Habitués Sammi Posté(e) 20 février 2010 Habitués Posté(e) 20 février 2010 Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré! La feuille en son langage de feuille me dit : D'un œil je te vois transis De l'autre, d'un chagrin meurtris je lui répondit : Si seulement j'avais tout dit Mon stylo en ambassadeur t'écrit Elle s'estompa et redit : Je t'écoute malheureux vas y J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit: étale toi feuille, que mon stylo te traduit j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis Mais elle m'assassina et s'est enfuie Regarde, mes larmes sont en pluie Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit Comment diable céder a son oublis nos flammes furent, un blasphème des érudits Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits Elle s'attrista a mon sort et repris: Mais alors, que faire a cet instant précis Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi j'expire un souffle de flammes et poursuivi : Mon coeur brûle pour elle pardi Je n'est guère de but dans cette vie j'appelais la mort a grands cris l'abandon est pire que l'oubli Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis je vais prendre ta douleur d'être si gris Pleure cet amour traître, voulu rabougri D'une femme par un diable pétrie Je ne peut la pleurer mon amie Le destin la voulu de la sorte inscrit Une autre devenue mon être depuis Son âme, son cœur elle m'offrit Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie Citer
Habitués zaza70 Posté(e) 20 février 2010 Habitués Posté(e) 20 février 2010 Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré! La feuille en son langage de feuille me dit : D'un il je te vois transis De l'autre, d'un chagrin meurtris je lui répondit : Si seulement j'avais tout dit Mon stylo en ambassadeur t'écrit Elle s'estompa et redit : Je t'écoute malheureux vas y J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit: étale toi feuille, que mon stylo te traduit j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis Mais elle m'assassina et s'est enfuie Regarde, mes larmes sont en pluie Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit Comment diable céder a son oublis nos flammes furent, un blasphème des érudits Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits Elle s'attrista a mon sort et repris: Mais alors, que faire a cet instant précis Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi j'expire un souffle de flammes et poursuivi : Mon coeur brûle pour elle pardi Je n'est guère de but dans cette vie j'appelais la mort a grands cris l'abandon est pire que l'oubli Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis je vais prendre ta douleur d'être si gris Pleure cet amour traître, voulu rabougri D'une femme par un diable pétrie Je ne peut la pleurer mon amie Le destin la voulu de la sorte inscrit Une autre devenue mon être depuis Son âme, son cur elle m'offrit Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie tres beau poème ! contente que la fin soit happy Citer
Habitués yelda Posté(e) 20 février 2010 Habitués Posté(e) 20 février 2010 Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré! La feuille en son langage de feuille me dit : D'un il je te vois transis De l'autre, d'un chagrin meurtris je lui répondit : Si seulement j'avais tout dit Mon stylo en ambassadeur t'écrit Elle s'estompa et redit : Je t'écoute malheureux vas y J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit: étale toi feuille, que mon stylo te traduit j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis Mais elle m'assassina et s'est enfuie Regarde, mes larmes sont en pluie Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit Comment diable céder a son oublis nos flammes furent, un blasphème des érudits Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits Elle s'attrista a mon sort et repris: Mais alors, que faire a cet instant précis Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi j'expire un souffle de flammes et poursuivi : Mon coeur brûle pour elle pardi Je n'est guère de but dans cette vie j'appelais la mort a grands cris l'abandon est pire que l'oubli Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis je vais prendre ta douleur d'être si gris Pleure cet amour traître, voulu rabougri D'une femme par un diable pétrie Je ne peut la pleurer mon amie Le destin la voulu de la sorte inscrit Une autre devenue mon être depuis Son âme, son cur elle m'offrit Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie cette feuille tu l'as trouver au trottoir , prés de la maison de culture chez nous , c'est moi qui te l'as envoyé sammi (lol) alors comme ca , si je le savais je t'aurais écris depuis longtemps :lol:petit frére^_^grand poéte :lol:lol Citer
Habitués Sammi Posté(e) 20 février 2010 Auteur Habitués Posté(e) 20 février 2010 Merci de votre passage les filles......j'ecrit de temps a autre, sans me prendre la tête Citer
Habitués Lebleu Posté(e) 26 février 2010 Habitués Posté(e) 26 février 2010 C'est toi qui a écrit ça !!!! T'es vraiment une souris toi !!! Très beau. Lebleu. Citer
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