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Laurence Nadeau

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Tout ce qui a été posté par Laurence Nadeau

  1. Bonjour, Pour le club fédéral, vous pouvez poster vos messages sur le travail ou les lieux d'installation dans les sections importantes du forum (Réseau travail, Régions). Pour ce qui est de l'entrevue au fédéral, pour l'instant elles vont se retrouver dans les FAQ. Laurence
  2. Laurence Nadeau

    pour kotik

    Ah, ah...je préfère laisser planer le mystère. On en discutera le 6 septembre si tu es avec nous. A+
  3. Laurence Nadeau

    helppppppppppppp

    Bonjour Kotik, Oui, il s'agit certainement des choses retenues à la source. Mais tu sais, rien de t'empêche de gentiment demander quelques explications à ton employeur. Tu supposes qu'il y a des retenues mais tu aimerais juste en savoir plus afin de mieux comprendre, tu peux rappeller que tu es novice en la matière au Québec tout simplement... Laurence
  4. Bonjour, Oui, en effet, tout un timing pour Hydro-Québec pour annoncer des hausses de tarifs. Par exemple, Boston qui devrait pourtant être touché puisque dans la zone nord-est américaine comme NYC ou Détroit a encore elle de l'électricité. Pourquoi ? Parce qu'il est alimenté par le Québec ! Ainsi tous les autres qui importent et achètent leur électricité ailleurs dans la région se retrouvent le bec à l'eau. Pour ce qui est de l'annonce du ministre canadien, selon les journalistes de Radio-Canada il peut s'agir d'une fuite d'informations. Le ministre s'est fait reprendre par son attaché de presse, il a trop parlé. Un incendie dans un centrale nucléaire de Pennsylvanie serait à l'origine de cette panne selon cette source. Enfin, plus les heures et les jours passeront, plus la LUMIÈRE sera faite sur ce sujet. Affaire à suivre. Laurence
  5. Laurence Nadeau

    pour kotik

    Ah ah Non, je suis désolée mais je ne peux prétendre à cela...si vous saviez... Laurence
  6. Eh bien qui l'aurait cru, le Québec plus indépendant que les US
  7. Ce qui est étonnant c'est de voir à la télé en direct des images de NYC au coucher du soleil où c'est complètement sombre.
  8. Bonjour, Voici le lien pour suivre les articles sur la question sur cyberpresse : http://www.cyberpresse.ca/actualites/artic...03,395938.shtml Le jeudi 14 août 2003 Panne d'électricité géante autour des Grands Lacs AFP et Cyberpresse "Depuis 16h15, les villes de Toronto, Ottawa, Windsor, Sudbury, Detroit, Cleveland et New York sont touchées par une importante panne de courant. Une surcharge de la Niagara Mohawk Power serait à l'origine de cette interruption. Les autorités croient que la panne pourrait durer plusieurs heures." "À New York, où le siège de l'ONU est également touché et a été évacué, les habitants multipliaient les déclenchements d'alarme dans les ascenseurs, entraînant une mobilisation très importante des pompiers. Le maire de New York, Michael Bloomberg, a précisé que cette panne n'était pas le résultat d'un acte terroriste. D'autre part, la centrale Niagara aurait été surchargée, mais il est encore impossible de savoir s'il s'agit de la cause de la panne."
  9. Rebonjour, Je voulais juste préciser que si Fouada a changé de speudo c'est entièrement pour des raisons techniques, elle n'en a fait part. Bon, et si nous revenions à des choses plus constructives Merci. Laurence
  10. Bonjour, J'ai suivi la discussion sur cette idée. Je dois dire qu'il y a deux ans, la même idée avait vu le jour sur le forum, un petit groupde de personnes semblaient enthousiastes à cela. Certains vont peut-être s'en rappeller. J'avais travaillé sur une page web afin d'organiser le tout, de faire des horaires. Résultats des courses : une personne en avait peut-être profité mais par la suite, c'est mort de sa belle mort. C'est un très bel élan, une belle idée mais il faut assurer derrière. Et je ne vous cache pas que des organismes ou des entreprises se spécialisent dans ce type d'accueil de différentes façons. Je pense en effet, qu'il faut un minimjm de 10 personnes par ville pour faire le lien, mais je constate que si on voulait le faire aujourd'hui, nous n'aurions pas assez d'effectif à Montréal pour le faire. Il faut être sur place à Montréal pour monter une telle base, cela demande temps et investissement. Une fois sur place, je ne suis pas certaine que certains auront autant d'entrain vu le temps et l'énergie des démarches d'installation. Enfin, je ne ferme pas la porte mais il faudrait déjà qu'on soit un peu plus nombreux à Montréal déjà pour que cela se fasse. Nous allons en parler en effet le 6 septembre. Laurence
  11. Bonjour, Il faut vous donner un rdv pour le chat afin que vous n'y soyez pas seul. Pour ceux qui n'arrivent pas à s'y connecter, quels sont les problèmes au juste ? Laurence
  12. Bonjour, Cette semaine nos chroniqueurs nous parle de Westmount et des Cantons de l'est. À lire en page d'accueil. Laurence
  13. Laurence Nadeau

