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  1. Nilblack

    👬 Parrainage 2019-2026

    Wahou Sa va vite hein Felicitation Je suppose que tu es deja sur le territoire
    1 point
  2. Carrmiui

    👬 Parrainage 2019-2026

    Bonjour, Début procédure janvier 2025 Admissibilité du parrain février 2025 Visite médicale février 2025 Invitation à produire le CSQ mai 2025 CSQ parrainage obtenu juin 2025 CSQ déposé par formulaire web juillet 2025 Admissibilité Pas commencé Vérification des antécédents En cours
    1 point
  3. Bonjour à tous, Je partage ici les dates de mon dossier de regroupement familial (épouse + enfant) pour avoir vos avis, orientations et retours d’expérience. Je souhaite surtout comprendre où j’en suis, si les délais sont normaux, et combien de temps il pourrait rester. Voici mon historique complet : Dépôt du dossier : novembre 2023 Accusé de réception (AOR) : 18 février 2024 Biométrie : juin 2024 Visite médicale : une première visite médicale a été faite en 2022 (avant mon départ). C’est l’immigration qui avait exigé cela. , je crois que c’est cette étape que nous attendons de nouveau ou une mise à jour de la VM. CSQ reçu : 1er août 2024 Dossier transféré au bureau des visas Dernière mise à jour : aucune mise à jour importante depuis la réception du CSQ. Je souhaite savoir, selon votre expérience : Est-ce que mes délais semblent normaux pour un parrainage d’épouse + enfant ? Est-ce normal d’attendre aussi longtemps après le CSQ ? Combien de temps il pourrait rester avant IVM / décision finale ? Quand est ce que ca va être bon ? Toute expérience ou conseil sera vraiment apprécié. C’est une période difficile car ma femme et ma fille sont encore en attente, donc vos retours me seront très utiles. Merci d’avance à tous !
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  4. Une zone grise dans le métier de coiffeuse punit cette travailleuse autonome Clemence Zanelli est l’une des nombreuses personnes immigrantes qui se butent aux politiques rigides en matière d’immigration et un changement dans sa situation professionnelle la prive d’être éligible à la résidence permanente. Elle est à mi-parcours de sa grossesse et panique à l’idée d’être séparée du père de l’enfant a Quebec, jeudi le 27 novembre 2025. STEVENS LEBLANC JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI) Stevens LeBlanc/JOURNAL DE QUEBEC PARTAGE Catherine Bouchard Lundi, 1 décembre 2025 00:00 MISE À JOUR Lundi, 1 décembre 2025 00:00 Une Française qui a déménagé au Québec il y a quatre ans et qui sera maman dans quelques mois dénonce l’injustice qu’elle subit avec l’immigration, alors que le programme fédéral qui lui a permis de venir pratiquer sa profession ici s’applique difficilement aux exigences d’immigration du Québec. Clémence Zanelli est arrivée au Québec en tant que travailleuse qualifiée en coiffure, métier qui entre dans la catégorie Formation, Études, Expérience et Responsabilités (FÉER) dans les procédures d’immigration du gouvernement fédéral. Publicité Pour éventuellement obtenir sa résidence permanente, Mme Zanelli devait être admise au Programme de l’expérience québécoise (PEQ), sur lequel elle a appliqué avant qu’il soit aboli. «Les conditions étaient claires: travailler deux ans à temps plein dans une catégorie FÉER qualifiée», explique-t-elle. Depuis son arrivée au Québec, elle a cumulé deux années en tant que salariée dans un salon de coiffure. Une première année au salon MCoupe Beauté et une seconde au salon Chez Marcus. Toutefois, le modèle d’affaire de l’industrie de la coiffure change et il devient de plus en plus rare de trouver des salons qui emploient des salariés. C’est dans ce contexte que le propriétaire du Salon Chez Marcus a choisi de mettre fin aux contrats salariés, incitant ainsi l’ensemble de ses employés à adopter le statut de travailleurs autonomes pour pouvoir continuer à exercer dans son établissement. Et c’est là que le processus d’immigration de Mme Zanelli se complique. Son statut de travailleuse autonome lui donne une emprise juridique sur son travail, ce qui la rend automatiquement inadmissible au PEQ. «Je pensais simplement qu’il fallait faire deux ans en tant que salariée, laisse-t-elle tomber. Je ne pensais pas que le fait de devenir [travailleuse] autonome puisse me bloquer». Un bébé en route Son permis de travail se terminera à la fin avril. Bébé est prévu pour le début du mois de mars. Elle et son conjoint, qui est également Français, sont déjà bien installés, et la dernière chose qu’ils souhaitent, c’est de partir. «Nous nous sentons aujourd’hui plus imprégnés de votre culture que de celle de notre pays d’origine», fait valoir Clémence Zanelli. Clémence Zanelli est l’une des nombreuses personnes immigrantes qui se butent aux politiques rigides en matière d’immigration, et un changement dans sa situation professionnelle la prive d’être éligible à la résidence permanente. Elle est à mi-parcours de sa grossesse et panique à l’idée d’être séparée du père de l’enfant, à Québec, le jeudi 27 novembre 2025. Clémence et son conjoint, Theo Maudet. STEVENS LEBLANC JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI) Stevens LeBlanc/JOURNAL DE QUEBEC Ils ont également travaillé fort depuis leur arrivée pour faire leurs preuves. De son côté, elle s’est monté une clientèle fidèle, et lui, gravit les échelons dans l’entreprise pour laquelle il travaille. La situation n’a aucune logique à leurs yeux, alors qu’ils sont des immigrants «proactifs». «On lui demande depuis le début d’être un facteur de l’économie, d’être un intermédiaire pour les taxes, de verser des impôts et d’avoir fait ses deux ans comme salariée», se désole son conjoint, Théo Maudet. «C’est comme si tout était coché, mais j’ai été forcée de passer au statut de [travailleuse] autonome, poursuit Mme Zanelli. Nous voulions simplement trouver notre place ailleurs. Et maintenant que notre vie est enfin rebâtie, le gouvernement la détruit». Le couple n’a pas d’autre option, outre le visa de visiteur, ce que Clémence Zanelli refuse, car elle veut travailler. Une zone grise «qui ne fait pas de sens» Le propriétaire du salon de coiffure Chez Marcus déplore la zone grise dans laquelle se retrouve la profession de coiffeur en matière d’immigration, un flou qui peut nuire grandement aux travailleurs étrangers œuvrant dans cette industrie et qui souhaitent s’établir ici. Il est de plus en plus rare de trouver des salons de coiffure qui embauchent des salariés au Québec. La nature de la profession et la gestion financière qui s’y rattache concordent davantage avec le statut de travailleur autonome, indique Marc-André Villeneuve, propriétaire du Salon Chez Marcus. Toutefois, bien que ce métier soit admissible pour un visa de travailleur étranger au fédéral, la transformation de son modèle d’affaires devient incompatible avec les exigences du Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ) qui remplace le Programme de l’expérience québécoise (PEQ) au provincial. Suite et source : https://www.journaldequebec.com/2025/12/01/etablie-accomplie-autonome-et-bientot-maman-le-quebec-leve-le-nez-sur-cette-immigrante
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