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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Moi j'ai tout reçu en avril ... et même situation que toi, moi "pauvre immigrant rejeté en région" et ma blonde québecoise. Les courriers avec chèques du Québec et du Canada ont été espacés de 2 semaines tout au plus. Donc ton statut d'immigrant n'a rien àvoir dans l'histoire, désolé ... C'est pour ça que j'ai écrit primo-immigrant Tous ceux concernés en sont à leur première déclaration d'impôt, ce qui n'est pas ton cas :haouais: Ou alors c'est une coïncidence qu'il y ait du retard pour ceux qui en sont à leur première déclaration ? De toute façon il me semble qu'une fille sur le forum avait téléphoné et qu'on lui avait dit que c'était une cellule spéciale qui s'occupaient des nouveaux arrivants.
  2. Justement les plus stressés sont à Montréal, c'est vrai qu'à Québec on se sent moins étouffé. Et dans les bécosses du lac Kénogami tu te sens encore plus zen Rien qu'en arrivant sur l'île de Laval, c'est flagrant, les gens roulent comme des malades et la population automobile est bien plus importante. C'est comme ça que je sais que j'arrive à Laval. Mais bon 30% de stressés c'est pas si mal, ça fait 70% de gens zen.
  3. T'inquiète pas t'es pas la seule. J'ai reçu des nouvelles du Canada mais rien du Québec. Et ça a juste à voir avec le fait qu'on soit immigré (voire primo-immigrant) vu qu'on a posté en même temps notre déclaration mon épouse et moi et pour elle c'est traité depuis un bail. Faut pas être surpris, y'a aucun budget pour les immigrés, c'est toujours comme ça avec les recruteurs militaires, le service après vente est pas terrible
  4. Pour avoir du goût il faut choisir en ayant des connaissances ( lisez les archives http://radio-canada.ca/actualite/lepicerie...xParSujet.shtml ). La SAVOURA est une tomate qui goûte la tomate par exemple. On en trouve même dans les hypermarchés à bas prix (Maxi, genre). Pour les fraises tu as de la grosse américaine toute l'année, mais en juin et juillet tu as la petite fraise du Québec, que tu peux même aller récolter toi-même dans les champs (même dans une banlieue comme Laval), elle ne sera pas beaucoup moins cher qu'en magasin mais tu peux en manger à l'oeil en les cueillant :ravi: Bref, c'est comme en France, faut toujours trouver le bon produit mais il n'est pas plus inaccessible.
  5. Bah des Québécois ont une vision romantique (ou pas ) de la France et des Français mais les Français (expatriés un peu, non expatriés beaucoup plus) ont aussi une vision romantique du Québec et des Québécois. C'est toujours le problème de l'amour romantique, avec les années ça se tasse
  6. J'ai pas encore renouvelé mes lunettes mais lorsque j'avais fait une mission de client mystère chez Newlook (réputés assez cher quand même), si je reprends des verres fins avec anti-reflet incassables c'est effectivement pas loin du 200 à 300 dollars par verre (ce me semble). Je sais pas si j'ai tort de le penser mais pour moi les opticiens c'est encore pire que des vendeurs d'auto d'occasion. Je n'ai peur de personne en minoune-davidson :niark1:
  7. Nicolas

    travailler au quebec

    Ca dépend de ce que tu entends par cuisine québécoise. Celle des grands chefs ou celle plutôt familiale et simple (paté chinois, club sandwich, tourtière, fèves au lard, etc.). Mais a priori, c'est pas l'emploi qui manque en restauration ici (par contre c'est un autre débat de dire qu'il y a trop de restaus ou pas au Québec ). En tout cas tu seras jamais au chômage dans le secteur de la restauration, mais c'est pas forcément super bien payé notamment parce que les prix sont serrés ici.
