
Sianhurley
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Le meilleur moyen de lutter contre les préjugés envers les Musulmans : que les Musulmans modérés condamnent un peu moins mollement les intégristes, qu'ils fassent le choix de la démocratie et de ses valeurs, et qu'ils le fassent bruyamment. J'en ai connu quelques-uns en Europe de ces fils de l'Islam pourtant nés en Occident et mangeant du porc, buvant et fumant du haschisch, et qui se réjouissent pourtant des attaques terroristes contre l'Occident dès lors qu'ils ont un peu bu.
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Si certains se sentent déjà victimes du racisme avant même de débarquer, c'est mal barré, car à la première difficulté quelconque, ils vont mettre ça sur le dos bien commode du racisme.
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Le plus québécois des chats belges - Rouquinou - salue le nouvel immigrant à quatre pattes.
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Oui, mais là, je ne suis pas encore dans les formulaires, donc... Sinon, Belge, je n'ai pas besoin d'un visa, donc les risques de refoulement, une fois commencées les démarches, sont moindres. En fait ma promise a vécu quelques années à Hemmingford, à 5 km de la frontière américaine. Elle voudrait me montrer cette ville. Je trouve bête d'être si proche des USA et de ne pas y aller.
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Voilà qui me semble un peu facile : il suffirait donc de franchir la frontière et de rentrer au Canada une heure plus tard pour voir remis à zéro le compteur ? Admettons : je suis entré au Canada le 22 juin. Le 10 décembre, je franchis la frontière américaine, je rentre au Canada le jour même et mon PST est reparti pour 6 mois ? Cela m'étonnerait fort. Je précise bien que je ne compte pas séjourner aux USA, mais y faire un minitrip de quelques heures, avec celle qui sera alors ma femme (canadienne). Sur le site du CIC, il est bien indiqué que pendant le traitement des demandes (parrainage dans mon cas), le requérant, s'il quitte le territoire canadien, n'est pas assuré de pouvoir y rentrer... Même pour être allé manger un Big Mac dans le Vermont ? Je voudrais donc pouvoir aller aux USA avant d'envoyer mon dossier, car je ne veux pas risquer d'être refoulé par le Canada au retour.
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En tant que touriste au Canada, ai-je le droit de franchir la frontière des USA (avec mon amie québécoise) pour une brève visite d'une journée ? Je veux dire : dois-je craindre de ne pouvoir rentrer au Canada ? Je précise que tous mes papiers sont en ordre. Et lorsque je serai marié (en août), avec un dossier de parrainage en cours, aurai-je le droit de sortir du Canada même pour une journée, ou serai-je "condamné" à demeurer au Canada tout le long de la très longue procédure ? Merci.
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Je relate ma récente expérience ici : http://www.forum.immigrer.com/index.php?sh...e%20avion&st=25 Je précise : personne n'a examiné mon chat, il était dans sa cage près de mes autres bagages lorsque je suis allé au guichet de l'inspection vétérinaire. Je suis tombé sur une employée hyper sympa qui a rapidement parcouru mes papiers pour le chat (vaccin contre la rage effectué 15 jours avant de partir, certificat de bonne santé). Je me suis acquitté des frais "d'inspection", l'employée souriante m'a souhaité un bon séjour au Québec et puis basta !
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Je connais ma fée québécoise depuis décembre 2004. En avril elle a fait le voyage pour me rencontrer en Belgique. Fin juin je suis parti pour le Québec avec un simple passeport touristique (valable 6 mois et renouvelable) et nous vivons depuis ensemble. Dans dix jours nous avons une entrevue au Palais de Justice avec un greffier pour les formalités du mariage (prévu en août). Après quoi nous entamerons les démarches pour le parrainage... C'était l'unique solution. Précision hélas utile : je ne suis pas Musulman.
