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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Tant que son copain n'est pas en manque de vidéos de Marc Dorcel
  2. Sauf les jeux vidéos sur PC
  3. De toute façon c'est aussi bon pour l'organisme de manger du lait sous la forme de yaourts (natures je veux dire, parce que si y'a lein de surcre rajouté...), qui grâce aux ferments sont digestes.
  4. Nicolas

    voyage en france

    Depuis le Canada (l'inverse n'étant pas vrai) http://www.FlyZoom.com est à l'heure actuelle super compétitif... mais ils sont nouveau sur ce marché... mes beaux-parents arrivent la semaine prochaine je pourrai dire si c'est bien ou pas
  5. Laurence aime pas qu'on remonte les fils qui datent de mathusalem mais c'est celui où il y a eu notamment une bonne discussion sur le Lait, encensé au Québec Par les publicitaires au moins Moi j'attends le résultat de l'étude car je suis sceptique... le lait en tant que tel : non, mais sous forme de produits laitiers transformés, oui !
  6. A dans 18 mois http://www.cyberpresse.ca/actualites/artic...04,731829.shtml Une étude sur les bienfaits du lait à Laval Le Soleil Québec Ramant à contre-courant du mythe actuel qui dénonce le lait comme un facteur d'obésité et une source de gras saturés, des chercheurs de l'Université Laval veulent prouver que, au contraire, les produits laitiers protégent l'organisme humain contre l'hypertension, les maladies cardiovasculaires et le diabète. Une imposante étude de 18 mois sur l'impact du lait a récemment démarré à l'Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF) de l'Université Laval, sous la direction des professeurs Benoit Lamarche et Simone Lemieux et du Dr Sylvie Dodin. C'est la première recherche totalement contrôlée sur ce sujet, disait le Dr Lamarche en entrevue. L'objectif est de démontrer hors de tout doute que le lait peut améliorer l'état de santé de sujets qui sont loin d'être dans une forme optimale. N'en déplaisent à Montignac et aux autres pourfendeurs du lait, les études les plus récentes indiquent que les produits laitiers réduisent de moitié le risque de syndrome métabolique, un état de prémaladie qui mène au diabète et aux maladies cardio-vasculaires. Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil
  7. Nicolas

    Avoir 25 ans à Montréal...

    J'adore la photo du cotonnelle épaisseur triple
  8. Moi je vois régulièrement ALAIN dans la liste des connectés sur le forum Donc au moins je sais qu'il est toujours là. Bah, depuis qu'il est retourné chez lui il a pris la grosse tête et il nous snobe c'est tout
  9. Nicolas

    DCS

    La BNP est réputée pour être une banque de riches il me semble, tu payes plus cher... histoire de payer plus cher
  10. Je vois pas pourquoi on te taperait dessus... il y a des anciens conférenciers du Québec qui ont dit clairement que les Français avaient l'avantage de la langue et de la culture occidentale. Ce n'est pas du racisme tout simplement parce que les Français originaires d'Afrique du Nord (ou d'ailleurs) ne sont pas victimes de discrimination...
  11. Nicolas

    Rions un peu:

    Ben non, mon épouse me confirme que le homard c'est cher... mais comparé à chez nous... http://magasin.iga.net/index_fr.html et tape "homard" 30 dollars le kilo... 120 balles...
  12. Nicolas

    Le gîte au Québec

    Je pensais aussi au forumeur qui demandait une idée de bon plan pour entreprendre au Québec. Si on est bien placé et qu'on est doué pour l'hospitalité ça peut être une bonne idée. Il y a même des B&B qui se rachètent, mais il faut être à la hauteur des prédécesseurs car ça marche beaucoup au bouche et à oreille. Moi j'en connais un en plein centre ville de Québec, pas cher et super beau et je ne donne pas l'adresse
  13. Nicolas

    DCS

    C'est pas super clair tout ce que tu dis... Déjà un chèque de banque en dollars canadiens ça peut ne pas coûter cher (dans les 7 euros à La Poste). Ca dépend de chaque banque ! Quand aux papiers à certifier... ça dépend de ce que tu fais certifier. On ne te certifiera jamais une copie de carte d'identité ou de passeport par exemple (car il n'y a que l'original qui compte), ou si on te le fait ça vaut rien Quant à la Cour d'appel... ?!!
  14. Nicolas

