O'Hana

La réalité du marché du travail au Québec, c'est aussi ça ... Comme un chat retombant toujours sur ses pattes, je suis persuadé que ça va se replacer pour toi RedFlag. D'ailleurs, tu le prend avec un certain détachement, ce qui n'est pas si mauvais signe en soi. Bonne trouvaille de job, O'Hana

La chose étant que le CIC exige un stage rémunéré pour que le stagiaire puisse subvenir à ses besoins : je crois que le montant minimal est de 400 CAD par semaine et le salaire doit être explicitement indiqué sur la lettre d'offre de stage. Mais mes infos datent de 99, à vérifier donc. En termes de stages, si je me fie à ce qui se passe ici à l'Université de Sherbrooke, les formations offrant des stages rémunérés le crient haut et fort, et ce, pour attirer des étudiants ... J'en déduis donc que le stagiaire peut bien réclamer un salaire, mais de là à en obtenir un, c'est une autre histoire, car les stages rémunérés restent encore l'exception de manière générale. Et à ma connaissance, les entreprises ne touchent rien pour accueillir des stages, ou si peu alors, car sinon, elles se garrocheraient sur tous les stagiaires, non ... ? O'Hana

Mes félicitations Jaoli ! Un autre "made in Buffalo" futur RP, coool O'Hana

J'irai dans le même sens qu'Angulo, Car j'étais exactement dans la même situation que toi il y a un peu plus d'un an lorsque, en août, j'allais finir mes études à l'Université de Sherbrooke. La mesure dispensatoire offerte aux finissants d'un établissement d'enseignement postsecondaire au Canada (L'ÉTS rentrant évidemment dans cette catégorie) de pouvoir se voir délivrer un visa de travail d'une durée maximale d'un an sans aucune confirmation d'emploi de DRHC si la demande est faite au maximum 90 jours après la fin officielle des études. L'objectif est de retenir les étudiants étrangers une fois diplômés pour leurs compétences acquises au et pour le Canada. Il te suffit de te présenter dans un centre CIC avec tous les documents exigés (attestation officielle de graduation de l'ÉTS, frais exigés, formulaire de demande de visa de travail rempli, passeport et lettre d'embauche) et l'agent va te délivrer ton visa en 15 minutes. Tu n'auras même pas besoin de faire le tour du poteau pour le valider. Futur ingénieur, je ne crois pas que tu auras de difficultés pour te trouver un emploi, surtout si tu dis aux employeurs que tu pourrais avoir une autorisation de travail d'un an disponible en 24 heures avec une lettre d'embauche de leur part. La durée d'un an du visa te permet largement d'obtenir ton visa de RP (7 mois dans mon cas de la DCS au visa). En plus, si tu as une offre d'emploi qui t'intéresse, tu peux y appliquer et obtenir un second visa de travail mais dont la durée suivra celle du premier visa de travail. Ce qui n'est pas si mal quand même vu les habituelles restrictions imposées à ce type de visa. O'Hana

M'entraîner, à quoi ? à faire la kermesse jusqu'à des heures indûes ?? Haa non merci, mais je crois que j'en ai suffisamment profité des "fin de semaine qui commençaient dès mercredi soir" quand j'étais chez moi en Calédonie ou à Toulouse Ptete que je suis devenu plus plate ou moins gars de party (ou plus sélectif) avec le temps mais je préfère aujourd'hui des soirées plus posées, même si, de temps en temps, me virer à l'envers me fait du bien. Et c'est bien connu : les fêtes improvisées sont toujours les meilleurs ... O'Hana