    pour kotik

    Bonjour, Je comprends les mises au point sur ceci mais je demanderais à chacun d'en rester là pour maintenant. Si vous avez un message en particulier à passer à quelqu'un sur le forum vous pouvez m'envoyer un email et je vais le transmettre. Merci à tous et à toutes. Laurence
  14. Bonjour, Vous pouvez aussi vous connecter sur notre Chat. A+ Laurence
  15. Bonjour, Oui, en effet, un débat très intéressant, mais qui est en train de prendre une autre tournure.... Merci d'en sortir et de passer à d'autres choses. Laurence
  16. Bonjour Roni, Bien, bien, ça s'annonce bien. Tu vas y arriver ! A+ Laurence
  17. Bonjour, Un tel endroit n'existe pas vraiment, les accès gratuits sont limités, certaines bibliothèques municipales peuvent l'offrir mais je ne sais pas à quel point tu as besoin de cette utilisation d'internet. Tu peux toujours t'abonner sans que cela soit de la haute vitesse (ADSL) à Génération Net ou autres pour les quelques temps que tu es dans un appartement. Tu pourras avoir un accès à internet via le téléphone, c'est pas des plus rapides mais ça peut dépanner. Autrement, voir la liste des cybercafés dans la section S'installer. Laurence
  18. Bonjour, Merci Roni de partager avec nous cet article. Je suis allée sur Libé et j'ai eu le bonheur de trouver l'article en question : "Bertrand Bonello à Montréal «La ville a un aspect ultime village gaulois» C'est dans la métropole québécoise, sa ville d'adoption, que le réalisateur de «Quelque chose d'organique» est devenu cinéaste. Par de BAECQUE Antoine mercredi 13 août 2003 «Le "Times" vient d'élire Montréal comme "la meilleure ville au monde", ce qui est un peu inquiétant car cela signe sans doute son déclin.» «Montréal est une ville d'adoption. J'y suis arrivé un jour, à 25 ans, puis je m'y suis installé. C'est un peu plus qu'un mi-temps, j'ai un second appartement à Paris. Quand je suis venu pour la première fois, c'était pour le travail, à la fin de l'année 1989. J'étais musicien avant d'être cinéaste, pianiste, organiste, et je jouais alors avec Carole Laure, égérie québécoise. Je suis resté un trimestre à Montréal, deux mois de répétition, un mois de représentation. Je suis ensuite revenu régulièrement, pour un nouvel album de Carole, puis en vacances, à deux reprises, et enfin pour un nouveau contrat de pianiste. Mais c'est au moment où j'ai commencé à filmer la ville, lors d'un premier court-métrage, que je me suis vraiment installé à Montréal. C'était au début des années 90 : j'ai demandé et rempli les papiers de résident canadien. Ensuite, j'ai tourné deux autres courts et mon premier long-métrage à Montréal, Quelque chose d'organique. C'est dans cette ville que je suis devenu cinéaste, c'est par Montréal que j'ai fait du cinéma mon métier, même si ce fut parfois difficile. Ville à vivre. Il y a une histoire que se racontent les Montréalais : «Quelle est la différence entre un paquebot et un Français ?» Réponse : «Quand les deux arrivent à Montréal, le paquebot repart et le Français reste.» C'est vrai que nous, Français, avons une attirance très particulière pour cette ville. Montréal n'est pas vraiment une ville à voir ú elle est finalement assez commune. Si vous arrivez de Paris, l'aspect américain peut faire impression, avec les immeubles down town, mais en venant de New York, c'est la déception assurée. Montréal est davantage une ville à vivre, dans ses quartiers. Il faut y rester au-delà de quinze jours : alors, quelque chose peut prendre. Une ville à voir, on est impressionné, on peut en parler tout de suite, cela tient en une vision générale. La ville à vivre n'est pas impressionnante, on ne peut pas en parler immédiatement, il s'agit de sensations, de sentiments, et cela ne passe pas par les mots, en tout cas pas par les miens. C'est davantage un rapport à l'espace, ce qui va au-delà de notre vision propre : le Canada est le plus grand pays du monde depuis la fin de l'empire soviétique. Au Québec, il y a sept millions d'habitants dans un pays qui fait sept fois la France. C'est une chose qui nous dépasse, nous Français, et nous fascine en même temps : cette proximité de langue, de racines, et en même temps ce sentiment d'étrangeté, comme si le Québec était une France d'avant, d'autrefois, mais en immense, tellement énorme que ce pays en devient pour nous inenvisageable, démesuré, bigger than life. Ce rapport à l'espace a aussi ses effets économiques : à Montréal, j'ai un appartement immense pour un loyer dérisoire. Ce rapport à l'espace