Habitués petitefleur Posté(e) 31 mars 2009 Auteur Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Les Québécois qui donnent des leçons de français aux Français, on aura tout vu. Quant aux anglicismes, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.oui en effet ; pour l'anecdote , il m'est aussi arrivé de chercher dans le dictionnaire anglais pour m'aider à trouver le sens d'un mot quebecois (par exemple "cancellation") Citer
Habitués micaline Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Petite fleur n'a pas tout à fait tort. Dans les années 70, alors que vous n'étiez sans doute pas encore ici, les supermarchés se nommaient hypermarchés. Citer
Habitués Mowgli Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Pour te répondre petitefleur: pas de yaourt au chocolat style danette ou autre au QC... en gros, il n'y a pas les 50 000 variétés de desserts lactés qu'on trouve en France. Citer
Habitués kremmig Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 C'est vrai que tous ces supermarchés me paraissent "minus" et que je dois vraiment changer mes habitudes de consommation et d'organisation des courses surtout .En fait ils sont petits c'est vrai mais pas plus qu'en France quand tu vis dans le centre ville sans voiture. En général, les Auchan, Carrefour et autres, tu as besoin d'une voiture pour y aller (comme ici pour COSTCO, Super C etc...)j'en profite pour demander encore autre chose : je ne trouve pas de yaourts au chocolat (mousse, chocolat liegeois, danette, etc ...)peut être que je n'ai pas su les trouver ....Pour la danette ... fait un deuil, on n'en trouve pas et rien de très proche malheureusement.Les chocolats liegois, tu peux en trouver des versions "génériques" (pas comme les vrais mais correct). Avant de declencher une nouvelle fois la foudre , je rappelle que mon objectif est simplement de trouver à manger, le plus proche possible de mon alimentation française (mais je pense que vous l'aviez compris)Sans porter de jugement, tu peux quand même t'essayer à une alimentation différente sans te transformer en monstre ou mourir dans la nuit Pour les pâtisseries et autres pains = 1ère moisson ou pain doré Pour les légumes et fruits = Marché Jean Talon (amène du liquide, pas de paiement par carte si je me souviens bien)En haut de la rue Mont Royal, je crois que tu as un Provigo (assez grand du reste). Un peu avant les terrains de tennis. C'est pas mal ! Citer
Lucie39 Posté(e) 31 mars 2009 Posté(e) 31 mars 2009 le français international c'est le français compris par tous les francophones de la terre et pas seulement par les Parisiens (ou les cercles parisiens)on va À Paris et non SUR Parison envoie un courriel (un courrier électronique) et non un maudit mailon fait une maîtrise et non un master Citer
Habitués petitefleur Posté(e) 31 mars 2009 Auteur Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Pour te répondre petitefleur: pas de yaourt au chocolat style danette ou autre au QC... en gros, il n'y a pas les 50 000 variétés de desserts lactés qu'on trouve en France. Mowgli tu viens de me saper le moral là !!!!!!!!! Citer
Habitués Demetan Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Les Québécois qui donnent des leçons de français aux Français, on aura tout vu. Quant aux anglicismes, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.oui en effet ; pour l'anecdote , il m'est aussi arrivé de chercher dans le dictionnaire anglais pour m'aider à trouver le sens d'un mot quebecois (par exemple "cancellation")Mauvais exemple, puisque "canceller" est un archaïsme français... Il avait, en droit ancien, le sens d« annuler un acte aboli ou périmé par cancellation ». Mais c'est certain qu'aujourd'hui, ce n'est pas sous cette forme-là que les Québécois l'emploient, et qu'il est souhaitable d'utiliser un autre verbe... Tout ça pour dire qu'il existe bien sûr des anglicismes purs et durs dans la langue québécoise, mais certains ont des origines plus tordues qu'il n'y paraît!Quant au "sur" Toulouse, c'est une faute en français... Et pour les danettes et autres yogourts au chocolat, le choix est limité (certains n'existent pas au Québec). Citer
Habitués Bernard Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 on va À Paris et non SUR Parison envoie un courriel (un courrier électronique) et non un maudit mailon fait une maîtrise et non un masterBonjour,Très juste, mais à ce moment-là : - On dit mignon et pas cute- On dit essuie-glace et pas wiper- On dit pare-chocs et pas bumper- On dit travail et pas job- On dit de toute façon et pas anyway- On dit annuler et pas canceller- On dit planifier et pas céduler- On dit cacahuète et pas peanut- On dit haricot et pas beanJe pourrais continuer longtemps comme ça. Citer
