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Messages posté(e)s par gourmet

  1. Kweli

    Belgécois

    Profilage racial ? C'était une petite frappe, donc le profilage racial n'a rien à voir là-dedans. La police ne va quand même pas laisser courir des voyous sous prétexte qu'elle ne veut pas être accusée de racisme.

    Mais je confirme: il ne méritait pas de mourir comme ça... mais qu'on ne vienne pas me faire avaler qu'il est tout blanc dans cette histoire. Il avait qu'à écraser devant les policiers, surtout qu'il était 100% en tort, et il serait sûrement au Honduras avec son frère à l'heure qu'il est, frère qui abuse de la renommée de son frère pour amadouer Immigration Canada et continuer de sévir à nos crochets à Montréal.

    Que tu le veuilles ou non, c'est un cas flagrant de profilage racial.

    Les petits voyous blancs (et Dieu sait qu'il y en a des centaines à Montréal) ne se font pas interpeller par des policiers lorsqu'ils jouent aux dès dans un parc en plein après-midi.

    Et ils ne se font pas tirer dessus non plus.

    Les voyoux blancs se font interpeller aussi par les policiers, dans le cas de Fredy Villanueva, un voyou membre d'un gang criminel, les Bloods, lui et d'autres voyous ont voulu s'en prendre à un policier qui voulait arrêter son frère Dany Villanueva, aussi un voyou membre des Bloods, qui a un dossier judiciaire et qui était en bris de probation.

    Donc aucunenment profilage raciale, si Fredy Villanueva et une vingtaine de jeunes voyous n'avaient pas tenté d'agressé un policier et tenter d'empêcher l'arrestation de son frère en bris de condition et qui résistait à son arrestation, Fredy Villanueva serait encore en vie. Faut arrêter de voir faussement du racisme partout. Faut arrêter à vouloir défendre l'indéfendable et les actions criminels de voyous. Fredy Villanueva a été l'artisan de son propre malheur.

    Et je m'oppose à ce que le nom d'un stade porte le nom d'un voyou qui a déjà été membre d'une organisation criminel.

    Photo du voyou Fredy Villanueva en compagnie de son frère, le voyou Dany Villanueva, faisant le signe du gang criminel les Bloods...

    http://www.cbc.ca/news/canada/montreal/story/2010/05/04/villanueva-photo-bloods.html

  2. De plus en plus de musulmans se cachent afin de boire et manger pendant le ramadan, sinon ils risquent la prison dans leurs pays musulmans.

    SlateAfrique.com

    Ne pas faire le ramadan est dangereux en terre d'Islam

    Au Maroc ou en Algérie, il faut désormais se cacher pour ne pas suivre le ramadan.

    Avec la sortie du film Des dieux et des hommes de Xavier Beauvois, le débat sur le massacre des moines de Tibéhirine en 1996 est à nouveau ravivé. Se pose encore la question du «Qui tue qui?». Qui est responsable de cette tragédie: les islamistes ou l'armée algérienne? Un débat jamais tranché. Les médias français s'intéressent bien davantage à cette question que leurs homologues algériens. Mais ce drame pose aussi une autre question, sans doute fondamentale celle-là, et présente dans bien des esprits en Algérie et au Maroc: la capacité de ces pays à accepter d'autres religions sur leur sol et ceux qui pratiquent peu ou pas lislam.

    Des musulmans modérés, des chrétiens ou des athées s'inquiètent de l'évolution de leur pays. Dans la région, il n'y a guère qu'en Tunisie qu'ils peuvent s'écarter ouvertement des dogmes de l'islam. L'évolution est particulièrement frappante au Maroc. A Tanger ou Tétouan, des chrétiens avouent bien volontiers qu'ils se sentent en «liberté surveillée». «Ce n'est pas un hasard si la cathédrale a été installée en face du commissariat. Même les prêtres sont de plus en plus inquiets», m'a confié Alain, un Camerounais de Tanger qui se rend chaque dimanche à l'église.

    D'Alger à Casablanca, les conversions de musulmans au christianisme donnent lieu à des levées de boucliers. Les évangéliques américains qui tentent de faire du prosélytisme au Maroc comme en Algérie sont obligés de se dissimuler. Quand leurs «activités coupables» sont découvertes, ils sont souvent expulsés. Un citoyen américain a été assassiné en 2009 par des islamistes en Mauritanie. Il était notamment accusé de prosélytisme. Les rares cas de conversion en Kabylie mettent la société en émoi. Les médias y consacrent les gros titres et des unes tant le sujet fait fantasmer l'opinion. Les «convertis» témoignent le plus fréquemment sous couvert d'anonymat.

