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Natha

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Tout ce qui a été posté par Natha

  1. @Manonis Pour répondre à l'exigence canadienne, tu dois fournir une copie certifiée conforme ou assermentée de ton arrêté officiel de titularisation (délivré par ton rectorat après ton année de stage post-CAPES) ainsi qu'une lettre officielle, rédigée par ton chef d'établissement sur papier à en-tête, précisant clairement ton poste occupé, la matière enseignée (histoire-géographie), les périodes d'enseignement avec dates précises, le volume horaire hebdomadaire et une description succincte de tes tâches. La certification des documents peut se faire auprès d'une mairie (si elle accepte), d'un notaire français (option courante), ou d'un consulat canadien en France. Si tu n’as pas été titularisée après le concours, demande une attestation officielle de réussite au CAPES auprès du rectorat, accompagnée d'une lettre explicative sur le fonctionnement particulier du système français (concours national + titularisation après stage), ce qui facilitera l’évaluation par les autorités canadiennes.
  2. Dans la déclaration d'intérêt pour le PSTQ Volet 2, tu devras indiquer précisément toutes tes expériences professionnelles des cinq dernières années, y compris celles à court terme; cependant, les lettres de référence sont généralement exigées uniquement pour l'expérience principale ou pertinente à ta demande, donc tes emplois très brefs (4 semaines ou moins) pourraient ne pas nécessiter de lettres spécifiques, mais assure-toi de les mentionner tout de même pour être transparent. Quant à ton expérience principale comportant des périodes à temps partiel et à temps plein, tu devrais effectivement les présenter séparément, en précisant clairement les périodes et le nombre d'heures travaillées par semaine. Concernant l'expérience acquise durant tes études au Québec, contrairement au PEQ, le PSTQ n'exclut pas cette expérience de travail, donc tu peux la déclarer sans problème (aucune restriction spécifique à ce sujet sur le site officiel du gouvernement). Enfin, pour ton diplôme d’études secondaires étranger, il est généralement recommandé de réaliser une Évaluation comparative des études effectuées hors du Québec (ECEEHQ) afin d'appuyer ta déclaration d’intérêt, même si tu possèdes déjà un diplôme québécois AEC.
  3. @Houly, Oui, votre interprétaton est correcte : le code CNP 72600 appartient au sous-groupe 726, qui est explicitement exclu du Programme fédéral des métiers spécialisés. Même si le groupe majeur 72 est admissible en général, le sous-groupe 726, incluant donc votre profession de pilote (72600), ne l'est malheureusement pas. Dans ce cas, effectivement, il vous reste à envisager le Programme des travailleurs qualifiés (fédéral), ce qui implique une Évaluation des diplômes d'études (EDE). En effet, les délais habituels actuels pour obtenir une EDE sont d’environ 4 à 5 mois, il est donc judicieux de démarrer cette démarche rapidement pour éviter tout retard dans votre projet d'immigration.
  4. @Lamontagne Votre fille pourra effectivement déposer une demande de citoyenneté canadienne dès qu’elle aura accumulé au moins 1 095 jours de présence physique au Canada au cours des 5 dernières années, ce qui inclut son séjour depuis votre arrivée en tant que résidents permanents. Comme elle aura 19 ans au moment du dépôt, elle devra faire sa propre demande, distincte de celle de ses parents. Pour ce qui est des déclarations fiscales, la loi exige uniquement que les personnes âgées de 18 ans ou plus au moment de la demande aient produit une déclaration de revenus pour au moins trois années imposables sur les cinq précédant la demande, si cela était requis en vertu de la Loi de l’impôt sur le revenu. Cela signifie que si elle n’avait pas de revenus imposables avant ses 18 ans, elle n’est pas tenue de produire des déclarations fiscales pour ces années. En revanche, pour l’année de ses 18 ans (2025), même sans revenu, il est recommandé qu’elle produise une déclaration à l’ARC afin d’éviter tout doute sur sa conformité, notamment pour prouver sa résidence fiscale. Les déclarations fiscales des parents ne peuvent pas être utilisées à sa place, mais peuvent aider à démontrer la résidence familiale au Québec. Enfin, la production de la déclaration à 18 ans, même avec zéro revenu, est simple et permet d’établir un historique clair en vue de la citoyenneté.
