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Tout ce qui a été posté par petiboudange
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Euh ? Moi je l'ai envoyé mais sans AR, c'est grave docteur?
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Allo la gang! Alors j'apporte mon eau au moulin après ce message: Je suis moi-même à la Poste et les chèques de banque de la Poste sont refusés car non encaissables à l'étranger. Alors avant d'envisager moi-aussi la solution autre compte (Société générale pour ma part si je dois le faire: 40euros pour les jeunes comme moi, c'est bon à prendre lol!) j'ai "harcelé" la DGQ. Après m'avoir faussement aiguillé sur les bureaux de change (n'insistez pas ils ne peuvent plus le faire depuis un an apparemment!), ils ont fini par me proposer la solution virement! Alors après avoir reçu un sympathique carton de la DGQ accompagné d'une lettre et de coordonnées bancaires, je viens d'envoyer mon virement! D'euros chez moi il arrivera en $CDN chez eux à Paris, les frais sont à ma charge... J'attends le retour et je vous tiens au courant, mais ce que je voulais dire par là c'est qu'il y a toujours une solution et que vous pouvez parfois simplement insister poliment pour avoir des réponses! Donc ben je vous dis la suite quand je la sais lol
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La maîtrise française (4 ans d'études universitaires complétées) correspond à une première année de maîtrise au Québec. La maîtrise québécoise se complétant en deux ans et son équivalent français est donc le mastère, le DESS ou le DEA. Camarguais, je crois que le MICC a fait le choix de te donner le diplôme universitaire le plus proche que tu as complété sans nul doute soit la licence. Ils ne pouvaient te donner le niveau maîtrise au Québec car il te manquait une année. O'Hana ← Effectivement si on se base sur les tableaux officiels, la maitrise française équivaut à une première année de maitrise québécoise. Mais dans les faits, lorsque tu te présentes dans des entretiens d'embauche, elle est souvent considérée comme une maitrise (même si tu n'as «que» 4 années d'études, tu as tout de même été capable de produire un mémoire!), et non juste comme une licence, c'est ça que je voulais dire. Effectivement, le niveau officiel de maitrise québécoise correspondrait à notre nouveau mastère! Camarguais, je suis désolée pour toi, mais ma maitrise dûment complétée vaut une maitrise ici aux yeux des employeurs (je soutiens encore une fois que ce n'est pas au nombre d'années que je parle mais bien au poids du diplome auprès des potentiels employeurs, car après tout, pour ma part je me contrefiche du nom officiel du diplome; ce qui m'intéresse c'est sa valeur "expérentielle")
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Pour ma part, je suis amoureuse de Montréal pour les rencontres que l'on y fait, mais il est clair qu'à terme j'irai vivre en régions (ah les iles de la Madeleine, petit bout de Québec en mer où il fait bon vivre et où la vie se déroule paisiblement)...Et pourtant je suis quelqu'un de la ville (née à Marseille, j'ai fait mes études à Nice, j'habite MTL depuis un an)...Certes on apprécie les opportunités de sorties, d'emploi etc. mais mon rêve de vie peinarde ne rime pas avec centre-ville, ni avec banlieue-embouteillage/train-grosse voiture...Moi je me vois avec des enfants toujours en vadrouille dans la nature, les repas entre amis, le bricolage, l'artisanat maison, la mer, la forêt... Je rêve plus de calme, de beaux paysages, de nature...mais je déprimerai à Québec, ville froide tant par son climat que par sa nature même. Je n'ai absolument pas été séduite par Québec (oui c'est une belle ville, mais une ville de carton-pâte, un décor rempli de fonctionnaires, comme Ottawa). Si je veux vraiment trouvé la nature, je migrerai vers le nord, Tadoussac, la gaspésie ou les iles. Bref tout ça pour 1/ donner mon avis perso, 2/ dire que la qualité de vie ne dépend que de nos besoins et aspirations personnelles.
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Suite à mon expérience personnelle en tant qu'étudiante je corrige deux choses: si tu as eu un mastère (nouveau diplome de second cycle) tu as l'équivalent d'une maitrise au Québec mais dis-toi que la maîtrise française vaut pour une maitrise au QC, et pas juste pour une licence (diplome qui plus est rare au QC et généralement délivré dans des domaines très précis à savoir finance ou marketing en anglais- c'est les deux seules que j'ai vu dans toutes les universités et les étudiants rencontrés). Ensuite, suite à des renseignements que j'ai pris de mon côté, les CAP et BEP peuvent être concidérés comme des AEC ou DEC selon, mais ça reste à la discrétion de je ne sais plus quel service qui analysera la valeur de ces diplomes spécifiques.