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J'étais aussi super inquiet à la perspective d'infliger à mon chat (deux ans et demi, jamais sorti de l'appartement où il est né, sauf une fois pour aller se faire couper les coucougnettes) le voyage Bruxelles-Montréal, et finalement... Ma vétérinaire m'avait prescrit un calmant que je ne lui ai pas donné pour qu'il fasse le voyage dans son état normal. Il devait être en soute, puis à l'aéroport on m'a appelé pour me dire que le minou, que j'avais laissé partir lors de l'enregistrement, ferait le voyage Bxl-Münich à mon côté, au motif que le commandant de bord estimait les soutes du jet régional trop bruyantes pour l'animal. Il m'attendait dans l'allée lorsque je suis monté dans l'avion. Il a en fait un peu miaulé au décollage, puis à l'atterrissage. À Münich, j'apprends qu'il fera aussi à mon côté le vol jusqu'à Montréal. Finalement, ça me rassurait de l'avoir près de moi, car je pouvais lui parler, le toucher du bout des doigts afin de le tranquiliser. Il a miaulé au décollage, puis de temps en temps. C'est lors de la descente qu'il a souffert : il écumait, semblait épuisé. Au final, il avait seulement uriné, vomi quelques croquettes et bavé pas mal. Après deux jours, je décidais de le mettre dehors (je vis à la campagne le long d'un chemin privé) et trois semaines plus tard, mon chat est le plus heureux du Québec et ne veut plus entendre parler de la Belgique. Il ne s'effraie même plus de la tondeuse du voisin. Le plus pénible pour lui et moi aura été le trajet Liège-Bruxelles en voiture (chaleur, radio, trafic, cahots), car il a miaulé sans cesse.
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Je pars demain.
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Je demeure surpris qu'une personne faisant autant de fautes qui plus est grossières estime avoir un niveau excellent en français.
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Je fréquente des listes de discussions consacrées à la langue française, et je puis vous assurer que les plus puristes en cette matière sont les Québécois. Je trouve que le français des journaux québécois est bien meilleur que celui des journaux de France (excepté pour le Figaro) et de Belgique et plus vert (peu de langue de bois)... Mais... il y a la langue écrite et la langue parlée. Pour de nombreuses créations originales là ou en France on emploie des anglicismes, combien d'expressions traduites de l'anglais ? Mon amie hier sur MSN m'écrit : « y avait un gars en avant de moi... » Je lui dis : « Pourquoi en avant de, alors que devant dit tout et plus brièvement ? » Et elle : « Ah oui... » En avant de, calque pur de ahead of... Et j'en ai d'autres comme ça. Ce phénomène me semble plus vicieux que les emprunts directs à l'anglais. Je préfère le savoureux lexique québécois, où je retrouve beaucoup de mots français très anciens, et même des mots du patois de ma région d'origine. Le français du Québec en succursale provinciale de l'american english, je trouve ça dommage...
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Enfant, habitant près de la frontière française, nous allions parfois avec mes parents adoptifs en France pour acheter du vin. Il arrivait que mon oncle prenne un peu plus que permis. Et moi, en vue de la douane, je tremblais (un douanier, c'est une sorte de policier, une personne qui vous cherche des poux dans la tête même quand vous êtes chauve - lol). Parfois le douanier était cool, parfois suspicieux et tout se jouait sur la bonne mine de mes parents adoptifs. Moi, j'avais le sentiment d'avoir commis un crime et que ça se voyait sur ma figure d'enfant. De là provient sans doute cette peur du douanier (bizarrement, je n'ai pas peur des gendarmes). Si le douanier à Montréal me demande ce que je viens faire au Québec, j'ai l'intention de répondre : achever d'écrire un roman dont une partie se déroule au Québec. Cela justifierait le fait que mes bagages débordent de manuscrits et de livres, dont des dictionnaires. Et si on me demande pourquoi j'emmène mon chat : 1° parce que je ne peux vivre sans lui et vice-versa, 2° parce qu'il fait partie de l'histoire. Où je vais habiter ? Chez une (ou MON) amie, adresse, etc. No problem. Par contre, si je dois justifier de finances pour 6 mois, je suis mal, car je n'ai pas un sou vaillant (enfin, fort peu). Je vais dépendre totalement de ma promise. Ça, je ne peux tout de même pas le dire. Je peux montrer ma carte de crédit... et « ma » carte de la caisse Desjardins... mais bon, ils risqueraient de trouver ça dément, qu'une Québécoise (qui n'est pas folle) ouvre l'accès à son compte en banque à un touriste. Et puis, qui ça regarde ? Délicat tout de même... Demandent-ils vraiment un relevé de compte ? Je sais qu'un touriste ne peut pas travailler au Québec et telle n'est pas mon intention, mais le fait que j'écrive, ça ne risque pas de poser problème ? J'ai le droit d'écrire, quand même ? C'est du travail (personnel), mais il n'est pas rémunéré et si je touche un jour de l'argent grâce à ce livre, à condition qu'il soit publié, ce ne sera pas dans l'immédiat, j'aurai ma RP depuis longtemps et le douanier sera à la retraite ! Si j'étais musicien, on ne pourrait pas m'empêcher de jouer de la musique dans ma chambre ; ou philosophe, de penser ! Ce que ma fée et moi vivons est tellement beau et vrai et si peu banal à notre double point de vue que je panique parfois à l'idée que des fonctionnaires aient le pouvoir de fiche par terre notre projet... Mon angoisse est comme notre amour : irrationnelle...
