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Tout ce qui a été posté par Nicolas
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Bouh c'est plutôt les bisons qui l'intéresse, pas les Joey
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Le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crèmière c'est ça ? Faudrait-il déjà savoir ce que tu fais en tant qu'ingénieur... mais je sens que les réponses vont se limiter à Montréal, voire Québec...
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C'est quoi ta fourchette de prix pour les 4 et 1/2 que tu as vu à Montréal ? Potable bien sûr.
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Ouais ça c'est un truc que je trouve bizarre, que tu sois obligé de te syndiquer. Ou disons plutôt que c'est une pression du syndicat pour que tu te syndiques non ?
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http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/a...712-112830.html Selon Statistique Canada Les Canadiennes attendent plus longtemps pour fonder une famille Presse Canadienne (PC) 12/07/2005 11h28 Les Canadiennes attendent plus longtemps qu'avant pour fonder une famille. Il y a deux décennies, les trois quarts des mères canadiennes ayant donné naissance avaient moins de 30 ans. Or, selon Statistique Canada, près de la moitié des femmes au Canada qui ont donné naissance à un enfant en 2003 étaient âgées de 30 ans et plus. À l'échelle nationale, en 2003, 48 pour cent des mères étaient âgées de 30 ans et plus à la naissance de leur enfant tandis que 52 pour cent avaient moins de 30 ans. Toutefois, en Ontario, 54 pour cent des mères étaient âgées de 30 ans et plus, alors qu'en Colombie-Britannique, la proportion était de 53 pour cent. Au Nunavut, à l'opposé, plus des trois quarts (77 pour cent) des femmes qui ont donné naissance à un enfant dans ce territoire avaient moins de 30 ans. L'âge moyen des femmes qui ont donné naissance à un enfant au Canada en 2003 était de 29,6 ans, ce qui s'inscrit dans une tendance à la hausse qui persiste depuis longtemps. Il y a deux décennies, l'âge moyen était de 26,9 ans. Au Québec, l'âge moyen était de 29,2 ans en 2003. Au total, 335 202 bébés sont nés en 2003 au Canada, un chiffre en hausse de 1,9 pour cent par rapport à l'année précédente. Le taux brut de natalité, c'est-à-dire le nombre de naissances vivantes pour 1000 habitants, est passé à 10,6 en 2003. On assiste à une légère amélioration par rapport au creux sans précédent atteint en 2002. En 2003, le nombre de naissances a augmenté dans toutes les provinces et dans tous les territoires, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, en Nouvelle-Écosse et au Yukon, où de légères baisses ont été observées.
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Ca manquait un bon sujet qui-fout-la-merde sur ce forum http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/a...712-160212.html Selon un rapport Le Québec toujours le plus syndiqué en Amérique du Nord Presse Canadienne (PC) Lia Lévesque 12/07/2005 16h02 - Mise à jour 12/07/2005 16h08 Le président du Conseil du patronat du Québec, Gilles Taillon, attribue cette plus imposante présence syndicale au Québec d'abord à «la composition de notre économie». Archives TVA Malgré une légère baisse du taux de présence syndicale en 2004, le Québec continue d'être la région la plus syndiquée en Amérique du Nord. C'est ce qu'a constaté la Direction de la recherche et de l'évaluation du ministère québécois du Travail, qui vient de rendre public un rapport d'une vingtaine de pages sur l'évolution de la présence syndicale au Québec. Il en ressort que le taux de présence syndicale au Québec a atteint 40,2 pour cent en 2004, en baisse par rapport au taux de 41,5 pour cent de 2003. Pourtant, depuis 1999, le taux de présence syndicale au Québec n'avait cessé de croître d'année en année. Il avait atteint son sommet en 2003, avec 41,5 pour cent. Le taux québécois global de 40,2 pour cent en 2004 se compare à des taux de présence syndicale nettement moindres en Ontario, soit 27,9 pour cent, dans le reste du Canada, 31 pour cent, voire aux États-Unis: 13,8 pour cent. Dans ces quatre cas, le taux de présence syndicale a baissé entre 2003 et 2004. Le rapport identifie quatre secteurs d'activité qui ont le plus contribué à la baisse du taux global de présence syndicale au Québec à plus long terme, entre 1997 et 2004, soit la fabrication; les administrations publiques; les services d'enseignement; l'hébergement et les services de restauration. À l'opposé, deux secteurs ont contribué à freiner cette baisse, soit les soins de santé et l'assistance sociale, de même que la construction. Réaction Le président du Conseil du patronat du Québec, Gilles Taillon, attribue cette plus imposante présence syndicale au Québec d'abord à «la composition de notre économie, plus secondaire que tertiaire» comparativement à d'autres économies. Le Québec abrite beaucoup d'entreprises de transformation, de fabrication, bref du secteur manufacturier, où il s'agit de grandes entreprises avec beaucoup de travailleurs, souvent syndiquées, explique-t-il. M. Taillon souligne également que l'industrie de la construction est plus syndiquée au Québec qu'ailleurs au Canada. Le même phénomène existe pour l'administration publique, note-t-il. Finalement, M. Taillon cite un autre «facteur facilitant» propre au Québec pour expliquer ce haut taux de présence syndicale: le fait qu'il y soit plus facile qu'ailleurs de se syndiquer. «Ca joue sûrement», croit-il. Le processus de syndicalisation au Québec est en effet basé sur un système de signatures de cartes d'adhésion à un syndicat.