    Près de vingt ans après le début de la guerre civile en Algérie, les islamistes n'ont certes pas pris le pouvoir. Mais ils réussissent progressivement à imposer leurs idées. «En Algérie, Abdelaziz Bouteflika a fait un deal avec eux, affirme Aziz, un enseignant, effaré par le pouvoir croissant des islamistes dans son pays. Il leur a dit: vous nous laissez le pouvoir politique et nous, on vous laisse le contrôle de la société civile.»

    Cette question se pose avec d'autant plus de force pendant le ramadan. En Algérie, des ouvriers ont été arrêtés pour avoir bu de l'eau durant le «mois sacré». Une dizaine de personnes de la région de Bejaïa (en Kabylie) devraient être jugés ce mois-ci pour non respect du jeûne. Une affaire qui scandalise le quotidien Liberté, l'un des derniers défenseurs de la laïcité en Algérie:

    «Les non jeûneurs concernés, selon les informations disponibles et qui nont pas été démenties, avaient pris soin de ne heurter la sensibilité de personne et nont commis aucun outrage puisquils ont été arrêtés dans des endroits privés et non publics et dans des locaux fermés.»

    Liberté ajoute:

    «Quant à cette accusation datteinte aux préceptes de lIslam dont on les accable, elle ne tient pas la route, la liberté de culte et les libertés individuelles étant reconnues et consacrées par la Constitution. Si manger ou boire pendant le ramadan est un acte qui relève des tribunaux, car constituant une atteinte aux préceptes de lIslam, alors les policiers devraient arrêter ceux qui se trouveraient dans la rue, au marché ou au volant de leur voiture à lheure de la prière au motif quils ne se sont pas rendus à la mosquée.»

    Le journaliste algérien Akram Belkaïd prend aussi la plume pour défendre le droit des non jeûneurs:

    «La religion est une affaire individuelle et chacun est libre de respecter ou pas les commandements divins. On ne peut obliger les gens à être de bons musulmans et, d'ailleurs, quel prix pourrait-on accorder à des jeûnes imposés par la coercition? Ne pas jeûner, ce n'est pas insulter l'Islam ou les musulmans. C'est faire un choix qui ne regarde personne d'autre que l'individu lui-même. D'ailleurs, la logique policière qui veut que l'on fasse la chasse aux non jeûneurs est quelque peu spécieuse. Pourquoi alors ne pas embastiller celles et ceux qui ne prient pas, la prière étant aussi l'un des cinq piliers de l'Islam?»

    Ce chroniqueur du Quotidien d'Oran ajoute:

    «Pour finir, la question du droit à ne pas jeûner et les polémiques qui l'entourent, prouve une urgence. Il est en effet plus que temps que la société algérienne se débarrasse des oripeaux d'une religiosité obsessionnelle et qu'elle réalise que la liberté de conscience n'est en rien une menace pour l'Islam. Bien au contraire, cela montrerait que cette religion est sûre d'elle-même, qu'elle n'est pas sur la défensive et, plus que tout, qu'elle peut parfaitement s'accommoder de l'existence de non pratiquants, ou de non-croyants, au grand jour.»

    Loin d'être anecdotique, cette «affaire de Béjaïa» semble traduire un durcissement des autorités. Les arrestations de non jeûneurs se multiplient. Parfois, les contrevenants sont tabassés par la police, sans autre forme de procès. Une attitude d'autant plus étonnante que l'Algérie compte une minorité chrétienne, notamment en Kabylie.

    Une partie de la société tente de s'opposer à cette évolution. Certains utilisent Internet, et notamment Facebook, pour se faire entendre du plus grand nombre et relayer les voix isolées. Comme ces jeunes blogueurs marocains appartenant au collectif Mali (Mouvement alternatif pour les libertés individuelles) qui réclament le droit de ne pas jeûner pendant le ramadan. Ou le collectif algérien SOS Libertés.

    Dautres préfèrent désormais se cacher. «Il y a dix ans, manger pendant le ramadan ne posait pas de problème. Mais aujourd'hui, je suis obligé de me cacher pour le faire», explique un intellectuel marocain. Du coup, pendant le «mois sacré», il s'exile le plus souvent possible en Europe. De Dakar à Alger en passant par Casablanca, de plus en plus de musulmans recourent désormais à cette stratégie.

    Pierre Malet

    http://www.slateafrique.com/58/ne-pas-faire-le-ramadan-est-dangereux-en-terre-dislam

  3. C'est pire en Europe qu'aux États-Unis : hier, la bourse de Paris s'effondrait de plus de 5 %, les actions de la Société Générale s'effondrent de 15 %, les actions d'autres banques françaises s'effondrent aussi parce que les banques françaises ont prêtées massivement à des pays en difficultés comme la Grèce, Portugal, Espagne, Italie etc. donc la crise de la dette de ces pays c'est aussi la crise des banques françaises. Il y a un effet réel de contagion en Europe. C'est déjà commencé. Et ça arrive alors que l'Europe connaît une croissance économique inférieure à celle du Canada, alors la situation économique en Europe va encore se détériorer. L'impact de la crise économique en Europe sera moindre pour le Canada que l'impact du ralentissement économique aux États-Unis parce que les États-Unis sont un partenaire économique beaucoup plus important pour le Canada que l'Europe.

