Habitués tomcamp Posté(e) 25 février 2005 Habitués Posté(e) 25 février 2005 Après ma Saga du petit français inaugurant le récit de mes aventures au Québec, je vous offre ce nouveau chapitre relatant mon périple. Avant toute chose une petite explication: la longeur de l'écrit s'explique par la volonté de rendre au mieux la réalité des évènements . Il ne fallait donc pas sacrifier des lignes pour économiser. Et pour celles et ceux qui n'ont pas lu le premier épisode vous pourrez le retrouver sous le lien: la Saga du petit français au Québec BON VOYAGE !!Escale 2: Eté 97L?attente est souvent ce qu?il y a de plus dur quand on part en vacances. On donnerait tout pour que le temps s?accélère pour fuir notre impatience. Prendre simplement notre télécommande pour faire avance rapide?Ainsi le Jour J arrive toujours avec soulagement et excitation? Je regarde le calendrier : 15 août 97. La veille au soir, la famille bouclait enfin le détail des valises et de tout ce qui s?en suit. La nuit est courte car on doit être deux heures avant à l?aéroport pour l?enregistrement. Le trajet s?effectue dans le calme le plus total, sans doute à cause de l?heure et des cogitations. Pas question pour mes parents d?oublier la carte bleue ni le moindre passeport. Du coup, chacun se passe le film des préparatifs à l?envers pour se tranquilliser. C?est l?occasion aussi de songer à quelques souvenirs de Pâques 95. Deux ans déjà que j?ai foulé le sol québécois et suis tombé en amour de la belle province. Deux ans à mûrir l?idée d?être à nouveau là bas pour m?enrichir davantage. Autant dire que ces trois semaines ne vont pas être tristes. Pour en profiter au maximum, nous avons choisi l?option mobilité. Il est en effet inconcevable de demeurer dans une seule ville toute la durée du séjour. C?est pourquoi nous traçons un itinéraire par nos propres moyens. Nos contacts sur place nous évitent ainsi de passer par la case agence afin de visiter la région. Notre choix se porte donc sur trois destinations : Montréal, lieu de notre atterrissage, Québec et les Laurentides. Il en va sans dire que d?autres options auraient pu convenir. Seulement, nous préférons établir des escales autour d?un périmètre bien défini pour ne pas perdre de temps (il faudra donc patienter pour découvrir l?Estrie ou la Gaspésie et tant d?autres régions)?Une fois de plus le hall est plein à craquer. Des touristes pour la plupart qui partent à l?assaut du Québec et qui ne vont pas être déçus du voyage ! Car quand on a goûté à cette destination, difficile de s?en passer par la suite. On est comme ensorcelé par la découverte des paysages et des contrastes culturels. Ensorcelé par un irrésistible charme qui nous pousse tôt ou tard à y retourner. C?est pourquoi nous trépignons dans ce maudit aéroport en vue du décollage?Ca se bouscule, ça discute le long du guichet d?embarquement. A croire que chacun est impatient d?en finir. Et enfin nous prenons place ! Le grand oiseau de fer n?a pas changé d?un pouce depuis le dernier vol. Les hôtesses ne sont toujours pas conformes à l?image que l?on s?en fait et nous font toujours leur numéro de sécurité. Autant dire que ces gestes posés me font doucement rire dans le cas d?un quelconque problème, vu que ce sera la panique à bord. Mais je chasse ces idées négatives de mon esprit et me détend un peu. Une voix nous souhaite alors la bienvenue suivie des informations usuelles sur la durée du trajet et le port de la ceinture?Et puis soudain le signal est lancé : l?avion démarre, tourne et s?élance sur la piste. Au décollage l?adrénaline est intacte même si j?observe quelques visages crispés?De mon hublot je contemple le ciel et la mer de nuages ; je songe à cette immense étendue que nous survolons. C?est prodigieux cette faculté d?aller d?un point à un autre par l?espace aérien, d?emprunter ces courants suspendus dans le vide. Quand tout à coup la civilisation renaît. Au début, il ne s?agit que d?une petite tâche tout au plus qui progressivement s?