Habitués Mowgli Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 le français international c'est le français compris par tous les francophones de la terre et pas seulement par les Parisiens (ou les cercles parisiens)on va À Paris et non SUR Parison envoie un courriel (un courrier électronique) et non un maudit mailon fait une maîtrise et non un masterMerci de respecter tes interlocueurs et aussi les autres cultures francophones!Si tu penses que tous les francophones de la terre comprennent le mot courriel, tu te trompes. On te regarde parfois bizarrement en Belgique quand tu parles de courriel. Le diplôme de 2 eme cycle en Belgique et en France s'appelle un master, c'est comme ça, on n'en mourra pas il me semble.Et quand on pense aux cow-boys fringants qui chantent "Qui serait atterri dans les poubelles" dans La Reine, je suis pas certaine que ce soit plus grammaticalement correct que "Sur Paris", n'est-ce pas. De même que le verbe 'peinturer' n'est pas considéré comme correct en français de France.Enfin, il semblerait que je me sois déjà trop fatiguée pour rien puisque tu sembles juste avoir envie d'attaquer du Parisien (alors que l'expression à laquelle tu t'attaques n'a rien de spécifiquement parisien d'ailleurs, j'ai déjà entendu des français de partout l'utiliser...) Citer
Lucie39 Posté(e) 31 mars 2009 Posté(e) 31 mars 2009 Francophonie : le calvaire de loptimiste Cest lactiviste américaine Claire Booth Luce qui la dit : « Un pessimiste est un optimiste informé. » En cette Semaine de la Francophonie, et de retour dun séjour en France et en Belgique, je déclare que linformation sacharne sur ceux qui ont de lavenir de la Francophonie une vision optimiste.par Jean-François Liséepublié dans L'actualité du 15 avril 2009 Regardant les publicités à la télé française et belge, jai voulu compter le nombre de messages utilisant des termes anglais. Jai renoncé. Il était plus simple de compter ceux qui nen utilisaient pas. Du parfum haut de gamme aux couches jetables, tout semble plus moderne lorsque cest dit in English. Optimiste, on ny voit quune mode, même si elle dure et semble samplifier. La France est un grand chêne qui, sil arbore quelques feuilles anglaises, nen a pas moins un tronc et des racines solides. Alors peu importe que la chaîne dalimentation Champion sappelle désormais Carrefour Market et que le Groupe Casino lance Leader Price. On sinquiète un peu pour les branches, tout de même, lorsque de grandes institutions se mettent de la partie. On savait quAir France avait renommé Flying Blue sa carte de fidélité Fréquence Plus. On note maintenant que les aéroports de Lyon se rebaptisent Lyon Airports et quil a fallu laction dactivistes pour que la région Val de Loire renonce à safficher, même localement, sous le nom de Loire Valley. La Française des Jeux clame dans ses pubs « Jai la wiiin! » et la Banque Nationale de Paris propose ses produits Ze Box et Naked Land. Le patronat donne lexemple. Son organisation nationale, le MEDEF, avait réuni ses états généraux lan dernier sous le thème unilingue « Go for Benchmarking » ! Heureusement quen France le président Sarkozy veille. Certes, sa ministre de lÉconomie, Christine Lagarde, a reçu en 2007 le convoité prix de lAcadémie de la Carpette anglaise pour avoir communiqué en anglais avec ses propres fonctionnaires ce que font déjà quelques grandes entreprises. Mais le président veut améliorer la qualité de la recherche française, qui, avec deux prix Nobel cette année, est, dit-il, « médiocre ». Pour sortir du marasme, il propose dévaluer les chercheurs en fonction du nombre darticles quils font paraître dans les meilleures revues scientifiques, dont la plupart, selon le relevé officiel français, sont... américaines. On admet que lutilisation de langlais ne modifie pas notablement la recherche lorsquil sagit de calculer la masse dune particule subatomique. Mais les sciences humaines ne sont pas aussi imperméables aux particularités locales et linguistiques. Le philosophe Serge Cantin, titulaire de la Chaire détudes du Québec contemporain, à Paris, dit connaître des collègues qui ont abandonné la tradition philosophique dite continentale pour inscrire leurs recherches dans lécole analytique. Choix scientifique ? Non. Cette dernière est généralement mieux acceptée par les revues américaines. Cet appel du chef de lÉtat français à la soumission collective de la recherche française à un critère de qualité défini par des