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Normal c' est pour pas choqué les religions mulsumane et juive. ← Le jambon vient pas du cochon ?
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Okidou Pour les îles de la Madeleine c'est trop loin (pour l'Instant), j'ai encore pleins de beaux coin à visiter par ici
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Toutefois j'ai failli être agressé par les escargots
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Ca veut dire quoi comme cochonnerie en québécois le frigo ? Je suis pas sûr de vouloir voir ton frigo
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Pour moi la plus belle chanson québécoise restera celle de Patrick Zabé, Agadou dou dou pousse l'ananas et mous le café
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Vous stressez pô... végétarien ou carnivore vous pouvez vous faire shooter par une voiture demain, mourir dans un attentat, etc... moi j'ai connu une dame qui mangeait bien qui fumait pas qui buvait pas et qui est morte d'un cancer à 40 ans
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En tout cas si tu mets du OFF REGIONS SAUVAGES tu es sûr que tu auras aucun français qui t'approchera
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Théoriquement ce que tu cites n'est plus supposé se produire (en Europe en tout cas) puisque c'est considéré comme de l'anti-jeu et sanctionnable par un carton jaune.
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J'me doutais pas que Boris était le genre de gars à être abonné à Châtelaine
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On veut pas savoir ce que tu fais avec OliveJuju
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Pour casser la yeule des Ottawaïens ?
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C'est bizarre... vraiment bizarre, si c'était en Ontario j'aurais pu comprendre (question de taxes) mais si c'est à Gatineau... ils racontent des menteries sur leur marge de 0,05 alors Ou en Ontario ils négocient mieux...
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http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/arc...712-090445.html Attention à la tête de vos enfants ! Le soccer est plus dangereux que le football Monelle Saindon -Journal de Montréal 12/07/2005 09h04 Les enfants risquent plus de se blesser gravement à la tête ? voire de subir une commotion cérébrale ? en jouant au soccer qu?en jouant au football. Le soccer n?est absolument pas un sport plus doux que le football ou le hockey, comme on l?a cru longtemps de ce côté-ci de l?Atlantique. Des études récentes ont clairement démontré que les taux de commotions cérébrales et de blessures à la tête sont comparables pour les trois sports (environ 10 % de toutes les blessures). Mais ce qui est encore plus inquiétant, c?est que le soccer serait particulièrement dangereux pour les enfants. «Tout d?abord, les joueurs de soccer sont mal équipés pour affronter les collisions inhérentes à leur sport», explique le Dr Scott Delaney, urgentologue et membre de l?équipe médicale sportive de l?Université McGill, qui soigne les joueurs de l?Impact et des Alouettes. «Contrairement aux joueurs de football, qui portent des protections coussinées et un casque, les joueurs de soccer n?ont rien pour les protéger sur le terrain «Aussi est-ce catastrophique, quand un jeune joueur de soccer reçoit un coup à la tête. Non seulement il n?a pas de casque, mais en plus les os de sa boîte crânienne sont encore trop fragiles pour remplir leur rôle de protecteurs du cerveau. «De plus, le cou des enfants, comme celui des femmes, n?est pas très puissant. Les chocs à la tête sont donc moins amortis », ajoute le Dr Delaney. Le port du bandeau protecteur Le Dr Delaney prône donc le port du bandeau protecteur au soccer, un serre-tête coussiné que la star de l?Équipe nationale canadienne, Charmaine Hooper, a commencé à populariser au pays au cours de la saison dernière. «Quand j?ai vu le protège-tête de Joy Fawcett, je me suis approchée pour le toucher et j?en ai tout de suite voulu un pour réduire mes risques de blessure», a déclaré Hooper, racontant sa découverte du protège-tête Full90 de sa rivale et amie, la championne olympique américaine. La fille du Dr Delaney, Molly, et son copain William Walsh, âgés tous les deux de six ans, sont aussi des adeptes du protège-tête au soccer. Molly joue avec les Red Dragons et William, avec les Green Hornet?s, deux équipes de l?Association de soccer de Montréal-Ouest. «Il faudra sans doute attendre qu?un drame se produise pour que les professionnels s?y mettent, mais il est très urgent de protéger les enfants tout de suite», insiste le Dr Delaney. Limiter les jeux de tête Dans un document présenté à l?Académie canadienne de médecine du