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  1. rainbow21

    Retour au Canada

    Je suis un journaliste indépendant francais son assurance va quadrupler au 1er janvier donc la question se posait ne pas s'assurer...
  2. rainbow21

    Retour au Canada

    Les USA en ce moment ... Et je parle pas de politique mais cout de la vie et soins de santé ...
  3. rainbow21

    Retour au Canada

    Pas le cas ici c'est pas rare que j'en vois rester 4 mois ou voir prix révisé. Parce que ca demande vraiment trop cher on parle de 100000 au-dessus de l'evaluation municipale juste pour le terrain voisin. Puis les salaires sont plus bas qu'à Québec ici.
  4. J'ai croisé un jour une pédiatre congolaise qui a fait ses études en médecine en Belgique, on lui a demandé de refaire toutes ses études si elle voulait exercer ... donc elle est préposée aux bénéficaires
  5. rainbow21

    Retour au Canada

    Niveau activité économique en Beauce c'est juste fou on trouve pas de main d'oeuvre et l'activité économique est au beau fixe mais les prix des nouvelles maisons en région sont assez fous on est pas mal proche du 500 000 pour une maison neuve dans une ville comme Saint-Georges. J'ai un voisin qui a acheté il y a 15 ans sa maison 47 000 elle vaut aujourd'hui 350000 .. C'est juste très cher je vois des maisons restées des mois a vendre car t'as quand même pas mal de rénos a faire pour certaines
  6. rainbow21