étend sur des kilomètres. Et là devant moi se dessine Montréal. Vu du ciel, la ville est une succession de lignes et de bâtiments disposés en harmonie. Cela me fait d?ailleurs penser à une grosse fourmilière en activité constante sauf qu?il y a des lumières et des petites tâches mouvantes (les voitures)?A l?annonce de la descente chacun s?agite un peu et retourne à sa place. Je remonte ma montre pour cause de décalage (6h) et pousse un long soupir. Ca y est nous sommes enfin de retour dans la province. Un sentiment de félicité accompagne donc l?arrivée tant je suis heureux d?être ici. Cet ici je le conçois pour l?heure comme une bouffée d?oxygène, une belle parenthèse dans ma vie de français. C?est pourquoi, nous ne tardons pas à prendre la sortie munie de nos bagages. Une fois de plus, l?hôtel passe avant la ballade, histoire de s?installer. Mais cela ne nous empêche pas de contempler la ville, du haut de notre chambre?-Montréal :Le lendemain, nous profitons de notre matinée pour reprendre nos marques en arpentant les rues. En été, le temps est au beau fixe et donne un autre aspect à Montréal. La luminosité frappe les hautes tours de verres qui scintillent à son contact. Quant aux terrasses, elles sont littéralement prises d?assaut par la foule. Tout à porte à croire que le montréalais est un adepte farouche de la détente au soleil et des tenues légères. Sans doute est-ce un moyen d?oublier le rigoureux hiver et les longs mois de neige. Dans tous les cas on ne va pas se plaindre, il fait aussi bon que dans le Sud de la France. Le magasinage reste notre activité favorite sur la Rue Ste Catherine avec les autres centres d?achats (La Baie, Eaton?). Seulement au lieu de se terrer dans le métro, nous préférons marcher au grand air. Car le simple fait d?être là est déjà énorme. Le second voyage est toujours plus appréciable que le premier dans la mesure où nous connaissons le lieu du séjour. Le sentiment de surprise est passé mais la joie est intacte car on n?a jamais fait le tour d?une si grande ville. Par contre, connaître un peu les grands boulevards simplifient les déplacements. On ne demande plus notre chemin à chaque coin de rue et prenons le temps de flâner dans divers quartiers. C?est comme cela que nous débouchons sur la Place des Arts avec ses célèbres statues blanches. Vous savez ce groupe de personnage qui reflète toutes les expressions humaines. Leurs visages figés semblent plus vrais que nature et nous pousse à vouloir les imiter. Difficile de se caricaturer en mimant la tristesse, la peur, la joie ou la passion. D?ailleurs donner un nom à chaque expression n?est pas non plus facile. Alors après l?observation, on préfère s?éloigner et poursuivre la route?Un autre jour nous prenons part, dans un grand parc, à une journée gourmande. De petits chapiteaux sont dressés avec plusieurs stands qui proposent des spécialités mondiales. On y trouve de tout et l?ambiance est conviviale. On s?essaye à des mets inconnus et goûtons un peu de tout. Quitte à être là autant en profiter jusqu?au bout, non ? Le monde est au rendez-vous et je remarque que le métissage culturel est bien présent. Le vent charrie des accents différents allant du québécois au français en passant par le belge et l?oriental. Il n?y a pas de discrimination et chacun passe une bonne journée?Quelques jours passés à Montréal et il faut déjà songer au départ ; poursuivre notre expédition vers Québec pour partir à l?aventure. Pour mieux se déplacer, nous optons pour un véhicule familial : un Dodge Caravan. En France c?est l?