  5. Natha

    Permis de travail + travail

    @Vanessa2a Votre projet d’établissement durable au Québec, orienté vers le milieu éducatif, est tout à fait réalisable, même à 35 ans, car l’âge n’est pas un obstacle pour l’obtention d’un permis de travail au Canada — sauf dans le cas du programme Vacances-Travail, qui n’est pas votre objectif ici. Pour travailler comme surveillante éducative ou assistante administrative dans un établissement scolaire, il vous faut généralement un permis de travail fermé, lié à un employeur spécifique. La première étape consiste à trouver un établissement scolaire prêt à vous embaucher et à faire une demande d'Étude d'impact sur le marché du travail (EIMT), document que l’employeur doit obtenir pour prouver qu’aucun Canadien n’est disponible pour le poste. Une fois l’EIMT obtenue, vous pourrez demander un permis de travail fermé auprès d’Immigration Canada (IRCC). Certains établissements, surtout dans les régions en pénurie de main-d’œuvre, acceptent les candidatures depuis l’étranger, mais cela reste plus rare que pour les métiers très en demande. Pour maximiser vos chances, vous pouvez viser les centres de services scolaires dans les régions du Québec (hors Montréal), où la demande est plus forte, et consulter des plateformes comme Jobillico, Québec emploi, et Guichet-Emplois Canada, en adaptant votre CV au format québécois. Il peut aussi être pertinent de contacter directement les directions des ressources humaines des écoles ou CPE, voire d’assister à des journées de recrutement virtuelles pour le secteur public québécois, parfois ouvertes aux candidats étrangers.
  6. Natha

    Visa visiteur

    @Claire1984 Ton amoureux, qui prévoit de venir au Québec en octobre 2025 pour une durée de 11 mois dans le cadre d'une année sabbatique, pourra entrer au Canada avec une AVE, mais son séjour sera initialement limité à six mois, comme c’est la règle par défaut pour les visiteurs temporaires. Il pourra ensuite soit faire une demande de prolongation en ligne au moins 30 jours avant l’expiration de son statut (ce qui lui permettra de rester légalement au Canada en « statut maintenu » jusqu’à la réponse d’Immigration Canada), soit quitter le pays temporairement (par exemple en allant aux États-Unis ou en retournant en France) puis revenir pour une nouvelle période de séjour, à condition que l’agent des services frontaliers accepte de le réadmettre. Dans les deux cas, il devra pouvoir démontrer qu’il n’a pas l’intention de s’établir de façon permanente (preuve de congé sabbatique temporaire, ressources financières suffisantes, billet de retour, logement à l’étranger, etc.), car les agents à la frontière ou ceux traitant les demandes de prolongation sont très attentifs à cela. De nombreux témoignages confirment que cette stratégie fonctionne si elle est bien préparée, mais certains voyageurs ont vu leur entrée refusée ou leur durée de séjour limitée s’ils semblaient vouloir « vivre au Canada » sous un simple statut de touriste ; il est donc conseillé d’être prudent dans les déclarations faites à la frontière et d’éviter de parler ouvertement d’un séjour de 11 mois d’emblée.
  7. @Louis_Brousseau Oui, vous pouvez tout à fait accéder au portail RP et confirmer votre présence au Canada dès votre retour, même le jour même, à condition d’être physiquement présent sur le sol canadien au moment où vous remplissez le formulaire. Ce qui est crucial, c’est que votre déclaration soit conforme à la réalité au moment de la soumission : si vous êtes effectivement revenu au Canada, il n’y a aucun inconvénient à répondre immédiatement. Il n’est donc pas nécessaire d’attendre un délai particulier après votre retour, tant que vous êtes bien rentré avant de vous connecter et de soumettre la confirmation.
