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  • Habitués
Posté(e)

Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré!

La feuille en son langage de feuille me dit :

D'un œil je te vois transis

De l'autre, d'un chagrin meurtris

je lui répondit :

Si seulement j'avais tout dit

Mon stylo en ambassadeur t'écrit

Elle s'estompa et redit :

Je t'écoute malheureux vas y

J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit:

étale toi feuille, que mon stylo te traduit

j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis

Mais elle m'assassina et s'est enfuie

Regarde, mes larmes sont en pluie

Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit

Comment diable céder a son oublis

nos flammes furent, un blasphème des érudits

Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits

Elle s'attrista a mon sort et repris:

Mais alors, que faire a cet instant précis

Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi

j'expire un souffle de flammes et poursuivi :

Mon coeur brûle pour elle pardi

Je n'est guère de but dans cette vie

j'appelais la mort a grands cris

l'abandon est pire que l'oubli

Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi

Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis

je vais prendre ta douleur d'être si gris

Pleure cet amour traître, voulu rabougri

D'une femme par un diable pétrie

Je ne peut la pleurer mon amie

Le destin la voulu de la sorte inscrit

Une autre devenue mon être depuis

Son âme, son cœur elle m'offrit

Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie

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Posté(e)

Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré!

La feuille en son langage de feuille me dit :

D'un il je te vois transis

De l'autre, d'un chagrin meurtris

je lui répondit :

Si seulement j'avais tout dit

Mon stylo en ambassadeur t'écrit

Elle s'estompa et redit :

Je t'écoute malheureux vas y

J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit:

étale toi feuille, que mon stylo te traduit

j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis

Mais elle m'assassina et s'est enfuie

Regarde, mes larmes sont en pluie

Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit

Comment diable céder a son oublis

nos flammes furent, un blasphème des érudits

Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits

Elle s'attrista a mon sort et repris:

Mais alors, que faire a cet instant précis

Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi

j'expire un souffle de flammes et poursuivi :

Mon coeur brûle pour elle pardi

Je n'est guère de but dans cette vie

j'appelais la mort a grands cris

l'abandon est pire que l'oubli

Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi

Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis

je vais prendre ta douleur d'être si gris

Pleure cet amour traître, voulu rabougri

D'une femme par un diable pétrie

Je ne peut la pleurer mon amie

Le destin la voulu de la sorte inscrit

Une autre devenue mon être depuis

Son âme, son cur elle m'offrit

Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie

tres beau poème ! contente que la fin soit happy

  • Habitués
Posté(e)

Assis sur un trottoir, adossé a la murette de la corniche des soupires...j'ai vu le vent valser une feuille a son gré!

La feuille en son langage de feuille me dit :

D'un il je te vois transis

De l'autre, d'un chagrin meurtris

je lui répondit :

Si seulement j'avais tout dit

Mon stylo en ambassadeur t'écrit

Elle s'estompa et redit :

Je t'écoute malheureux vas y

J'ai pioché dans mes souvenirs et j'ai dit:

étale toi feuille, que mon stylo te traduit

j'avais espéré après tant d'années, qu'elle revis

Mais elle m'assassina et s'est enfuie

Regarde, mes larmes sont en pluie

Elle habite mon corps, mon âme et mon esprit

Comment diable céder a son oublis

nos flammes furent, un blasphème des érudits

Ceux qui embûchèrent nos rêves d'interdits

Elle s'attrista a mon sort et repris:

Mais alors, que faire a cet instant précis

Tu ne peut point vivre de douleurs ainsi

j'expire un souffle de flammes et poursuivi :

Mon coeur brûle pour elle pardi

Je n'est guère de but dans cette vie

j'appelais la mort a grands cris

l'abandon est pire que l'oubli

Que dieu te pardonne, car tu me fit ainsi

Brame moi, dit la feuille, de tous tes soucis

je vais prendre ta douleur d'être si gris

Pleure cet amour traître, voulu rabougri

D'une femme par un diable pétrie

Je ne peut la pleurer mon amie

Le destin la voulu de la sorte inscrit

Une autre devenue mon être depuis

Son âme, son cur elle m'offrit

Et je l'aime tellement, Que dieu la bénie

cette feuille tu l'as trouver au trottoir , prés de la maison de culture chez nous , c'est moi qui te l'as envoyé sammi (lol)

alors comme ca , si je le savais je t'aurais écris depuis longtemps ;):lol:petit frére^_^grand poéte :lol:lol

  • Habitués
Posté(e)

Merci de votre passage les filles......j'ecrit de temps a autre, sans me prendre la tête :blush::lol:

  • Habitués
Posté(e)

C'est toi qui a écrit ça !!!!

T'es vraiment une souris toi !!!

Très beau.

Lebleu.

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