équivalent d?un Renault Espace ou un truc dans le genre. C?est gros mais confortable avec plein de place. Et là les ennuis commencent?Je dis ennui car conduire un « char » n?est pas la même chose que de rouler avec une voiture ! D?abord, il y a le souci des vitesses : boîte automatique, inutile de chercher à passer la première puis la seconde et tout le reste. Il suffit de positionner la manette sur le devant pour avancer et sur l?arrière pour reculer (oui je sais c?est très simplifié). Les pédales sont sensiblement les mêmes heureusement. Rassuré, nous partons à l?assaut de la rue et là surprise les feux ne sont pas placés au même endroit qu?en France. Forcément c?est un peu la panique car mon père ne sait pas où et quand il doit s?arrêter. Cela donne lieu à des coups de klaxon qui manifestement prouve que l?on n?est pas où il faudrait. Et puis on comprend l?astuce : le feu est loin pour nous permettre de mieux le voir donc il faut s?arrêter avant et non dessous. C?est si logique et plus pratique que l?on paraît un brin stupide. Mais bon aucun accident n?est à déplorer c?est l?essentiel. Une fois la maîtrise du Dodge et l?orientation en mains, nous pouvons chercher la sortie de Montréal. Il nous faut emprunter le pont Jacques Cartier pour la quitter. Et oui on parle de l?île de Montréal comme de New York aux States (je l?ignorais en 97). Il faut donc traverser un immense pont au-dessus du St Laurent? L?autoroute est une ligne droite continue. Un peu comme dans les jeux pour bébé où la petite auto traverse une longue et interminable route. Là c?est pareil à ce détail près que c?est la réalité. La vitesse est limitée à 90/100 Km/h et il n?est pas question de dépasser. Des panneaux nous indiquent l?omniprésence d?une surveillance aérienne. Est-ce pour nous effrayer ou véritablement le cas, nous préférons laisser la réponse en suspend. Dans tous les cas, faire Montréal-Québec est assez reposant car aucun péage ne nous rançonne tous les 10km. Il suffit juste de se laisser porter jusqu?à découvrir un panneau 250km plus loin avec le nom de notre destination. - Québec : A notre arrivée, nous sommes saisis par le contraste entre la Nouvelle et la Vieille ville. D?un côté, c?est la modernité avec une configuration quasi géométrique et de l?autre des petites rues pavées avec une ambiance de village. Quand je dis village ce n?est pas péjoratif, c?est plutôt dans le genre convivial, chaleureux. Et puis le Vieux Québec est chargé d?histoire en comparaison au nouveau qui est beaucoup plus récent. Une imposante statue rend hommage au fondateur de la ville, Samuel de Champlain, et accueille le visiteur de passage. Mais le plus impressionnant reste le Château Frontenac, perché sur les hauteurs et qui domine tout. Je me demande bien comment on a pu construire un bâtiment si haut, fortifié à sa base et qui s?élance dans le ciel. C?est tout simplement prodigieux et chacun doit s?extasier en le voyant. Curieux, nous faisons un tour dans son musée pour connaître plus de détails sur le lieu. Après la pause culturel, vient toujours celle du déjeuner. Nous trouvons rapidement une rue entière bordée de restaurants. Sur leur seuil se placent des serveurs qui nous ventent les mérites de leurs cartes. Ce contact est dès plus sympathique car il nous montre tout leur talent oratoire pour attirer les clients. Une fois encore il y a l?embarras du choix au niveau de la nourriture. Cela va du steak house au plus traditionnel en passant par la brasserie. Par contre un conseil n?oublier pas le pourboire car c?est capital. Nous avons eu droit à un topo sur le sujet : le salaire du serveur comprend cette somme là donc aucun rapport avec la France?Le vieux Québec est donc une ville étonnante. A proximité du château se trouve une grande promenade face au St Laurent. Sa structure est en bois et nous offre une vue imprenable sur l?autre rive. Cela vaut vraiment le coup d??il. Et que dire des artistes de rue qui pour quelques dollars croquent votre visage ou cette boutique de Noël ouverte toute l?année. J?allais oublier le funiculaire qui permet d?avoir une vue panoramique et de visiter