  8. @JoieMy Le message répété du MIFI sur le délai additionnel requis signifie habituellement que l'examen de ton dossier prend plus de temps que prévu, souvent en raison d'une vérification approfondie ou d'un volume élevé de demandes en traitement. Dans ton cas précis, l'absence apparente du diplôme, malgré ton envoi initial, pourrait indiquer que ton document n'a pas été correctement pris en compte ou que sa validation est en cours par les agents. Je te recommande donc d'appeler directement le MIFI ou d'utiliser leur formulaire en ligne pour confirmer la bonne réception de ton diplôme, demander un suivi précis sur ton dossier, et ainsi clarifier rapidement ta situation. Contexte : L'acronyme IR signifie Intention de Rejet dans le contexte des demandes auprès du MIFI (Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration du Québec). Il s'agit d'une notification que le ministère t'envoie lorsqu'il manque un document ou une information essentielle à ta demande. Cette notification te permet généralement un délai précis (souvent entre 30 et 90 jours) pour fournir les pièces manquantes ou les précisions demandées, sous peine de voir ton dossier rejeté définitivement. Dans ton cas, l'IR concernait ton diplôme, qui semblait manquer malgré ton envoi initial.
  9. Votre venue au Québec en juillet est une excellente opportunité pour avancer sur plusieurs fronts. - Planifiez dès maintenant des rendez-vous. Indiquez clairement à vos employeurs potentiels les dates précises auxquelles vous serez disponibles sur place pour une rencontre en personne. - Inscrivez-vous à des événements, salons d'emploi ou rencontres professionnelles locales qui pourraient avoir lieu durant votre séjour. Le réseautage est souvent la clé pour décrocher un emploi au Québec. En étant physiquement sur place, vous pourrez mieux comprendre les attentes et besoins des employeurs québécois, et ajuster ainsi votre approche et votre discours en entretien. Votre DI ne garantit pas un emploi immédiat mais permet à terme d’obtenir une invitation pour déposer une demande de résidence permanente. Il est donc judicieux de combiner les deux stratégies : - Continuez d’assurer le suivi de votre dossier. S’il aboutit favorablement, cela facilitera votre employabilité en rassurant les recruteurs sur votre futur statut au Québec. - Votre présence physique rassurera les employeurs sur votre sérieux, votre engagement, et facilitera les démarches administratives s’ils souhaitent vous embaucher rapidement (par exemple, via une procédure accélérée ou temporaire avec un permis de travail). Adaptez votre CV aux normes québécoises : CV court (max. 2 pages), concret, axé sur les compétences et les réalisations professionnelles précises. Mentionnez explicitement votre disponibilité pour un entretien physique en juillet dès vos premiers contacts par e-mail ou LinkedIn. Utilisez LinkedIn pour cibler des contacts précis dans des entreprises qui vous intéressent, expliquez brièvement votre démarche et proposez un entretien vidéo en amont pour préparer une rencontre physique en juillet. Sollicitez directement les recruteurs (via LinkedIn, contacts directs) plutôt que de compter uniquement sur Indeed, afin de montrer votre réelle motivation. Poursuivez la DI en parallèle, car c'est une sécurité pour votre projet global d'immigration. Profitez de votre séjour pour accélérer activement vos recherches d’emploi. Si vous obtenez une offre d’emploi, elle peut simplifier considérablement votre démarche d’immigration par l’obtention éventuelle d’un permis de travail temporaire en attendant l’aboutissement de votre résidence permanente.