    Retour au Canada

    Tout est cher je donne juste un exemple le prix de certains loisirs auxquels j'allais parfois ont augmenté de 30 % ces deux dernières années.
  7. Sans avoir quelqu'un de la famille pour vous parrainer c'est impossible on ne peut qu'immigrer par regroupement familial, en tant que travailleur qualifié ou en tant que réfugié. Vous pourriez rester sous visa visiteur mais il faudra le renouveler constamment avec tous les aléas possibles.
  8. Aussi quels sont vos métiers respectifs ?
  9. Y a beaucoup d'arnaques pour les sociétés de conseil qui font de la pub, fuyez. Elles vendent du rêve et de plus beaucoup sont juste illégales car elles n'ont pas d'avocat en immigration inscrit au registre ce qui est obligatoire ! Il vaut mieux faire ses démarches soi-même pour avoir la résidence permanente. Pour le Québec, vous devez juste remplir votre dossier sur le site du gouvernement, l'inscription est gratuite et si vous rentrez dans les critères vous aurez une invitation : https://www.quebec.ca/immigration/permanente/travailleurs-qualifies/programme-selection-travailleurs-qualifies C'est le seul moyen fiable, passer par un permis de travail temporaire n'offre plus aucune garantie d'avoir la résidence permanente au Québec. Et seulement si vous êtes sélectionné vous paierez la résidence permanente et pas besoin de passer par une société quelconque. Hors Québec, il y a moyen d'avoir la RP après un an de travail via un permis de travail seulement via l'Entrée Express avec le programme de l'expérience canadienne. Vous pouvez aussi soumettre votre dossier via Entrée Express travailleurs qualifiés aussi via le programme mobilité francophone vous avez des points en plus en étant francophones. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/entree-express.html https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/travailler-canada/instructions-speciales/mobilite-francophone.html La citoyenneté s'obtient après 3 ans de RP en habitant au Canada ou 2 ans de RP et 2 ans en temporaire
  10. https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2025-11-22/demandeurs-d-asile/quand-le-ministre-roberge-dit-n-importe-quoi.php « Une carte or pour les demandeurs d’asile ? Mais quelle carte or ? Nous ne venons pas ici pour l’argent ! On laisse tout juste pour sauvegarder nos vies. C’est le souffle de vie que l’on veut protéger ! » Publié à 6 h 00 En entendant la déclaration odieuse du ministre Jean-François Roberge menaçant de couper l’aide sociale aux demandeurs d’asile profitant d’une soi-disant « carte or » au Québec, Tania Henriques a senti l’indignation monter en elle. La jeune mère, réfugiée courageuse qui se bat pour sortir d’une situation de grande précarité et garder son logement après avoir perdu son emploi, s’est demandé de qui et de quoi le ministre parlait exactement. Rappelons que selon le ministre québécois de l’Immigration, le Québec serait beaucoup « trop attractif » pour les demandeurs d’asile. D’où la nécessité, selon lui, de couper l’aide de dernier recours à ceux qui ne trouvent pas d’emploi. Une mesure cruelle qui, loin de pousser ces gens à quitter le Québec comme le souhaite le ministre, risque de les pousser vers l’itinérance. « On n’est pas des privilégiés comme il le prétend ! », me dit Tania, qui a demandé l’asile en 2023 après avoir survécu à un long périple qui l’a menée de l’Angola jusqu’au Canada en passant par le Brésil et la périlleuse route de la jungle du Darién. Personne n’emprunte une telle route par choix. Personne n’abandonne tout pour un chèque d’aide sociale. Personne ne rêve de la dolce vita avec carte VIP dans une banque alimentaire, fort d’un « magot » de 829 $ par mois – le montant accordé à un adulte seul sans contraintes à l’emploi qui bien souvent ne suffit même pas à se loger décemment à Montréal. « J’aimerais un jour me mettre en tête-à-tête face à ce monsieur qui dit n’importe quoi », dit Tania. Tania a malheureusement raison. Le ministre de l’Immigration dit trop souvent n’importe quoi sur l’immigration. Sur les demandeurs d’asile qui se la couleraient douce aux crochets de l’État, sa rhétorique populiste était particulièrement indécente. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Le ministre de l’Immigration du Québec, Jean-François Roberge Pour justifier sa volonté de couper l’aide sociale dans certains cas, le ministre Roberge a sorti avec beaucoup d’assurance et aucun fondement une statistique : « environ 50 % » des demandeurs d’asile ayant un permis de travail ne travaillent pas, a-t-il déclaré sur un ton scandalisé. Son cabinet a reconnu rapidement qu’il s’agissait d’un chiffre erroné1. ⁠Quel est donc le chiffre exact sur lequel s’appuyait le ministre ? Il n’existe pas, avoue son attaché de presse et conseiller politique William Demers. « Il y a eu confusion concernant cette donnée. » La vérité, c’est que les demandeurs d’asile sont de moins en moins nombreux à réclamer l’aide sociale. Leur nombre a baissé de 60 % en un an2. ⁠Et lorsqu’ils touchent de l’aide sociale, c’est pendant une période 10 fois moins longue que les autres prestataires3. Un