Hägar Dünor

J'ai eu ce ressenti aussi dans mes recherches d'emploi....J'ai postulé dans 2 "grosses" entreprises de construction Acadiennes. Lorsque je postule , je n'envoie pas un CV et basta....Je me renseigne sur l'entreprise, je fais des recherches sur internet et auprès de mon réseau de contacts puis je me déplace pour me présenter. Les 2 entreprises avaient des postes ouverts avec annonce sur leur site et sur les réseaux. Un de ces postes correspondait très bien à mon profil. Chargé de projets en contruction commerciale, spécialisé dans le placo, les faux plafonds et les activités connexes. Ohhhh je n'ai qu'une vingtaine d'années d'expérience dans ce poste . Je m'y suis présenté 3 fois. Je n'ai jamais été rappelé. J'ai eu beaucoup plus de contacts avec les entreprises anglophones, les Acadiennes n'ayant répondu à aucune de mes sollicitations...Alors au début tu ne fais pas le lien puis au fur et à mesure, tu te poses des questions...Puis tu rencontre plusieurs personnes dans le même cas et là tu comprends mieux....Tu le garde généralement pour toi pour ne pas être taxé de parano ou de raciste envers la province qui t'as si gentiment accueillie et pour éviter aussi de discuter avec certains immigrants qui défendent coûte que coûte la province en t'expliquant que c'est de ta faute, que tu aurais dû mieux te préparer, qu'il te faut être patient, que tu dois donner tout ton temps à la communauté....
Pour donner d'autres exemples pour ne pas donner l'impression que je ne me base que sur un:
- J'ai postulé dans une entreprise qui cherchait quelqu'un pour intégrer les différents départements de l'entreprise afin de bien la connaître pour évoluer au bout de quelques années vers un des postes de direction.
L'entretien à été fait avec la responsable RH et 2 cadres anglophones. Entretien d'une heure en anglais, bonne complicité avec les deux cadres car nous partagions la même vision du métier et l'amour pour cette activité( dans laquelle je baignais depuis ma naissance)...
Les 2 patrons étaient en déplacement en Allemagne chez des fournisseurs (que je connaissaient). Bref, ce n'étaient pas des réponses enthousiastes "à la
 canadienne" mais un vrai enthousiasme. J'ai demandé à visiter l'usine et la responsable RH à été ravie d'accéder à ma demande. Elle m'a demandé 10 minutes et m'a ensuite expliqué qu'elle venait d'envoyer un message a ses boss pour programmer dès que possible un entretien avec eux. Ensuite, visite de l'usine complète. J'ai ensuite pris congé et elle m'a demandé si l'usine correspondait à mes attentes puis m'a assuré me revenir très rapidement. Je l'ai relancée au bout de 2 semaines et là , changement de discours...Accueil froid et évasif...Le poste allait être comblé par un finissant d'un programme du CCNB, 0 expérience et dans un secteur différent de celui de l'usine...Réaction des gens du coin que je connaissais "On le savait, tu ne joue pas au Hockey ici..".
Quand tu sais que l'un des patrons est de la famille très proche de l'ancien premier ministre qui maintenant fait des discours sur la nécessité de l'immigration.....
Si vous en voulez d'autres...Il m'en reste en stock... Vous voulez des témoignages d'Acadiens qui sont partis de la province pour trouver un emploi potable, j'en cotoie tous les jours...Vous voulez des exemples d'impossibilité de remplir un dossier car les personnes qui doivent te le remplir refusent de le faire sous des pretextes bidons, j'en ai aussi... Tant mieux si certains réussissent à trouver leur place mais qu'ils m'épargnent leurs leçons condescendantes...
Bref...Je détaillerai un peu plus mon parcours lors de mon bilan de première année au Canada que j'espère pouvoir vous partager avant l'année prochaine si mon agenda me le permet...
 
