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Canada
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Entre le stage, la famille et les études, les nouveaux arrivants qui souhaitent enseigner au primaire ou au secondaire doivent jongler avec des horaires complexes. «Comment maximiser la flexibilité du programme? C’est le défi», dit Alejandro González-Martín, responsable du microprogramme de qualification en enseignement, offert au premier cycle par la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal. Pour enseigner dans les écoles primaires et secondaires québécoises, les personnes formées en enseignement à l’extérieur de la province doivent soumettre leur dossier au ministère de l’Éducation, qui juge de l’équivalence de la formation. «C’est une voie rapide, mais c’est parce que ces gens ont déjà été formés dans leur pays», note Alejandro González-Martín. S’adapter à un autre système Munie d’un permis d’enseignement provisoire, la personne doit ensuite obtenir 15 crédits universitaires (soit réussir cinq cours) qui permettent de mieux connaître le système scolaire québécois et ses particularités, comme son fonctionnement et ses règlements, la gestion de classe, les approches didactiques et les approches évaluatives. «Quand je suis arrivé, j’étais un peu fâché d’avoir à suivre ces cours, raconte le diplômé du microprogramme Mesut Biderek, qui avait auparavant enseigné la géographie en Turquie et en Espagne. Mais finalement, j’ai appris énormément. On doit s’adapter à une autre culture, à un autre système après tout.» Le programme d’études a pris son nom actuel en 2018. «Toutes les universités proposent ces cours, mais n’ont pas nécessairement de programme destiné à cette clientèle. On est une des seules universités à les offrir sous cette forme», affirme Alejandro González-Martín. L’UdeM a en effet fait le choix de rassembler cette population plutôt que de la greffer aux étudiants et étudiantes du baccalauréat en éducation. «Avec leur expérience d’ici et d’ailleurs, on sentait qu’on pouvait s’appuyer sur le bagage de ces gens et aller plus loin pour faciliter leur intégration professionnelle», précise-t-il. Mesut Biderek acquiesce: «Ce fut un plaisir de pouvoir côtoyer 45 enseignants et enseignantes qui venaient de partout dans le monde.» Un maximum de flexibilité La pandémie aura, comme dans tous les programmes, forcé la main pour transporter les cours en ligne. «Mais lorsque le présentiel est revenu, la faculté a voulu favoriser le mode hybride. «L’UdeM croit toujours à la présence sur ses campus, mais on veut faciliter la conciliation», explique le responsable de programme. C’est sans compter qu’on manque de personnel enseignant partout au Québec, et pas juste dans la métropole. En proposant d’abord le cours sur le système scolaire entièrement à distance, les quatre autres cours ont ensuite été modifiés pour pouvoir se donner tour à tour en ligne et en personne. Les cinq cours sont par ailleurs offerts toutes les sessions et peuvent être suivis dans n’importe quel ordre (sauf le cours d’évaluation, qui se fait à la fin du parcours). Les inscriptions sont acceptées toute l’année. Mise à l’essai Depuis 2024, les cours en ligne varient d’une session à l’autre, outre le cours sur le système scolaire, systématiquement donné en ligne. Après deux sessions de test, une boucle logique a été établie par le comité de programme; les étudiantes et étudiants peuvent donc terminer à distance le microprogramme en quatre sessions s’ils le souhaitent. Une personne pourrait aussi décider de commencer le microprogramme en présentiel et de le finir en ligne ou vice versa. De 30 à 40 personnes s’inscrivent chaque session au microprogramme. La popularité du parcours en ligne reste à voir, mais le comité est ouvert à tout: «On expérimente. C’est sûr que, s’il y a foule à distance, on verra si l’on peut élargir l'offre. La faculté est prête», assure Alejandro González-Martín. source et suite : https://nouvelles.umontreal.ca/article/2025/02/13/plus-de-flexibilite-pour-le-personnel-enseignant-forme-hors-quebec/
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qwintine reacted to a post in a topic: Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent
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bencoudonc reacted to a post in a topic: Étudiants africains désirant venir au Canada : comment des réseaux criminels les dupent
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Voici comment des réseaux criminels ont orchestré la venue d’étudiants africains au Canada Diplômes falsifiés, lettres d’acceptation contrefaites, preuves bancaires truquées, promesses mensongères de bourses d’études, des réseaux criminels d’immigration ont berné des étudiants africains, des universités canadiennes et même les gouvernements du Québec et du Canada. Les stratagèmes de ces arnaqueurs ont fait des victimes, mais ont aussi profité à des demandeurs d'asile. Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette Priscilla Plamondon Lalancette Priscilla Plamondon Lalancette Publié le 9 avril à 4 h 00 HAE Écouter l’article | 19 minutes La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle. Une petite table, deux chaises, un futon. Aminata (nom fictif) nous reçoit dans son logement presque vide à Saguenay. Par la fenêtre, elle jette un œil à la rivière givrée. L’hiver a été pénible pour la jeune ressortissante du Bénin qui rêvait d’étudier à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Depuis plus d’un an, elle vit de manière clandestine. Comme beaucoup d'étudiants, elle a quitté l’Afrique dans le but d’améliorer son sort. Gestionnaire des ressources humaines au Bénin et titulaire d'une maîtrise, elle est persuadée qu'un diplôme canadien offrira un avenir meilleur à sa famille. Toutefois, Aminata n’a jamais soupçonné qu’elle se retrouverait ici piégée dans la précarité. Aminata vit dans la précarité depuis son arrivée au Canada. Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette Tout commence en 2023 quand elle confie les rênes de son projet à un homme qui se dit consultant en immigration. Celui qui opère entre le Bénin et le Canada lui garantit une entrée au pays. Tous les échanges se déroulent sur WhatsApp. L’Africaine n’y voit que du feu. À chaque étape qui la rapproche du but, l’expert lui demande une somme d’argent. Au total, elle lui verse 7000 $. Et ça marche. La jeune femme reçoit sa lettre d’admission à l’UQAC puis ses papiers officiels d’immigration. J’étais tellement contente!, se souvient Aminata. En août, elle s’envole donc pour le Canada, juste à temps pour la rentrée scolaire. Une fois qu'elle atterrit à Montréal, le consultant l’avise cependant de ne pas se présenter à l’université. Il m’a dit de ne pas montrer les documents qu’il m’avait remis. Aminata n’y comprend rien. Elle se rend à Chicoutimi pour dissiper tout malentendu et confirmer son inscription. C’est là qu’elle frappe un mur : sa lettre d’acceptation est une contrefaçon. Le Canada a pourtant produit son visa sur la base de ce document. Les autorités de l’UQAC m’ont informée que ma lettre n'avait pas été émise par eux, que c’est une fausse lettre. J’ai été victime de fraude. Ils ont trouvé une demande à mon nom, mais le dossier était incomplet. Je n’avais pas été acceptée… Source et suite : https://ici.radio-canada.ca/info/long-format/2153789/universite-uqac-fraude-reseau-immigration
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Lisa-Marie Gervais Publié le 9 avril Enquête Le Devoir Enquête Recruter sous un permis de travail fermé un immigrant temporaire pour un poste à Montréal et l’envoyer occuper un tout autre emploi dans une entreprise ailleurs au Québec ? C’est illégal. C’est pourtant ce qu’a fait une agence de recrutement et de placement de personnel, qui a engagé sous des permis fermés plus d’une cinquantaine de travailleurs étrangers temporaires pour ensuite les donner en location à plusieurs entreprises tierces partout au Québec, mettant ces migrants à risque d’expulsion. Basée à Châteauguay, puis dans l’arrondissement montréalais de LaSalle, l’Agence de recrutement et de placement des employés Iris, dirigée par Dieudonné Nidufasha, a de plus trompé et exploité financièrement ces travailleurs africains — à qui elle doit des milliers de dollars en salaire impayé, selon des rapports d’enquête de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) obtenus par Le Devoir. Au cours du mois dernier, la CNESST a enregistré