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+1 pour Zhu !!!!! Toutes mes félicitations aux parents. Et bienvenue à la petite merveille . Je souhaite beaucoup de repos et de paix à la maman ! Marie-Laure, (qui sait de quoi il en retourne !!!!! )
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Pourquoi prenez-vous pour du chialage ce qui n'est que de l'information ? Moi, j'en ai un peu assez de ce mot qui est lancé à tout bout de champ, des qu'un message n'a pas l'heur de vous plaire..... Merci à Zogu pour sa réponse à la fois précise et constructive ! Marie-Laure
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Mon petit grain de sel, maintenant . Tu sais Baptiste, se réjouir parce que les urgences sauvent des vies ? Ben, ça me semble un minimum pour un pays aussi développé et moderne que le Québec. Il me semble que là n'est pas vraiment la question. Comme tout le monde, j'ai entendu des témoignages de gens attendant des heures aux urgences avec un membre cassé ou de grosses douleurs ( rien d'urgent en tant que tel, tant qu'on le regarde de l'extérieur...). C'est vrai : tant que je ne l'ai pas vécu, ça reste des "on dit". Reste que je n'aimerais pas trop le vivre.... Le problème en France est un peu différent. Pour le coup, je l'ai vécu moi-même. Des urgences surchargées, j'ai vu ! La différence, c'est qu'en France, il y a toujours d'autres moyens de se faire soigner en urgence : médecin de garde, SOS médecin, le 15.... On a au bout du fil, un médecin, qui peut, s'il sent vraiment l'urgence,venir rapidement, vous aiguiller vers un hopital, ou appeler le SAMU. Il est alors beaucoup plus innadmissible qu'ici de voir les services d'urgence débordés par la "bobologie". Mon expèrience personnelle au Québec se rapproche de celle de Peanut. La clinique d'urgence de Waterloo m'a toujours permis de voir un médecin dans la journée lorsque moi ou mes enfants en avons eu besoin. A chaque fois, cela m'a vallu deux déplacements ( un à 7h30 ou 12h30 pour résever une heure de passage ) et un retour avec l'enfant malade pour voir le médecin: C'est pas pire et maintenant que je connais le système, ça marche bien. Reste que quand la clinique est fermée ( après 17h le samedi par ex) il n'y a plus que les urgences de l'hopital, en cas de grosses inquiètudes ( et avec les enfants, malgré l'expèrience, ça peut arriver) Je n'ai pas encore résolu le problème des suivis réguliers ( Je fais partie des familles à risque pour les cancers du seins.) Comment faire ? En France, lorsque j'arrivais quelque part, je m'adressais au cabinet médical et je trouvais rapidement un médecin pour suivre l'ensemble de la famille. Ici, ça semble impossible. Voilà la mise au point que je voulais faire. Il ne sagit ni d'une critique, ni d'une mise en avant du système français, juste de mes constatations en tant que nouvelle arrivante, en région. En attendant, je vous souhaite une excellente santé pour cette année 2006. Ce voeux est évidemment intéressé, puisque moins vous serez malade, et moins j'aurais de risque d'attendre en cas d'urgence ! Amicalement Marie-Laure
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Ouh là là ! Tout ça ? Apparemment, tu n'en es qu'au début de tes recherches ! Un grand débroussailage de la FAQ s'impose parce que la plupart de ces questions ( que tout candidat à l'immigration s'est déjà posé au moins une fois !) ont déjà reçu des réponses. Mais je vais essayer de te faire faire un premier pas : 1) Dans ce forum, tu trouveras des renseignements sur le Québec, province francophone du Canada ( et fière de l'être). Pour obtenir des informations sur d'autres provinces (anglophone) il vaut mieux poser des questions ( précises si possible ) sur le forum du ROC ( Rest of Canada). 2) Je ne sais rien en ce qui concerne le "permis de travail". Nous, nous avons immigré avec un visa de "résidents permanents" obtenu au bout de 10 mois et deux dossiers de paperasses ( un pour le Québec : CSQ et l'autre pour le Fédéral). Je n'ai pas le coût en tête (vive la FAQ) mais il n'est pas négligeable. Ce visa te donne le droit de résider au Québec, d'y travailler, d'y inscrire les enfants à l'école, d'y bénéficier des avantages sociaux ( sécu...), bref, d'y vivre comme un Québécois, avec les mêmes droits ( sauf droit de vote) et les mêmes devoirs ( impôts...). Pour le ROC, seul un dossier de paperasse est requis. 3) Le fait de n'être pas marié n'a pas vraiment d'importance. Si vous faites vie commune depuis plus d'un an, vous pouvez faire reconnaitre votre union de fait. Dans votre couple, il y aura un requérant principal ( celui qui va recueillir le plus de point sur le test en ligne : voir page d'accueil du forum !) et un requérant secondaire dont le dossier renforcera le premier. Sont regardés les diplômes, l'age, l'expèrience pro, le niveau d'anglais.... 