Oui en effet, J'avais répondu à Têtedeprune sur exactement la même question, réponse qui allait d'ailleurs dans le même sens des réponses que tu as reçu à ta question. Je remarque d'ailleurs qu'un certain nombre (ou un nombre certain d'immigrants) semblent penser qu'une fois le visa apposé sur le passeport, le processus administratif de la demande d'immigration est fini : c'est vrai mais uniquement au niveau de l'ambassade qui a fait tout ce qu'il lui revient de faire et la fin du processus (soit la validation ou confirmation officielle du statut de RP) se conclut avec l'immigration rencontrée au point d'entrée au Canada. Entre-temps, l'immigrant est comme dans une sorte d'état de flottement : pas vraiment RP mais détenteur du visa permettant de l'obtenir. Ce flottement est donc un état très vulnérable car, en effet, tout changement à l'état-civil survenant dans cet entre-deux remet en question tout le processus d'immigration. Ainsi, si l'on sait qu'on a de grosses décisions (mariage, etc) à prendre, il est toujours mieux, dans la mesure du possible, de les réaliser avant la demande d'immigration ou une fois officiellement RP. O'Hana

Si j'ai bien compris, j'ai intérêt à être dans ma meilleure forme lorsqu'on se fera un party avec vous une fois que vous serez au Québec, parce que ça a l'air de déménager fort du côté de la région PACA Ben hâte de vous rencontrer enfin un jour la gang des azuréens, O'Hana

Oui, merci beaucoup pour les photos Iaovai et aussi merci à tous les forumistes qui ont participé à cette rencontre. En passant, je suis allé sur ton site Iaovasi et mon dieu, quel talent tu as !! Tu maîtrises cet art du portrait que je n'ai jamais réussi à avoir : hé oui, je t'envie. Bravo l'artiste ! O'Hana

Salut, Étant ressortissante algérienne, je crois que tu auras besoin d'avoir un visa de résidente temporaire (VRT) en plus de ton visa d'études pour pouvoir circuler librement dans tout le Canada. Avec ses deux visas, tu devrais être correct car j'ai été sous visa étudiant pendant trois ans ici (mais sans VRT car, comme français, je n'en avais pas besoin : mon visa d'études servait aussi de VRT) et jamais eu de problème pour circuler librement. Pour ce qui est de venir avant la date effective de début de ta scolarité (en février), c'est une très bonne question qui est encore plus difficile à répondre lorsqu'on sait que tu auras certainement besoin d'un VRT. Le mieux est encore, je pense, de contacter une représentation diplomatique canadienne pour avoir l'heure juste. À moins qu'un forumiste ayant déjà rencontré ce genre de situation puisse donner son avis. O'Hana