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sege, tout ceci n'est qu'une question de poltique interne: le Québec ne veut pas être sans cesse comparé a un autre pays, et encore moins a la France, quand on parle de sa langue. Comment réagirais-tu si on te comparait toujours au pays qui non seulement t'as abandonné mais en plus prétend être le maître suprême dans une langue qui aprt a vau-l'eau? Regardons donc le niveau d'alphabétisation en France et on verra que la France n'a pas le niveau nécessaire pour se poser en doneuse de leçon. On ne parle pas de plus ici d'accents, mais de règles et d,usages propres a un pays. J'ignore si tu pratiques l'anglais mais color (américain) et colour (britannique) sont identiquement au niveau sémantique mais différents dans l'écriture. Chaque pays adapte sa langue a sa réalité, les USA avec l'Anglais, le Québec avec le français et sans doute le Mexique avec l,espagnol, etc. Les cap-verdiens parlaient portugais originalement, aujourd'hui c'est une autre langue. enfin, le dernier argument qui malheureusement prévaut ici, et qui est peut-être la seule expérience désagréable a mon goût au québec, c'est que tout se paie. Par conséquent, on ne eput pas dire que tes oducments soient vlables si ça enlève un revenu aux autorités...c'est a ce niveau la que tu peux te plaindre et non sur une histoire d'accent ou de grammaire etc. Dernière chose: une de mes professeurs d'université vient de Roumanie, par;e avec un accent, utilise des expressions québécoises, fait des fautes d,orthographe è l,écrit et pourtant se dit québécoise, aime le Québec et ne le quitterait pour rien au monde. Ce qui te rend amère n'est aps une histoire de syntaxe et de prononciation, mais plutôt les obstacles qui s'élèvent et qui te paraissent insurmontables et ridicules! Dis-toi que ça passera ...
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Mon cher et tendre québécois disait la même chose avant un test en aveugle: le ricard et le pastis sont deux choses différentes! ← c'est la meme boite qui fabrique le 51 et le ricard c'est la sté pernod ricard et les breuvages sont fabriqués dans la banlieu de lille ( et oui ) paul ricard a racheté pernod dans les années 70 et si çà existe encore c'est parce qu'il a diversifié ses activités, a créer un whisky ( clan campbell ) a racheté martini etc...... chez nous on boit du 51, c'est la tradition ( du surtout a un matraquage pub qui a fait son effet à la feria d'arles, d'ou habitude de consommation) la difference avec le ricard c'est la réglisse. sinon a la fabrication les deux coutent " finis " 1 ? ( si si, tsa coute rien ) sinon le meilleur pastaga que j'ai pu boire c'est un artisanal fabriqué à coté de Manosque ( alpes hte provence ) UN REGAL et celui fabriqué en camargue n'est pas mal non plus. ah!!!!!! çà m'a mis de bonne humeur d'ecrire çà, c'est presque l'heure de l'apéral ← Pour l'Aubagnaise que je suis, le Pastis Jeannot reste celui de mes premières cuites entre amis...Quant au 51, ben Marseillais et Marseillaises chantonnent avec moi la célèbre sérénade de l'été...Vous pouvons donc en déduire mon goût pour le Ricard, qui, tout chauvisme passé, ne goûte pas aussi bon selon moi(la réglisse n,étant aps mon goût préféré, mais on a bien ici une histoire de goût) même si c'est la même boite, ce uqe j'ignorais... Quant a Ricard, je n'apprécie que le Bol d,or qui a lieu sur son circuit chaque année a Cuges-les-pins, dans le var... Tiens tout ça me donne envie!
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Pour ma part, RCR dans le cadre du travail, formation proposée par mon potentiel employeur (qui la faisait faire a ses actuels employés), pour 60$ avec la société de sauvetage... Au programme: l'ABC (processus d'intervention), respiration, cardio, premiers soins, adultes-enfants-nourissons. Valable 5 ans, pour faire renouveler (requalification- moins cher) il faut repasser par le même organisme. J'ai mon AFPS croix rouge française valable en europe (passée en 2004), mais pas ici apparemment, d'autant que les procédures ne sont pas tout a fait les mêmes, affirmations confirmées par un sauveteur croix rouge canadienne rencontré le lendemain a la feria du vélo.