4)Très peu d'entreprises sont prêtes à embaucher un candidat étranger qui n'a pas encore son visa. Ça arrive, mais c'est très rare ! En général, l'immigrant arrive avec ses valises sous le bras et commence à chercher une job quand il a tous ces papiers en bonne et dûe forme. Certains trouvent vite et bien...d'autre moins. 5) Tu peux demander une équivalence de diplome avant ou après ton arrivée.(c'est payant) Ton diplôme n'est pas reconnu en tant que tel, mais ton équivalence te permet de postuler à des postes relevant de tes compètences 6)Ici, "ingénieur" est un titre. Pour pouvoir le porter et l'utiliser, dans un Cv par exemple, tu dois obligatoirement être inscrit à l'ordre des Ingénieurs. Il en existent plusieurs selon ton domaine d'activité. L'inscription est payante et ne va pas toujours de soi. Si ton école est reconnue au plan mondiale, ça passera. Tu sera d'abord " junior" puis après un an et peut-être un examen, tu sera reçu ingénieur. Si ton école n'est pas très connue, tu devras prouver que les études suivies sont au niveau : fourniture des programmes de chaque années, des notes pour chaques matière, etc... Note bien qu'il n'est pas toujours forcément indispensable d'être inscrit à un ordre pour travailler . Mais tu n'auras pas le titre ( et le salaire ?) d'un ingénieurs reconnu. Certains postes, dans certains domaines sont réservés aux ingénieurs. Pour d'autres métiers ( sages-femmes ?) l'inscription à l'ordre est vraiment obligatoire. Les avis sont très divergeants sur le forum quant aux ingénieurs. Pour le reste de tes questions, ( salaire, coût de la vie...) tellement de facteurs différents pour chacun de nous entrent en jeu ( lieu de résidence, mode de vie....), qu'il vaut mieux que tu fasses une recherche par toi même . Pour ce qui est du racisme anti français, ta question risque de déclencher une polémique à laquelle je ne me mèlerai pas. Pour nous, ici, en région, la réponse est non, mais je ne connais rien des grandes villes accueillant beaucoup d'immigrants. Voilà. Maintenant, si tu as d'autres questions, pense à les formuler une par une : tu as plus de chance d'obtenir des réponses précises! Amicalement
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Hello ! La brune, c'est l'enveloppe dans laquelle tu reçois l'avis d'émission de ton visa. C'est pour cela que " la brune" est guettée par toutes les personnes attendant de pouvoir immigrer. C'est la dernière étape du processus d'imigration...et le début d'une nouvelle aventure ! Amicalement
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Viens à Waterloo ! 4500 habitants Son lac et sa plage l'été, sa patinoire de plein air et sa piste de luge l'hiver, son aréna ( hockey, patinage artistique),son chemin écologique en toute saison,et sa super piste cyclable de plusieurs km. Ses écoles maternelles primaires et secondaire.Son golf et sa maison de la culture ( théatre, expo artisanales...), sa bibliothéque et ses commerces. Sa clinique d'urgence....... 16 km de Granby, 80 de Montréal, 60 de Sherbrooke, 30 km de l'hôpital de Cowansville ( bien équipé) 5 km du parc de la Yamaska 10 mn des pistes de ski de Bromont A la limite de l'Estrie (ses "montagnes" et ses lacs) et de la Montérégie ( son bassin d'emploi industriel). Et des maisons à vendre ! Nous y sommes vraiment très bien. Amicalement
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Hello Gudule Nous avons effectivement fait venir nos meubles par container avec DEMECO,après avoir fait faire trois devis. Nous avons été très satisfaits du service et ne le regrettons pas du tout. Nous avons obtenu notre visa en dix mois. Nous sommes arrivés début octobre 2004. Nous avons ainsi pu profiter des couleurs flamboyantes dès notre arrivée et nous avons eu le temps de nous équiper pour l'hiver. Je serais heureuse de pouvoir répondre à vos question. Amicalement Marie-Laure
