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  4. (Québec) Le réseau de l’enseignement supérieur devra se passer de milliers d’étudiants étrangers. Québec serre la vis en particulier aux collèges privés et impose des plafonds aux cégeps et aux universités. Publié à 5 h 00 Fanny LévesqueLa Presse Le gouvernement Legault passe à l’acte Après avoir légiféré pour s’attribuer le pouvoir de limiter le nombre d’étudiants étrangers, le gouvernement Legault passe à l’acte : il réduit de 20 % le nombre de demandes pouvant être faites par des étudiants étrangers voulant fréquenter un établissement d’enseignement québécois. Plus particulièrement, Québec agit en limitant le nombre de certificats d’acceptation du Québec (CAQ), un document essentiel à l’obtention du permis d’études délivré par Ottawa. Le gouvernement a attribué 156 647 certificats en 2024, et réduira ce nombre à 124 760 en 2025. Chaque établissement se verra donc attribuer un quota à respecter. Une nuance est importante : le nombre de certificats n’est pas représentatif du nombre d’étudiants étrangers au Québec puisque le certificat est accordé pour la durée d’une formation. Les collèges privés écopent La baisse est concentrée dans les collèges et établissements d’enseignement privés. « Là où vraiment, il va y avoir une réduction substantielle, c’est dans les AEC [attestations d’études collégiales] », explique la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry. Québec cible les AEC et les formations de courte durée qui, déplore-t-elle, « servent de voies rapides » pour obtenir la résidence permanente. On parle de formations en administration, en courtage immobilier, en planification d’évènements, en design, par exemple. « Il y a plein, plein de programmes d’AEC très populaires […] où il y a eu une croissance substantielle du nombre d’étudiants étrangers, constate la ministre. Est-ce qu’on a besoin de tous ces étudiants étrangers dans des programmes d’attestation d’études collégiales ? La réponse, c’est non. » Selon le décret, le Collège Ellis (Trois-Rivières), le Collège Universel (Montréal), le Collège LaSalle (Montréal) et l’Institut Teccart (Montréal) sont les établissements privés qui accueillent – et de loin – le plus d’étudiants étrangers. Québec serre également la vis aux établissements d’enseignement qui offrent des formations professionnelles et, comme cela a été démontré dans les médias, qui ont « développé des modèles d’affaires » autour du recrutement à l’étranger. Cégeps : des programmes « protégés » Québec protège les AEC au collégial et la formation professionnelle qui visent à former des travailleurs dans trois domaines : santé, services sociaux et éducation. Des programmes « nichés » en région ou dans des secteurs stratégiques, comme l’aviation, ne subiront pas non plus de diminution, assure Mme Déry. Les cohortes en région vont toutes démarrer, assure-t-elle. En revanche, le nombre d’étudiants étrangers dans l’ensemble des programmes d’études techniques (DEC) et préuniversitaires sera plafonné. Cela veut dire que Québec attribuera, pour 2025-2026, le même nombre de certificats par établissement qu’en 2024. D’ailleurs, le décret publié mercredi est d’une durée d’un an seulement. Le gouvernement Legault veut prendre en considération sa planification pluriannuelle de l’immigration – qui inclura pour la première fois l’immigration temporaire – pour définir les seuils pour les trois prochaines années dans le milieu de l’enseignement. « La première étape, c’est de freiner cette croissance qu’on a eue au cours des dernières années, pour toute la pression que ça crée sur les services publics, sur le logement [des étudiants] dans mon cas », illustre la ministre. Le nombre d’étudiants étrangers ayant un permis d’études valide a explosé au Québec de 2014 à 2023, passant de 50 000 à 120 000, une hausse de 140 %, selon le gouvernement. Coup de frein dans les universités Comme pour les cégeps, Québec donne un coup de frein dans le nombre d’étudiants étrangers admis dans les universités en plafonnant la délivrance des certificats au niveau de 2024. Or, il s’agit d’une année où le nombre d’admissions a connu « une légère baisse », notamment en raison des actions du gouvernement fédéral, qui a plafonné pour une période de deux ans le nombre d’étudiants