a également un impact écologique : les pays où la nature est plus forte que l'homme ont une mentalité particulière. A Montréal, que ce soit par le froid, les étendues, la montagne, les animaux, les forêts, la nature est évidemment plus forte que l'homme, et cela relativise beaucoup les choses et les comportements. C'est ce que les Français traduisent en général par «les Québécois sont extrêmement sympathiques» ú cela n'est pas faux ú, cependant ce caractère a davantage à voir avec une humanité réelle, une forme aboutie de solidarité face aux pouvoirs exorbitants de l'espace et de la nature. Cela donne à Montréal un aspect «ultime village gaulois» ú tout le monde se serre les coudes, notamment face à l'américanisation des esprits et des comportements ú qui me semble aujourd'hui unique au monde. Extérieurement, cette solidarité humaine prend l'aspect d'une vie festive très développée. Les gens se promènent, s'assoient aux terrasses, se regardent beaucoup. La ville est assez chaude, proche de l'idée de plaisir. Comme une île qui serait entourée par l'Amérique du sérieux et de l'argent. Cela donne à la ville un aspect contestataire et utopique, parfois assez régressif, une ville de grands enfants qui ne vivent qu'entre eux. Quand vous lisez la presse montréalaise, c'est même assez choquant : on ne parle presque que de soi, de la ville, l'entourage international n'existe pas beaucoup. C'est pour cela que je ne pourrais pas habiter à Montréal à plein temps : la vie y est presque trop facile et on n'y existe que le nez collé sur son propre monde. L'ailleurs n'existe que comme une manière de se fortifier soi-même. Pour un Français installé là-bas, le mieux est le principe de l'aller-retour : quand Montréal et Paris peuvent fonctionner ensemble. A Paris, ce qui importe dans une action, c'est son résultat ; à Montréal, c'est l'action elle-même, son trajet, son existence, pas forcément ce sur quoi elle débouche. Litanie collective. La chose qui me frappe toujours, c'est la succession des saisons. L'entrée dans l'hiver et sa sortie sont des moments cruciaux dans la vie de Montréal. Les premières neiges sont sublimes, puis vient le moment où l'hiver dure trop longtemps : les gens ne parlent plus que de ça et se dépriment réciproquement dans une sorte de litanie collective. Les premières douceurs du printemps sont alors vécues comme une libération : tout le monde sort dans la rue, aux terrasses, il fait cinq degrés et les filles sont en minijupes. Tous commencent à se regarder, et le plaisir monte. On parle, depuis trois ou quatre ans, de Montréal comme «la ville la plus agréable à vivre», une ville qui bouge énormément, sans trop de stress, avec ses cafés, ses bars, ses boîtes, son festival de jazz, et une communauté gay active et sereine où affluent beaucoup d'Américains. Le Times vient ainsi d'élire Montréal comme «la meilleure ville au monde», ce qui est un peu inquiétant car cela signe sans doute son déclin. Encore quelques années, et ce sera foutu : les prix commencent déjà à monter, les gens à venir de partout, et De Niro s'est offert un immeuble entier rue Saint-Denis. Montréal est une ville bilingue, à peu près cinquante/cinquante, ce qui, dans un Québec totalement francophone, lui donne un aspect singulier. Parfois assez conflictuel : aux fenêtres de la ville, on voit soit le drapeau québécois, soit le drapeau canadien, la fleur de lys ou la feuille d'érable. Le 24 juin, c'est la fête du Québec, le 1er juillet, celle du Canada, et personne ne se trompe : cela peut être assez violent, avec des affrontements dans la rue. L'ouest est plutôt anglophone, l'est francophone, autour du quartier du Plateau. Je pense d'ailleurs que cet équilibre est essentiel à Montréal : la ville est belle dans cet état de double résistance, à l'américanisation d'un côté, à la francophonie de l'autre. Dès que l'idée de séparatisme québécois se fait trop forte, les anglophones ont peur, se désinvestissent, et la ville devient plus frileuse. De même, l'attachement des Montréalais à la langue française est très émouvant, justement parce qu'il s'agit d'une langue menacée, de plus en plus minoritaire. La ville ne peut marcher que par ces équilibres. Une «montagne» au milieu. A Montréal, les gens ont la trouille, de la nature, de perdre leur langue, d'être obligés de partir, et cet état de résistance active est le plus stimulant des modèles pour bien vivre ensemble. Car c'est aussi une ville pluriethnique, sur le modèle nord-américain, avec les quartiers