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Il y a quelque temps, j'avais écrit cette réponse à la même question. Je pense que ce texte est toujours d'actualité. J'ajouterai qu'aujourd'hui, au bout de 14 mois, mes enfants sont vraiment heureux. Ils ont plein d'activités, tant scolaire qu'extra-scolaire, et même si la famille continue à leur manquer, ils se sentent très entourés. Voici donc mon texte: Bon, alors, je me lance.... Nous sommes là depuis 9 mois maintenant, et je n'ai que ce recul pour juger de l'influence de notre immigration sur le moral de nos enfants. Plusieurs phases à distinguer: Phase 1: L'annonce du projet Là, c'est tout feu-tout flamme. Après l'incontournable question:" Mais qu'est-ce qu'on mange là-bas ?", c'est l'exitation. La fierté de l'annoncer aux copains: "Moi, je vais aller habiter en Amérique...et y a des caribous et des indiens!", la joie de se voir le centre d'intérêt de la classe, la lecture des guides touristiques.... et puis, le départ est encore si loin ! Une sorte de rêve quoi ! Phase 2: Le départ Là, c'est une autre chanson. Les larmes...Beaucoup de larmes. Quitter les copains, la famille, un environnement connu...Tout ça pour un mot, qu'on répéte beaucoup, mais qui perd de sa magie au fur et à mesure que le grand saut se rapproche. Le tout se passe dans une ambiance festive: fête en classe, fête chez les copains, fête avec les grands-parents... Quitter cet air de fête semble de plus en plus dur. Heureusement: il y a l'attrait de l'avion, la découverte d'un aéroport .En 8 h (4 h de retard!), on a eu tout le temps de le découvrir! Phase 3: le débarquement Tout ce joue entre l'emmerveillement de la découverte, l'appréhension du manque de copain et la folie des choses à faire: magasinage, inscription, repas dans les divers fast food (il faut bien: pour que les parents puissent faire les paperasses administratives: nous sommes en région!) On navigue donc entre sourire et vague à l'âme.Les copains de France ne manque pas encore, mais les enfants sont tendus comme des " cordes à violon"! Prêt ;à craquer à tout moment, mais curieux et intéressés. Phase 4: La rentrée en classe Alors là, c'est super. L'accueil est merveilleux, les copains et copines se précipitent pour faire la connaissance des petits français, les enseignants sont aux petits soins pour que chacun se sentent bien dans son environnement. Bref, ils sont les rois de la fête. Les langues se délient :plein de nouveautés à raconter, le vocabulaire québécois fait son apparition à la table familiale...Tout va bien! Phase 5: La routine Au bout de quelques semaines, l'intérêt des copains se relâche (très légitimement ), chaque gang se reforme...pas forcément autour du nouvel arrivant, qui n'est plus si nouveau que ça, et qui doit descendre de son pied d'estal. A chacun de faire sa place, doucement, discrétement.... Le changement est brutal et parfois dûr à avaler! Le manque des amis de France se fait beaucoup plus pressant : " Pourquoi on est venu? Là bas au moins, j'avais des copains...Ici personne me cause...Et puis on faisait ceci et cela...Et puis dès que j'ouvre la bouche, on me dit que je vais trop vite, qu'il faut que je me calme, que je ne suis plus en France..." Retour des larmes (surtout le soir, au coucher! ) Rude épreuve pour les parents qui commencent à culpabilisés....(pas bien longtemps pour nous: c'est pas notre genre !).C'est dans ces moments que nous avons , enfin cédé pour le chien.... Depuis, à chaque fois que l'un des enfants émet l'hypothèse qu'en France ceci ou cela...les 4 autres rétorquent aussitôt: " Oui, mais ici, on a Welcome!" Phase 6: aujourd'hui Nos 5 zoulous ont , enfin passé le déclin de la routine. Chacun a trouvé sa game, soit en classe, soit au scout, soit au dehors. On retrouve les copains à la piscine ou sur la plage, on s'invite les uns les autres... Et oh! surprise! la fin de la classe n'a pas vraiment été accueillie avec l'enthousiasme habituel: quitter les amis, les enseignants, l'école et ses activités. Bof, d'accord...mais deux mois, ça semble bien long, quand même ! On ne parle pratiquement plus des amis de France, sauf pour en évoquer de bons souvenirs d'un coeur léger, ou pour leur raconter par mail, notre super vie Québécoise! Les enfants sont heureux, ont plein de projets, tant pour l'année prochaine, en classe, que pour cet été (accueil de Mamie, bateaux, baignades, rencontres, visites, feux d'artifices...) Voilà, pour leur coté,c'est partie gagnée! Bien sûr, dans notre tête, comme dans la leur, nous ne sommes venus passer qu'une partie de notre vie au Québec. Quelques années durant lesquelles nous avons à découvrir et à nous enrichir moralement et psychologiquement d'une culture et d'un mode de vie différents. Peut-être, au bout du compte, retourneront-ils en France...ou peut-être resterons nous tous ici. Ce qui est sûr, c'est que chacun de nous aura profiter de la grande chance qui nous est donné de nous ouvrir l'esprit et le coeur. Et ce , tous ensemble. Je souhaite la même chance, à tous ceux qui sont dans l'attente de leur visa, et à tous ceux qui débarquent dans ce très beau pays!
