Puisqu'on est dans la nostalgie, j'écoute Radio Caribou et je me lance tout en écoutant... Après 3 an et demi quasiment, je peux dire sans problème bien sur qu'il y a eu des moments de nostalgie au sujet des racines, de moments particuliers, de lieux particuliers, mais je pense que je peux les compter sur les doigts des deux mains, peut-être même d'une seule main !! Ok, tu cites l'USAP, alors je dirai que j'ai eu un coup de spleen en écoutant il y a 2 ans la bronca d'Aimé Giral a la radio sur internet a fond.... la chair de poule de les entendre tous pousser derrière les joueurs.... mais c'est plus qu'un stade... que du sport, c'est un symbole des racines, d'un peu de toi que tu laisses derrière... ou plutot que tu amènes avec toi ici, en coupant une racine.... et un coup de spleen donc en écoutant 10 000 personnes scander UUUUUSAP UUUUSAP (tu comprendras ce que je veux dire)..... un coup de spleen en 2002 a la bilbiothèque en feuilletant un livre photo de la Cote d'Azur.... juste 3-4 ans la-bas, mais intense, beaucoup de choses en peu de temps.... il y avait de belles photos de différents coins que j'avais visité, ou j'avais profité de la vie... un coup de spleen côté famille bien sûr.... mais curieusement lors du décé de mon grand-père, je n'ai pas eu de nostalgie de la famille, de la peine oui, beaucoup, de la colère aussi, colère de ne pas être là-bas pour son enterrement (mais je suis allé lui "parler" a Noel 2003)... mais pas de nostalgie... Mais j'avoue que c'est très passager, ca surgit comme cela, et que cela n'est pas forcément lié a un coup de dépression (je dirai même que durant ma dépression qui se termine pas mal, enfin je pense là, ca semble pas mal ca, j'ai pas eu de coup de nostalgie de la France.. enfin je tente de me souvenir, mais ca me semble pas...).... la comme-ca, je dirai que cette nostalgie ne me semble pas porteuse de quelques chose de vraiment plus profond... qu'en pensez-vous ? C'est vrai que ce que tu dis sur le partage de RÉFÉRENCES COMMUNES, de moments communs est fort.... je me souviens de quelques fois ou je mangeais en ville, seul, dans la ville souterraine... je regardais le monde et me disait que je trimbalais ma vie et mes souvenirs dans ma tête, et que chacun devant moi, la, plus loin, avait sa vie et ses souvenirs en lui aussi.... et faisait face a sa façon a des nostalgies potentielles.... Lapin, 18-16 le week-end dernier