Salut m13, Je te répondrai simplement merci pour tes bons mots. Pour ce qui est de ton projet d'immigration, voici mes réflexions qui, évidemment, n'engagent que moi et je t'invite d'ailleurs à en rechercher un tas d'autres autour de toi et à consulter inlassablement les sources d'informations qui peuvent t'aider : 1 - pour ce qui est de trouver une formation qui te permette ensuite de trouver un travail, bien avisée la personne qui pourrait te la donner selon moi. Je ne pourrai te répondre qu'avec des statistiques et des perspectives de placement mais cela reste, par nature, très général. Oui, bien sûr, on parle de besoins dans la santé, dans la construction, que l'informatique va mal mais que ça repart doucement, etc. Sauf que si tu démarres une formation une fois arrivé ici, les perspectives d'emploi qui vont alors t'intéresser sont celles qui existeront lorsque tu sortiras de l'école et pas celles d'aujourd'hui Ceci dit, je crois que l'option du collégial (technique en plus) est, en soi, un bon choix car, encore de manière général, la demande pour les prochaines années au Québec se situent surtout au niveau des professions demandant des formations de niveau technique et/ou professionnelle (secondaire) 2 - 40 000 CAD : pour une famille de trois personnes, tout dépend où vous allez vivre. Rien qu'en termes de loyer, on ne parle pas de la même chose à Montréal qu'à Sherbrooke par exemple ... Et il faut compter les frais énormes d'installation de départ (se meubler, etc). Je ne veux pas dire de bêtise, mais je crois que pour une année, ça devrait être largement correct si vous ne faites pas de folies : que les autres forumistes donnent leur avis svp 3 - théoriquement, en possession d'un visa te permettant de résider légalement au Canada pour au moins un an, tu pourrais déposer ta demande de RP immédiatement à ton arrivée au pays. Cependant, je te suggère de laisser passer quelques mois (3 ou 4 par exemple), histoire de montrer que ton profil est crédible aux yeux de l'immigration (il y a des choses que seul le temps peut apporter). 4 - Quant à savoir combien de temps cela va prendre ... très bonne question. En fait, c'est un cercle un peu vicieux : plus ça fait longtemps que tu es au Canada, plus ça sera rapide en théorie car moins tu auras à démontrer au MRCI et au CIC tes capacités d'adaptation et d'intégration (forcément, vu que tu es ici depuis longtemps). D'ailleurs, pour les demandeurs de RP qui sont sous visa RP ici, l'immigration leur suggère de déposer leur demande environ un an avant la fin de leurs études. Ils sont pas fous. Un an environ avant la fin de tes études leur permet d'avoir une bonne idée de 1) tes capacités d'adaptation et d'intégration et 2) voir si tu vas être en mesure de diplômer (généralement, à un an de finir, c'est pas mal sûr que tu vas avoir ton diplôme) 5 - pour la procédure, hors du Canada, les meilleures sources sont encore les sites web du MRCI et du CIC (informations formelles) et immigrer.com bien entendu pour l'information informelle. Depuis le Canada, ce sont les carrefours d'intégration du MRCI et les centres CIC présents dans toutes les villes du Québec. Il est d'ailleurs étonnant de voir comment l'immigration, au Canada, se fait un devoir d'aider le demandeur plutôt que de chercher à le coincer. 6 - je t'avoue que je suis mal aisé de savoir que tu quittes tout pour ton projet d'immigration : personnellement, je ne suis pas un chaud partisan du tout ou rien, surtout dans ce genre de projet. J'aime avoir des alternatives ou des options de secours, même minimes, en espérant évidemment à n'avoir jamais à les utiliser. Psychologiquement, ça aide et de l'aide, t'en a besoin pour traverser un processus d'immigration au Canada selon moi. En temps normal, je me dirai :"ce n'est pas de tes affaires : c'est sa vie et elle ne regarde que lui" mais il y a un tit bout de 5 mois embarqué dans l'histoire et je me permet donc d'émettre mon avis ... O'Hana

Salut, Lorsque tu dis que la personne vient d'être déboutée de sa demande d'asile, est-ce que tu veux dire par là qu'elle a été débouté par le Canada ou par la France ? Si elle a été déboutée par la France, sous quel statut est-elle alors présentement en France ? Ce statut doit être légal pour que l'immigration canadienne accepte de traiter sa demande (ambassade de Paris par exemple). Si elle a été déboutée par le Canada, sais-tu pour quels motifs ? A-t-elle penser à faire appel de la décision ? O'Hana

Salut Emi, Il faudrait que tu te renseignes auprès de l'OIIQ (ordre des infirmières et infirmiers du Québec) pour avoir l'heure juste. Pour ma part, je crois qu'il faudrait que tu regardes du côté du baccalauréat en sciences infirmières (équivalent de la licence : le deug n'existe pas au Québec) qui est donné dans pratiquement toutes les universités québécoises (de Chicoutimi à celle d'Outaouais). Peut-être te demandera-t-on de compléter certains cours au niveau collégial (équivalent du lycée) au DEC en sciences infirmières ou en Techniques de soins infirmiers. O'Hana

Salut, À première vue, je dirai pour ma part que c'est possible d'obtenir un visa de travail vu ta situation. Le plus difficile sera d'obtenir une offre d'emploi et je crois même que tu pourras déposer ta demande à Buffalo (poste diplomatique canadien le plus proche du pays à l'extérieur du Canada - plus pratique pour les délais notamment). Ce qui pourra sûrement t'aider sera certainement le fait que vous soyez engagés si profondément dans le processus de résidence permanente. L'immigration ne pourra pas ne pas en tenir compte lors du traitement de ta demande de visa de travail. J'irai même jusqu'à dire que, s'il n'y a pas de complications particulières, tu auras à peine eu le temps de recevoir et de savourer ton visa de travail que tu recevras celui de RP Qu'on me corrige si je suis dans l'erreur, O'Hana