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Mon cher et tendre québécois disait la même chose avant un test en aveugle: le ricard et le pastis sont deux choses différentes! Pour le 51, j'ai ai trouvé a la SAQ devant chez moi, sur la rue Beaubien, proche du métro du même nom....mais par la canicule qui court, et vu le nombre de frenchies dans le coin, pas sûr d'en avoir encore...tente quand même.
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C'est toi qui arrive à ces conclusions là, je n'ai donné que le lien d'un site extrêmement bien fait qui explique le comment du pourquoi du quessé. That's it, that's all. Pas de misérabilisme là-dedans. C'est de l'information pure, des faits et rien d'autre. Et c'est une Française, qui fait une maîtrise sur la Charte, qui en a rajouté (elle connaît d'ailleurs bien son sujet ). Et la réaction des autres n'est pas non plus lié à un complexe du Québécois face à l'étranger. SVP Prune, ne mélange pas les affaires. Et si il y a bien quelqu'un qui se soucie de l'avenir du Québec et qui regarde en avant, c'est bien moi ainsi que les autres Québécois présents sur ce forum, tu ne trouves pas? J'ai d'ailleurs écrit une longue lettre au PQ le mois dernier, les enjoignant de s'occuper plus des immigrants, de régler le problème des ordres entre autre. Anyway. Fait chaud, hein? ← C'est une française (moi en passant) qui habite au Québec depuis un an qui a juste corriger l'erreur classique de trop de gens. Les prisonniers et les putains c'est l'Angleterre vers l'Australie et non la France vers le Québec, on avait le bagne a Cayenne pour les prisonniers et la cour royale pour les catins! Je ne voulais pas rajouter quoi que ce soit au débat stérile des accents je ne venais que clarifier une information erronée (d'un site en plus, a bravo les recherchistes du site, un beau 0 et pas qu'en grammaire si vous voulez mon avis)pour apporter plus de crédibilité a un débat qui existe (eh la francophonie, c'est aps réel tout ça?) et doit exister. En effet qui peut déterminer que le français québécois est moins bon dans ces tournures grammaticales, son accent ou son vocabulaire quand: 1/ c'est une autre langue que le français au même titre que le français du sénégal, celui du luxembourg, celui de la suisse ou que l'anglais du Ru est un anglais différent que celui des aussie ou des USA 2/ on propage encore et toujours des données erronées. Je ne suis pas fâchée soit dit en passant, je voulais juste rectifier l'intention qu'on me prête. Je ne rajoute rien de plus qu'une info, au même titre par ailleurs que l'explication sur le masculin qui l'emporte vis-a-vis de la force de l'usage qui est très intéressante... Sur ce, je retourne a mes occupations qui portent plus sur l'identité que sur l'accent et je vous laisse débattre pour savoir qui de vous a la plus grande patience dans un débat qui n'en est même aps un...vous dites tous la même chose ou presque a savoir que le québécois est une langue avec sa grammaire, son vocabulaire, ses règles d'usages et son accent (avec ou sans codification, est-ce bien utile dans une langue qui se construit) et que ceux qui la critiquent de façon virulente sont souvent ceux qui ont une trop mauvaise expérience (logement, job, école ou autres!)
