So974 Posté(e) 9 février Posté(e) 9 février Bonjour, (Long pavé, je pose ma question partout mais je me fais constamment ignorer, peut être que vous pouvez mieux m’aider ici, j'ai peut être déja demandé sans autant de détails et je ne retrouve plus mon sujet de toute façon☹) J’ai été étudiante mais malheureusement j’ai fait deux certificats qui ne sont pas admissibles au PEQ étudiant, naturellement. Je comptais passer par travailleur avec les 12 mois mais tiens donc, les règles ont changées pile quand je terminais mes études, en 2020 donc. Un passe-droit avait été donné pour les gens sur le territoire avant le 21 juillet mais est ce que je peux considérer ce passe droit ou pas ? Parce que mon permis était toujours valide et me permettrait de travailler 20h semaine(et temps plein après en attendant mon permis) donc apparemment selon cet article: (Si vous étiez titulaire d’un permis de travail ou autrement autorisé(e) à travailler en vertu du Règlement sur l’immigration et la protection des réfugiés (DORS/2002-227)… Je suis autorisée à travailler, non ? Je travaille depuis 2020 (vous savez quand l’autre avait besoin de gens essentiels soi-disant mais maintenant on pue) et je dois balayer trois ou quatre bonnes expériences parce qu’elles ne sont pas dans les bonnes catégories et j’en ai marre. De ce fait, à mon actif c’est à peine si j’ai 12 mois (peut être 19-20 si mon travail dans une exposition d’art avec des tâches s’apparentant à guide, peut compter, je dois voir ça avec mon ancienne boss), Enfin, depuis tout ce temps et je peux remercier ma job actuelle de me sauver ce qui me rajoute 7-8 mois pour l’instant, et qui normalement (compte tenu des tâches que je fais et du code CNP que j’ai comparé, est bien en catégorie 3) parce que j’ai vraiment eu de très mauvaises expériences de travail avec des employeurs méchants donc mes jobs duraient 4-5 mois et pas plus ou c'était saisonnier. Donc, voilà je voulais savoir si je devais encore attendre ou je peux tenter par les anciennes règles ? Certains me disent que oui quand on prend en compte le règlement et le fait que j’étais déjà sur place mais ça n’aide pas. Le MIFI lui-même m’a envoyé le lien pour les anciennes règles mais ça ne répond toujours pas à ma question. Sinon, j’ai fait une déclaration d’intérêt sur Arrima via PRTQ (je vais surement attendre longtemps surtout que je vais devoir en refaire une, elle va expirer), et je me demandais si je demande à ma boss de déposer une offre d’emploi, est ce que ça pourrait me donner plus de chances ? Je lui ai parlé du fait qu’il faudrait surement qu’on fasse un permis fermé avant la fin de l’année, elle est très ouverte à ça et normalement je suis dispensée d’EIMT. Et faire un test de langue ? (J’ai mon bac français qui me donne des points pour la langue française). J’aurais pu être résidente depuis 2021, c’est tellement frustrant de voir qu’ils ne font rien pour aider l’immigration. Qu’ils changent les catégories ok, mais au moins qu’ils gardent les 12 mois comme le fédéral. Parce qu’en dehors de tout ceci, je pense avoir suffisamment de points (je ne sais pas dans quelle catégorie de diplôme mettre mes certificats donc ça bloque peut-être, ils sont universitaires donc je ne peux pas ne pas les compter après). Vraiment, si ce n'était pas pour ma job actuelle parce que j'ai enfin trouver une compagnie honnête et des gens bienveillants et qu'en plus, je suis syndiquée, j'aurais déja fait entrée express pour aller ailleurs. Donc voilà, petit chialage et si vous avez des réponses, je suis tout ouïe. Merci. PS : Je suis sous permis post diplôme (j’ai eu trois ans + renouvelable avec les nouvelles règles du fédéral), il expire à la fin de l’année. Citer