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Rien que ceci : ... c'est délicieux.
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J'admets le principe, évidemment défendable, mais dans mon cas particulier, je vois ça comme un obstacle : mon fils, inspiré par sa mère, refusera d'aller passer cette visite. Et pour moi, même si je parviens à faire comprendre le cas particulier, je sens que ça risque de représenter un retard dans le dossier. Dois-je prendre les devants et signaler mes craintes lors de l'envoi de la demande de RP ? Je veux être transparent comme l'eau de source. Et si mon fils refuse cette visite et que l'immigration refuse, elle, de faire avancer mon dossier à cause de ça ? Ou pire, m'oppose un refus ? Je comprends que mon fils, si nous avions des rapports normaux, pourrait très bien demeurer en Belgique pour ses études et me rejoindre plus tard (d'où le « qu'elles accompagnent ou non l'immigrant principal »), mais ici il ne saurait en être question. Je trouve qu'ils auraient dû prévoir une clause d'intention (« avez-vous l'intention de faire venir plus tard... »). C'est comme pour les renseignements additionnels sur la famille : je n'ai plus aucun rapport avec mes dix frères et s?urs (je n'ai pas été élevé avec eux) et j'ignore où la moitié d'entre eux habitent.
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Si ce n'est que ça, ils peuvent être rassurés : j'ai bien un billet de retour.
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Passent les semaines et puis les jours... Plus la date de mon départ approche, plus le stress monte. C'est normal, j'imagine... Je voudrais bien en évacuer une partie, notamment vis-à-vis des formalités douanières. Comme je n'ai jamais pris l'avion de ma vie, que je serai soucieux de retrouver mon chat vivant et mes bagages intacts, pressé de retrouver mon amour, je crains un peu de mal répondre aux questions que j'imagine inquisitrices du douanier (il fait son métier, OK) et d'éveiller chez lui des soupçons (pour peu qu'il soit mal luné ou que ma gu... ne lui revienne pas ). Je pars donc avec un visa touristique valable 6 mois. J'ai un billet retour pour le mois de décembre (départ fin juin). Le douanier va certainement me poser des questions sur mon séjour, puisque je reste en théorie près de 6 mois. Que puis-je dire et ne surtout pas dire ? Je suis partisan de toujours dire la vérité, mais le douanier aimerait-il entendre que je lui dise que je viens pour me marier et effectuer depuis le Québec une demande de RP + parrainage ? J'en doute fort. Même si mon (notre) amour est sincère. On va me poser des questions sur ma résidence au Québec et sur mes moyens de subsistance. Pas de problème, puisque je vais habiter chez ma promise. Mais ai-je besoin de le prouver autrement qu'en fournissant une adresse ? Dois-je fournir qqchose comme « un certificat d'hébergement et de prise en charge » (formule trouvée dans la FAQ) signé de la main de ma (très) belle ? Pour les moyens de subsistance, j'ai une carte de crédit à exhiber et surtout un accès direct au compte bancaire de ma mie (j'ai la carte et le code). Merci de vos réponses.