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Eh oui ! Ça m'interpelle fort ton histoire. Alors voilà : nous sommes au Québec depuis le 8 octobre 2004, mais mon histoire ressemble fort à la tienne. Mon mari a toujours eu envie de partir vivre à l'étranger, et moi, je suis franco-française à 100 %. Je suis très attachée à ma famille ( je suis la dernière de la famille, et mes enfants sont les derniers petits enfants de maman. J'ai perdue mon père il y a 10 ans et je me sens donc " soutien " pour maman). J'avais une vie sympa en France : beaucoup d'amies, une bonne intégration là où nous habitions...Seul point noir, le boulot de Dom qui déraillait et qui faisait plus qu'empiéter sur notre vie de famille. Mais je vivais une routine somme toute agréable et tranquille. Voilà pour le tableau de départ. Comme toi, un jour, j'ai acceptée que Dom se "renseigne" sur le Québec, pensant plus à un passe-temps qu'à une véritable " vocation". Et tout d'un coup, avant d'y avoir vraiment pensé, ni surtout en avoir fait le choix, je me suis vue embringuée dans son histoire d'immigration. J'ai été prise de panique : nous embarquions 5 enfants de 4 à 13 ans dans l'aventure... J'ai réfléchi au moyen de faire marche arrière. Mais à chaque fois que je sortais un argument contre, il se braquait, m'accusant à demi-mot de vouloir "casser" le projet. C'était vrai, mais je ne me sentais pas la force de le blesser. J'ai fini par lâcher prise. Style méthode Couée : " ça ira parce qu'il faut que ça aille." Il a fallu faire bonne figure pour ne pas inquiéter maman, pour ne pas effrayer les enfants... A force de donner des arguments pour à mon entourage, j'ai fini par " presque" y croire. Bref, j'ai eu l'impression de toucher aux limites de notre mariage : Ça passe ou ça casse. Et comme il ne m'est même pas venu à l'idée que ça pouvait casser.... Alors voilà, nous sommes partis. Mais j'ai toujours précisé très clairement que c'était une expérience de quelques années et surtout pas une immigration définitive. Que j'étais OK pour vivre une ouverture d'esprit et la faire vivre à mes enfants comme un plus, que nous partions à la découverte, mais avec la ferme intention de revenir au port dans 5 ou 6 ans. D'accord sur ce point, nous vivons effectivement des moments de super enthousiasme et d'autres moins drôles. Toute découverte, bonne ou moins bonne est un acquis dans notre culture, tant familiale qu'individuelle. Nous espérons pouvoir en garder un profond et beau souvenir lorsque nous reviendrons. Maman ( 75 ans) , s'est mise à l'informatique et participe à notre vie par photos interposées. Elle est déjà venu deux fois et nous l'attendons pour Noël. Mes beaux parents, qui avaient jurer de ne jamais prendre l'avion commencent à y réfléchir sérieusement...Et les enfants sont heureux parce que leurs parents sont heureux. J'ai vécu ça, et je vis encore ça comme un formidable élan d'amour vis à vis de Dom. Notre couple en sort grandit et renforcer. Je ne peux pas cacher un espèce de sentiment de fierté...Mais je sais aussi que j'ai pu le faire qu'à cette condition d'un retour prévu. En conclusion, je dois te dire qu'il faut vraiment un "ciment" très fort dans le couple pour surmonter certaines galères ( arrivée, recherche de boulot, gestion d'un budget pas évident) et qu'une des clefs de la réussite d'un tel projet, c'est l'argent. Il en faut, et d'après moi, beaucoup plus que certains se plaisent à le dire sur le forum. On a déjà assez de soucis comme ça à l'arrivée ( spleen, éloignement..) pour ne pas y ajouter le stress financier. La deuxième clé est la clairvoyance : non ! La vie ici n'est pas un rêve : pas plus facile qu'en France...Seulement différente. Il y a autant de bonheurs et autant 'embûches: elles ne nous attendent pas aux mêmes endroits, c'est tout. Par contre, pour nous ,découvrir que des gens, ailleurs , mènent une autre vie, ont d'autres habitudes est une découverte très enrichissante socialement, culturellement , intellectuellement et humainement parlant. Et ça nous suffit pour prendre le plus possible de bon en ne nous arrêtant pas sur le moins bon. Voilà pour ce que ton message m'a donné envie de te dire. Bon courage : tu vas avoir, vous allez avoir, de grosses décisions à prendre. Prenez-les en conscience et en Amour. Comme les autres, je vous dit : parlez, parlez, parlez.... Amicalement Marie-Laure