  8. Et le JDQ en rajoute une couche aujourd'hui : http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...614-083803.html Accueillir des immigrants dans les villages Les «pure laine» sont loin d'être prêts Karine Gagnon - Le Journal de Québec 14/06/2006 08h38 «C'est farfelu de penser à intégrer des immigrants dans un milieu aussi fermé et cohésif que peut l'être un village, parce que les gens doivent d'abord être prêts à accueillir les nouveaux venus et que des mentalités, ça ne se change pas du jour au lendemain.» Originaire lui aussi de la Belgique, Jacques Vandersleyen, consultant et enseignant qui habite Pintendre, en banlieue de Lévis, s'est dit peu étonné d'apprendre qu'une famille belge se dise victime de xénophobie, à Saint-Magloire, dans Bellechasse. La famille en question, les Trusewicz, a répondu à l'appel «de la grande séduction» menée par un comité de bénévoles et la mairie de cette municipalité, tel que rapporté dans la livraison du Journal de samedi. Elle a emménagé à Saint-Magloire, il y a un an, et n'est pas parvenue à trouver de la clientèle pour sa résidence pour personnes âgées. Les Trusewicz affirment que ce sont les fausses rumeurs et les méchancetés qui circulent à leur sujet qui en sont responsables, ce qu'ont vivement démenti les autorités municipales et les bénévoles engagés dans le comité d'accueil des nouveaux venus. La sortie de ces immigrants a d'ailleurs suscité de nombreuses réactions, certains ex-citoyens du comté ayant signalé les difficultés qu'ils ont vécues eux aussi à s'y intégrer. Pas prêts Selon M. Vandersleyen, chargé de cours à l'Université du Québec à Lévis et à Rimouski, il est clair que la xénophobie existe et «que c'est absolument crapuleux dans les petits milieux». «Si ces villages se sont vidés, estime-t-il, c'est parce que ces gens ne se sont pas renouvelés et qu'il n'y a jamais eu de grande diversification. Là, ils sont aux abois et veulent accueillir des immigrants, sauf qu'ils ne sont pas prêts à le faire. «Même mon fils, pourtant né ici au Québec, en est victime et se fait traiter encore aujourd'hui de fils de sale immigrant, témoigne M. Vandersleyen. Je reste persuadé que de faire venir des immigrants au Québec est une erreur de stratégie de la part des gouvernements tant québécois que canadien», signale cet enseignant. «Le filtre de l'exclusion jouera davantage en faveur du rejet que de l'intégration. A-t-on dénombré la quantité d'ingénieurs et de médecins qui font du taxi pour gagner leur vie parce que leurs compétences ne sont pas reconnues. Il faut préparer les gens d'ici avant de penser à accueillir des immigrants, sinon ça ne mène à rien.» Salaire minimum Lui-même doit encore se battre pour voir ses compétences reconnues. L'été, malgré sa maîtrise en gestion de l'Université du Québec et son expérience comme consultant ferroviaire à l'étranger, il doit encore aujourd'hui se tourner vers des emplois de plongeur dans des restaurants. Il gagne alors le salaire minimum et travaille de nombreuses heures. «J'ai même dû m'exiler en France pendant trois ans parce que c'est là que j'ai réussi à trouver un emploi, raconte-t-il. Mes compétences y étaient reconnues plus qu'ici, ce qui n'est pas normal, je pense.»