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Merci, mais je crains que ce ne soit un brin plus compliqué en Belgique avec des juges pour qui un père, c'est un coupable qui doit payer. Et comme de plus la mère aime l'argent plus que tout, est procédurière à souhait... Et puis il y a les délais, les oppositions qui retardent les jugements. Là, je pars fin juin... Ça fait 3 ans que je me bats en pure perte et je vois mal comment je réussirais depuis le Québec ce que je ne suis jamais parvenu à faire en Belgique...
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À mettre en relation avec mon fil de discussions ici. Je lis sur un site relativement à la notion d'enfants à charge : En gras, j'ai mis ce qui me paraît être mon cas : fils de 21 ans (22 ans en août) aux études dépendant en partie de sa mère avec qui il vit et de moi-même (pension alimentaire). Sa mère perçoit des allocations familiales et il a droit à des bourses d'étude. Il n'est évidemment pas question qu'il me rejoigne un jour au Québec (je n'ai pour ainsi dire jamais vu mon fils et ne désire pas le voir, il ignore tout de moi). Or, je lis plus bas : Pourquoi faut-il qu'on emm... les gens avec ça ? Et comment, moi, pour qui mon fils est un parfait étranger, puis-je le contraindre à passer un examen médical pour une immigration (la mienne) qui ne le concerne en rien ? Je le vois d'ailleurs mal se prêter à cette fantaisie. Tordue, cette affaire...
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Ma situation présente : je suis au chômage en Belgique et je paie une pension alimentaire lourde (250 ?) pour mon fils de bientôt 22 ans qui suit des études de complaisance (troisième fois qu'il recommence sa première année post-secondaire). Cette pension, je ne la paie pas vraiment, puisqu'elle m'est saisie à la source sur mes allocations. Le proche avenir : fin juin, je quitte la Belgique pour le Québec avec un passeport touristique dans l'intention d'y épouser la femme que j'aime et qui me parrainera. Comme touriste, je ne pourrai pas travailler avant d'avoir reçu l'approbation de principe de l'immigration, soit de 5 à 6 mois après avoir rempli ma demande de RP et les papiers pour le parrainage. Je serai donc là-bas sans revenu pendant plusieurs mois, et donc dans l'incapacité de payer la pension, que je le veuille ou non. Mon avocate me dit que la pension reste due en vertu du jugement et que si mon ex-femme décide de me poursuivre pour non-règlement de pension alimentaire, elle obtiendra facilement une condamnation au pénal suivie d'une commission rogatoire. Et connaissant mon ex, elle ne se privera pas de me pourrir la vie au maximum. Mon avocate insiste donc pour que j'introduise une requête en suppression, au motif que mon fils suit des études de complaisance (c'est un cinglé d'Internet qui passe son temps à jouer en réseau au lieu d'étudier, et de cela j'ai des preuves). Toutefois, connaissant les juges et ma malchance en matière judiciaire, je doute fort que le juge me fasse le cadeau inouï d'une suspension de jugement. Même s'il diminuait le montant, je serais dans l'impossibilité de payer, puisque sans revenu. Je n'ai donc pas la volonté de me soustraire à mes obligations. C'est vicieux, comme truc. Ma crainte, évidemment, c'est que cela risque de plomber mon dossier. Quelqu'un a-t-il connu une situation similaire ?
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Je ne comprends pas comment des organismes québécois peuvent certifier conformes des documents étrangers ??? Y a un truc qui m'échappe, là.
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Parfois, pour comprendre, il faut inverser la situation. Admettons que parmi une flopée d'immigrants québécois (blancs) en Algérie, quelques-uns profitent de l'aide sociale. Quelle serait la réaction des Algériens qui travaillent et paient des impôts ? Exactement la même que certains Québécois (ou Belges ou Français ou Lettons) face aux abus de certains immigrants. Un ivrogne dans une famille ne signifie pas que toute sa famille dépendent de la boisson...