Salut Mary, Je viens de lire ton PM. À ma connaissance, il faudrait que tu contactes les commissions scolaires (CS) de la région du Québec où tu voudrais t'installer et travailler. Une CS est comme une sorte de vice-rectorat qui régit et coordonne toutes les écoles primaires, secondaire et professionnelles d'une région donnée. Il est obligatoire de passer par elle pour faire reconnaître ta formation et se voir offrir un poste d'enseignant. Sur internet, tu trouvera facilement les coordonnées et le site web de chaque CS du Québec. Cependant, si tu souhaites enseigner au collégial (lycée) ou à l'université, il faut que tu te renseignes directement auprès de l'établissement qui t'intéresse car, à ce niveau d'enseignement, il n'existe pas de CS qui les chapeaute. Enfin, Pieralinea, forumiste immigrée cette année au Québec qui vit et enseigne en Outaouais te sera d'une plus grande utilité que moi car elle est enseignante. En espérant t'avoir aidé un peu, O'Hana

Excellente chronique Kroston, J'aime notamment ton analogie entre TVA débilitante et maladie génétique à la différence que cette dernière ne nous prend pas pour des cons Comme PPrince, j'aime beaucoup ce que fait la SRC (Découvertes, Enjeux, etc) et comme je trippe beaucoup sur l'histoire, j'ai aussi Historia qui a de bonnes émission sur l'histoire internationale comme l'histoire du Québec. TéléQuébec est bon aussi dans son genre avec les Francs-Tireurs et une excellente émission qui a passé dernièrement sur René Lévesque. O'Hana

Salut Sandra ! Bien heureux de te revoir sur les ondes ! J'ai une amie qui est c.o. dans un centre d'intégration aux adultes en Outaouais et cela fait deux ans que je lui promet d'aller la voir le temps d'une fin de semaine : tout ça pour dire que j'espère bien rencontrer la gang des outaouains (chais pas si ça se dit mais je voulais aller dans la même lignée que les montréalais, estriens, azuréens, etc) O'Hana

Hé bien Une raison de plus à rajouter à ta liste pour te convaincre d'immigrer au Québec si tu n'étais pas encore persuadé ma chère Shagrine C'est une raison qui vaut ce qu'elle vaut mais c'est avec des tout petits rien qu'on fait de grandes choses le plus souvent. Joyeux anniversaire Shagrine O'Hana

Salut, Si je me rappelle bien, le CIC a créé plusieurs catégories sous laquelle immigrer au Canada. Celle de "travailleur qualifié" en est une parmi d'autres (avec celles des catégories gens d'affaires, regroupement familial, désignation par les provinces, adoption internationale et immigrants sélectionnés par le Québec). Y aller en tant que travailleur qualifié, c'est y aller en tant que travailleur indépendant (qui immigre tout seul), à ne pas confondre avec la sous-catégorie des travailleurs autonomes (professions libérales ou à son compte) qui fait partie de la catégorie des gens d'affaires (vous me suivez ? ). Dans tous les cas, il s'agit d'immigration économique car vous immigrez au Canada pour participer au développement économique du pays en mettant en avant vos compétences, formations et expérience professionnelle et c'est sur quoi vous serez évalués par le MRCI et le CIC (à la différence de l'immigration par parrainage, par adoption, etc). O'Hana