  10. @Galou Effectivement, le fait de ne pas être physiquement présent au Québec peut représenter un frein pour certaines entreprises. Celles-ci préfèrent souvent des candidats locaux ou déjà titulaires d'un statut légal leur permettant de travailler immédiatement. De plus, la méconnaissance du marché local, des méthodes de travail, ou simplement l’absence d’entretiens en personne peuvent décourager les employeurs potentiels. Obtenir l’évaluation comparative des diplômes est essentiel pour faciliter l’embauche, car elle rassure les employeurs quant au niveau réel de votre formation et sa reconnaissance au Québec. Les employeurs québécois accordent une grande importance à ce document, particulièrement dans des secteurs réglementés ou techniques. Indiquez clairement sur votre CV et lettre de motivation votre projet d’immigration au Québec, précisez le statut de votre démarche (déclaration d’intérêt déposée, démarches en cours). Utilisez LinkedIn activement pour réseauter et contacter directement des employeurs ou recruteurs québécois. Indeed est utile, mais une approche proactive via LinkedIn donne souvent de meilleurs résultats. Ciblez précisément les entreprises ouvertes à l’embauche internationale (souvent les grandes entreprises, secteurs techniques, pénurie de main-d’œuvre : IT, santé, ingénierie). Si possible, proposez des entretiens vidéo pour rassurer les employeurs potentiels quant à votre motivation et disponibilité. Un cabinet spécialisé peut simplifier votre processus administratif, mais n'influence pas nécessairement l’embauche directe. Son utilité réside surtout dans la gestion rigoureuse et sans erreur de votre dossier d’immigration., l’accompagnement pour comprendre les subtilités administratives et juridiques et potentiellement faciliter la communication avec les autorités d’immigration. Cependant, pour obtenir des entrevues d'emploi, la démarche dépend avant tout de votre capacité à rassurer les employeurs sur votre projet et votre disponibilité rapide.
  11. @Jay-Gray Étant titulaire d’un doctorat en écologie ou environnement et résidant actuellement en Afrique, la voie la plus appropriée pour venir au Canada dépend principalement de votre projet précis. Si votre objectif est de poursuivre une carrière académique en tant que chercheuse postdoctorale dans une université canadienne, vous devriez d'abord identifier un superviseur ou un laboratoire canadien intéressé par votre profil, ce qui vous permettrait de demander un permis de travail exempté de l’Étude d’impact sur le marché du travail (EIMT), généralement dans la catégorie C44 réservée aux chercheurs invités ou postdoctorants. Alternativement, si vous souhaitez plutôt obtenir directement un emploi en enseignement ou en recherche hors postdoctorat, vous devrez postuler à des postes ouverts sur les plateformes académiques canadiennes et obtenir une offre formelle d’emploi, ce qui vous permettrait d’obtenir un permis de travail fermé généralement assorti d’une EIMT, sauf exceptions spécifiques. Par ailleurs, si vous envisagez plutôt une installation permanente au Canada dès votre arrivée, il pourrait être judicieux de passer par le système Entrée Express (Programme des travailleurs qualifiés fédéral) ou, si votre destination est le Québec, par le Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ), les deux exigeant d'évaluer votre admissibilité selon vos compétences, votre expérience et votre maîtrise linguistique, mais ayant l’avantage de faciliter une immigration à long terme sans nécessairement avoir déjà une offre d'emploi. Enfin, pour toutes ces démarches, il est crucial de disposer de votre diplôme traduit et authentifié, de résultats de tests linguistiques (IELTS ou TEF), et d’un dossier démontrant votre capacité financière initiale, ainsi qu’un curriculum vitae détaillé adapté aux attentes académiques ou professionnelles canadiennes.
  12. Oui, IRCC peut refuser ta demande de prolongation de permis d’études si tu as déclaré avoir terminé ton programme, car un permis d’études est censé couvrir uniquement la durée des études. Cependant, ce n’est pas problématique tant que tu reçois ta lettre ou ton relevé de fin d’études avant le 15 mai 2025 : tu pourras alors déposer ta demande de PTPD pendant que ton permis est encore valide, ce qui te donnera automatiquement droit au statut implicite jusqu’à la décision. Dans ce cas, tu peux ignorer la demande de prolongation ou même la retirer, car le PTPD prendra le relais légalement.
  13. @Codevals Dans une situation comme la vôtre, où le formulaire A-0527-FO précise qu’il ne doit être rempli que si l’on a été séparé, divorcé ou a des enfants d’une union antérieure — ce qui n’est pas votre cas — il est légitime de penser qu’il n’est pas requis. Toutefois, en raison des réponses contradictoires reçues du MIFI, le plus prudent serait d’écrire officiellement au ministère (via leur formulaire de contact ou par courriel) pour obtenir une confirmation écrite. En attendant cette réponse, vous pouvez soumettre votre dossier sans ce formulaire, mais inclure une courte note expliquant pourquoi vous ne l’avez pas joint, ou, si vous craignez un rejet automatique, remplir le formulaire en indiquant « Sans objet – non applicable » dans les sections concernées, accompagné de votre signature. Pourquoi ce flou ? Le MIFI semble appliquer parfois des contrôles stricts par automatisme ou prévention, mais le texte du formulaire est pourtant conditionnel et explicite : « si vous avez déjà été séparé ou divorcé ou si vous avez des enfants d’une union antérieure ». Ce n’est pas votre cas, donc le formulaire ne devrait pas être requis.
