Immigrer au Canada et … au-delà !

[Laurent]

Je vous livre des extraits du dernier billet de Olivier Zara Consultant en management & médias sociaux, Français, installé à Montréal depuis 2003 et qui nous parle de son expérience et de ses réflexions. De bons conseils, simples mais utiles pour tout ceux qui souhaitent partir de France pour venir tenter leur chance en Amérique du nord et particulièrement au Québec :

Quelles que soient les raisons pour lesquelles on quitte son pays d'origine, croire que le plus dur est d'obtenir un visa est une grosse erreur. Mais avant d'aller plus loin, je tiens à préciser que ce billet ne concerne pas les expatriés qui viennent dans le cadre d'une mutation ou ceux qui font leurs études à l'étranger puis décident d'y rester mais ceux qui immigrent...Les États-Unis sont un pays économiquement et socialement sinistré depuis octobre 2008. Ce n'est vraiment pas le bon moment pour venir sauf si vous avez des compétences rares ou si le fait d'être Français est un facteur important (arts, restauration,)...L'immigration pour des raisons économiques est une opération dangereuse culturellement et climatiquement...

Le fromage ? Il coûte très cher et le choix est restreint. Pour le vin, ça ne manque pas mais il est très taxé au Canada et donc très cher...

Quid du réseau social ? Immigrer, c'est perdre tout son réseau relationnel...

Est-ce que je peux immigrer en restant chez moi ? Vous connaissez le dicton : le beurre et l'argent du beurre. Et bien, ça ne fonctionne pas non plus très bien pour l'immigration. C'est sûr que c'est l'idéal. L'idée est d'être une sorte d'expatrié rétroactif ! ...

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[Invité]

Intéressant même si je ne partage pas tous les points de vue notamment concernant la bouffe. Personnellement, je trouve largement de quoi faire que ce soit au niveau boulangerie, fromage ou vin. Pour ce dernier, il suffit de se concentrer sur des cuvées d'autres pays qui a mon goût sont très exploitables. Le raisin ne pousse pas qu'en France, ça pousse très bien au Chili, en californie, en Afrique du sud ou en Australie.

Après j'avoue que passer 5h a table, je le fais rarement avec des québécois.

En ce qui concerne le réseau professionnel, je suis entièrement d'accord.