qui a des enfants, aussi Spawn et j'en passe. Merci à Hicoune d'avoir remonté ton message et en espérant que les autres estriens le voit aussi : je te reviens si j'ai du nouveau ! O'Hana

Salut Roxanne, Si je me base sur ma propre expérience, je crois que tu dois envoyer ton CJ canadien par toi-même à Paris. Je m'explique : Lorsque tu fais ta demande depuis le Canada, comme cela a été mon cas, ma demande a été traité à Buffalo. Spécifiquement sur le CJ canadien, lorsque tu fais ta prise d'empreintes digitales dans un bureau de la GRC, tu les envoies à Ottawa et c'est EUX qui vérifie tes antécédents judiciaires au pays puis envoie ton CJ (vierge ou pas selon le cas) à Buffalo. Mais cette procédure ne concerne, à ma connaissance, que les personnes dont la demande est traitée par Buffalo et, je crois aussi, basé aussi sur l'idée que le demandeur réside légalement au Canada (ce qui est logique vu qu'il faut résider ici depuis au moins un an pour pouvoir déposer sa demande depuis le Canada). Bref, tout cela me fait dire que ton cas diffère (demande déposée à Paris, au Canada depuis moins d'un an) et donc, que tu es prise pour envoyer ton CJ à Paris. D'ailleurs, je n'ai personnellement jamais eu mon CJ canadien entre les mains, juste mes empreintes digitales : c'est le bureau central de la GRC qui l'a produit et envoyé à Buffalo. Évidemment, pour avoir l'heure juste, il est toujours mieux d'aller dans un centre CIC : ils se feront un plaisir de t'aider ! Bonne chance, O'Hana

Salut Sarmizegetuza, En effet, très très beau coin que sont le Mt St-Hilaire et Beloeil : j'y ai beaucoup d'amis qui y vivent et c'est vrai que les maisons y sont belles, le cadre agréable et, mes aïeux, cette vue du Mt St-Hilaire, impressionnante ... ! Je te souhaite beaucoup de plaisir et de joie dans l'investissement de votre maison O'Hana

Je crois qu'ici ces quelques vers du poète Khalil Gibran trouvent tout leur sens : "Les enfants ne sont pas nos enfants. Ils sont les fils et les filles de la Vie, en nostalgie d?Elle même. Ils viennent par vous mais non de vous. Et même s?ils sont avec vous, ils ne vous appartiennent pas. A vous de leur offrir votre Amour, non vos idées. Il vous revient de donner refuge à leurs corps, non à leurs âmes. Car leurs âmes habitent le séjour de l?avenir que vous ne sauriez visiter même en rêve. A vous de faire l?effort de leur ressembler, mais n?essayez pas de les rendre semblables à vous." O'Hana, qui remercie infiniment ses parents

Salut, Je crois qu'au provincial, la note minimale est 35 ou 36 points je ne sais plus exactement (qu'un forumiste donne l'info exacte svp ) et cela se passe au niveau de la DPI (demande préliminaire d'immigration). À noter qu'il semble que le MRCI va supprimer le DPI dès le 17 novembre prochain mais que jusqu'au 31 décembre prochain, les DPI continueront d'êtres acceptés dans l'évaluation des demandes. Après, le DPI ne sera plus en vigueur et sera remplacé par l'évaluation en ligne sur le site du MRCI : www.mrci.gouv.qc.ca O'Hana

Personnellement, j'ai un peu de difficulté avec ce concept de simplicité volontaire C'est certain que ça doit être volontaire pour que ça marche parce que si ça ne l'est pas, cela veut dire que cela nous est imposé, mais là je tête sur les mots ... En fait, je crois que l'argent, le matériel etc en soi n'ont jamais fait, ne font et ne feront jamais de mal à personne. C'est uniquement l'utilisation qu'on en fait qui cause souffrance, malheur et douleur à soi et à autrui : je trouve important de souligner cette nuance. Ne retrouve-t-on pas en effet des personnes heureuses aussi bien chez les plus modestes que chez les plus nantis ? Ce n'est donc pas l'argent qui pose un problème mais bien la relation à l'argent qui en pose un. Ainsi, le concept de simplicité volontaire me dérange car il semble supposer une idée de retrouver la pureté et l'essentiel par le déni ou plutôt par la prise d'une certaine distance face à l'argent, le matériel, etc. Or, je crois que ce n'est pas au travers de ce que je possède extérieurement qu'il faut centrer ses efforts mais bien en direction, d'abord, de mon attachement intérieur à ce que je possède. Ceci dit, l'intention est louable et comme Épervier, sujet bien trop vaste pour en parler ici brièvement, même si je trouve que je me suis déjà pas mal étalé O'Hana