  9. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...614-074003.html Stressé? Vous avez dit stressé? Éric-Yvan Lemay Le Journal de Montréal 14/06/2006 07h40 - Mise à jour 14/06/2006 10h09 Une enquête de Statistique Canada indique que c'est au Québec et en ville qu'on est le plus stressé Le Québec est plus stressé que le reste du Canada, selon une enquête de Statistique Canada. Une situation particulièrement vraie dans la région métropolitaine. Selon les données de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes 2005, pas moins de 1 536 465 Québécois disent vivre un stress assez intense chaque jour, un taux de 26%. Pour le reste du pays, la moyenne est de 23,2%. La vie des grandes villes semble plus propice au stress puisque Montréal et ses banlieues affichent un taux alarmant de plus de 27%. Seule l'Outaouais dépasse ce chiffre avec 28,3% de la population qui se dit stressée. «Si on compare Montréal et Toronto (27,3%), on a des données équivalentes. Les petites villes sont traditionnellement moins stressées», dit le psychologue André Soulières, coauteur du livre Au secours, les pistons vont sauter. Pire en banlieue Aussi surprenant que cela puisse paraître, le stress est légèrement supérieur en Montérégie et Lanaudière, qui regroupent les banlieues autour de Montréal. «On voit les gens klaxonner et partir rapidement sur les lumières», analyse André Soulières. Selon lui, il y a toutefois un risque pour la santé publique d'avoir un taux aussi élevé de stress. «Ça a un impact sur la santé mentale, comme le burn-out, mais aussi sur la santé physique. Une personne stressée a souvent un système immunitaire moins résistant et va attraper plus facilement des infections», dit-il. Relax en régions éloignées Paradoxalement, certaines régions éloignées comme le Nord-du-Québec et la Côte-Nord sont beaucoup plus calmes avec des taux de 18%. D'ailleurs, au Québec, pas moins de 14,4% disent ne ressentir aucun stress, soit plus que la moyenne canadienne de 12%. «Pour y arriver, il faut se donner des règles. Par exemple, dans mon cas, je refuse obstinément de répondre instantanément à mes courriels», explique André Soulières. Selon lui, la rapidité des moyens de communication risque d'accentuer le nombre de personnes stressées. «C'est inévitable. À moins de mettre son pied à terre et de se fixer des limites», conclut-il. L'enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes a été faite auprès de 130 000 personnes partout au pays, dont 27 000 au Québec. Réalisée tous les deux ans, c'est la plus grande consultation de Statistique Canada après le recensement. Elle permet de connaître l'état de santé dans toutes les régions du pays. Les femmes du Nord-du-Québec sont particulièrement résistantes au stress puisque seulement 14,3% disent ressentir un stress assez intense quotidiennement. «Il faut mettre son pied à terre et fixer des limites.»
  10. Non elle l'avait déjà dit (ce qu'elle cache c'est plutôt ses extras gagnés dans les bars de danseuses :elendil: ). Mais elle a jamais voulu me "faire un prix" donc je suis jamais allé la voir :heu1:
  11. Sinon tu choisis Peanut. :ravi:
  12. Quand tu fais une demande pour le Québec tu es acceptée par le Québec ET le Canada, et tu n'es pas obligée d'aller juste au Québec. Par contre si tu veux aller ailleurs au canada tu peux juste faire ta demande au Canada, je sais pas si c'est plus court par contre. Une bonne âme te le dira sans doute
  13. Je pense que c'est un peu partout dans n'importe quel pays, c'est culturel chez l'Homme d'être un peu effrayé par l'Etranger. Sans doute que selon les communautés on est plus ou moins ouverts. D'ailleurs on vante souvent la simplicité et l'abord facile par le Québécois. Dernièrement je me baladais dans une minuscule vente de garage et alors que je parlais à un vendeur une madame qui passait là m'a sauté dessus gentiment parce que je parlais avec un accent (sa fille a émigré en France à cause d'un Français ). Ca se peut qu'il y ait des ploucs à Saint-Magloire comme dans des quartiers huppés de Montréal. En 2002 j'étais allé dans un BB d'un quartier chic anglais de Montréal (me souviens plus du nom) et le Québécois francophone montréalais pure laine niaisait (certes gentiment) mon épouse parce qu'elle avait toujours vécu à Laval, et pour lui Laval c'était la "campagne" (ie les ploucs ) parce qu'à son époque c'était juste des champs. De toute façon c'est bien connu qui si on cherche dans sa vie l'anonymat on va pas dans les bleds paumés on va dans les grandes villes où l'indifférence est plus importante.