quatre nouvelles poursuites devant les tribunaux contre l’agence Iris, pour des réclamations totalisant près de 100 000 $. Dieudonné Nidufasha nie avoir agi dans l’illégalité en envoyant ses employés immigrants travailler ailleurs et prétend les avoir toujours bien payés. « [L’enquêteur de la CNESST], il a inventé des plaintes », dit-il. Une de ses travailleuses, qu’il a envoyée dans une résidence pour aînés à Rivière-du-Loup au lieu de lui faire occuper le poste pour lequel elle avait été recrutée, dit pourtant avoir vécu un « enfer » bien réel. « C’était difficile moralement. Je pleurais tous les soirs. Je voulais rentrer dans mon pays », confie Rose, qui s’exprime sous un nom d’emprunt par crainte de représailles. Sans revenu et liée à l’agence Iris par un permis fermé, elle dit n’avoir eu d’autre option que d’accepter de travailler là où cet employeur lui disait d’aller. Source, Le Devoir : https://www.ledevoir.com/societe/865483/enquete-travailleurs-etrangers-donnes-location
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Millex reacted to a post in a topic: Médecin retourne en France avant la fin des 3 ans d'engagement du parrainage
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philoucan reacted to a post in a topic: Comment exercer en tant qu'ostéopathe au Québec
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Comment exercer en tant qu'ostéopathe au Québec
immigrer.com replied to philoucan's topic in Votre profession
Bonjour Il n'y a pas d'ordre des ostéopathes au Québec mais il y a des discussions depuis plusieurs années entre ostéopathes pour justement monter un ordre. J'imagine que vous connaissez déjà ce site de référence : https://www.osteopathiequebec.ca/fr/ Les dernières nouvelles sur le futur ordre : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2067291/profession-osteopathes-caq-sante -
Tout doucement envie de partir à l'aventure... Par ou commencer?
immigrer.com replied to Crounchy's topic in Québec
Bienvenue parmi nous ! Il y a des sections pour les psychologues aussi sur le site : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Metier-de-psychologue/ Dans l'autisme, beaucoup de besoin de personnel également au Québec. Pourquoi ne pas contacter les écoles privées ou spécialisées sur le handicap/autisme à Montréal. Si votre conjoint a moins de 30 ans, en tant que Belge il pourrait penser au PVT. -
Jérémy Bernier Lundi, 24 février 2025 00:00 MISE À JOUR Lundi, 24 février 2025 00:00 Une Française d’origine installée au Lac-Saint-Jean depuis huit ans et qui souhaite y bâtir une entreprise qui fera rayonner la région «vit un cauchemar», elle qui sera forcée de quitter le pays en juillet en raison de rigidités administratives. «Ça démontre que le ministère de l’Immigration est probablement le plus dysfonctionnel et le moins humain de l’appareil gouvernemental», déplore le député fédéral de Lac-Saint-Jean, Alexis Brunelle-Duceppe. Anne Retaillaud a traversé l’Atlantique en aout 2016, pour effectuer son baccalauréat en Chimie des produits naturels à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Mais une fois son diplôme obtenu, il n’était plus question pour elle de repartir. «Je suis tombée en amour avec le Saguenay—Lac-Saint-Jean! J’ai réalisé que c’était ici que je voulais bâtir ma vie et mon entreprise», raconte la jeune femme de 28 ans qui demeure à Alma. Elle a donc poursuivi ses études avec un DEP en vente, un ASP en représentation et un DEP en esthétique, dans le cadre de son lancement d’entreprise. Un parcours qui ne vaut rien Quand elle a enfin terminé ses études et qu’elle était prête à se lancer en affaires, Mme Retaillaud s’est toutefois vue refuser sa demande de résidence permanente, en 2023. Comme son baccalauréat a été obtenu il y a plus de trois ans, il n’était pas reconnu par le programme de l’Expérience québécoise. source et suite : https://www.journaldemontreal.com/2025/02/24/tombee-entre-les-craques-du-systeme-une-immigrante-parfaite-renvoyee-chez-elle
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immigrer.com reacted to a post in a topic: 📢 Webinaire : nouveautés immigration Québec/Canada en 2025
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Merci Marie. Rebienvenue parmi nous !