comités de lecture formés de chercheurs américains, ne lisant évidemment que langlais, a une conséquence logique. Elle ma sauté au visage lors dune conférence sur la diversité linguistique que je donnais dans une université parisienne. Une étudiante polonaise ma expliqué quil était « scandaleux » que son université française loblige à produire sa thèse de doctorat en français plutôt quen anglais. Pourquoi ? « Les articles scientifiques que jécrirai à partir de la thèse seront rédigés en anglais, pour des revues anglophones. » Logique. Alors pourquoi ne pas donner aussi les cours en anglais ? Seul un pessimiste croirait une telle dérive possible. On observe bien que, cette année, la grande école Sciences Po Paris offre, sur ses 15 masters (des maîtrises), une formation en anglais pour moitié (Corporate and Public Management) et une autre totalement et seulement en anglais (Economics and Public Policy). La version française nest pas proposée, comme cest le cas à lÉcole des hautes études en santé publique pour son master de Public Health en anglais seulement. Cette école signale aimablement dans son site que « no minimal level in French will be required ». Un pessimiste dirait que si le savoir est produit prioritairement en anglais, les spécialistes devraient être formés dans cette langue. Pour bien les préparer, il serait plus simple de donner en anglais lenseignement secondaire, puis primaire. Seul un pessimiste verrait dans lintroduction récente, en France, des chaînes télé Canal+ Family et BabyTV, les premiers rouages de cet engrenage. Et encoreLes historiens français ont calculé que sils se pliaient aux nouvelles exigences dévaluation et proposaient tous des articles aux revues américaines dhistoire, celles-ci nauraient simplement pas assez de place pour les publier, même en leur consacrant 100 % de leur espace. Citer
Habitués petitefleur Posté(e) 31 mars 2009 Auteur Habitués Posté(e) 31 mars 2009 le français international c'est le français compris par tous les francophones de la terre et pas seulement par les Parisiens (ou les cercles parisiens)on va À Paris et non SUR Parison envoie un courriel (un courrier électronique) et non un maudit mailon fait une maîtrise et non un masterLucie tu t'enfonces là Tu as bien compris pourtant quand j'ai parlé de supermarchés SUR Montreal (tu n'es pas allée chercher ton dictionnaire)On faisait une maîtrise et maintenant on fait un master .... car la nomenclature des diplomes a changé recemment .... harmonisation europeenne oblige !Quant à mail ou courriel , les 2 sont justes ; C'est comme fin de semaine et week end ah là là Citer
Habitués Mowgli Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Francophonie : le calvaire de loptimiste Cest lactiviste américaine Claire Booth Luce qui la dit : « Un pessimiste est un optimiste informé. » En cette Semaine de la Francophonie, et de retour dun séjour en France et en Belgique, je déclare que linformation sacharne sur ceux qui ont de lavenir de la Francophonie une vision optimiste.par Jean-François Liséepublié dans L'actualité du 15 avril 2009 Regardant les publicités à la télé française et belge, jai voulu compter le nombre de messages utilisant des termes anglais. Jai renoncé. Il était plus simple de compter ceux qui nen utilisaient pas. Du parfum haut de gamme aux couches jetables, tout semble plus moderne lorsque cest dit in English. Optimiste, on ny voit quune mode, même si elle dure et semble samplifier. La France est un grand chêne qui, sil arbore quelques feuilles anglaises, nen a pas moins un tronc et des racines solides. Alors peu importe que la chaîne dalimentation Champion sappelle désormais Carrefour Market et que le Groupe Casino lance Leader Price. On sinquiète un peu pour les branches, tout de même, lorsque de grandes institutions se mettent de la partie. On savait quAir France avait renommé Flying Blue sa carte de fidélité Fréquence Plus. On note maintenant que les aéroports de Lyon se rebaptisent Lyon Airports et quil a fallu laction dactivistes pour que la région Val de Loire renonce à safficher, même localement, sous le nom de Loire Valley. La Française des Jeux clame dans ses pubs « Jai la wiiin! » et la Banque Nationale de Paris propose ses produits Ze Box et Naked Land. Le patronat donne lexemple. Son organisation nationale, le MEDEF, avait réuni ses états généraux lan dernier sous le thème unilingue « Go for Benchmarking » ! Heureusement quen France le président Sarkozy veille. Certes, sa ministre de lÉconomie, Christine Lagarde, a reçu en 2007 le convoité prix de lAcadémie de la Carpette