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Joyeux anniversaire Sandrine. Et bon gateau au chocolat !!!! Gros bisous pour Toi et toute la famille ! Et bonne fête aussi à Elie. Marie-Laure
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Gnagnagna !!! C'est malin ça !!! Encore heureux que t'ais remarqué que je ne les fais pas, hein ? Bon, ben à part pour Sandrine, un gros merci pour vos gentils souhaits. Ce fut une belle journée.... Amicalement Marie-Laure
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Merci beaucoup Fortsympa pour cette gentille attention. C'est vrai que je me fais plus rare, ces temps-ci, mais tu vois, je passe encore de temps en temps. D'autres mères de familles prennent le relais pour apporter leurs expèriences, plus récentes que la mienne . Je trouve très bien qu'il y ai cette sorte de " passage de témoin". Mais je reste à votre disposition si vous avez besoin de mes " faibles lumières". Marie-Laure
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Euuuuhhh ??? Tu travailles pour les impôts ?
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Hello Effectivement. Pour avoir cherché des matelats à notre arrivée, et donc par expérience: pas de matelats au standard européen ici. Et attention, je ne suis pas sûre que la redoute veuille bien livrer autre chose que du textile (vêtement) aussi loin, et notament pas des objets aussi encombrant qu'un matelas ! A vérifier auprès d'eux Aussi, ne faites pas comme nous : si vous apportez un lit, aportez aussi le matelas ! Nous avons résolu notre probléme avec un matelas IKEA, mais il ne colle pas tout à fait (trop large et trop court de quelques cm !) Voilà. Amicalement
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Il y a quelque temps, j'avais écrit un message assez détaillé sur l'impact de l'immigration sur mes 5 enfants ( 5, 9, 11 et 13 ans maintenant). Il est toujours en page d'accueil du site. Tu peux aller le lire, si tu veux. Et après, tu peux me poser toutes les questions qui te viendront à l'esprit. Amicalement
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Hello tout le monde ! Je voulais juste partager avec vous les photos de la construction de notre maison , ici, au Québec. Commencée le deux mai, sur un terrain acheté le 18 avril, nous y avons emménagé le 9 juillet. Vous dire qu'elle est complètement terminée serait mentir....Mais elle est plus qu'habitable. Manque encore les peintures intérieures , les portes de placards, les moulures des portes et fenêtres et certains joints de céramique. Je vous laisse admirer la rapidité de notre constructeur québécois sur le site suivant: notre maison Amicalement
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La solution que nous avons adopté, c'est de faire installer, par un électricien, une ligne en 240 v, directement de notre tableau électrique (le 240 v existe pour le poële et la sécheuse.)dans la cuisine. Il suffit de penser à apporter une prise française, ou une barrette de prises. Je branche tout mon petit électroménager français, comme ça. Ah j'oubliais : ne branchez surtout pas votre micro-onde. Ca fait drôle !!!! Différence de fréquence oblige ! Amicalement
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Merci beaucoup. C'est très gentil. Mais je vous présente toutes mes excuses pour les "horribles" fautes d'ortographe que je viens de découvrir en me relisant. J'aurais du le faire avant.... Marie-Laure
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Bon, alors, je me lance.... Nous sommes là depuis 9 mois maintenant, et je n'ai que ce recul pour juger de l'influence de notre immigration sur le moral de nos enfants. Plusieurs phases à distinguées: Phase 1: L'annonce du projet Là, c'est tout feu-tout flamme. Après l'incontournable question:" Mais qu'est-ce qu'on mange là-bas ?", c'est l'exitation. La fierté de l'annoncer aux copains: "Moi, je vais aller habiter en Amérique...et y a des caribous et des indiens!", la joie de se voir le centre d'intérêt de la classe, la lecture des guides touristiques.... et puis, le départ est encore si loin ! Une sorte de rêve quoi ! Phase 2: Le départ Là, c'est une autre chanson. Les larmes...Beaucoup de larmes. Quitter