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Bonjour, Ce n'est pas du tout le même système d'immigration. Pas du tout. Il y a des FAQ relatant plusieurs différences entre la France et le Québec. https://www.immigrer.com/categorie/faq/France-versus-Quebec/ https://www.immigrer.com/categorie/faq/Quebecois-en-France/
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immigrer.com reacted to a post in a topic: Aucune réponse 8 mois après l'annulation des entrevues à Abidjan.
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Meilleures écoles et quartier à Calgary
immigrer.com replied to nosit's topic in Alberta et Manitoba
Bonjour, Justement nous avons fait un webinaire sur l'Alberta et Calgary en décembre et la question des écoles a été abordé. Voici le lien : https://www.immigrer.com/webinaire-ouest-canadien-sinstaller-a-calgary/ -
Clara Loiseau Mercredi, 15 janvier 2025 00:00 MISE À JOUR Mercredi, 15 janvier 2025 00:00 Deux employées modèles d’une boulangerie-pâtisserie de Laval pourraient bien être forcées de rentrer en France à cause des bureaucraties provinciale et fédérale, au grand désespoir de leur patronne qui craint de devoir mettre la clef sous la porte. «Des employés qualifiés, ce n’est pas facile à trouver surtout en boulangerie-pâtisserie. Là, j’ai deux perles, je ne veux pas les perdre», plaide Élodie Alvarez, propriétaire de La Mie dorée, située au Marché 440 à Laval. Depuis près de deux ans, Camille Samson et Louise Ricolleau travaillent à temps plein dans ce commerce où elles sont devenues indispensables. «Quand on me parlait du Québec, on me disait que c’était un endroit rempli d’opportunités pour les pâtissiers-boulangers, qu’on parle français et qu’on peut apporter notre savoir-faire», se souvient Camille Samson, 23 ans, arrivée en 2023 avec un visa de jeune professionnel. Celle qui accumule les diplômes en pâtisserie, chocolaterie et boulangerie est directement tombée sous le charme de la Belle Province et ne veut plus la quitter. Sa collègue pâtissière, Louise, arrivée en 2022 avec un permis vacances-travail (PVT), abonde dans le même sens. «On veut rester ici, on aime vivre et travailler ici», affirme-t-elle. source et suite : https://www.journaldemontreal.com/2025/02/12/immigration-des-patissieres-francaises-pourraient-etre-forcees-de-rentrer-en-france
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Il attend depuis deux mois son certificat d’acceptation du Québec pour demander son visa à Ottawa Lundi, 13 janvier 2025 00:00 MISE À JOUR Lundi, 13 janvier 2025 00:00 Un étudiant français de 55 ans pourrait voir ses projets de vie au Québec tomber à l’eau à cause des retards qu’accuse Québec dans le traitement de son dossier. «J’ai respecté toutes les règles du jeu, c’est vraiment au niveau de l’immigration que c’est n’importe quoi», explique Bruno Lebeau, qui est venu s’installer et étudier à Sherbrooke en août 2023. Ce dernier est arrivé ici après avoir été recruté en France pour faire un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en droit politique à l’Université de Sherbrooke. Pour venir au Québec, cet originaire du sud de la France a tout quitté: sa carrière comme formateur pour adultes, sa famille, son lieu de vie et même ses comptes bancaires. Il a donc obtenu un visa d’étude, pour lequel il avait eu un «certificat d’acceptation du Québec» (CAQ). Sans ce document, impossible de soumettre une demande de visa au gouvernement fédéral. «Tout devait rouler quand j’ai fait la demande de prolongation pour mon permis d’étude, mais comme les règles du jeu ont changé en cours de route, j’ai dû redemander un CAQ», explique-t-il. Avant janvier 2024, les étudiants étrangers qui souhaitaient obtenir une extension pour leur visa d’étude n’avaient pas besoin de redemander le CAQ. suite et source : https://www.journaldemontreal.com/2025/07/01/immigration-un-etudiant-francais-ne-pourra-continuer-detudier-a-cause-des-delais-de-quebec