chinois, italien, juif, grec... Elle fonc tionne sur sa diversité, et la crise économique n'est pas telle que les étrangers deviennent un pro blème. Montréal doit rester une ville assiégée et non devenir une ville séparée. Je sens cela, même si c'est un point de vue d'im migré. Quand je dis de Montréal que c'est une ville à vivre, c'est aussi parce qu'on peut y marcher, contrairement à la plupart des villes américaines. D'abord, il y a une "montagne" au milieu, le mont Royal, avec la croix de Jacques Cartier, une montagne qui est aussi un immense parc, où l'on se promène l'été et où l'on skie l'hiver. Tout le vieux Montréal est organisé autour de la marche selon un même schéma qui induit une connivence et une proximité : une rue, une ruelle, une rue, une ruelle. On peut entrer dans la ville selon ces deux manières, presque simultanément, et cela donne l'endroit et l'envers dans le même mouvement, la ville publique et la ville intime. C'est très rare, notamment au Canada, où le schéma urbain de Toronto est dominant, ville blanche, propre sur elle, wasp (white anglo-saxon protestant), une sorte de Suisse américaine avec son quadrillage de rues et d'avenues. J'ai longtemps habité au Plateau, le quartier francophone et résidentiel, qu'on dirait aujourd'hui un peu «bobo». Désormais, je suis dans le Mile End, un quartier très ethnique, et plus particulièrement dans la rue des juifs hassidim, où l'on ne parle que très bas et en hébreu. La rue suivante, c'est le quartier grec ; la suivante, le quartier italien. C'est un coin plutôt anglophone, puisque les nouveaux venus apprennent d'abord l'anglais, mais la plupart des lieux sont bilingues. Le quartier ne peut pas s'agrandir, coincé entre les voies ferrées et la montagne, en revanche, il est de plus en plus vivant. Les gens y sortent beaucoup le soir, les cafés sont de plus en plus nombreux, et les mélanges incessants. Et moi, au milieu de ce bordel, je vis dans la rue des hassidim, totalement silencieuse. Mon rapport cinématographique avec Montréal, depuis une douzaine d'années, est à la fois vital et frustrant. C'est là que j'ai commencé à tourner, avec des images de la ville dans la tête. En même temps, Montréal a un lien difficile au cinéma : on y tourne beaucoup, pas forcément des films locaux, puisque beaucoup de grosses ou moyennes productions américaines y établissent leur plateau. Le milieu du cinéma québécois est tout petit, un peu étouffant. Et il est très délicat de voir des films venant de partout, comme à Paris : par exemple, il n'y a pas de version sous-titrée, soit les films sont en anglais, soit en français, soit en version doublée. Moi-même, ici, je suis un incompris. Quelque chose d'organique a été plutôt bien reçu en France, et très mal à Montréal. Il se déroule dans la ville, mais c'est un film «français», tourné par un Français, avec des acteurs français : le film a été vu comme celui d'un émigré un peu distant. Les critiques montréalais ont été méchants. En même temps, depuis le Pornographe ou Tiresia, montrés à Cannes, des gens se réclament de mon cinéma, ici. Dans les vidéoclubs, qui sont très importants à Montréal, je suis même classé dans le rayon des «cinéastes québécois». Cela m'a fait plaisir car c'est une forme de reconnaissance, quoique je ne sache pas où j'ai vraiment envie d'être classé. Je n'ai pas actuellement de projet à Montréal, et si je devais tourner au Québec, ce serait dans la petite ville la plus au nord du pays, à 3 000 kilomètres, dans ces terres d'aventures et de froid. Là-bas, tout au nord du Nord, la ville s'appelle Déception. C'est à Déception que je voudrais tourner un prochain film. Originaire de Nice, Bertrand Bonello, 34 ans, a tourné trois longs métrages : «Quelque chose d'organique» à Montréal, avec Romane Bohringer ; «le Pornographe», avec Jean-Pierre Léaud ; et «Tirésia», présenté au dernier Festival de Cannes. Epurés et passionnels, ces films l'imposent comme l'un des chefs de file du jeune cinéma français. haut de page."
  19. Bonjour Hicoune, Tu as tout à fait raison, je ne pensais pas que les utilisateurs visitaient vraiment cette section. Pour ceux qui veulent comprendre, il s'agit de la section Calendrier, en haut à droite du forum. Alors je vais indiquer tout de suite quelques évènements. Merci. Laurence
  20. Bonjour, Kroston nous parle de sa nouvelle terre le Yukon où il y est installé depuis quelques temps, aussi de sa rencontre avec Nicolas Vannier. À lire en page d'accueil du site. Laurence
  21. Laurence Nadeau