des endroits plus en hauteur. Seulement pour l?heure je ne sais pas ce que l?on y trouve car il était en panne lors de notre venue. Non décidément cette ville est dès plus plaisante. Il doit sans doute y faire bon vivre si l?on considère tous ces aspects. Car si Montréal flirte en permanence avec le gigantisme, Québec semble avoir deux facettes. D?un côté nous trouvons un lieu moderne comparable à une métropole classique (le Nouveau) et de l?autre un endroit à échelle réduit, beaucoup plus intimiste (le Vieux)?En séjournant en chambre d?hôte (Bed and Breakfast), nous avons fait l?expérience du local. Et je dois avouer que loger chez l?habitant est le meilleur moyen d?apprendre la culture québécoise. Cette escapade nous a donc permis de compléter notre connaissance sur la belle province. Mais comme toute bonne chose a une fin, il fallait déjà songer à la prochaine étape de notre excursion?-Les Laurentides :Le Dodge reprend le chemin de l?autoroute pour suivre un nouveau cap : les Laurentides. On ne sait vraiment pas à quoi s?attendre de cet endroit dont nous ne connaissons que le nom. D?après nos infos, on délaisse l?agitation des villes pour être plus proche de la nature. Alors forcément, je m?attends à découvrir la mythique cabane au canada en plein milieu de la forêt. Un de mes clichés favoris qui consistent à réduire tout un peuple à un hameau de bois. Comme si les québécois vivaient encore comme leurs ancêtres amérindiens de chasse et de cueillette. Et pourquoi pas avec des peaux de bêtes tant qu?on y est ! Non vraiment il faut que j?actualise ma vision des choses, nous sommes au XXIème siècle. J?imagine donc que la région est civilisée et que l?homme vit en harmonie avec la nature (c?est déjà mieux)?Quelques centaines de kilomètres plus tard, nous voici dans les Laurentides. Première impression : il n?y a pas vraiment de similitude avec les grandes métropoles. Oubliés les buildings et autres centres d?achats, ici les habitations se fondent dans le paysage. Il n?est pas question de défigurer quoique ce soit. L?homme est considéré dès lors comme un simple locataire dont on tolère la présence. Notre lieu de résidence se trouve à proximité de Mont Tremblant dans un complexe de vacances. C?est un peu le genre VVF mais en beaucoup mieux. Un vrai décor de carte postale avec un lac, de la verdure et tout ce que l?on peut rêver. Je sens que ce petit séjour va nous laisser un souvenir impérissable. Un petit studio est mis à notre disposition avec tout le confort nécessaire (cuisine, chambre avec mezzanine?). En faisant le tour du propriétaire nous allons de surprise en surprise : une salle commune avec billard et cheminée, une annexe avec piscine et sauna. Que demander de plus ? Rien si ce n?est peut être trouver des jeunes de notre âge avec qui discuter. Côtoyer par exemple des québécois et non pas des français. Pouvoir enfin découvrir cette culture et cet accent chantant. Aussitôt dit, aussitôt fait, nous ne tarderons pas à nous lier d?amitié avec un petit groupe. Les parents vaquent à leurs occupations pendant que nous profitons un maximum de notre liberté...En Eté, l?eau du lac reste un peu froide, donc nous empruntons un pédalo pour le traverser. Vu sa dimension c?est plus pratique et beaucoup moins fatiguant. De l?autre côté un petit îlot avec de la végétation nous permet de jouer aux explorateurs. Chacun s?amuse comme il peut, non ? Bref, vous l?aurez compris nos journées sont bien remplies. Et le soir nous retrouvons la famille pour narrer nos exploits. Cette escapade dans les Laurentides est un vrai bonheur. Une occasion inespérée de découvrir une autre facette du Québec. Même les animaux sont différents ici. Je parle plus précisément des écureuils que nous tentons désespérément d?apprivoiser. Ils sont bruns, un peu plus joufflus qu?