 

J'ai eu ce ressenti aussi dans mes recherches d'emploi....J'ai postulé dans 2 "grosses" entreprises de construction Acadiennes. Lorsque je postule , je n'envoie pas un CV et basta....Je me renseigne sur l'entreprise, je fais des recherches sur internet et auprès de mon réseau de contacts puis je me déplace pour me présenter. Les 2 entreprises avaient des postes ouverts avec annonce sur leur site et sur les réseaux. Un de ces postes correspondait très bien à mon profil. Chargé de projets en contruction commerciale, spécialisé dans le placo, les faux plafonds et les activités connexes. Ohhhh je n'ai qu'une vingtaine d'années d'expérience dans ce poste . Je m'y suis présenté 3 fois. Je n'ai jamais été rappelé. J'ai eu beaucoup plus de contacts avec les entreprises anglophones, les Acadiennes n'ayant répondu à aucune de mes sollicitations...Alors au début tu ne fais pas le lien puis au fur et à mesure, tu te poses des questions...Puis tu rencontre plusieurs personnes dans le même cas et là tu comprends mieux....Tu le garde généralement pour toi pour ne pas être taxé de parano ou de raciste envers la province qui t'as si gentiment accueillie et pour éviter aussi de discuter avec certains immigrants qui défendent coûte que coûte la province en t'expliquant que c'est de ta faute, que tu aurais dû mieux te préparer, qu'il te faut être patient, que tu dois donner tout ton temps à la communauté....
Pour donner d'autres exemples pour ne pas donner l'impression que je ne me base que sur un:
- J'ai postulé dans une entreprise qui cherchait quelqu'un pour intégrer les différents départements de l'entreprise afin de bien la connaître pour évoluer au bout de quelques années vers un des postes de direction.
L'entretien à été fait avec la responsable RH et 2 cadres anglophones. Entretien d'une heure en anglais, bonne complicité avec les deux cadres car nous partagions la même vision du métier et l'amour pour cette activité( dans laquelle je baignais depuis ma naissance)...
Les 2 patrons étaient en déplacement en Allemagne chez des fournisseurs (que je connaissaient). Bref, ce n'étaient pas des réponses enthousiastes "à la
 canadienne" mais un vrai enthousiasme. J'ai demandé à visiter l'usine et la responsable RH à été ravie d'accéder à ma demande. Elle m'a demandé 10 minutes et m'a ensuite expliqué qu'elle venait d'envoyer un message a ses boss pour programmer dès que possible un entretien avec eux. Ensuite, visite de l'usine complète. J'ai ensuite pris congé et elle m'a demandé si l'usine correspondait à mes attentes puis m'a assuré me revenir très rapidement. Je l'ai relancée au bout de 2 semaines et là , changement de discours...Accueil froid et évasif...Le poste allait être comblé par un finissant d'un programme du CCNB, 0 expérience et dans un secteur différent de celui de l'usine...Réaction des gens du coin que je connaissais "On le savait, tu ne joue pas au Hockey ici..".
Quand tu sais que l'un des patrons est de la famille très proche de l'ancien premier ministre qui maintenant fait des discours sur la nécessité de l'immigration.....
Si vous en voulez d'autres...Il m'en reste en stock... Vous voulez des témoignages d'Acadiens qui sont partis de la province pour trouver un emploi potable, j'en cotoie tous les jours...Vous voulez des exemples d'impossibilité de remplir un dossier car les personnes qui doivent te le remplir refusent de le faire sous des pretextes bidons, j'en ai aussi... Tant mieux si certains réussissent à trouver leur place mais qu'ils m'épargnent leurs leçons condescendantes...
Bref...Je détaillerai un peu plus mon parcours lors de mon bilan de première année au Canada que j'espère pouvoir vous partager avant l'année prochaine si mon agenda me le permet...
 
 

Tout à fait, les 70% sont aussi le seul élément qui m’a fait bondir dans cet article.

Je l’ai dis, je le redis, l’immigration au NB en est aujourd’hui au point où en était celle du QC en 2005 à peu près : elle balbutie. D’ici une 10aine d’années, voire plus tôt si la province apprend des erreurs de ses voisines, elle mettra en place des quotas, elle est déjà victime de son succès et doit supporter des délais importants.
Je l’ai déjà dis, je le redis, en 2005, à Montréal suivant que tu participais aux carrefours d’intégrations de Côte des Neige ou de Ville Marie, on te disait qu’en 1 an 50% des français étaient rentrés et au bout de 5 ans 80% alors que de l’autre côté (plus « bourgeois »), on te mentait (les chiffres ont été vérifiés et confirmés, Côte des Neige donnait les bons) en t’annonçant 10% de départs à 1 an et 30% à 5 ans.