    passeport

    Bonjour, Pour les détails des frais, il est possible que l'administration français demande de payer en deux temps (5 ans/5 ans) aux parents qui ajoutent leurs enfants. Je commence à sortir un peu de mon domaine. Le consulat français pourra répondre à ces questions. Laurence
  22. Laurence Nadeau

    passeport

    Bonjour Leelou, Le passeport français est valide pour une période de 10 ans en effet, sauf si tu as ajouté tes enfants dans ton passeport. Comme les enfants changent plus rapidement que nous, il faut changer ton passeport à tous les 5 ans dans ce cas avec de nouvelles photos. Mais il n'y a pas de frais en plus, tu pourras le refaire sans problème dans 5 ans au Consulat français de Montréal. Laurence
  23. Bonjour, Le mot foirer veut dire en effet de ne pas faire grand chose....à Montréal. Mais au Saguenay, c'est tout le contraire, c'est en effet la fête. Laurence
  24. Bonjour, Oui, c'est vrai que vous n'êtes pas aussi nombreux que les autres qui vont au Québec. Par exemple, plus du 3/4 des Français vont au Québec. Je dois dire que je m'interroge sur la nécessité d'une telle section aussi car à part pour le CSQ, toutes les autres démarches sont les mêmes. Est-ce que les préoccupations sont plutôt pour le logement, arrivée, etc ? Il y a plusieurs villes au Canada qui accueillent des immigrants, la rubrique Régions et autres peut servir pour ceux qui veulent donner des conseils d'installation sur place de Toronto, Winnipeg ou CB. Laurence
  25. Bonjour, Tu trouveras ta réponse dans cette récente discussion. Laurence
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