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Excusez-moi je tenais corriger cette erreur, car je fais ma maitrise sur la charte de la langue française (la fameuse loi 101 pour ceux qui connaissent) et voici ce que j'ai appris: les premiers colons français ("filles du roy" y compris) parlaient tous un français correct quand la france elle-même ne parlait que le patois. Aucun prisonniers dans cette affaire, des veuves et des orphelines, beaucoup de petits bourgeois et d'artisans, quelques paysans, tous issus de la beauce, de la normandie et du bassin parisien. Les endroits ou le français de François 1er (édit de Nantes) avait pu arrivé. Donc nos cousins de la Belle Province parlaient un français bien plus pur que le nôtre jusqu'a la Conquête (1760). S'ensuit une période noire pour le français: le régime britannique entend faire des canadiens (alors le nom exclusif des colons et descendants des colons français) de loyaux sujets de la couronne anglophones et anglophiles. Bref, politique de répression de la langue, réhabilitation, re-répression etc. comme ça jusqu'a la confédération (1840 Acte d'Union) ou le français sera "autorisé" mais sous couvert d'assimilatiom par le bilinguisme favorisant l'anglais dans l'échelle sociale. Bref de 1760 aux années 1960 (Révolution Tranquille), l'anglais omniprésent, écrasant et méprisant a appauvri la belle langue de Molière, y insérant des tournures et des termes anglais (charger qq'un pour faire payer qq'un, tomber en amour avec qq'un-fall in love with sby. bienvenu pour de rien - welcome...etc...), pour nous donner la toute aussi douce et chantante langue de Nelligan et de Vigneault. Bref toute une longue histoire (400 ans) du Français et de français qui survivent et se bttent, s'enrichissent ou s'appauvrissent dans la continuité de leurs r^ves. Conclusion: si tu dis un job au lieu d'une job, t'en fais pas, comptes sur ton amour du Québec et sur ta capacité de t'adapter pour découvrir l'âme québécoise dans son entier...Pour ma part je jure plus que je ne sacre, mais mes m**** et pu**** ont un bel accent québécois, et mon job ou mo avion cotoit ma gang (prononcez gagne) sans que pesonne ne s'en offusque! Bien a vous amis francophones...
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lol UdM c'est des épais en com, c'est l'UQAM qui raffle tous les articles francophones...UdM c'est que des nonnes et des vieux réfractaires, normal que HEC s'y trouve lol... *ce n'est qu'un exemple de la lutte étudiante, et celle-là est bon enfant...attendez d'être sur place pour voir ce qu'on veut dire*
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ben si ça se passe comme pour moi cette année: un pot de malade avec quasi 2000 étudiants étrangers (sur les quelques 20000 montréalais toutes écoles confondues et toutes nationalités confondues) au chalet de la montagne, Montroyal avec petits fours et bière gratos (pas la meilleure, vous apprendrez à en déguster des meilleures, cf, les micro-brasseries Mc Auslan, Unibroue, Cheval Blanc, les dieux du ciel etc...) et présence de M. Gérald Tremblay maire de MOntréal et de tous nos chers consuls...si si je vous niaise pas les amis...Mais juste pour ceux d'entre vous qui arrive en septembre...ceux de la session d'hiver, c'est plus discret que ça désolée... Ah ouais aussi, une bonne dose de communautarisme lors de la cérémonie: badge de votre école ou vous inscrivez votre nom et votre pays et quand les deux présentateurs (un anglo et un francophone) nomment votre université, vous avez bien reçus la consigne de vous acclamez haut et fort pour supplanter les autres (ex: UQAM devait crier plus fort que son "ennemie" de la montagne UdM et que les deux anglophones vendues!-McGill et Concordia...) vous apprendrez vite à vous délectez de ces concurrences et les matchs de hockey interécoles vous raviront bien vite si vous aimez cette ambiance...voila les amis...si vous avez de quoi à demander, lachez moi un call!
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Allo les amis, Voila, je vous explique tout ça: je viens de m'inscrire au forum aujourd'hui parce que angoisses et inquiétudes troublenet mes nuits depuis peu. Cela fait un an que je vis au Québec en tant qu'étudiante en échange, à l'université du Québec à Montréal dans la maison du bouy du monde que je ne veux pas quitter. Mes colocs sont devenues des amies et ma vie ici est épanouie au plus haut point. J'ai des amis, un chum et des projets pleins la tête avec lui, une ambition: vivre ici. J'ai entamé les procédures de résidence permanente, et je vais aller déposer mon DCS dans quelques jours quand mon employeur potentiel m'aura transmis sa lettre (je vous ai dit que ma vie ici était épanouie...au point que les contacts que j'ai me seront utiles autant que je pourrai l'être à leurs yeux)... Certes, il fait beau et chaud ici à Montréal, la féria du vélo bat son plein, les festivals ouvrent leur bal estival et j'ai tout pour être heureuse sauf que je ne le suis pas complètement. Je quitte la Belle Province le 11 juillet, laissant mon coeur et tout un pan de moi ici, comme entre parenthèses. C'est difficile de l'exprimer parce que mes parents ne peuvent pas comprendre si heureux qu'ils sont de me voir revenir, et mes amis québécois ont tellement confiance en la réussite de mon entreprise que je n'arrive pas à leur dire que moi aussi je doute malgré les apparences positives. Parce que comme vous tous, je doute de pouvoir y arriver. Je redoute ce refus qui me ferait plus mal encore que cet avion qui m'attend bientôt! Je lis avec passion et intérêt chacun des messages qui m'attirent sur ce forum, et j'engrange de précieux renseignements. Ce qu'il me manque, c'est juste du soutien, l'impression d'avoir autour de moi des gens qui vivent les mêmes angoisses et les mêmes doutes, en sont au mêmes étapes que moi. Parce que les épreuves sont toujours plus faciles quand on est plusieurs pour en partager le poids douloureux. Donc vous autres, amis en voie d'immigration qui avaient besoin juste d'épancher votre coeur, ouvrez-vous ici. Pas toujours nécessaire d'avoir besoin de renseignements pour avoir besoin de s'exprimer....je propose ce message pour ça. Coup de gueule, chagrin, doutes, angoisses, bonheur, etc. Tout ce que vous voudrez partager avec nous, tout ce qui vous permettra de défouler ce trop plein de sentiments...LA CATHARSIS MODERNE EST EN ROUTE! PS: CAtharsis est un mot grec qui désigne le fait d'être un exutoire, un endroit ou on déverse nos sentiments comme l'a été le théâtre grec, les jeux romains et autres jeux sportifs modernes..