autre chiffre erroné lancé par le ministre concerne les demandeurs d’asile qui se voient refuser le statut de réfugié. M. Roberge a soutenu que « de 40 % à 50 % » d’entre eux « ne sont pas de réels demandeurs d’asile ». Le premier ministre François Legault a aussi affirmé le même jour que « la moitié ne sont pas de vrais demandeurs d’asile ». Or, selon les plus récentes données de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié (CISR), 78 % des demandeurs d’asile ont vu leur statut de réfugié reconnu par le Canada4. À la désinformation sur les demandeurs d’asile, le ministre Roberge a ajouté ces derniers jours un bouquet de faits alternatifs sur le Programme de l’expérience québécoise (PEQ), ce fleuron des programmes d’immigration aboli sans préavis. Mécontent que l’on rappelle que le premier ministre Legault, dans un précédent épisode de la saga du PEQ en 2019, avait reconnu qu’il avait un engagement moral et un devoir d’humanité à l’égard des étudiants et des travailleurs étrangers déjà au Québec trahis par sa réforme, le ministre a crié à la désinformation. Pour « rétablir les faits », il a inventé des faits brumeux qui ont changé au fil de la même journée. Le matin, en entrevue avec Patrick Masbourian, il prétendait que la clause de droits acquis promise par le gouvernement en 2019 aux orphelins du PEQ avait été accordée d’emblée en 2025. « Cette clause grand-père réclamée à grands cris […], elle existe déjà ! » L’après-midi, en entrevue avec Philippe Cantin, le ministre Roberge changeait sa version des faits. Tout d’un coup, de son propre aveu, la clause « grand-père » qui existait le matin n’existait plus – ce qui est vrai. Mais ce n’était pas plus grave que ça finalement, puisque, selon lui, le gouvernement respectait tout de même ses engagements – ce qui est faux. Pour honorer pleinement sa promesse, le gouvernement ne peut se contenter de traiter les demandes reçues avant la suspension du programme, comme il s’est engagé à le faire. Il doit aussi respecter la promesse faite aux milliers de personnes vivant déjà ici qui ont suivi de bonne foi les règles du PEQ, mais n’ont jamais pu déposer leur demande offrant une voie rapide vers la résidence permanente. Ces gens sont des humains, pas des travailleurs jetables. Ils ont quitté leur pays sur la foi d’une promesse. Ils ont investi temps et argent dans leur projet d’immigration au Québec. Ils contribuent déjà à la société. Ils ne demandent pas mieux que de continuer à le faire. La moindre des choses serait de tenir parole plutôt que de continuer à dire n’importe quoi.
  11. Pétition pour maintenir PEQ : https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-11821/index.html
  12. Ouf ... Content pour vous j'aurai trouvé cela hallucinant !
  13. Je crois que la 1ere étape c'est de valider votre permis probatoire d'enseigner car sans ca demander la résidence permanente n'a pas de sens, vous pourriez obtenir la résidence permanente mais ne pas pouvoir enseigner et donc ne pas pouvoir travailler à moins de vous réorienter. Je connais quelqu'un dans le cas qui a plus jamais enseigné car non reconnue. Puis ensuite voir si un emploi est possible (en enseignement aucun problème ils pleurent) cela peut faire augmenter les points pour la demande de RP via le programme québécois de sélection des travailleurs qualifiés le PTSQ mais aujourd'hui fonctionne par invitation après votre inscription sur la plateforme et les rondes sont non planifiées et les critères varient d'une fois à l'autre. Il faudra être patient. Le métier d'enseignant est en pénurie car beaucoup de départs de jeunes enseignants qui abandonnent au bout de quelques années ou d'enseignants qui quittent la profession dégoutés du système. Le secteur est sous-financé en ce moment tant pour les bâtiments que pour les aides aux enfants en difficulté. Je ne veux pas vous décourager mais en gros l'herbe est pas plus verte ailleurs dans l'enseignement en ce moment. Peut-être essayer une autre province que le Québec. Si vous aimez le Québec venez, si vous espérez que cela sera mieux qu'en France il peut y avoir désillusion c'est pas le paradis. La philosophie d'enseignement est sincèrement plus positive qu'en Europe mais ils ont de gros problèmes de moyens comme partout en fait. Voila les seules rondes de l'année qui sont sorties depuis le nouveau programme PSTQ https://monpvt.com/rondes-pstq/ Pour le chiffre des démissions d'enseignants, c'est 1300 cette année. https://www.journaldequebec.com/2025/10/24/record-de-demissions-dans-le-reseau-scolaire--1300-enseignants-permanents-ont-quitte-leur-poste-lannee-passee-seulement-dans-les-ecoles-publiques Je veux juste vous donner le constat du moment. Si vous êtes tombés amoureux du Québec, faites le pas mais surtout attention de ne pas trop s'illusionner au départ !
  14. Au moins au fédéral tu peux espérer 1 an pour parrainage conjoint au Québec c'est 4 ans ! C'est inhumain ! Ca a pas de sens sincèrement qu'on verifie les choses ok mais qu'on limite le droit aux quebecois de vivre avec leur conjoint ...
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