    A tout les forumistes

    Eb principe le Canada n'examine ta demande que pour le casier judiciaire et la visite médicale. Si tu as passé du temps à l'étranger ils peuvent avoir envie de te voir pour te questionner, a fortiori (?) si tu n'as pas eu d'entretien pour le CSQ. Je pense que tu n'as pas à t'inquiéter plus que ça
  15. Je viens de voir ce petit article et j'avoue que les 2 fois où je suis allé à Québec j'ai toujours pris un B&B, quand on a une obnne adresse c'est mieux que l'hôtel, sans comparaison ! http://www.cyberpresse.ca/voyage/article/1...04,725000.shtml Qui sont ces gens qui nous accueillent chez eux? André Désiront collaboration spéciale, La Presse On dénombre actuellement 1575 gîtes au Québec. Chaque année, un peu plus d'une centaine de propriétaires décident de baisser les bras, mais ils sont remplacés par un nombre à peu près équivalent de nouveaux exploitants de bed and breakfast. «Six fois sur 10, ce sont des gens qui se cherchent une activité de fin de carrière: ils ont entre 40 et 60 ans, bénéficient d'une retraite anticipée ou de bonnes économies et ils espèrent pouvoir bénéficier d'un bon revenu d'appoint, en mettant à profit leur sens de l'hospitalité», explique Robert Chiasson, copropriétaire du gîte Moka & Pyjama, à Saint-Irénée dans Charlevoix. «Quant aux autres, il s'agit pour l'essentiel de jeunes couples qui veulent élever leurs enfants ensemble en gagnant leur vie à la maison.» Mais avec une capacité d'hébergement souvent comprise entre trois et cinq chambres, un gîte peut-il s'avérer assez rentable pour permettre à une famille de vivre de ces seuls revenus? «Cela dépend de plusieurs facteurs, observe Robert Chiasson qui, avec sa conjointe, Dominique Lavigueur, donne des cours portant sur le démarrage d'un bed and breakfast. Un établissement situé dans le Vieux-Québec fonctionnera à pleine capacité 11 mois par année, ce qui garantit des revenus à la hauteur de l'achalandage. Par contre, en Gaspésie, où les touristes ne viennent que 10 semaines par année, la rentabilité est vraiment aléatoire. Mais elle dépend également de l'hypothèque de la maison et des investissements engagés pour aménager les lieux. Dans de nombreux cas, il est plus réaliste de considérer les recettes du gîte comme revenu d'appoint plutôt que comme revenu principal.» Le candidats qui se lancent commettent beaucoup d'erreurs. Même forts d'une solide expérience, Robert Chiasson et Dominique Lavigueur n'y ont pas échappé, au milieu des années 90. Ils avaient exploité un bed and breakfast à Waterloo, dans les Cantons-de-l'Est de 1978 à 1983. Après 12 ans d'interruption, ils ont décidé de recommencer, cette fois à North Hatley. «La clientèle avait changé: elle était devenue plus exigeante, dit Dominique Lavigueur. Les hôtes voulaient des salles de bains privées, d'autant plus que nous étions dans un centre de villégiature cossu.» D'ailleurs, cette tendance à exiger plus de confort s'est accentuée. Le nombre de gîtes classés «trois» et «quatre soleils» augmente alors qu'il diminue pour ceux qui n'affichent que «un» ou «deux soleils». Mais la sous-estimation des exigences de la clientèle n'est pas le seul piège dans lequel tombent les nouveaux exploitants. «L'erreur de départ la plus communément répandue consiste à se lancer avec un manque d'informations», dit Robert Chiasson. Chaque municipalité a ses propres règlements, qui sont souvent très contraignants. Ainsi, des gens décident d'acheter une maison pour y aménager un gîte, persuadé qu'ils n'auraient pas de difficulté à obtenir les permis nécessaires, parce qu'il y en a un dans la rue voisine. Mais les caprices du zonage sont tels qu'ils n'obtiendront peut-être pas le permis municipal. D'autres, qui prévoient exploiter cinq chambres, s'aperçoivent trop tard qu'un obscur règlement les limitera à deux chambres. «Plusieurs ministères ont voix au chapitre, sans compter la Régie du bâtiment qui peut imposer des aménagements qui coûteront très cher, dit Robert Chiasson. La règle d'or, c'est de se renseigner avant d'acheter la maison.» La clientèle attache autant, sinon plus, d'importance à la qualité de l'accueil qu'au confort et à l'aspect des lieux. «Les gens satisfaits reviennent, mais surtout ils en parlent, dit Dominique Lavigueur. Quarante pour cent de nos réservations nous arrivent grâce au bouche-à-oreille. L'impact est donc beaucoup plus fort que celui de notre site Internet qui, avec 27% des réservations, est notre seconde source de recrutement de la clientèle.» En 2000, Dominique Lavigueur et Robert Chiasson ont revendu leur maison de North-Hatley, pour aller s'installer face au fleuve, dans Charlevoix. Ils donnent chaque année une demi-douzaine de sessions de cours de formation d'une durée de 15 heures aux personnes intéressées à ouvrir un gîte. Un peu moins de 20% de leurs «élèves» se lancent en affaire dans les mois qui suivent. «La durée moyenne d'exploitation d'un gîte varie de cinq à sept ans», note Robert Chiasson. Passé cette période, la plupart des gens ferment l'établissement. Plusieurs causes peuvent motiver ces abandons. Mais la plus répandue est la lassitude: l'été, surtout, la tenue d'un gîte exige de longues heures de travail et de présence.
  16. Nicolas

    Le base ball

    Au lycée on jouait au base-ball et j'aimais bien taper dans la baballe. Si j'ai bien compris, tu tapes dans la balle pour qu'elle aille le plus loin possible pour que tu aies le temps de faire le tour des "bases".
  17. 21 minutes... c'était pas sympa de leur part de t'interroger le visage écrasé contre l'horloge du mur
  18. Nicolas

    Maudite humidité !

    Oh oui, quand je lisais les journaux intimes webs des Québécois (ça doit bien remonter à 6 ans), ce qu'ils pouvaient être saoûlant avec leur facteur humidex Chialeux moi je vous dis
  19. Nicolas

    Rions un peu:

    faut venir à Bruxelles, alors, il y a de bons restos où on mange des moules frites par contre pour le homard canadien ..... encore quelques mois de patience A mon avis FortSympa au Québec il mangera plus de moules que de homard
  20. Ca craint J'ai pas d'autre conseil non plus... Par contre il y a une question que je me pose, qui ne concerne pas que vous, c'est pourquoi vous faites toutes les démarches de départ sans avoir le dernier papier en poche ? Ca semble risqué je trouve...
  21. Nicolas

    Maudite humidité !

    Nicoco : 37.2° et 80% d'humidité : vous plaignez pas
  22. Nicolas

    Rions un peu:

    Paraît que ça coûte un bras 'Nous font rêver pis voilà
  23. Nicolas

    Rions un peu:

    Moi je serai capable de manger des moules frites 10 jours de suite Je dois avoir une frite belge quelque part Une fibre belge pardon !
  24. Nicolas

    Rions un peu:

    Le rose me va bien au teint je trouve...
  25. Mais moi je t'aime
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