à Montréal et ont deux traits blancs sur le dos. Je les rebaptise les Tic et Tac en hommage aux personnages de Disney?Quand je regarde les photos de l?époque, une foule de détails me reviennent en mémoire. Ainsi peu avant notre départ, nous avons fait une soirée en plein air avec un grand feu de camp. Pour ce moment tous les résidants du complexe étaient réunis afin de se rencontrer et griller des chamalos. La méthode consiste à prendre un morceau de bois et de fixer la friandise à l?extrémité pour la chauffer. C?est excellent au goût malgré l?apport en sucre, donc à consommer avec modération?Niveau excursion nous avons visité les environs de Mont Tremblant et de St Jovite, histoire d?avoir un aperçu de la région. On a pu voir le tracé des pistes de ski et la présence de télésièges, signe d?une importante activité l?hiver. Mais malheureusement, notre cour séjour ne nous a pas permis de tout découvrir?Le retour de la pluie marque la fin de notre escale. Il est temps de repartir sur Montréal et d?envisager le retour en France. C?est difficile après tous ces souvenirs partagés, tous ces instants à s?émerveiller. Pourtant, il faut se rendre à l?évidence, les vacances touchent à leur fin. Ainsi, nous disons au revoir aux Laurentides en espérant y revenir. Les bagages chargés, le Dodge nous conduit vers la grande ville. Adieu les grands espaces et les étendues vertes, bonjour la modernité?Quelques jours plus tard, la boucle s?achève. Nous sommes de nouveau à l?aéroport à attendre notre vol. Dans quelques minutes, je quitterai le Québec et le survolerai. Alors forcément, il y a un pincement au c?ur. Néanmoins, je conserve dans ma tête tant de bons souvenirs qu?il ne faut pas être triste. Les clichés seront là pour prolonger le rêve et me faire sourire à ces beaux jours d?été?Un appel retentit et nous voilà partis. Un chapitre se clôt mais ne se ferme pas, il laisse ouvert la voie à d?autres aventures !! TOML?été 97 marque la fin d?une escale mais pas celle du voyage. Un hiver se profile, un retour est prévu... A SUIVRE Citer
Habitués tomcamp Posté(e) 27 février 2005 Auteur Habitués Posté(e) 27 février 2005 Pas de commentaires sur d'éventuels parcours à travers le Québec? Je pense bien que la plupart des immigrants ou postulants à la belle province sont déjà partis là bàs au moins une fois, non? Quelles ont été vos impressions et les anecotes liées à cette aventure? Mon récit était une façon d'ouvrir la voie sur le récit d'autrui et non pas me mettre en scène!! TOM Citer
Habitués Dariane Posté(e) 27 février 2005 Habitués Posté(e) 27 février 2005 Pas de commentaires sur d'éventuels parcours à travers le Québec? Je pense bien que la plupart des immigrants ou postulants à la belle province sont déjà partis là bàs au moins une fois, non? Quelles ont été vos impressions et les anecotes liées à cette aventure? Mon récit était une façon d'ouvrir la voie sur le récit d'autrui et non pas me mettre en scène!! TOM←Si je peux juste te dire que je trouve que tu écris très, très bien. J'adore te lire!A vrai dire je connais ces endroits, mais ta façon d'écrire me les rend comme exotiques! Super!Gros bisouxxx Citer
Habitués tomcamp Posté(e) 28 février 2005 Auteur Habitués Posté(e) 28 février 2005 Merci Dariane pour ton message. Je ne sais pas quoi répondre car j'écris comme je pense. Ou plus exactement je sens de la même manière que j'écris. Tout est ici question de perception. Il ne faut pas se brider, se laisser aller pour divaguer et le tour est joué. Ce n'est pas si difficile que ça, il suffit d'essayer. Mon problème parfois serait justement de trop m'emporter. Mais bon on se refait pas, non? Dans tous les cas, j'aime lire les témoignages de ce forum et les gens qui contribuent à le faire vivre. Et même si on ne voit pas nos visages, on sent des présences et de la chaleur derrière nos écrans! Au fond c'est l'essence même de la communication... TOM Citer
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