  14. Natha

    Immigration à Montréal

    Ressources utiles: Centre antifraude du Canada Vérification des consultants en immigration Informations sur la prévention de la fraude
  15. Votre question est très pertinente, et elle touche exactement le cœur de l’article 28(2)(a) et (b) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (LIPR), qui encadre les obligations de résidence des résidents permanents au Canada. Rappel juridique essentiel : Selon l’article 28(2)(a) de la LIPR : Un résident permanent conserve son statut s’il a été effectivement présent au Canada pendant au moins 730 jours (2 ans) au cours des 5 années précédentes. Important : Le calcul ne commence pas à la date de l’obtention du statut, mais s’effectue en remontant à partir de la date à laquelle votre statut est évalué — que ce soit : la date de demande de renouvellement de votre carte RP ; ou la date où vous êtes contrôlé à la frontière (ex. : à votre retour). Application à votre situation : Obtention de la RP : 20 avril 2022 Départ du Canada : 22 mai 2022 Retour prévu : décembre 2025 Séjour prévu jusqu’à : décembre 2027 Expiration de la carte RP : avril 2027 ➤ Si vous revenez en décembre 2025 et restez sans interruption jusqu’en décembre 2027 : Vous accumulerez plus de 730 jours consécutifs dans les 5 années qui précéderont votre demande de renouvellement (à faire idéalement fin 2026 ou début 2027). Donc, vous respecterez l’article 28(2). Risques potentiels : Au retour en décembre 2025 : Un agent frontalier pourrait décider d’examiner votre respect de l’article 28. Comme vous n’aurez pas encore accumulé les 730 jours, il pourrait estimer que vous êtes en situation de non-respect à ce moment précis. Toutefois, il a un pouvoir discrétionnaire. Si vous indiquez votre intention de vous réétablir durablement, il peut vous laisser entrer sans mesures. Demande de renouvellement en 2027 : À cette date, vous aurez passé plus de 730 jours au Canada au cours des 5 dernières années → vous serez conforme. Votre carte expirera en avril 2027 : il faudra déposer la demande au plus tard à cette date, mais vous pouvez la déposer avant si vous atteignez les 730 jours (par exemple dès janvier 2027). Conclusion claire : NON, le calcul ne commence pas à la date d’obtention de la RP. OUI, la loi vous permet d’accumuler les 730 jours n’importe quand dans les 5 années qui précèdent la date d’examen (demande de renouvellement ou contrôle frontalier). OUI, votre stratégie est légale et conforme si vous respectez bien les 730 jours avant avril 2027. Recommandation : Conservez toutes les preuves de votre séjour futur au Canada (bail, factures, emploi, etc.). Évitez de voyager à l’extérieur entre 2025 et 2027. Envisagez de revenir plus tôt que décembre 2025 si vous souhaitez plus de marge de sécurité (ex. : novembre 2025 = +30 jours gagnés).
  16. @Langue Il existe plusieurs écoles et instituts réputés pour apprendre le français en ligne depuis le Maroc. Parmi les plus accessibles et fiables, je vous recommande l'Alliance Française (https://www.france-education-international.fr/), qui offre des cours à distance adaptés à tous les niveaux, ainsi que le CNED (Centre national d’enseignement à distance – https://www.cned.fr/), reconnu pour ses formations officielles. Vous pouvez aussi explorer Frantastique (https://www.frantastique.com/), qui propose des leçons courtes et interactives. L’inscription se fait généralement en ligne en remplissant un formulaire et en choisissant un forfait selon votre niveau. N’hésitez pas à me dire votre objectif (études, immigration, travail) pour que je vous guide vers la meilleure option.