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Salut, je me permt de te répondre car tu me fais penser à moi à la même période l'année dernière...comme toi j'ai eu la chance de participer à un échange universitaire d'un an à l'UQAM et si tu veux mon avis et mon expérience personnelle: tu vas passer l'une des plus belles années de ton existence. Je ne sais pas ce qu'il en est de toi mais voici mon histoire perso (qui peut servir à d'autres): j'ai rencontré en 2003-2004 à nice des québécoise provenant de rimousky et l'outaouais qui étudiaient à l'UQAM et faisaient un échange en france dans mon université azuréenne d'adoption. Le québec étant mon rêve depuis des années et leurs conseils m'encourageant et m'aidant, j'ai mis en place la procédure pour un échange. Lorsque mon dossier a été accepté coté français, les filles étaient là pour me soutenir. Lorsque la lettre d'acceptation de l'université est arrivée, j'avais déja un logement une colocataire qui est une amie et que j'adore encore plus si c'est possible après un an de vie dans son beau pays en sa compagnie, et pleins de projets de voyages en tête. L'université en elle-même est grande belle et moderne, les moyens sont présents et sauf pour les pavillons que je ne fréquente pas (info et science) remplis de vie et d'animation. Tu trouveras des tas de trucs a faire rien qu'au sein de l'université mais plus encore en dehors. Si tu le peux, je te conseilles la colocation hors campus avec des québécois, pour apprendre encore plus vite et meixu la culture du pays et découvrir un mode de vie des plus agréables. Qui plus est, tu fera probablement des économies pour le loyer! Et si comme nous tu vis dans une maison remplie de voyages tu verras des gens de différents horizons se joindrent à ta vie (4 chambres et déja une anglophone partie aux philipinnes-6 mois parmi nous, une néerlandaise-4 mois, un suédois-4mois, 1 français et 2 françaises-qq semaines à qq mois pour le gars, etc....) Pour ce qui est des endroits, je te laisse découvrir par toi-même la joie de la vie nocturne montréalaise masi je te conseille d'essayer le centre ville coté grands immeubles et ses petits pubs irlandais bien cachés et pourtant si connus, le vieux-ports et ses touristes, les anglo de mcgill, les italiens de jean talon etc... Quant aux opportunités que tu rencontres, saisis-les: go pour un voyage a tadoussac, en outaouais, a ottawa, en gaspésie ou ailleurs, bouge et profite de ton séjour mais investis toi aussi dans la vie universitaire en participant a toute sorte d'événements culturels! Je sais c'est inutile de dire ça mais les amis, quand comme moi vous serez sur le point de quitter une vie que vous avez construite de toutes pièces avec des amis, une famille et par dessus tout un amour, alors comme moi vous aurez la nostalgie de devoir tout quitter, comme moi vous apprécierez toutes les occasions de vous remémorez vos voyages sur le pouce, vos premières poutines, vos ag étudiantes de grève...Comme moi c'Est la gorge serrée que vous irez prendre votre billet d'avion et comme moi vous vous direz je ne veux pas partir je veux rester...croisez les doigts pour moi les amis car j'entame ma démarche de résidence permanente.... Ceci n'est que le début d'une aventure et non la fin d'une vie!