  14. Assez insolite comme nouvelle :biohazar: http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...613-172721.html Harper s'excusera auprès des Canadiens d'origine chinoise Presse Canadienne (PC) 13/06/2006 17h27 Le premier ministre Stephen Harper présentera la semaine prochaine des excuses aux Canadiens d'origine chinoise qui ont été obligés de payer une taxe spéciale pour émigrer au Canada aux siècles derniers. Le premier ministre présentera ces excuses le jeudi 22 juin au nom du Canada lors d'une déclaration à la Chambre des communes. Les citoyens d'origine chinoise s'attendent à ce que ces excuses soient accompagnées d'une compensation financière. Ils espèrent au moins 20 000$ pour ceux d'entre eux qui ont dû payer le droit d'entrée ou pour leur veuve. On estime que moins de 300 personnes auraient droit à une telle somme. De plus, ils réclament 10 000$ pour chaque famille si l'émigrant d'origine et son épouse sont déjà décédés. Entre 1885 et 1923, 81 000 immigrants chinois ont payé cette taxe d'entrée qui ne visait qu'eux et qui s'est élevée jusqu'à 500$ par personne.
  15. http://service.vif.com/?lang=fr Même si j'habite québec j'ai pris cette petite compagnie montréalaise et depuis plus d'un an aucun souci.
  16. Vu que tout le monde y va de son anecdote Mon épouse qui est Québécoise était allé au Saguenay avec son papa (québécois itou) et ils se faisaient dévisager régulièrement. Ca les a surpris. Puis les gens du coin leur ont dit qu'il n'y avait rien de mal à ça, en fait ils se connaissent tous plus ou moins et quand ils ne t'ont jamais vu ils essaient de voir à quellle famille tu appartiendrais dans la région ! Pour rajouter à l'article que j'ai mis plus haut. dams le journal il y en avait un autre qui interrogeait le maire et les habitants. En les lisant j'ai ressenti comme une sorte d'exaspération à jouer la grande séduction avec tous les nouveaux arrivants. Ils semblaient ressentir comme une insatisfaction perpétuelle des immigrants. Mais bon c'est pas évident à décrypter non plus...
  17. J'ai lu ça cette fin de semaine dans le journal de Québec et canoé le reprend. Il y avait un article supplémentaire où les villageois se défendaient, disant qu'ils avaient fait assez d'effort pour les accueillir. Et dans ce village il y a même une fille de la région de Québec qui disait que son intégration était difficile parce qu'elle venait de Québec ! Ca a pas l'air toujours drôle dans ces petits villages :haouais: http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...613-084330.html Immigrants / Xénophobie Échec de la grande séduction Karine Gagnon Le Journal de Québec 13/06/2006 08h43 Un an après s'être laissée tenter par l'opération «grande séduction» menée à Saint-Magloire de Bellechasse, une famille d'origine belge se sent piégée, se disant victime de xénophobie et de méchanceté gratuite. Théodore et Bernadette Trusewicz, qui habitent le Québec depuis dix ans avec leurs trois enfants de 18, 21 et 23 ans, en ont ras-le-bol. Au bord du désespoir, ce couple regarde ses économies envolées, sa résidence pour personnes âgées jusqu'ici inoccupée malgré 80 000 $ d'investissement emprunté à grands frais, et se sent abandonné. «Nous ne voulons pas partir, mais nous ne pouvons pas rester si l'on ne veut pas de nous», se désole Mme Trusewicz. Ces Belges, qui détiennent la citoyenneté canadienne depuis plusieurs années, se sentent rejetés et disent entendre des ragots à leur sujet. À un tel point que, selon eux, aucune personne âgée n'ose venir s'installer dans leur établissement, pourtant propre et bien aménagé. Située à une centaine de kilomètres de route de Québec, perchée à travers une enfilade d'arbres et de vallons, la municipalité de Saint-Magloire compte actuellement un peu plus de 700 habitants. Depuis deux ans, 54 personnes sont venues s'y établir, grâce aux efforts du