anglaise pour avoir communiqué en anglais avec ses propres fonctionnaires ce que font déjà quelques grandes entreprises. Mais le président veut améliorer la qualité de la recherche française, qui, avec deux prix Nobel cette année, est, dit-il, « médiocre ». Pour sortir du marasme, il propose dévaluer les chercheurs en fonction du nombre darticles quils font paraître dans les meilleures revues scientifiques, dont la plupart, selon le relevé officiel français, sont... américaines. On admet que lutilisation de langlais ne modifie pas notablement la recherche lorsquil sagit de calculer la masse dune particule subatomique. Mais les sciences humaines ne sont pas aussi imperméables aux particularités locales et linguistiques. Le philosophe Serge Cantin, titulaire de la Chaire détudes du Québec contemporain, à Paris, dit connaître des collègues qui ont abandonné la tradition philosophique dite continentale pour inscrire leurs recherches dans lécole analytique. Choix scientifique ? Non. Cette dernière est généralement mieux acceptée par les revues américaines. Cet appel du chef de lÉtat français à la soumission collective de la recherche française à un critère de qualité défini par des comités de lecture formés de chercheurs américains, ne lisant évidemment que langlais, a une conséquence logique. Elle ma sauté au visage lors dune conférence sur la diversité linguistique que je donnais dans une université parisienne. Une étudiante polonaise ma expliqué quil était « scandaleux » que son université française loblige à produire sa thèse de doctorat en français plutôt quen anglais. Pourquoi ? « Les articles scientifiques que jécrirai à partir de la thèse seront rédigés en anglais, pour des revues anglophones. » Logique. Alors pourquoi ne pas donner aussi les cours en anglais ? Seul un pessimiste croirait une telle dérive possible. On observe bien que, cette année, la grande école Sciences Po Paris offre, sur ses 15 masters (des maîtrises), une formation en anglais pour moitié (Corporate and Public Management) et une autre totalement et seulement en anglais (Economics and Public Policy). La version française nest pas proposée, comme cest le cas à lÉcole des hautes études en santé publique pour son master de Public Health en anglais seulement. Cette école signale aimablement dans son site que « no minimal level in French will be required ». Un pessimiste dirait que si le savoir est produit prioritairement en anglais, les spécialistes devraient être formés dans cette langue. Pour bien les préparer, il serait plus simple de donner en anglais lenseignement secondaire, puis primaire. Seul un pessimiste verrait dans lintroduction récente, en France, des chaînes télé Canal+ Family et BabyTV, les premiers rouages de cet engrenage. Et encoreLes historiens français ont calculé que sils se pliaient aux nouvelles exigences dévaluation et proposaient tous des articles aux revues américaines dhistoire, celles-ci nauraient simplement pas assez de place pour les publier, même en leur consacrant 100 % de leur espace.et quel est le lien avec les grandes surfaces au Québec? Citer
Invité Posté(e) 31 mars 2009 Posté(e) 31 mars 2009 Monsieur Larousse confirme que SUR PARIS (ou toute autre ville d'ailleurs ) est correct Citer
Habitués petitefleur Posté(e) 31 mars 2009 Auteur Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Les Québécois qui donnent des leçons de français aux Français, on aura tout vu. Quant aux anglicismes, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.oui en effet ; pour l'anecdote , il m'est aussi arrivé de chercher dans le dictionnaire anglais pour m'aider à trouver le sens d'un mot quebecois (par exemple "cancellation")Mauvais exemple, puisque "canceller" est un archaïsme français... Il avait, en droit ancien, le sens d'« annuler un acte aboli ou périmé par cancellation ». Mais c'est certain qu'aujourd'hui, ce n'est pas sous cette forme-là que les Québécois l'emploient, et qu'il est souhaitable d'utiliser un autre verbe... Tout ça pour dire qu'il existe bien sûr des anglicismes purs et durs dans la langue québécoise, mais certains ont des origines plus tordues qu'il n'y paraît!Quant au "sur" Toulouse, c'est une faute en français... Et pour les danettes et autres yogourts au chocolat, le choix est limité (certains n'existent pas au Québec). j'avoue que je ne connaissais pas le mot français canceller alors merci de nous l'avoir expliqué.pour l'exemple que j'ai utilisé (cancellation) c'etait pour dire annulation mais c'est vrai que je n'avais pas précisé de contexte dans lequel j'avais entendu ce mot . Citer