sport, le docteur recommande par ailleurs de limiter les jeux de tête chez les jeunes joueurs de soccer et de les interdire chez les très jeunes. Quand l?anatomie des jeunes est suffisamment développée, que leur cou et leur boîte crânienne sont plus forts, on peut alors enseigner les bonnes techniques de jeu de tête, dans un cadre supervisé. Ces jeux de tête, exécutés correctement, peuvent réduire la puissance des coups portés au cerveau. Il faut également bien choisir le ballon du jeune joueur de soccer, en fonction de son âge et de sa taille, conseille encore le médecin chercheur, passionné de sport. Les ballons de soccer sont offerts en différents formats. Les plus petits sont plus légers et plus faciles à manipuler pour les enfants. On doit cependant faire attention au gonflage excessif du ballon, ce qui peut constituer un facteur de risque de maux de tête ou de commotions. Reconnaître une commotion cérébrale Le docteur Scott Delaney préconise de plus une campagne d?information auprès des parents afin qu?ils sachent reconnaître les symptômes d?une commotion cérébrale. «La personne souffrant d?une commotion cérébrale ne perd pas toujours conscience», souligne-t-il, à l?intention de nos lecteurs. «Des nausées, des étourdis-sements, des vertiges, des pertes de mémoire ou encore des changements dans le comportement peuvent indiquer qu?il y a traumatisme crânien.» Dans un tel cas, il faut empêcher l?enfant de retourner au jeu et voir un médecin immédiatement afin de prévenir l?aggravation de la blessure cérébrale. «Une commotion, c?est quand le cerveau se fait brasser et qu?une de ses parties arrête de fonctionner correctement», illustre le Dr Delaney pour bien faire comprendre aux parents la gravité de cette blessure et l?importance de la prévenir. Les professionnels mieux préparés Le spécialiste en médecine sportive d?urgence ajoute que les professionnels du sport sont beaucoup plus protégés que les jeunes amateurs contre les blessures à la tête. Les pros, rappelle-t-il, sont mieux renseignés et préparés ; ils connaissent les bonnes techniques et, dans plusieurs sports, disposent d?un équipement protecteur à la fine pointe de l?efficacité. «Les joueurs professionnels de football, par exemple, font des exercices pour renforcer la musculature de leur cou, ce qui ajoute à la protection conférée par le port d?un casque bien ajusté», souligne le Dr Delaney. «La plupart des jeunes amateurs de football ne savent même pas qu?il est important d?ajuster la pression d?air dans leur casque pour bien protéger leur tête !» Le Cirque du Soleil, exemplaire Enfin, en matière de prévention professionnelle des blessures cérébrales, le Dr Delaney fait l?éloge du Cirque du Soleil. Cet autre célèbre client est, assure-t-il, exemplaire. «Le Cirque a considérablement réduit les risques de blessures à la tête chez ses gymnastes grâce à des planchers spéciaux, à des harnais et à toutes sortes d?équipements protecteurs innovateurs», indique-t-il.
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http://www2.canoe.com/artsetculture/actual...712-101701.html 12/07/2005 - 10h17 Musique La chanson préférée des Québécois est... Jean Lapointe et Raymond Lévesque en 2001 La chanson préférée des Québécois est le classique de Raymond Lévesque Quand les hommes vivront d'amour. Elle a à tout le moins remporté le titre de meilleure chanson québécoise de tous les temps dans le cadre d'un concours organisé par le Mouvement national des Québécoises et Québécois. Gilles Vignault a raflé les deuxième et troisième places avec Gens de mon pays et Mon pays. À elles seules, ces trois chansons ont obtenu près de la moitié de la faveur populaire. Le concours Un Air de fête s'est déroulé du 13 mai au 30 juin, dans le cadre de la Fête nationale du Québec.
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C'est sympa de vous voir Ca avait l'air bien beau là où vous étiez FortSympa, tu as des cheveux gris ou c'est le soleil ? On vieillit hein
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C'eut été à Québec, le prix en tant que tel est assez intéressant (parce que tout compris). Après ça dépend de l'allure du logement et l,environnement
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Ouais François il aura une carte si on le revoit Il me semble avoir vu un message de lui y'a une semaine environ...
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Proposition de sujet a traiter sur F-Caribou
Nicolas a répondu à un(e) sujet de MR_Nice_Guy dans Québec
http://www2.inforoutefpt.org/guide/det_pro...5264&QRegion=13 C'est ça que tu fais comme formation ? -
Baloo baloo baloo... quand une idée est bonne on la donne pas... Pas avant d'avoir sorti son propre bouquin Tu me donnes l'adresse de ton éditeur faudrait que je lui parle ?