Salut Antoine, Je crois peut-être posséder un début de réponse concernant la possibilité qu'on lui refuse un permis pour travailler comme coiffeuse : car il y en a déjà beaucoup, même trop apparemment ! Même Emploi-Québec refuse catégoriquement depuis quelques années de subventionner des retours aux études en coiffure (le DEP), se basant sur le fait que l'offre de coiffeurs et coiffeuses est supérieure à la demande. Pour ce qui est du permis de travail, je crois, au contraire, que c'est le fédéral qui a tout à voir dans ça et le provincial pas grand-chose ... Le permis de travail reste d'ailleurs le seul visa où l'accord de Québec n'est pas demandé (vs le CSQ pour la résidence permanente et le CAQ pour les études). À ma connaissance, le gros problème de ton amie est qu'elle est arrivée légalement ici avec un visa d'étudiant encore non expirée apparemment. Ca va être très difficile de le "casser" pour le remplacer par un permis de travail. Ainsi : - demander le permis de travail pour la coiffure ou non revient au même car le CIC va exiger de savoir pour quelle profession et quel employeur elle veut un permis de travail (avec lettre de promesse d'embauche à l'appui) - la résidence permanente me paraît être un choix pertinent car avec son visa d'études de 4 ans, elle dispose de largement de temps pour déposer sa demande et, normalement, pour l'obtenir. À moins que le MRCI et/ou le CIC lui dise de déposer sa demande qu'environ un an avant la fin de ses études et pas avant (ce qui se constate souvent), et là, elle est mal prise car elle ne veut pas continuer ses études ... - mon option préférée est vraiment d'aller voir un agent d'un centre CIC pour qu'elle lui explique sa situation et son désir de changer de statut : ce qui est bien avec l'immigration au Canada, c'est que ses agents ne sont pas là pour coincer la personne mais vraiment l'aider dans la limite des cadres existants évidemment En conclusion, ma principale inquiétude réside vraiment autour de son visa d'études qui sera difficile à remplacer ; ce visa étant en effet formaté pour être appliqué dans des conditions précises (telle formation dans telle école dans telles dates exactes, etc). O'Hana

Salut, Dans l'état actuel des procédures d'immigration, je crois que tu n'auras pas le choix de passer par Paris pour faire ta demande .. mais cela n'implique pas nécessairement que tu sois obligé de retourner en France pour cela. Il te suffit simplement de veiller à maintenir ton statut légal au Canada durant tout le traitement de ta demande à distance (visa touristique). Passer par Paris t'est obligatoire car cela doit faire moins d'un an que tu es au Canada et je pense que le fait d'être en touriste ici ne te donne même pas le droit d'être considérée comme une résidente temporaire (à l'inverse d'un étudiant ou d'un travailleur étranger). Bref, en allant dans un centre CIC ou allant directement sur le site du CIC, tu pourras télécharger les formulaires de demande de visa de travail : je te suggère cependant d'aller les chercher sur le site de l'ambassade du Canada en France car, parfois, une ambassade peut adapter la procédure standard à sa propre réalité en y rajoutant des petites modifications. Puis rassemble toutes les pièces nécessaires (en particulier la précieuse lettre de promesse d'embauche) et envoie le tout à Paris. Normalement, tu devrais recevoir des nouvelles d'ici un mois, deux au maximum. Il te faudra ensuite faire le tour du poteau à la frontière pour valider ton visa. Toutefois, valide cette "stratégie" avec un agent d'un centre CIC car peut-être le fait que tu sois déjà au Canada peut compliquer la procédure car, généralement, le demandeur d'un permis de travail ne se trouve pas encore au pays sauf exceptions (un étudiant étranger finissant sa formation par exemple). Bon courage ! O'Hana

Toutes mes félicitations Roxanne Pour le lecteur régulier de tes aventures, si je ne me trompe pas, il ne te manquait plus que ce précieux sésame pour finaliser ton processus de résidence permanente. Maintenant que tu as ton CJ, tu dois l'envoyer à Paris, c'est bien ça ? Bon continuité dans tes études, O'Hana

J'ai laissé un message sur le répondeur de Miss Princesse des Dunes ce midi en lui disant qu'on s'inquiétait ben gros pour elle sur le forum. C'est sûr que pour ceux qui, comme moi, n'ont qu'à prendre le téléphone ou aller chez elle en auto pour la voir, on sent mions son "absence" sur le forum. Je poste un message si j'ai du nouveau la concernant O'Hana

Salut la gang, l'ordi de Nadia a planté la semaine dernière d'où incapacité depuis pour elle de se connecter : elle attend de recevoir un cd d'installation de son frère pour remédier à la situation, en espérant son retour sur les ondes très bientôt. À part ça, tout à l'air d'aller bien pour elle la dernière fois que je l'ai eu au téléphone O'Hana