Habitués kremmig Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Monsieur Larousse confirme que SUR PARIS (ou toute autre ville d'ailleurs ) est correct C'est pas un Québécois alors ce monsieur Larousse ... vu le nom ce serait plus Irlandais Citer
Habitués Demetan Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 (modifié) Monsieur Larousse confirme que SUR PARIS (ou toute autre ville d'ailleurs ) est correct Ah je me fiais à l'Académie française, qui accepte par exemple "marcher sur Rome" (conquête) mais par "sur" Rome dans le sens de à Rome. On va dire que c'est un régionalisme... Et puis si M. Larousse l'accepte... Tant mieux mais je ne l'utiliserai pas plus!Mais on s'éloigne des danettes là Modifié 31 mars 2009 par Demetan Citer
Invité Posté(e) 31 mars 2009 Posté(e) 31 mars 2009 Monsieur Larousse confirme que SUR PARIS (ou toute autre ville d'ailleurs ) est correct Ah je me fiais à l'Académie française, qui accepte par exemple "marcher sur Rome" (conquête) mais par "sur" Rome dans le sens de à Rome. On va dire que c'est un régionalisme... Et puis si M. Larousse l'accepte... Tant mieux mais je ne l'utiliserai pas plus!Mais on s'éloigne des danettes là Ca ne m'étonne pas que l'Académie française ne soit pas forcément d'accord avec le Larousse... Déjà bien souvent M. Robert et M. Larousse ne sont déjà pas d'accord entre eux Pas toujours facile pour le boulot !!!Effectivement on est loin des Danettes Citer
calcite39 Posté(e) 31 mars 2009 Posté(e) 31 mars 2009 (modifié) le français international c'est le français compris par tous les francophones de la terre et pas seulement par les Parisiens (ou les cercles parisiens)on va À Paris et non SUR Parison envoie un courriel (un courrier électronique) et non un maudit mailon fait une maîtrise et non un masterMerci de respecter tes interlocueurs et aussi les autres cultures francophones!Si tu penses que tous les francophones de la terre comprennent le mot courriel, tu te trompes. On te regarde parfois bizarrement en Belgique quand tu parles de courriel. Le diplôme de 2 eme cycle en Belgique et en France s'appelle un master, c'est comme ça, on n'en mourra pas il me semble.Et quand on pense aux cow-boys fringants qui chantent "Qui serait atterri dans les poubelles" dans La Reine, je suis pas certaine que ce soit plus grammaticalement correct que "Sur Paris", n'est-ce pas. De même que le verbe 'peinturer' n'est pas considéré comme correct en français de France.+1+1Deux exemples qui reviennent à longueur de journée à et SUR radio-canada (la référence...!?) :-le verbe compétionner, au lieu de concourir- et l'expression du style "les voleurs SONT disparus" - superbe faute !!!! et montrueuse même, c'est AVOIR et pas ETRE qu'il faut utiliser. Effectivement, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.Bon, on va pas relancer le débat sur le francais au Québec et en France, c'est le genre de débat futile et débile. L'important c'est que les gens se comprennent !!D'ailleurs pour info, l'anglais n'est pas le même au Royaume Uni et aux USA. Je serais curieux des avoir si ils prennet la tête avec ça... Modifié 31 mars 2009 par calcite39 Citer
Habitués petitefleur Posté(e) 31 mars 2009 Auteur Habitués Posté(e) 31 mars 2009 Avant de declencher une nouvelle fois la foudre , je rappelle que mon objectif est simplement de trouver à manger, le plus proche possible de mon alimentation française (mais je pense que vous l'aviez compris)Sans porter de jugement, tu peux quand même t'essayer à une alimentation différente sans te transformer en monstre ou mourir dans la nuit oui je suis bien d'accord avec toi sur le principe ; mais mon estomac ne voit pas les choses comme cela : j'ai des carences en sucre et chocolat depuis que je suis ici et des fois je me sens "patrac" il doit y avoir un côté psychologique dans tout ça en plus vous venez de m'annoncer que je ne trouverai guère de yaourts au chocolat ... déjà que je ne parle pas le français parisien international (et quebecois s'il vous plait) , si en plus je ne peux pas manger comme je veux .... je crois que mon integration est compromise plus serieusement : merci en tous cas pour vos reponses pour les supermarches et les yaourts Citer
Habitués kremmig Posté(e) 31 mars 2009 Habitués Posté(e) 31 mars 2009 D'ailleurs pour info, l'anglais n'est pas le même au Royaume Uni et aux USA. Je serais curieux des avoir si ils prennet la tête avec ça...Non et c'est pour cela que leur langue domine ... il s'en sacre de comment on parle l'anglais, pourvu qu'on le parle ! Citer
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