  4. Au delà du deni de la réalité de certains et du concept de la taqqiya ( mensonges aux non-musulmans ), il y a la réalité et la vérité sur les effets néfastes du jeûne du ramadan...

    Selon SlateAfrique.com

    Un ramadan algérien d'une rare violence

    Premier décompte policier au 4e jour du ramadan version algérienne: 2.000 bagarres qui ont fait 100 blessés, 4 morts et une cinquantaine d'accidents de voitures qui ont fait 19 morts. Mais d'où vient cette violence? Est-elle typiquement algérienne?

    A la chaleur pénible se conjugue la pratique du ramadan, pendant lequel il faut s'abstenir de se faire introduire tout produit liquide (boissons), solide (aliments), fumeux (tabac), charnel (sexe) ou encore cutané (patchs nicotiniques) et intraveineux (injections de toute substance). Et ce, du lever du soleil (actuellement 4 heures du matin à Alger) jusqu'au coucher (20 heures à Alger) pendant un mois (lunaire, soit 28 ou 29 jours selon les années).

    Bref, une épreuve digne d'un parcours du combattant; 16 heures par jour, par 40 à 45 degrés à l'ombre, pour contenter l'un des cinq piliers de l'islam celui le plus observé par les Algériens et les Maghrébins d'une manière générale.

    Car si en Algérie tout le monde ne fait pas la prière, l'un des cinq premiers préceptes avec le ramadan, la chahada (attestation de l'unicité de Dieu), la zakat (aumône aux pauvres) et le Hadj (pèlerinage à la Mecque), en théorie chacun observe le jeune, pratique plus culturelle que religieuse.

    D'où le problème d'un bon nombre d'Algériens pas convaincus et ni réellement pieux, mais qui se forcent au jeûne pour montrer leur capacité de résistance. Cette virilité entraîne de fait chaque année des affrontements, bagarres, rixes et empoignades qui finissent mal en général comme les histoires d'amour. Inquiète, la police nationale a pour la première fois donné des chiffres sitôt les quatre premiers jours du ramadan entamés (le mois de jeûne a commencé en Algérie le 1er août).

    Bilan effarant, avec une moyenne de 500 bagarres par jour, qui se sont soldées par la mort de quatre personnes. Violents aussi avec eux-mêmes, une cinquantaine d'accidents de voiture ont déjà été enregistrés, qui ont fait 19 morts. Un ramadan qui démarre donc sur les chapeaux de roue. Loin de la piété, l'essentiel est d'être un homme.

    Le jeûne, abstinence totale, entraîne un sérieux problème de manque. En dehors de la déshydratation et de la chaleur qui occasionnent des délires, le problème va du simple sevrage café-tabac qui rend passablement nerveux, au manque de cannabis, avec une anxiété supérieure, jusqu'au stade beaucoup plus sérieux, la désintoxication aux psychotropes pour les nombreux accros de ces drogues chimiques.

    L'Algérie en manque

    En effet, l'Algérie figure parmi les plus grandes consommatrices de la planète (plus de 2 millions de comprimés saisis l'année dernière par les services de sécurité, représentant 29 tonnes, contre 40 tonnes de cannabis) qui alimentent un marché informel florissant, brassant 20 millions de comprimés, essentiellement des benzodiazépine comme le Valium, Diazepam et Rivotril. A tel point que le Maroc, très bio, qui exporte du cannabis vers l'Algérie, se plaint de l'introduction illégale et massive de psychotropes en provenance de cette dernière.

    Une guerre de fous, où l'Algérie est pour l'instant gagnante, avec ses abonnés réguliers à ces drogues du pauvre, encore moins chères que le cannabis (une plaquette de 10 comprimés coûte environ 1 euro), mélangées à de l'alcool ou d'autres substances c'est le shoot assuré à moindre frais.

    C'est là où la violence entre en scène: ces molécules neurotoxiques entraînent une dépendance très forte; douleurs, convulsions, violents troubles psychiques accompagnent le sevrage. «Ara habba Valium bech n'hal 3iniya» (donne moi un Valium pour que je puisse ouvrir les yeux), chante Amazigh Kateb, l'un des chanteurs les plus populaires en Algérie.

    http://www.slateafrique.com/23677/algerie-ramadan-violences-drogue-pauvrete

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