étrangers admis au pays. « Cette mesure a déjà un impact, reconnaît Mme Déry. Donc, dans le réseau universitaire, il n’y aura pas de réduction comme telle. On vient stabiliser le nombre de CAQ par rapport à 2024. » Selon la ministre, il s’agit d’une mesure « responsable, équilibrée et balancée ». Les cégeps et les universités avaient rejeté le projet de loi du ministre de l’Immigration, Jean-François Roberge1. Les universités de Montréal, de Sherbrooke, McGill et Laval avaient même demandé d’être soustraites à la nouvelle loi. Pour les années à venir, « tout est sur la table », a prévenu la ministre, mardi. Elle invite les universités et les cégeps à participer aux consultations sur la planification de l’immigration, qui doit avoir lieu ce printemps. Selon elle, le décret va « encourager et même pousser » les établissements universitaires « à mieux recruter des étudiants » pour être « certains qu’ils vont vraiment venir au Québec ». Mme Déry estime que leur « autonomie institutionnelle » est conservée, puisque les établissements vont « gérer la distribution » de leur quota. https://www.lapresse.ca/actualites/education/2025-02-26/etudiants-etrangers/quebec-impose-un-plafond-aux-etablissements.php
  5. Denisovan

    Le Québec

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  6. Denisovan

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  7. Il faudra entre cinq et sept ans pour réussir à traiter toutes les demandes accumulées dans les catégories humanitaires Mute Loaded: 0% Fullscreen Anne Caroline Desplanques Mardi, 12 novembre 2024 00:05 Mardi, 12 novembre 2024 00:05 OTTAWA | Le système d’immigration est tellement débordé qu’il faudra de cinq à sept ans à Immigration Canada pour venir à bout de la pile de dossiers de demandes de résidence permanente qui s’accumulent dans ses bureaux dans les catégories humanitaires, pourtant jugées prioritaires. «C’est absolument épouvantable. La vie des gens est laissée dans un purgatoire pendant des années», dénonce la députée néo-démocrate Jenny Kwan, qui a forcé Immigration Canada a dévoilé ces chiffres en posant une question écrite au Parlement. Publicité En mai, la pile était si importante que 73 000 personnes attendaient le traitement de leur dossier de résidence permanente dans les catégories humanitaires. La députée souligne que ce chiffre n’a pu que grimper depuis, puisque les nouvelles demandes arrivent sans arrêt. Les anges gardiens du Québec Dans ces catégories, on compte notamment les anges gardiens, ces demandeurs d’asile, souvent des Haïtiens, ayant prêté main-forte dans les hôpitaux et les CHSLD du Québec pendant la pandémie. Québec leur a accordé un certificat de sélection en reconnaissance de leurs services et Ottawa a promis de leur accorder la résidence permanente. Sans ce sésame, ils sont interdits de séjour au Canada. Plusieurs d'entre eux étaient déjà dans cette situation aux États-Unis sous le premier gouvernement Trump. Dans l'espoir d'un avenir meilleur, ils ont fui par le chemin Roxham, car Washington menaçait de les déporter. Encore aujourd'hui, Donald Trump affirme qu’il expulsera les 11 millions de sans-papiers des États-Unis. Arrivée d’immigrants irréguliers au chemin Roxham en novembre 2022 Photo d'archives, Martin Alarie Les Ukrainiens qui ont fui la guerre Les demandeurs de résidence permanente dans les catégories humanitaires, ce sont aussi les Ukrainiens arrivés au Canada après que la Russie a envahi leur pays, en février 2022. Ottawa leur avait délivré un visa d’urgence de trois ans. Les premiers qui sont arrivés n’ont donc plus beaucoup de temps devant eux avant de devenir sans-papiers. Ils doivent rapidement obtenir un nouveau visa ou la résidence permanente, sans quoi ils devront retourner dans un pays toujours en guerre. Délais d’attente Mais tous doivent s’armer de patience, car le très grand nombre de demandes à traiter génère des délais d’attente disproportionnés. Pour un immigrant qui réside au Canada et demande la résidence permanente dans les catégories humanitaires, la moyenne de traitement est de 23 mois. S’il réside en Inde, c’est encore pire: 31 mois. Publicité En octobre, Ottawa a annoncé que moins de nouveaux résidents permanents seront acceptés au pays dès l’an prochain, ce qui devrait contribuer à désengorger