les copains, la famille, un environnement connu...Tout ça pour un mot, qu'on répéte beaucoup, mais qui perd de sa magie au fur et à mesure que le grand saut se rapproche. Le tout se passe dans une ambiance festive: fête en classe, fête chez les copains, fête avec les grands-parents... Quitter cet air de fête semble de plus en plus dur. Heureusement: il y a l'attrait de l'avion, la découverte d'un aéroport .En 8 h (4 h de retard!), on a eu tout le temps de le découvrir! Phase 3: le débarquement Tout ce joue entre l'emmerveillement de la découverte, l'appréhension du manque de copain et la folie des choses à faire: magasinage, inscription, repas dans les divers fast food (il faut bien: pour que les parents puissent faire les paperasses administratives: nous sommes en région!) On navigue donc entre sourire et vague à l'âme.Les copains de France ne manque pas encore, mais les enfants sont tendus comme des " cordes à violon"! Prêt ;à craquer à tout moment, mais curieux et intéressés. Phase 4: La rentrée en classe Alors là, c'est super. L'accueil est merveilleux, les copains et copines se précipitent pour faire la connaissance des petits français, les enseignants sont aux petits soins pour que chacun se sentent bien dans son environnement. Bref, ils sont les rois de la fête. Les langues se délient :plein de nouveautés à raconter, le vocabulaire québécois fait son apparition à la table familiale...Tout va bien! Phase 5: La routine Au bout de quelques semaines, l'intérêt des copains se relâche (très légitimement ), chaque gang se reforme...pas forcément autour du nouvel arrivant, qui n'est plus si nouveau que ça, et qui doit descendre de son pied d'estal. A chacun de faire sa place, doucement, discrétement.... Le changement est brutal et parfois dûr à avaler! Le manque des amis de France se fait beaucoup plus pressant : " Pourquoi on est venu? Là bas au moins, j'avais des copains...Ici personne me cause...Et puis on faisait ceci et cela...Et puis dès que j'ouvre la bouche, on me dit que je vais trop vite, qu'il faut que je me calme, que je ne suis plus en France..." Retour des larmes (surtout le soir, au coucher! ) Rude épreuve pour les parents qui commencent à culpabilisés....(pas bien longtemps pour nous: c'est pas notre genre !).C'est dans ces moments que nous avons , enfin cédé pour le chien.... Depuis, à chaque fois que l'un des enfants émet l'hypothèse qu'en France ceci ou cela...les 4 autres rétorquent aussitôt: " Oui, mais ici, on a Welcome!" Phase 6: aujourd'hui Nos 5 zoulous ont , enfin passé le déclin de la routine. Chacun a trouvé sa game, soit en classe, soit au scout, soit au dehors. On retrouve les copains à la piscine ou sur la plage, on s'invite les uns les autres... Et oh! surprise! la fin de la classe n'a pas vraiment été accueillie avec l'enthousiasme habituel: quitter les amis, les enseignants, l'école et ses activités. Bof, d'accord...mais deux mois, ça semble bien long, quand même ! On ne parle pratiquement plus des amis de France, sauf pour en évoquer de bons souvenirs d'un coeur léger, ou pour leur raconter par mail, notre super vie Québécoise! Les enfants sont heureux, ont plein de projets, tant pour l'année prochaine, en classe, que pour cet été (accueil de Mamie, bateaux, baignades, rencontres, visites, feux d'artifices...) Voilà, pour leur coté,c'est partie gagnée! Bien sûr, dans notre tête, comme dans la leur, nous ne sommes venus passer qu'une partie de notre vie au Québec. Quelques années durant lesquelles nous avons à découvrir et à nous enrichir moralement et psychologiquement d'une culture et d'un mode de vie différents. Peut-être, au bout du compte, retourneront-ils en France...ou peut-être resterons nous tous ici. Ce qui est sûr, c'est que chacun de nous aura profiter de la grande chance qui nous est donné de nous ouvrir l'esprit et le coeur. Et ce , tous ensemble. Je souhaite la même chance, à tous ceux qui sont dans l'attente de leur visa, et à tous ceux qui débarquent dans ce très beau pays! Amicalement Marie-Laure
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Ouais, Ca pourrait être sympa que chacun arrive avec sa petite étiquette.... Plus facile d'entamer une conversation: " A c'est toi qui..." ou " Au fait, merci pour..." ou encore " Alors comme ça, tu...." !
