Habitués deg Posté(e) 7 juillet 2005 Habitués Posté(e) 7 juillet 2005 Bonjour à tous Un très bon site dédié aux principaux peer to peer : p to pDe toute façon à toi de te faire ta propre opinion, si tu fais des recherches sur internet tu verras que les avis sont très partagés Bonne chance. Citer
Habitués chouchou22 Posté(e) 9 juillet 2005 Habitués Posté(e) 9 juillet 2005 Merci pour le conseil. je vois que madame fait parti de gens qui eu des Ferrari !!Camarguais n'est pas une Madame, sinon on dirait Camarguaise Chouchou, forte en grammaire Citer
Habitués Nicolas Posté(e) 10 juillet 2005 Habitués Posté(e) 10 juillet 2005 Dire que ce message est pas encore fermé... ça se voti que les modos téléchargent à donf Citer
Invité Posté(e) 11 juillet 2005 Posté(e) 11 juillet 2005 Pour ceux qui utilisent vidéotron, je vous déconseille fortement à faire du peer to peer, en effet si vous avez la malchance de vous faire "attraper" , videotron communiquera sans hésiter vos coordonnées à la société à laquelle vous avez fait du tort (via votre adresse IP) ←En effet voici un petit article (de l'année dernière, mais toujours d'actualité)La défaite de la CRIA cette semaine au Canada a beau réjouir l'ensemble des utilisateurs de P2P, elle devrait néanmoins sonner l'alarme pour les nombreux abonnés au fournisseur d'accès Vidéotron. Le FAI est prêt à les dénoncer au moindre coup de sifflet. Rappelons que l'action portée par la Canadian Recording Industry Association contre 29 utilisateurs de logiciels de P2P (Kazaa, Kazaa Lite et iMesh) visait 5 fournisseurs d'accès à travers le pays : Shaw Communications, Rogers Cable Communications, Bell Sympatico, Telus, et Vidéotron.Si le premier de ces FAI s'est montré particulièrement aggressif contre l'industrie lors des audiences à Toronto, ce ne fut pas du tout le cas de Vidéotron. Le fournisseur d'accès québecois n'a pas en effet souhaité soulever d'objection au fait de dévoiler l'identité de ses abonnés accusés de pirater des oeuvres sur Internet. Pourquoi ? Parce que Vidéotron est une filiale du géant Québecor (le Vivendi québecois), qui possède également la société Archambault, distributrice entre autres de musique en ligne. Il était donc selon Québecor de son intérêt de livrer à la CRIA le nom de ses propres clients abonnés à Vidéotron, pour préserver ainsi les intérêts commerciaux d'Archambault.Québecor était donc entièrement d'accord pour dévoiler l'identité de ses abonnés alors que comme l'indique le jugement, la preuve que ses abonnés avait effectivement piraté des oeuvres n'avait pas été apportée par les majors, et qu'il y avait même un doute que les adresses IP listées par la CRIA étaient bien celles utilisées par les présumés pirates.N'y a t-il pas là une faute d'éthique professionnelle de la part de Vidéotron, voire violation du contrat qui lie le fournisseur d'accès à ses abonnés ? La note légale sur le site internet du FAI prétend en effet que "Vidéotron Ltée est soucieuse d'assurer la protection de l'information transmise par le réseau Internet ainsi que le respect de votre vie privée". Nos lecteurs qui reçoivent leur accès Internet par Vidéotron se feront leur propre idée... Citer
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