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Tout ce qui a été posté par Nicolas
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On dirait le Sud... lalala... lalala...
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Moi j'arriverais courant février au mieux, mais plutôt courant mars et au plus tard courant avril (je devrais avoir un contrat en France cette semaine qui se terminerait en février, si je l'ai pas je partirai plutôt mais je devrais l'avoir ). J'aimerais bien arriver quand il fait encore froid et pas beau, pour commencer à m'habituer
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J'aurais pas mieux dit... moi je comptais aller à Montréal pour la facilité (et aussi parce que mon épouse est montréalaise donc Québec elle connaît pas trop) et pour divers avantages. Mais je pense que je vais commencer par Québec... et si ça va pas j'irai ailleurs. Pour la même raison... le "mix" (?! ) entre la ville et... tout pleins de choses
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Ah tiens c'est intéressant ça "les" Dudus Vous êtes d'ailleurs peut-être invités pour le futur débat de mercredi de Fréquence Caribou mais c'était un projet de passer par Montréal ? Parce que ça me semble rapide votre passage vers Québec... c'était prémédité ? Je trouve ceci assez rassurant que la population de Québec stagne, je crains les villes qui ne font que s'étendre indéfiniment... les mégalopoles...
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http://www.cyberpresse.ca/actualites/artic...04,806817.shtml La population de Québec chuterait dès 2021 Nicolas Houle Le Soleil Québec La population de Québec ira grandissante jusqu'en 2021 pour ensuite plafonner et décroître, à l'instar des régions à l'est de la Vieille Capitale. C'est ce qui ressort d'une étude de l'Institut de la statistique du Québec qui s'attarde à l'essor démographique des 103 MRC de la province de 2001 à 2026. « Sur 26 ans, on observe une croissance de 3,9 % dans la région de Québec, répartie inégalement sur le territoire, alors que dans l'ensemble de la province, l'augmentation est de 9 %, affirme Normand Thibault, coordonnateur de la démographie à l'ISQ. (...) Toutes les régions à l'est de Québec sont en décroissance depuis plusieurs années et tout indique que ce phénomène pourrait toucher la ville d'ici 15 ans. » Ainsi, la population passerait de 521 000 citoyens en 2001 à 543 000 en 2021, puis à 541 000 en 2026. Le démographe explique ces projections par le fait que Québec doit essentiellement sa croissance à l'immigration interrégionale, soit à des gens qui quittent la Côte-Nord, la Gaspésie, le Saguenay ou le Bas-Saint-Laurent pour s'établir dans la Vieille Capitale. Or, dans chacune de ces régions, le bassin d'habitants se contracte de façon importante, laissant des populations plus âgées qui ne font plus d'enfants. Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil.
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Si ça peut intéresser ceux attirés par la francophonie... à noter pour la petite histoire que Roch Voisine et Natasha Saint-Pierre en sont natifs. http://www.cyberpresse.ca/actualites/artic...04,807002.shtml Nouveau-Brunswick Le boom français de Moncton Huguette Young collaboration spéciale, La Presse Moncton Moncton, petite ville bilingue du Nouveau-Brunswick, se francise à vue d'oeil. Devançant la capitale nationale et sans que cela ne fasse la moindre vague, Moncton s'est déclarée officiellement bilingue il y a deux ans. Et au rythme où vont les choses, il n'est pas impensable qu'elle devienne un jour majoritairement francophone. «Je rêve que d'ici 20 ans, Moncton sera francophone», soupire Louis-Philippe Gauthier, le président-directeur général de BMG Consultants, une société d'experts-conseils établie à Moncton. «Ici, on peut vivre en français... En 2000, on était 34% de la population. Il ne nous en manque pas beaucoup pour dire qu'on sera majoritaire», laisse-t-il tomber. Son rêve n'est pas si irréaliste. Tous les indicateurs démographiques au Nouveau-Brunswick vont dans le même sens. «On peut le regretter, mais il faut bien admettre que Moncton devient le pôle économique numéro un pour la communauté acadienne du Nouveau-Brunswick, déclarait l'homme d'affaires Denis Losier au printemps dernier, lors d'un colloque sur les perspectives économiques de l'Acadie. D'ici 25 ans, il est tout à fait concevable que Moncton puisse devenir majoritairement francophone.» «C'est évident, confirme Francis McGuire, PDG de Major Drilling, la deuxième société de forage minier au monde. La revanche des berceaux s'en vient à Moncton.» C'est le monde à l'envers. Qui l'eût cru? Il y a une vingtaine d'années, Moncton était une ville unilingue anglophone en perte de vitesse à la suite de la fermeture des ateliers du CN. Les rues étaient désertes, les magasins étaient vides et un climat d'animosité empoisonnait les relations entre francophones et anglophones. Le tout, alimenté par l'attitude anti-francophone