comité de survie du village. Parmi ces nouveaux arrivants se trouvaient deux familles d'origine étrangère, dont les Trusewicz. Ces derniers ont découvert Saint-Magloire en furetant sur Internet, où le site de la municipalité faisait état d'une opération séduction dans le but de sauver l'école et éventuellement le village. Peur de l'étranger Le couple a donc contacté la mairie et est venu visiter, l'an dernier. «Nous cherchions à nous lancer de nouveau en affaires après avoir vendu notre station-service à Saint-Fidèle, dans Charlevoix. Nous sommes habitués à recommencer et à nous battre. Il a même fallu le faire pour nous établir au Canada», rappelle la dame. C'est que cette famille a défrayé la manchette, il y a dix ans, lorsqu'elle a été détenue par Immigration Canada pour un dossier criminel de M. Trusewicz, datant de 20 ans et pour lequel il avait été innocenté, ce qui les empêchait d'entrer au pays. Blanchi après un an et demi de démarches, il a pu «entrer par la grande porte» et s'installer avec sa famille. «Nous ne sommes pas du genre à nous laisser vivre, insiste le père de famille, nous sommes des entrepreneurs indépendants qui aimons créer notre entreprise.» C'est ce qu'ils ont fait, à Saint-Magloire, en inaugurant une résidence pour personnes âgées, forts d'une formation de gestionnaires en maisons de repos complétée en Belgique. Coin de paradis «On nous a dit qu'on serait les bienvenus et on a découvert un petit coin de paradis, relate Mme Trusewicz. Mais une fois installés, on subit la peur de l'étranger du village. On n'a pas d'amis, ils (les gens du village) passent de l'autre côté de la rue la tête basse.» Quant à l'autre famille immigrante, un couple suisse avec qui les Trusewicz s'étaient liés d'amitié, ils ont plié bagage le mois dernier. Infirmière à Lausanne, la dame n'avait pu se trouver qu'un emploi de préposée aux bénéficiaires, et lui, agronome, faisait désormais dans l'épandage de purin de porc.
  18. C'est toi qui monopolises la ristourne :heyho: Mais bon Desjardins me proposait un taux plus élevé au motif qu'ils avaient la ristourne, et leur calcul de la ristourne m'a semblé hasardeux et en faisant mes comptes, même avec une haute ristourne, aller ailleurs me faisait plus économiser.
  19. Nicolas

    Méditerranéens au Québec

    De toute façon je l'ai toujours dit, les Québécois sont des floridiens dans l'âme, j'ai jamais entendu autant de gens chialer sur le temps Ton Français regarde Alerte à Malibu pour voir David ? :gna:
  20. Nicolas

    Méditerranéens au Québec

    Tu l'as pas encore rachetée le ranch de David Hassellhoff à Miami bitch ? Moi le temps lyonnais me manque pas il pleut moins ici J'ai jamais vu autant de soleil de ma vie, froid mais beau
  21. Tu pourra même pas aller au dollarama, toi. T'as pas de chance et dire que je me plaignait avec mes 2$ ! Tant pis je m'achèterai un timbre chez Postes-Cadenas :niark1:
  22. Super je viens d'avoir ma ristourne annuelle sur mon compte : 0.66 dollar :haouais:
  23. A Québec il me semble que les 2 ou 3 jours où c'était moins de -20 c'était pendant le carnaval de québec (avec en plus un beau soleil ). Sinon ça a plus tourné autour de -10. Mais bon je trouve quand même ça osé de débarquer en plein hiver. Encore que pourquoi pas si c'est la période d'amour transi des débuts de l'immigration. C'est sans doute mieux que d'arriver en mai et de ne pas avoir trouvé de boulot à l'hiver, là ça peut être plus dur :glups:
  24. Ou sinon tu prends une carte mastercard Canadian Tire (genre ) et si tu gagnes 1% de tes achats faits n'importe où tu accumules de l'argent canadian tire (que je préfère aux boni-dollars desjardins ).
  25. Excellent ce comparatif. Pour malheureusement voir qu'il reste juste la Laurentienne pour 1000 et avec des à côtés pas terribles. Snif.
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