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Je crois qu'on mélange un peu. Ce n'est pas parce qu'il y a comme partout ailleurs des racistes dans un pays que tout son pays l'est. Et puis cette détestable habitude qui consiste à considérer que le racisme est une spécialité blanche... (remember le Rwanda). J'ai un beau-frère algérien kabyle. J'étais jeune et pour moi un kabyle, c'était un Algérien (donc, dans mon esprit, un Arabe) au même titre qu'un Québécois est un Canadien (alors qu'on sait tout le « bien » que pensent des anglophones certains québécois francophones !). Dans une discussion paisible, je demande à mon beau-frère si, en tant qu'Arabe, il a déjà été confronté au racisme. Sa tête ! J'ai bien cru qu'il allait me casser la gueule, parce que je l'avais appelé « arabe ». Et là-dessus, diatribe contre les Arabes. On comprend mieux quand on connaît l'histoire, mais j'étais à l'époque un peu inculte. Il y a racisme là où une situation ethnique est ressentie comme un excès (les banlieues françaises où les minorités sont blanches et gauloises, ce qui est tout de même un comble). Je comprends cela. Et des types comme Dieudonné M'Bala n'aident pas à apaiser une situation explosive, comme on l'a vu récemment avec les bastons dont été victimes des adolescents blancs de la part de « Blacks » dans les manifs lycéennes avec des slogans comme « fuck la France » ou « je nique ta race ». Ça existe, et il ne faut pas le cacher. Par ailleurs, il existe depuis le 11 septembre 2001 une crainte vis-à-vis des Maghrébins (ou des Musulmans en général), et ça aussi c'est compréhensible. Je suis petit et chauve. Si Dutroux avait été petit et chauve, j'aurais été regardé comme un pédophile en puissance, de la même manière qu'un « bronzé » musulman est assimilé malgré lui à un terroriste en puissance. Ce sont des peurs irrationnelles qu'il faut combattre, mais pas en stigmatisant les gens, car le risque est grand d'infléchir leur peur en véritable racisme. Moi, si on me traitait de raciste pour un oui ou pour un non, je finirais par le devenir, je crois. On parle de racisme alors qu'il ne s'agit souvent que de trop grandes différences culturelles mal acceptées des autochtones, et certains « étrangers » n'aident pas non plus à se faire accepter. Dans nos pays, on fait tout pour diminuer les égalités entre homme et femme. Or en Belgique, dans la région d'Hasselt, il y a eu il y a quelques mois un problème soulevé à cause de femmes en burqa (en burqa complète, pas un simple voile ou foulard). Faut-il au nom de la tolérance admettre l'intolérable ? Quel sort serait réservé à une Belge qui se baladerait en mini-jupe dans les rues de Ryad ou de Kaboul à l'époque des Talibans ? Alors voilà : oui, il y a des racistes en Belgique, en France, au Québec, en Algérie, au Togo, en Thaïlande, au Pérou. Et oui, il existe des Blancs infects et des Blancs délicieux, comme il existe des Musulmans charmants et des Musulmans à vomir. La pire chose, c'est de mettre tous les Blancs dans le même sac et les Musulmans dans un autre. Personnellement, je ne fonde pas mes opinions sur les gens en fonction de critères raciaux ou religieux, mais des êtres, de leurs qualités humaines, de leur étoffe. Et rien ne me débecte plus que les réflexions du genre : « Il est sympa, pour un Arabe ! » ou « T'es un bon Blanc, toi ! » (entendu déjà dans la bouche d'un Noir).
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Je viens de réserver en ligne mon billet Bxl-Montréal. Je pensais qu'il y aurait au moment de la confirmation un truc ou l'autre à cocher pour les animaux. Or, rien. Je suis donc allé voir ensuite dans la section « animaux domestiques qui voyagent », où j'étais pourtant sûr d'avoir déjà lu que mon chat était le bienvenu sur les vols Air Canada. Et je lis ceci : Ça veut dire que mon chat ne va pas pouvoir voyager avec moi ? Ou que si c'est possible, que je ne vais pas pouvoir l'enregistrer en même temps que mes bagages et que je vais devoir aller le porter au service cargo (à 6 km de l'aéroport) le jour de mon départ, avec tout le stress que cela suppose (sans compter que je pars de Liège en voiture avec une personne qui ne connaît pas forcément les lieux) ? C'est ambigu tout cela. D'autant plus que plus bas je lis ceci : Alors quid ? L'un d'entre vous a-t-il récemment voyagé avec un animal depuis Bxl avec Air Canada ? Que dois-je exactement faire pour que mon chat puisse voyager avec moi ?