Comme l'écrit Curve, je ne m'étais pas personnellement fait une idée bien précise de ce que serait ma vie au Québec lorsque j'ai immigré ici. Dans mon cas, je l'ai eu un peu facile car devenir résident permanent est le fruit d'une décision personnelle basé sur plus de 4 ans de résidence temporaire ici auparavant (travailleur temporaire puis étudiant étranger). J'ai donc eu largement le temps de me poser la question et, surtout, de la confronter avec la réalité, ce qu'un immigrant en processus n'a pas nécessairement le luxe de faire vu qu'il n'est pas encore au Québec. Donc, tout mon processus de questionnement a bénéficié de tout un autre processus de confrontation : l'hiver québécois bien entendu, mais aussi la culture, la façon de vivre, le coût de la vie, ma vie professionnelle et personnelle, etc. Mes attentes envers ce que j'attendais du Québec ont donc bénéficié de la dose de réalité nécessaire pour éviter les grosses désillusions et tous les sentiments qui s'ensuivent (amertume, repli sur soi, frustration, etc). Par ailleurs, comme une convergence aussi mystérieuse que déstabilisante (au sens positif du terme), tous les éléments nécessaires pour faire et vivre ma vie se sont rassemblés au Québec. J'y ai trouvé le compromis économique-social-culturel et politique que je cherchais : cela pour dire que ça aurait pu être le Québec ou ailleurs : on ne peut pas souffrir ou manquer d'une chose qu'on ne connaît pas. Mais ça a été le Québec, un point c'est tout O'Hana

J'irai dans le même sens que RedFlag, D'ailleurs, obliger la personne à résider au Québec même si elle a son CSQ irait à l'encontre de la liberté de circulation des personnes à l'intérieur du pays. Je te suggère simplement de procéder au préalable à toutes les démarches administrative de départ au Québec (NAS, carte soleil, carte RP) pour t'éviter d'éventuelles complications ou explications avec l'administration ("pourquoi n'êtes-vous pas resté au Québec ? bla bla ..) O'Hana

Essaie-toi même pas Peggy : même après ça, on va continuer à te trouver très très charmante, présente et charismatique O'Hana

Bonsoir Charles, Si je ne me trompe pas, ton amie est de nationalité thaïlandaise : je suis allé vérifier sur le site du CIC et la Thaïlande fait partie de la liste des pays dont les ressortissants sont obligés d'avoir un visa pour venir au Canada, même en tant que touriste. On appelle cela le visa de résident temporaire (VRT) et je te pointe ici la page du CIC qui traite de ce sujet avec procédure à suivre et formulaire téléchargeable en format PDF : http://www.cic.gc.ca/francais/demandes/visa.html Bon courage, O'Hana

J'imagine que ton mari va venir te rejoindre au Québec pour vivre avec toi. C'est assez spécial et je n'ose pas trop m'avancer car j'ai pu constater, au travers du forum, que Buffalo a des procédures bien particulières. Ceci dit, je te suggère d'aller voir et un conseiller dans un carrefour d'intégration du MRCI et un agent dans un centre CIC pour clarifier tout cela. Logiquement, je me dis aussi que ton mari devrait se voir attribuer un CSQ, surtout si vous envisagez de vivre au Québec. D'ailleurs, cela va lui prendre nécessairement le CSQ pour les démarches administratives d'installation (carte soleil, NAS, etc). Tu trouveras l'adresse du Carrefour d'Intégration et du centre CIC le plus proche de chez toi dans les pages bleues du bottin ou sur le we (www.mrci.gouv.qc.ca et www.cic.gc.ca). Tiens-nous au courant de la suite car je suis très curieux de la réponse qu'on va t'apporter dans ces deux centres, O'Hana

Qui veut voyager loin ménage sa monture ... Et je trouve que cela s'applique parfaitement à l'immigration. À mon sens, si tu as un "bon" profil (formation, compétences en particulier), je te suggérerai d'y aller par la résidence permanente en tant que travailleur qualifié. Une fois le CSQ en poche (l'affaire de 3-4 mois normalement), des forumistes ont choisi de sauter le pas tout de suite et de continuer le reste du processus depuis le Canada. À date, l'immigration canadienne ne s'y oppose pas. Avec l'option du travailleur qualifié, vous évitez la peu agréable analyse de votre vie conjuguale par l'immigration d'après ce qu'en disent les forumistes qui parrainent. O'Hana

... ou comment l'immigrante française est vu par l'homme français ! Et attend de la rencontrer Omega, de la présence et du charisme la Peggy, O'Hana