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Oh là là ! 77 !!!! C'est génial !!!!! Va falloir penser à une solution pour identifier tout le monde...sinon, on va s'y perdre et avoir l'impression de ne voir personne !!! Isséo17, qui se sent déjà perdue dans cette foule !!!!!!
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Hello Je n'avais pas vu ton message. Mais surtout, je ne le comprends pas très bien ? Tu pars pour 17 jours : en touriste ?, pour valider ton visa?... Si c'est en touriste, tu dois pouvoir passer la douane sans autre formalité que ton passeport (du moins si c'est la même chose pour les belges que pour les français). Si tu pars pour valider ton visa, 17 jours semblent très juste pour avoir le temps de recevoir ta carte RP (env 4 semaines de délai en ce moment !) Précise ta question, et je suis sûre que tu auras des réponses plus précises. Amicalement
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Quel est l'avenir d'une société qui ne fais plus d'enfants?.......
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Hello Mes enfants sont à l'école, francophone, bien sûr, dans un village de l'Estrie. L'anglais y est enseigné dès la troisième année, comme en France, d'ailleurs. Un peu plus rapidement qu'en France, cependant ,car le niveau de ma fille qui vient de terminer sa première année d'anglais est nettement supérieur (au moins pour l'oral et le vocabulaire!) à ce qu'à pu être le niveau de ses ainés au même age ! Ma fille de 11 ans, qui passe en sixième année, a était acceptée dans la classe d'anglais intensif ( proposé au sein de l'école francophone , je le rappelle) : les 5 premiers mois, les cours seront dispensés en en français, et tout le reste de l'année se passera en anglais. En secondaire, l'anglais est considéré comme une matière principale, comme français et math. L'enfant peut avoir des cours de rattrapage d'été dan ses trois matières. Le test d'anglais de l'examen final a le même coèfficient que celui de math ou français. Et j'ajoute que le niveau exigé est plus élevé que celui exigé en France au même age. Donc, un enfant suivant une scolarité normale au Québec, sortira du système avec la capacité de s'exprimer, de lire, de regarder un film, bref, de communiquer en anglais. Voilà, tous ça pour dire que les écoles ici ne me semblent pas complètement obtues, et comme toutes les écoles occidentales, ont fait entrer l'anglais dans leurs matières enseignées. Sans pour cela en faire tout un plat Amicalement
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Salut Zazie. Je suis contente d'avoir lu ton joli texte. Difficile de tirer les informations essentielles d'une année qui fourmille d'évenements divers, de haut et de bas, de bons et de mauvais moments. Tu as bien fait de contre-balancer ta vision positive d'une mise en garde contre les "lunettes roses" qui risquent de faire chuter plus d'un optimiste ! Mais malgré tout, ton bilan et sa conclusion doit en encourager plus d'un....! Et c'est vrai que la vie ici, une fois surmonté le "choc" de l'arrivée et du démarrage plus ou moins difficile de la vie sociale, vaut vraiment la peine que l'on s'est donnée pour arriver là. Bravo pour ton allant et ta vision claire et enthousiaste. A trés bientôt , j'espère. Marie-Laure