  17. @LaghemVous ne serez pas admissible à la citoyenneté canadienne avant l’expiration de votre carte de résident permanent en mars 2026, car vous n’aurez pas cumulé les 1 095 jours requis de présence physique au Canada. Toutefois, votre statut de résident permanent demeure valide même si la carte expire, tant qu’aucune décision officielle ne vous le retire. Si vous restez en continu au Canada depuis août 2024, vous atteindrez les trois années nécessaires vers août 2027 et pourrez alors présenter une demande de citoyenneté. En attendant, vous devrez renouveler votre carte de RP dès que vous aurez cumulé 730 jours de présence (probablement à la fin de 2025), en fournissant des preuves solides de votre résidence. Il est donc crucial de demeurer au Canada sans longues absences, de conserver vos preuves de présence et de suivre vos jours avec l’outil officiel de l’IRCC.
  18. La demande d’annulation de mariage que vous avez déposée auprès de la Cour supérieure peut prendre plusieurs mois à être traitée, souvent entre 6 et 12 mois selon la charge du tribunal et la réponse (ou l’absence de réponse) de la partie défenderesse. Si votre ex-conjoint ne conteste pas la demande, votre avocate pourrait demander un jugement par défaut, ce qui accélérerait le processus. Cependant, l’absence totale de communication de la part de votre avocate après deux mois est anormale, et vous avez pleinement le droit de contacter le bureau d’aide juridique pour demander un suivi ou, si nécessaire, demander un changement d’avocat. N’oubliez pas que, même si vous avez engagé une procédure d’annulation, vous demeurez responsable du parrainage jusqu’en novembre 2024, sauf dans des cas exceptionnels reconnus par Immigration Canada, comme une fraude clairement établie.
  19. Natha

    Délai entre VMF et PPR

    Non, le Programme régulier des travailleurs qualifiés du Québec (PRTQ), désormais remplacé par le Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ), ne fait pas partie du Programme des candidats des provinces (PCP). Le Québec dispose d'une entente particulière avec le gouvernement fédéral lui permettant de gérer ses propres programmes d'immigration économique, distincts du PCP. Ainsi, si vous avez soumis votre déclaration d'intérêt via la plateforme Arrima dans le cadre du PSTQ, vous suivez un processus spécifique au Québec. Après avoir obtenu un Certificat de sélection du Québec (CSQ), vous devez présenter une demande de résidence permanente au gouvernement fédéral, qui effectuera les vérifications médicales et de sécurité nécessaires. Il est important de noter que le PSTQ est actuellement suspendu jusqu'au 30 juin 2025. Cette suspension a été mise en place pour limiter le nombre d'immigrants permanents dans la province. En résumé, bien que le processus d'immigration du Québec partage certaines similitudes avec le PCP, il s'agit d'un système distinct géré exclusivement par le gouvernement québécois.
  20. Malheureusement les délais peuvent vraiment varier d’une personne à l’autre. En moyenne, une fois que tu as soumis les photos et confirmé ta présence au Canada dans le portail RP, il faut compter entre 2 à 8 semaines pour recevoir ton e-COPR, mais certains attendent plus longtemps, surtout si ta demande tombe pendant une période de fort achalandage ou si ton dossier nécessite des vérifications supplémentaires. Si vous avez soumis tout ça depuis le 19 février, ça commence à faire long — je vous conseillerais d’envoyer un message via le formulaire Web d’IRCC pour faire un suivi, surtout si ça fait plus de 10 semaines.
  21. En fait, l’ECORP (ou e-COPR) correspond au courriel que tu reçois quand ta résidence permanente est approuvée, et c’est ce qu’on appelle aussi parfois la "confirmation via le portail RP". C’est différent du PPR, qui s’adresse plutôt aux gens à l’extérieur du Canada et qui demande une copie (ou l’original) du passeport. Pour les Français au Canada, on ne reçoit généralement pas de PPR : on reçoit directement l’ECORP par courriel, qui te demande de confirmer que tu es au Canada, de fournir ton adresse et une photo pour la carte de RP. Ensuite, tu obtiens ton e-COPR dans le portail et ta carte arrive par la poste. Donc oui, tu peux partir du 5 au 8 juin sans souci puisque tu n’auras pas encore reçu l’ECORP, mais surveille bien tes courriels – il faut que tu sois revenu pour pouvoir confirmer ta présence au Canada quand tu le recevras.
