Invité Posté(e) 6 mars 2004 Posté(e) 6 mars 2004 La plus grande ouverture des portes du Québec n'est pas à l'ordre du jour de la ministre des Relations avec les citoyens et de l'Immigration Michelle Courchesne, du moins pas pour le moment."À très court terme, il faut d'abord consolider nos moyens d'action. Parce que si l'on ouvrait trop rapidement, on se retrouverait avec des problèmes énormes d'intégration déjà, trop de gens qui arrivent sont sur le chômage ou dépendants de l'aide sociale", a-t-elle expliqué.Selon les données du ministère, le taux de chômage de la population immigrée au Québec entre 1996 et 2000 se situe à 20,5%, largement supérieur à celui de la population non immigrée, qui se situe à 7,8%.Parmi les problèmes les plus importants, Michelle Courchesne note la non-reconnaissance de plusieurs diplômes d'études par certains ordres professionnels, qui ferme la porte à nombre de nouveaux arrivants qualifiés."Il y a des obstacles à l'emploi qui sont reliés à la reconnaissance des diplômes et la reconnaissance des acquis..."Le poids relatif des immigrants est de 9,9% dans la population québécoise. Ce taux se situe à 18,4% dans l'ensemble du Canada, avec un sommet de 26,8% en Ontario. Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.