le système. Toutefois, les arriérés déjà accumulés ne disparaîtront pas pour autant, souligne Mme Kwan. Jenny Kwan, députée du NPD dans Vancouver-Est Photo Guillaume St-Pierre Immigration Canada a investi des millions pour rattraper son retard, et son personnel a doublé depuis 2015. Toutefois, pendant la pandémie de COVID-19, les fonctionnaires ne pouvaient pas traiter les dossiers papier au bureau. Le ministère n’a donc pu travailler qu’à 80% de ses capacités pendant trois ans, a évalué l’avocat en immigration Siavash Shekarian en comité parlementaire. Devant le même comité, Me Ravi Jain, de l'Association canadienne des avocats en immigration, a prévenu que les arriérés généralisés et persistants compromettent la capacité du Canada à réagir aux crises humanitaires. Le ministère n'a pas répondu aux questions du Journal. D’où viennent la majorité des demandeurs de résidence permanente dans les catégories humanitaires depuis 2018 Nigéria 17 549 Haïti 16 722 Hong Kong 13 810 Chine 12 685 Inde 11 215 Ukraine 11 066 Délais de traitement moyen selon le pays de résidence Inde 31 mois Émirats arabes unis 29 mois Pakistan 27 mois Canada 23 mois Afghanistan 14 mois Source: IRCC Résidence permanente: Ottawa croule sous les dossiers | TVA Nouvelles
  8. https://www.lapresse.ca/actualites/politique/2024-10-24/immigration-permanente/le-federal-annonce-un-abaissement-drastique-des-seuils.php
  9. Guillaume St-Pierre Jeudi, 24 octobre 2024 10:40 Jeudi, 24 octobre 2024 10:51 OTTAWA | Le premier ministre Justin Trudeau a confirmé jeudi la baisse drastique des cibles d’Immigration au Canada de 500 000 à 395 000 en 2025. • À lire aussi: Ottawa baisse radicalement les cibles d’immigration Publicité La diminution se poursuivra, pour atteindre 380 000 nouveaux résidents permanents en 2026 et 365 000 en 2027. La cible pour cette année est de 485 000. «Aujourd’hui, on annonce qu’on réduira le nombre d’immigrants qu’on accueille au cours des trois prochaines années, ce qui entraînera une pause dans la croissance de la population au cours des deux prochaines années», a affirmé Justin Trudeau en point de presse, jeudi. Le Canada prévoit réduire de 21% le nombre de nouveaux résidents permanents | TVA Nouvelles
  10. Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement de François Legault a multiplié les déplacements internationaux afin d'attirer des immigrants, tout en jetant le blâme sur Ottawa pour la hausse majeure de l’immigration au Canada. 4Accéder à la section Commentaires Ouvrir en mode plein écran François Legault et Christine Fréchette ont prévu réduire le nombre de missions de recrutement de travailleurs étrangers temporaires. Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy-Roussel Romain Schué (Consulter le profil) Romain Schué Publié à 4 h 00 HAE Les missions de recrutement, financées notamment par des fonds publics québécois, vont être nettement revues à la baisse, selon des informations obtenues par Radio-Canada. Après avoir multiplié les accusations envers le premier ministre Justin Trudeau concernant l’augmentation record d’immigrants temporaires au pays, le gouvernement Legault compte désormais revoir ses propres pratiques, a-t-on appris. Comme l’a révélé Radio-Canada, le gouvernement caquiste ne lésine pourtant pas sur les moyens pour attirer des travailleurs étrangers depuis son arrivée au pouvoir. Au cours des cinq dernières années, le ministère québécois de l’Immigration a mené plus de 60 missions d’embauche à l’étranger. Des milliers de personnes ont ainsi bénéficié de ces Journées Québec pour s’installer dans la province, par l'intermédiaire du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET). Des missions sont encore planifiées au Maroc, en Colombie, en France, au Liban et en Tunisie dans les prochains mois. Celles-ci pourraient finalement être revues, voire carrément annulées, ont confié des sources gouvernementales proches du dossier, qui ne sont pas autorisées à s’exprimer publiquement. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la volonté affichée ouvertement par François Legault de réduire le nombre de migrants installés au Québec. Le gouvernement caquiste va également geler, pour six mois, la sélection de travailleurs temporaires dans la région de Montréal, pour certains types de postes, dans le PTET. Ouvrir en mode plein écran Les prochaines missions de recrutement prévues par le gouvernement du Québec sont en suspens. Photo : Facebook / MIFI Vers un recrutement moindre et plus ciblé Jusqu’à présent, les profils recherchés par Québec étaient extrêmement variés, allant de l’aérospatiale à l’industrie des jeux vidéo, en passant par le camionnage ou la transformation des aliments. Publicité Ces missions de plusieurs jours, au coût souvent de dizaines de milliers de dollars chacune, impliquent la présence de nombreux fonctionnaires. Québec a également dépensé plus d’un million de dollars pour faire la promotion, dernièrement, d’une poignée de campagnes spécifiques. Ce n’est pas vrai qu’il faut utiliser l’argent des contribuables pour faire venir des femmes de chambre, des chauffeurs de camion ou des gens qui vont remplir des tablettes chez Dollarama, avait d’ailleurs confié à Radio-Canada un ex-responsable de ces séances de recrutement, qui déplorait la tournure prise par ces missions. Québec songe désormais à limiter ces missions internationales à quelques secteurs clés, comme ceux de la santé, de la construction et de l’enseignement. Ouvrir en mode plein écran Une édition des Journées Québec a eu lieu à Paris en décembre 2023. De nombreuses entreprises québécoises y ont participé. Photo : LinkedIn / Montréal International Rien n’est encore définitivement acté, mais des réflexions sont en cours pour réviser la portée des missions de recrutement Journées Québec, confirme le cabinet de la ministre de l’Immigration, Christine Fréchette. Dans les dernières semaines, le gouvernement Legault avait été martelé de critiques des oppositions dénonçant l’incohérence et le double discours de Québec sur l’immigration temporaire. Fin juin, dans une entrevue accordée à Radio-Canada, le premier ministre Legault avait promis de regarder ses possibilités pour réduire le nombre de temporaires directement choisis par ses équipes. Selon les dernières données publiées par Statistique Canada, le Québec compte près de 600 000 immigrants temporaires. Ce chiffre inclut les demandeurs d'asile, les travailleurs temporaires et les étudiants. La majorité sont néanmoins choisis ou contrôlés directement par le gouvernement fédéral. Québec réduira finalement ses missions de recrutement à l’étranger | Radio-Canada
  11. 50 000 $ offerts pour l’embauche d’un pharmacien au Pharmaprix de Rouyn-Noranda Accéder à la section commentaires Ouvrir en mode plein écran La pharmacie est située au centre-ville de Rouyn-Noranda. Photo : Radio-Canada / Annabel Ouellet Annabel Ouellet (Consulter le profil) Annabel Ouellet Publié à 6 h 24 HAE La pharmacie Pharmaprix sur l'avenue Principale à Rouyn-Noranda recherche un pharmacien ou une pharmacienne pour un poste permanent. Le propriétaire offre une prime d’embauche pouvant aller jusqu’à 50 000 $ pour un contrat d’au moins deux ans. Benoit Morin, président de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP), affirme que la proposition de primes de signatures dénote le besoin des pharmaciens propriétaires de s’organiser pour trouver de nouveaux employés. La prime de signature, c’est quand même assez courant dans certaines situations, mais là c’est le montant qui est plus élevé, qui frappe un peu l’imaginaire. Mais qui tient, fort probablement, lieu du contexte où, dans une région plus éloignée, la difficulté de recruter des pharmaciens dans le contexte actuel avec la pénurie de main-d'œuvre professionnelle, mais aussi l’éloignement, constate-t-il. Benoit Morin ajoute que la pénurie de pharmaciens touche l’ensemble du Québec, mais que la situation est pire dans les régions éloignées, comme la Côte-Nord, l’Abitibi-Témiscamingue ou le Saguenay-Lac-Saint-Jean. AILLEURS SUR INFO : Départ du directeur d’une initiative critiquée par Trump, le controversé Projet 2025 Prime et conditions de travail Patrick Hemery, le président de l’Association professionnelle des pharmaciens salariés du Québec (APPSQ), souligne qu'il est important d'offrir des conditions de travail permettant une bonne qualité de vie aux pharmaciens salariés. 50 000 $ offerts pour l’embauche d’un pharmacien au Pharmaprix de Rouyn-Noranda | Radio-Canada
  12. Avec un VPN aucun problème!
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