  22. Natha

    Délai entre VMF et PPR

    Actuellement, le délai moyen observé entre la validation de la visite médicale (VMF) et la réception de la demande de passeport (PPR) varie généralement entre 1 à 3 mois pour les dossiers Entrée express, mais peut atteindre de 3 à 6 mois dans le cadre des Programmes des candidats des provinces (PCP) ou du Programme de l’expérience québécoise (PEQ).
  23. Tu as bien fait de déposer ta demande de prolongation avant l’expiration de ton permis d’études. Comme tu l’as fait à temps, tu es effectivement en statut implicite, ce qui veut dire que tu peux rester légalement au Canada pendant que ta demande est en cours. Par contre, ce statut ne te donne pas automatiquement le droit de travailler une fois ton programme terminé. Pour le permis de travail postdiplôme (PTPD), la règle est assez stricte : tu peux commencer à travailler pendant le traitement de ta demande seulement si tu avais encore un permis d’études valide au moment où tu as soumis ta demande de PTPD. Si ton permis était expiré à ce moment-là, même si tu étais en statut implicite, tu dois attendre d’obtenir l’approbation officielle du PTPD pour pouvoir commencer à travailler. Donc, si tu déposes ta demande de PTPD maintenant, alors que ton permis d’études est techniquement expiré et que tu n’as pas encore reçu la confirmation de renouvellement, tu n’auras pas le droit de travailler tant que le PTPD n’est pas approuvé. C’est un peu frustrant, surtout que le traitement peut être long, mais c’est important de rester dans les règles. Le mieux serait donc d’attendre la confirmation de la prolongation de ton permis d’études. Une fois que tu l’as reçue, fais ta demande de PTPD le plus vite possible pendant que ton permis est encore valide. À partir de ce moment-là, tu pourras commencer à travailler légalement pendant le traitement. est-ce que ça répond à ta question ?
  24. Je comprends bien ta situation, parce que beaucoup de gens se posent cette question. En fait, pour le permis de travail post-diplôme (PTPD), c’est possible de l'obtenir avec un DEP en secrétariat combiné à un ASP médical ou juridique, à condition que le cumul total des deux formations fasse au moins 1800 heures en continu, dans un établissement reconnu par IRCC. Quelques personnes ont suivi exactement ce parcours et qui ont réussi à avoir leur PTPD (souvent pour une durée équivalente à leur période d’études, typiquement entre 1 et 2 ans, parfois jusqu’à 3 ans). Cela dit, il n’y a jamais de garantie absolue, surtout avec des formations dites « moins prioritaires », parce que même si l’éligibilité officielle existe, c’est souvent au niveau de la résidence permanente ensuite que ça devient plus compliqué, car certains programmes provinciaux privilégient les professions en pénurie. Si jamais tu n’arrives pas à obtenir un PTPD avec ton DEP+ASP, ou si tu veux rester après ce permis, il reste quand même plusieurs autres options : Trouver un employeur qui serait prêt à faire une demande d’EIMT (LMIA) pour toi, c’est-à-dire démontrer qu’il ne trouve pas de candidat canadien pour remplir le poste. Ça arrive souvent dans les secteurs médicaux ou juridiques spécialisés, donc ça peut être jouable. Explorer d’autres permis sans EIMT, comme le permis lié à ton conjoint (s’il ou elle a un permis d’études ou de travail valide), ou des permis liés aux accords internationaux comme le PVT ou Jeunes professionnels. Résidence permanente via le Québec : Avec un DEP+ASP de 1800 heures, tu pourrais potentiellement passer par le PEQ (Programme de l'expérience québécoise) diplômés, à condition que ta formation soit dans la liste admissible, que tu prouves ton niveau de français (niveau B2 minimum) et que tu acquiers au moins une année d’expérience pertinente au Québec. Programme régulier des travailleurs qualifiés (Québec) : Là aussi, ton diplôme peut aider, mais l’expérience de travail au Québec, ton âge et ton niveau de français compteront beaucoup pour accumuler les points nécessaires. Si tu envisages de vivre hors du Québec, l'Entrée Express fédérale est une autre possibilité, mais là encore, il faudra un bon niveau linguistique et de l'expérience professionnelle au Canada pour avoir une bonne chance. Je te conseille vraiment de vérifier dès maintenant si ton programme d’études est admissible au PTPD sur le site officiel d’IRCC, voir établissements désignés Canada. Et si jamais tu sens que ça coince ou que tu veux assurer tes arrières, n'hésite pas à contacter un avocat spécialisé en immigration, car ils pourront te donner des conseils adaptés précisément à ta situation. J’espère que ça t’aide un peu ! Bonne chance !
