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Indiana

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À propos de Indiana

  • Date de naissance 1970-05-16

Informations du profil

  • Genre
    Homme
  • Statut
    Canadien(ne)
  • Date d'arrivée
    01-07-1998
  • Profession
    Avocat spécialisé en immigration et immigration d'affaires
  • Préoccupation
    Faire profiter de mon expertise en mobilité/immigration
  • Pays d'origine
    France
  • Pays de résidence
    France/Canada
  • Ville de résidence
    Bouc-Bel-Air/Montréal

Pour me contacter

  • Facebook
    @votreavocatvirtuel
  • Site web
    https://www.votreavocatvirtuel.com

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  1. Dans le cas spécifique de votre beau-frère qui a essuyé deux refus, il est important de considérer que son dossier peut être plus complexe que la moyenne. Si un demandeur a déjà été refusé par le passé, cela peut influencer la décision sur une nouvelle demande, en particulier si les raisons du refus précédent n'ont pas été résolues. Un consultant en immigration dont la formation en droit et la formation tout court sont généralement assez sommaires ne pourra pas grand chose pour retourner la situation ou contester la décision en droit. Il est également vrai que certains types de dossiers, notamment les dossiers africains, peuvent avoir des taux de refus plus élevés en raison de différents facteurs liés aux politiques d'immigration (moyens financiers sur des échelles de grandeurs différentes, liens avec le pays d'origine, départ du Canada après l'expiration du statut). Les consultants en immigration ne font rien de plus que de préparer le dossier à la place du demandeur, pour ceux qui font leur travail sérieusement. Il s'agit d'un confort pour les grandes entreprises mais pour un particulier la valeur ajoutée est presque nulle. Leurs connaissances en droit sont assez limitées et leur principal objectif peut être d'attirer un grand nombre de clients, car il s'agit d'un business, plutôt que de fournir des services d'accompagnement dans des dossiers complexes que de toute façon ils ne peuvent pas maîtriser. C'est pourquoi, lorsqu'il s'agit d'immigration au Canada, il est généralement recommandé de faire appel à des avocats (ou des notaires au Québec) spécialisés en droit de l'immigration. Ces professionnels sont réglementés par des organismes professionnels et sont tenus de respecter des normes éthiques et professionnelles strictes. Bien que cela ne garantisse pas la réussite de la demande, cela offre au moins la possibilité d'avoir recours à des mesures légales appropriées si nécessaire. Il est également essentiel de mener des recherches approfondies, de demander des références et de vérifier les antécédents avant de choisir un avocat en immigration. Cela permet de s'assurer que l'avocat est qualifié, expérimenté et fiable. Il est important de prendre des décisions éclairées et d'être vigilant lorsqu'il s'agit d'engager des professionnels en immigration, afin de maximiser les chances de succès et de bénéficier d'un soutien adéquat tout au long du processus d'immigration. En aucun cas je ne recommande d'engager un consultant particulièrement après des refus multiples sauf si celui-ci est à l'emploi d'une firme d'avocats spécialisés et que l'avocat est responsable du dossier et que le consultant se contente de monter le dossier. Bonne journée. Stéphane MINSON.
  2. Très bonne question @Jasper. Lorsque quelqu'un partage une situation sur un forum public, il cherche souvent des perspectives différentes et des expériences similaires, mais il ne doit pas s'attendre à recevoir des conseils professionnels, en particulier dans des domaines sensibles tels que la fiscalité et l'immigration. Donner des informations personnelles sur un forum public est déconseillé en raison des risques de confidentialité, de sécurité, de vie privée, de conséquences négatives et d'utilisation abusive. D'un autre côté, il est important pour les professionnels qui, comme moi, participent à des forums de discussion, de ne pas donner de conseils qui pourraient s'apparenter à un avis juridique sans disposer de toutes les informations nécessaires, car cela pourrait constituer une faute professionnelle. Il est crucial d'être conscient de ces risques, d'agir avec prudence et de ne pas divulguer d'informations personnelles en ligne. Il est également important de faire la distinction entre l'information juridique et le conseil juridique. Bonne soirée. Stéphane MINSON
  3. Excellente remarque qui d'ailleurs s'inscrit parfaitement dans le mode de vie d'un nomade numérique. Sauf que tout le monde n'a pas forcément envie d'être travailleur autonome ou entrepreneur en repartant en France eu égard aux charges. D'où ma remarque, il faut en connaître plus sur la situation personnelle mais ce n'est pas des choses à trop divulguer publiquement.
  4. Bonjour, De ce que je comprends, vous envisagez de travailler pour un employeur québécois tout en résidant en France et vous souhaitez connaître les différences en termes de cotisations sociales entre la France et le Québec. Je présume par ailleurs que vous êtes français. Je peux vous fournir des informations générales, mais veuillez noter que les détails spécifiques peuvent varier en fonction de votre situation personnelle que je ne connais pas. Sachez que le sujet est de plus en plus d'actualité et nous envisageons d'ailleurs d'en faire l'objet d'un de nos prochains webinaires immigrer.com avec @laurencenadeau. Je viens d'écrire à ce sujet sur mon blog mais, encore une fois, c'est très générique et synthétique car le sujet est complexe et varie beaucoup d'une situation à une autre: https://www.votreavocatvirtuel.com/blog/quest-ce-que-le-nomadisme-numrique Tout d'abord, je vous confirme qu'en règle générale, les cotisations sociales en France sont plus élevées que celles au Québec: sécurité sociale, assurance chômage, retraites et autres prestations sociales etc. Le taux de cotisation sociale varie en fonction du revenu et du régime d'affiliation mais on s'entend pour dire que le coût peut être d'environ 1,3 à 1,5 fois le salaire brut, voire plus, en raison de ces charges supplémentaires (voir le simulateur URSAFF (https://www.urssaf.fr/portail/home/utile-et-pratique/estimateur-de-cotisations.html?ut=estimateurs) . Au Québec, les cotisations sociales comprennent les contributions au Régime de rentes du Québec (RRQ), FSS, à l'Assurance emploi (AE) et aux assurances collectives et normes du travail pour ne citer qu'elles. Bref il est aisé de comprendre en regardant une fiche de paye québécoise vs. un fiche de paie française que l'on paye beaucoup moins de charges sociales au Québec (disons sans trop s'avancer autour de 15%-16% pour donner un ordre d'idée) . A noter qu'un employeur étranger sans établissement stable en France peut s'inscrire à l'URSAFF pour payer un employé en France mais la gestion administrative n'est pas ce qu'il y a de plus simple si bien qu'il peut être préférable d'avoir un représentant... C'est pourquoi, dans un premier temps, il peut être judicieux de procéder à un simple détachement ce qui permet à l'employeur de continuer de payer les charges sociales au Québec. Mais encore une fois, il ne faut pas s'embarquer dans un tel projet sans en parler au préalable à un professionnel de la mobilité internationale. Bref, N'hésitez pas à nous contacter en MP pour obtenir des conseils personnalisés et précis sur votre situation spécifique. Cela vous évitera des surprises désagréables, car comme vous le savez l'administration française n'est pas la plus faciles à aborder.... Stéphane MINSON
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