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Ancienne membre des Forces canadiennes, Hélène Boissonneault a consacré près de 10 ans de sa vie à servir son pays. Aujourd’hui, cette femme se bat sur un autre front : pour faire venir son mari cubain au Québec avant la naissance de leur fille, prévue en avril. Publié à 7 h 00 Suzanne Colpron, La Presse « On sépare des familles pour le fun, dit-elle. Il n’y a pas de réels enjeux à empêcher les familles de se réunir. C’est plus inhumain qu’autre chose. » Mme Boissonneault est entrée dans les Forces canadiennes à l’âge de 24 ans. Pendant près d’une décennie, elle a vécu loin de ses proches, déménageant fréquemment à travers le pays. Lorsqu’elle a quitté l’armée, en juillet 2020, pour revenir au Québec, elle espérait retrouver une « stabilité familiale ». Mais le système d’immigration québécois s’est transformé en un nouvel obstacle, compromettant son rêve d’une vie de famille réunie. « Aujourd’hui, je me rends compte que si j’étais restée à Ottawa, mon mari serait déjà ici », se désole-t-elle. source et suite : https://www.lapresse.ca/actualites/2025-01-10/regroupement-familial-au-quebec/une-mere-de-famille-denonce-des-delais-inhumains.php
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(Ottawa) Le Canada n’acceptera pas de nouvelles demandes de parrainage de résidence permanente pour les parents et les grands-parents jusqu’à nouvel ordre, selon une directive ministérielle. Publié le 3 janvier David BaxterLa Presse Canadienne La directive publiée dans la Gazette du Canada stipule que le gouvernement reste engagé envers le regroupement familial, mais se concentrera sur le traitement des demandes reçues l’année dernière. D’après la directive, le ministre de l’Immigration, Marc Miller, estime que cela « soutiendra au mieux » les objectifs du gouvernement en matière d’immigration et de regroupement familial. D’autres flux d’immigration ont également vu de nouveaux parrainages suspendus afin de contribuer à éliminer l’arriéré existant. Dans le cadre du plan des niveaux d’immigration du gouvernement, qui prévoit une diminution globale de l’immigration au cours des trois prochaines années, l’objectif est d’admettre plus de 24 000 personnes par le biais du volet des parents et des grands-parents cette année. La nouvelle directive indique qu’un maximum de 15 000 demandes présentées en 2024 dans le cadre du programme de regroupement familial sera traité. Dans le cadre du Programme des parents et des grands-parents, 35 700 personnes choisies au hasard ont été invitées à soumettre des demandes en 2024, l’objectif étant d’en accepter 20 500. Selon le rapport annuel 2024 au Parlement sur l’immigration, déposé par M. Miller, il y avait plus de 40 000 demandes de parrainage de résidence permanente pour parents et grands-parents dans l’inventaire à la fin de 2023. Le délai moyen de traitement d’une demande de parrainage était de 24 mois, d’après le rapport. source et suite : https://www.lapresse.ca/actualites/national/2025-01-03/residence-permanente/les-demandes-de-parrainage-pour-les-parents-sont-suspendues.php
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𝙐𝙣 𝙝𝙞𝙫𝙚𝙧 𝙖𝙪 𝙌𝙪𝙚́𝙗𝙚𝙘 Dans ce reportage, Arte propose une immersion dans le quotidien glacé des Québécois https:// https://www.france.tv/arte/canada-la-force-de-la-nature/6784540-le-quebec-boreal.html