Habitués Natha Posté(e) 9 février Habitués Posté(e) 9 février Bonjour, Votre situation semble assez complexe, et je comprends parfaitement votre frustration face aux changements de règles et aux difficultés rencontrées dans votre parcours d'immigration au Québec. Je vais essayer de clarifier certains points et de vous donner des pistes de réflexion et d'action possibles. Passe-droit avant le 21 juillet 2020 : Si vous étiez déjà présente au Québec avant cette date et que vous aviez un permis de travail valide vous permettant de travailler, cela pourrait effectivement jouer en votre faveur selon les anciennes règles. Cependant, la reconnaissance de ce "passe-droit" dépend de critères spécifiques et de l'interprétation des règles par les autorités d'immigration. Il est recommandé de consulter un avocat en immigration ou un consultant réglementé en immigration pour obtenir un avis juridique précis adapté à votre cas. Expériences de travail et catégories admissibles : Pour le Programme de l'expérience québécoise (PEQ) ou tout autre programme d'immigration, chaque expérience de travail est évaluée selon sa durée, sa nature, et son adéquation avec les catégories d'emploi reconnues. Si vous avez des doutes sur l'admissibilité de certaines de vos expériences, consulter le Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI) ou un professionnel en immigration peut vous aider à clarifier votre situation. Déclaration d'intérêt via Arrima et offre d'emploi : Faire une déclaration d'intérêt est une bonne démarche. Une offre d'emploi validée par le MIFI peut effectivement augmenter vos chances dans le cadre de certains programmes d'immigration, notamment le Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ). Discuter avec votre employeur de la possibilité de déposer une offre d'emploi est une excellente idée, surtout si vous êtes dispensée d'Évaluation de l'impact sur le marché du travail (EIMT). Test de langue : Même si vous avez un diplôme attestant de votre niveau de français, passer un test de langue officiel peut être bénéfique et augmenter vos points dans le cadre de votre demande d'immigration. Les tests reconnus peuvent varier selon le programme, mais le TEF, le TEFAQ, ou le TCF sont souvent acceptés. Stratégie d'immigration : Il semble que vous ayez plusieurs options possibles (PEQ, PRTQ, voire Entrée express si vous envisagez de vous établir ailleurs au Canada). Évaluer chaque option, en tenant compte de vos expériences de travail, de votre niveau de langue, et de votre situation actuelle (notamment votre permis de travail post-diplôme), est crucial. Un professionnel en immigration peut vous aider à définir la meilleure stratégie selon votre profil. So974 a réagi à ceci 1 Citer
So974 Posté(e) 9 février Auteur Posté(e) 9 février Bonjour, Merci énormément de vos réponses si précises. Enfin quelqu'un qui a pris le temps de me lire et de me comprendre et qui me permet de savoir où je peux me placer au moins. Il y a 2 heures, Natha a dit : Passe-droit avant le 21 juillet 2020 : Si vous étiez déjà présente au Québec avant cette date et que vous aviez un permis de travail valide vous permettant de travailler, cela pourrait effectivement jouer en votre faveur selon les anciennes règles. Cependant, la reconnaissance de ce "passe-droit" dépend de critères spécifiques et de l'interprétation des règles par les autorités d'immigration. Il est recommandé de consulter un avocat en immigration ou un consultant réglementé en immigration pour obtenir un avis juridique précis adapté à votre cas. Je peux tenter du coup j'imagine. Mais je n'ai pas de sous pour un avocat pour l'instant sauf s'il y a des consultations gratuites pour les 30 premières minutes qui pourraient me permettre d'élaborer. J'ai contacté quelqu'un mais j'avoue que le 140$ fait un peu mal donc je vais y réfléchir parce qu'elle semble savoir ce qu'elle fait. Il y a 2 heures, Natha a dit : Expériences de travail et catégories admissibles : Pour le Programme de l'expérience québécoise (PEQ) ou tout autre programme d'immigration, chaque expérience de travail est évaluée selon sa durée, sa nature, et son adéquation avec les catégories d'emploi reconnues. Si vous avez des