du maire Jones, qui refusait le moindre service en français aux Acadiens. Politiques industrielles Aujourd'hui, Moncton s'est trouvé une nouvelle vocation. Grâce en partie aux politiques industrielles du gouvernement de Frank McKenna, cette ville a pris un virage technologique. Plus de 30 centres d'appels y ont pignon sur rue. Des petits cafés, des dizaines de PME ont fait leur apparition, le «cachet» francophone est en évidence et les festivals pullulent. Le Festival des fruits de mer de l'Atlantique a attiré Art Smith, chef cuisinier de la vedette américaine du talk-show, Oprah Winfrey, de même que des chefs de la gastronomie française. Cet été, tous les vols Paris-Moncton étaient pleins à craquer, signe de l'engouement pour les festivités du 400e anniversaire de la fondation de l'Acadie. Selon le sociologue Greg Allain, de l'Université de Moncton, qui a étudié le phénomène, la vitalité culturelle et économique de Moncton est indéniable. Elle est attribuable en grande partie à une nouvelle classe d'affaires francophone qui n'a pas «peur de prendre des risques» et à l'arrivée massive des Acadiens du nord de la province. À la recherche d'emplois, jeunes couples et jeunes familles s'établissent principalement dans la petite ville voisine de Dieppe, où résident plus de 80% des francophones. Les écoles débordent. Du jamais vu, Moncton, jadis le théâtre de rivalités entre étudiants francophones et anglophones, hébergera une école secondaire francophone à compter de l'an prochain. Dieppe, a pu constater M. Allain dans ses recherches, est l'une des villes qui affiche un des taux de croissance démographique le plus élevé au Canada. Certes, avec un taux de chômage de 4%, Moncton a le vent dans les voiles et c'est là tout le paradoxe. Car si la grande région de Moncton est en pleine effervescence, cette prospérité se fait aux dépens de la péninsule acadienne où sont concentrés les Acadiens de la province. «Moncton a une vitalité particulière, mais il faut apporter un bémol, poursuit M. Allain. L'un des défis de l'Acadie du Nouveau-Brunswick, et on peut peut-être dire la même chose de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse et de celle de l'Île-du-Prince-Édouard, c'est que la croissance de Moncton est attribuable en partie à l'exode rural des jeunes de la population du Nord-Est...» Prenez le cas de M. Gauthier. Il aurait bien voulu établir son entreprise dans son village de Shippagan, dans la péninsule acadienne. Mais il se trouve mieux à Moncton, dit-il, où de plus en plus de services en français sont offerts, quoique l'affichage dans les commerces laisse à désirer. On assiste, constate cet entrepreneur, à un «déplacement» du poids démographique des francophones du nord vers le sud de la province. Moncton devient une ville intéressante pour les Acadiens, ajoute-t-il, car le respect a supplanté les rivalités entre francophones et anglophones. Or, pour M. Losier, ce défi démographique pose un «obstacle sérieux» au progrès des communautés acadiennes... «Il faudrait être aveugle pour ne pas admettre que la situation est bel et bien déprimante». Des faits alarmants Les faits sont alarmants. La population du Nouveau-Brunswick stagne. Avec Terre-Neuve, le Nouveau-Brunswick est la seule province au Canada à ne pas avoir connu d'augmentation de sa population entre 1999 et 2003. En fait la région atlantique a perdu 2,1% de sa population, alors que l'on accuse un gain de 4% ailleurs. Selon Denis Losier, il y a «urgence d'agir» car les zones rurales sont en perte de vitesse. Dans 10 ans, il sera trop tard, croit-il. Vidées de leur population, les communautés acadiennes du Nord et du Nord-Est perdront leur poids politique. La belle entente qui semble régner entre francophones et anglophones à Moncton serait-elle là si le taux de chômage était à 20%? s'interroge-t-il. Le danger, ajoute de son côté, Jean-Guy Rioux, président de la Société des Acadiens et Acadiennes du Nouveau-Brunswick, c'est qu'on ne pourra plus «maintenir les services d'hôpitaux et de soins de santé dans la péninsule acadienne», où la population vieillissante en a pourtant besoin. Selon lui, il est impératif que la société acadienne se dote d'un plan stratégique de 7 à 8 ans, sujet qui a fait l'objet d'un colloque cette semaine à Moncton. Pour M. McGuire, toutefois, la tendance semble irréversible. «Le processus d'urbanisation qui se passe au Nouveau-Brunswick se passait au Québec dans les années 50 et 60. Il a pris de l'ampleur au cours des cinq dernières années et il va sans doute s'accélérer dans les années à venir. «Les bons Québécois devenaient prêtres, médecins ou avocats et avec la Révolution tranquille, ils sont sortis de cette petite prison pour lancer de grandes entreprises comme Hydro-Québec, enchaîne M. McGuire. C'est la même chose qui se passe à Moncton.» Il ne craint nullement que Moncton devienne un foyer d'assimilation pour les Acadiens du Nord. Pour eux, il n'a qu'un seul conseil: «L'avenir est à Moncton.»