  25. Voici des réponses structurées à chacune de vos questions, dans le contexte d'une Déclaration d’intérêt (DI) déposée au Québec dans le cadre du programme Arrima (pour la sélection permanente) : 1. Délais pour avoir une réponse après une Déclaration d’Intérêt (DI) Aucune date précise : Le dépôt d’une DI ne garantit pas une invitation. Les délais varient fortement selon : le score du candidat (calculé sur une grille de sélection), les besoins du marché du travail au moment des sélections, la région d’installation visée, le domaine de formation, et le nombre d’invitations lancées dans les tirages successifs. En 2024, certains candidats ont été invités en quelques semaines, d’autres attendent plusieurs mois voire plus d’un an. 2. Que faire en attendant ? Voici ce que vous pouvez faire pendant l’attente : Passer les tests de français (TEF Canada ou TCF Canada) et d’anglais (IELTS si utile) même si vous êtes français. Faire reconnaître vos diplômes par Évaluation comparative des études du Québec ou WES (utile pour la résidence permanente fédérale si jamais). Améliorer votre score Arrima : Apprendre le français (si votre conjoint n’a pas un bon niveau), Ajouter de l’expérience de travail, Envisager une offre d’emploi validée (important pour les bassins prioritaires). 3. Avez-vous besoin de passer les tests de langue (IELTS / TEF / TCF) ? Oui, même pour les francophones, le TEF Canada ou TCF Canada est souvent exigé pour prouver le niveau en français (en particulier pour obtenir le maximum de points). L’IELTS n’est nécessaire que si vous souhaitez prouver un niveau en anglais pour bonifier votre score. Les tests de langue ne sont pas obligatoires au moment du dépôt de la DI, mais recommandés pour maximiser vos chances d’invitation. 4. Faut-il faire reconnaître les diplômes ? Pour le Québec : Évaluation comparative des études hors Québec (service payant du MIFI). Pour le fédéral : WES ou autres services reconnus. Ce n’est pas obligatoire pour déposer une DI, mais souvent requis pour le CSQ ou plus tard lors du dossier de résidence permanente. 5. Explication des sigles utilisés dans les échanges Voici une petite liste claire : Sigle Signification DI Déclaration d’Intérêt (dans Arrima, Québec) Arrima Plateforme en ligne du Québec pour immigration CSQ Certificat de sélection du Québec RP Résidence permanente MIFI Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration TEF / TCF Tests de français reconnus pour l'immigration IELTS Test d’anglais (souvent requis pour le fédéral) EDE / WES Évaluation des diplômes étrangers (ex. par WES) PEQ Programme de l’Expérience Québécoise (autre voie de sélection) EIMT / LMIA Étude d’impact sur le marché du travail (si offre d’emploi) 6. Est-ce difficile d’immigrer en famille ? Ce n’est pas impossible, mais certains défis existent : Les délais sont parfois plus longs avec plusieurs membres à traiter. Il faut des ressources financières suffisantes (preuve de fonds). La logistique (logement, école, emploi du conjoint, garderie) peut être plus lourde. Plusieurs familles y parviennent chaque année, mais mieux vaut être préparé, informé et réaliste sur les délais et le coût.
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