doutes sur l'admissibilité de certaines de vos expériences, consulter le Ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration (MIFI) ou un professionnel en immigration peut vous aider à clarifier votre situation. Pour ceci, je sais que mon travail comme préposé en extérieur ne compte pas, c'est sûr et certain. En revanche, mon travail dans une exposition d'art, pourrait, parce que même si on était préposé aux visiteurs, on avait été formés pour être un peu des guides sur l'exposition et on devait les renseigner sur ce que les oeuvres représentaient etc etc, donc au final on nous avait dit de mettre médiateur culturel sur notre CV mais je dois confirmer si je peux laisser ce titre (et vite parce que cette expérience a été faite fin aout 2021). Le reste de mes expériences (Conseillère en librairie, Adjoint administratif et présentement préposée service aux membres (CNP correspondant à agent ou adjoint administratif parce que c'est ce qu'on fait et que ça demande un DEC minimum) comptent. Il y a 2 heures, Natha a dit : Déclaration d'intérêt via Arrima et offre d'emploi : Faire une déclaration d'intérêt est une bonne démarche. Une offre d'emploi validée par le MIFI peut effectivement augmenter vos chances dans le cadre de certains programmes d'immigration, notamment le Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ). Discuter avec votre employeur de la possibilité de déposer une offre d'emploi est une excellente idée, surtout si vous êtes dispensée d'Évaluation de l'impact sur le marché du travail (EIMT). Alors je vais recommencer ma demande parce qu'elle va expirer en mars donc je n'ai aucune chance d'ici la. Je vais bien refaire le dossier et effectivement, je vais voir avec mon travail pour déposer l'offre d'emploi. Et normalement, je suis dispensée, parce que le post diplôme rentre dans les dispenses, j'espère que je ne me trompe pas. Si je suis admissible au PEQ, bien sûr je ne passerais pas par le PRTQ mais en attendant, je pense ne rien perdre à essayer. Il y a 2 heures, Natha a dit : Test de langue : Même si vous avez un diplôme attestant de votre niveau de français, passer un test de langue officiel peut être bénéfique et augmenter vos points dans le cadre de votre demande d'immigration. Les tests reconnus peuvent varier selon le programme, mais le TEF, le TEFAQ, ou le TCF sont souvent acceptés. D'accord. Alors, je vais y songer, peut être faire le test d'anglais du coup comme j'ai des points pour le français mais à voir, déja à cause des finances et puis en fonction de mon temps, je travaille 35h, dur de trouver un créneau mais je vais me renseigner et mettre toutes les chances de mon coté, parce que vous avez raison, je suis très frustrée et épuisée de tout ça. Il y a 2 heures, Natha a dit : Stratégie d'immigration : Il semble que vous ayez plusieurs options possibles (PEQ, PRTQ, voire Entrée express si vous envisagez de vous établir ailleurs au Canada). Évaluer chaque option, en tenant compte de vos expériences de travail, de votre niveau de langue, et de votre situation actuelle (notamment votre permis de travail post-diplôme), est crucial. Un professionnel en immigration peut vous aider à définir la meilleure stratégie selon votre profil. Je me débrouille bien en anglais donc effectivement j'avais commencé à considérer partir dans une autre province parce que cela est moins casse tête mais maintenant que je suis avec un employeur digne et syndiquée, je pense que je vais avoir du mal à retrouver une si belle opportunité donc pour l'instant, je vais tenter par le Québec. Je vous remercie de vos précieuses pistes. Si vous connaissez des bons conseillers en immigration, je serais apte à prendre leurs contacts. Je vais faire de mon mieux pour réussir à obtenir ce fichu CSQ au moins avant la fin de l'année. Je vais mettre mon employeur dans les démarches de l'offre d'emploi également. Natha a réagi à ceci 1 Citer
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