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Non. Il n'y a guère que le "chèque en euros" de la Poste (puisque la Poste ne possède pas de compte en devises donc pas de chèque en dollars canadiens) qui existe en exception. A noter qu'au moins pour le Canada, tu peux payer en espèces en allant à l'ambassade
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midi au quebec, 18 h en france ← Ouais mais en heure Pinottienne on dort encore à c't'heure là
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J'ai pas le temps de lire tous les messages mais il y a quelques mois j'ai signalé une astuce pour la Poste. Déjà le chèque de banque, qui doit coûter dans les 7 euros, sera gratuit à La Poste si tu prends l'argent sur ton compte épargne à partir du moment où le chèque est inférieur à 1000 euros. C'est une astuce d'une personne au guichet de La Poste, qui, elle, s'y connaissait. Elle me l'a dit un peu tard, je venais de prendre l'argent sur mon ccp
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Le flash mob est un rendez-vous passer sur internet, au dernier moment, où n'importe qui doit venir à un endroit déterminé dans les 10 minutes qui suivent... grosso modo
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Il faut faire un "flash mob"... Faites péter les serveurs d'immigrer.com, y'en a qui vont être contents
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J'ai toujours pensé qu'avec un gars comme Phil ça déménageait
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Même pô
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Hihi. Ouais bon pour la petite histoire j'étais en "dégroupage total" avec 9télécom depuis début août et ils sont tellement compétents qu'il ne m'ont mis que l'adsl et je n'avais plus téléphone. Mi-septembre c'était toujours pas réglé donc j'ai repris mon abonnement chez France Telecom ce qui a coupé automatiquement ma ligne adsl. J'ai commandé des identifiants chez Cegetel (pour le bas débit et le haut débit) mais bien sûr ça traîne, d'où mon silence... je pense que d'ici 15 jours je devrais revenir pour de bon, le forum semble si beau avec sa nouvelle formule Tchô les fifilles et les beaux gosses
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Moi aussi il y a 99% de chances (ou de malchances du point de vue d'un Mourialais ) que j'habite Québec Puis l'avantage d'habiter Québec... c'est que dès que tu y loges tu peux t'auto-proclamer "Je suis Québécois", alors qu'ailleurs c'est pas vraiment possible
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Ils sont susceptibles les Québécois ainsi que les Québécois
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Pas de spoiler merci !!! Matante Peanut elle joue le rôle de la caisse de 24, on peut pas la rater
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J'étais sûr que le teasing sur les photos en gros plan de Guillounette allait nous amener du monde
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A voir car il me semble qu'un magasin comme le Dollarama vend plein de petits trucs, à 1 dollar... ça m'a semblé un peu "bazar".
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Sachant qu'un banquier te prête généralement le double de ce que tu peux apporter... ça peut suffire... à voir où
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Ouh la, une Nathalie qui prend le pseudo d'un Yvan... ... je me disais ben qu'il fallait quelqu'un de bizarre pour nous apprécier
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Aux Québécois du forum : perception des Français
Nicolas a répondu à un(e) sujet de Laurence Nadeau dans Québec
Pff, il en faudrait des albums Faudrait que tu sois l'héritière de Québécor -
Il paraît que la rumeur dit que lorsqu'il gagnait, Jacques Villeneuve était Québécois et lorsqu'il perdait il était Suisse Ca me rappelle étrangement une certaine Mary Pierce
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Zut je repasse en 56k demain Vivement que je retrouve l'adsl... je trouvais ça pourri les Bougon au début, mais au fil du temps, ils sont ben attachants Puis j'aime ça voir un téléroman concernant la famille de Peanut, je me sens plus proche d'elle
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Merci pour les stats Laurence Pour moi la lipposuccion c'est pas si pire... c'est pas réellement... comment dire... je sais pas