C’est du Business.

Encore une fois je l’ai déjà dis, je le redis et gardez-le bien en tête. Lorsque vous immigrez, si ça se passe bien, si vous vous intégrez, vous vous adaptez, tout se passe bien, vous restez, parfait. Si ça se passe mal, vous pensez tout savoir, que c’est vous qui avez des choses à apprendre aux canadiens, vous pensez à rentrer, tant pis pour vous, il y en a de toute façon plein d’autres qui se bousculent au portillon pour prendre votre place. Vous aurez fait travailler l’économie, acheté de quoi vous installer, ouvert un compte bancaire, peut-être même travaillé et donc cotisé. Vos successeurs en feront de même.
C’est cru, j’en suis désolée, mais ce n’est qu’un constat. En toute objectivité, notre société occidentale est basée là-dessus, dans toutes les strates de notre vie. Ca fait partie des règles du jeu, c’est l’un des principes de l’immigration choisie.

Bonjour,
 
Je viens de lire l'article.
Cette dame n'a vraiment pas eu de chance. Elle a eu la totale.
 
Cependant, je retrouve certains des éléments de notre parcours.
 
Une chose qui nous avait marqué est le fait de l'importance de la filiation.
 
Si tu ne t'appellais pas Arsenault, Leblanc, Vautour, Cormier, Landry, Haché, Thibodeau, etc..., c'est moins facile.
C'est probablement un ressenti mais j'avais vraiment l'impression que les vrais Acadiens étaient privilégiés pour les emplois et qu'ils restaient entre eux.
Ils sont très " tricotés serrés ". D'ailleurs, cette dame le mentionne dans l'article.
 
 
De plus, concernant l'emploi, effectivement, il est difficile de trouver des emplois qui paient bien et/ou valorisants.
Si certains natifs de la province quittent eux-mêmes le NB pour aller travailler dans une autre province, ce n'est pas pour rien.
Il y a un gros écart entre ce que le gouvernement provincial désire et la réalité sur place. Ils veulent des immigrants du fait de la population vieillissante mais l'emploi de qualité n'est pas forcément au rendez-vous et ce, même pour les locaux.
 
En fait, la population du NB n'est pas prête à cette immigration qui leur est imposée par leur propre gouvernement.
Il en va de même à mon sens pour les employeurs locaux.
 
Vous allez probablement me dire " À Rome fait comme les Romains ". Ce qui est normal à mon sens, mais s'il n'y a d'esprit d'ouverture que d'un côté, cela ne fonctionne pas.
 
Nous nous sommes posés la même question que cette dame et nous sommes finalement retournés au Manitoba après être restés 2 ans au NB.
 
 
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Ahhhh et il n'y a que moi que cela fait bondir de lire que la province estime à 70% le taux de rétention du programme des candidats de la province? Sans blague.... Je croyais avoir lu précédemment qu'il n'y avait pas d'étude...
 
Un autre article intéressant...
https://www.linkedin.com/pulse/why-newcomers-leave-new-brunswick-laurie-parris

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je l'ai partagé car il me semblait aussi que la rédactrice présentait une certaine objectivité et cela corrobore le sentiment de plusieurs personnes que je connais...
La situation du NB n'est pas la plus rose et je vois mal ce qui changerait la donne à moyen terme.
Certains y trouvent leur bonheur, plus ou moins rapidement, d'autres y restent sans le trouver et d'autres en partent.
Simplement, si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez au NB, cela ne veut pas dire que vous ne le trouverez ailleurs au Canada.
Attention, je n'incite pas à utiliser la province comme une porte d'entrée, cela m'agace au plus haut point et le choix de partir a vraiment été un dilemne pour nous car nous accordons une grande importance aux contrats moraux que nous "signons". Il n'est pas question non plus d'abandonner au premier écueil qui se dresse en travers de la route, ce serait un peu "facile"
Néanmoins, rien ne sert de s'obstiner non plus au risque d'y laisser ses économies, sa santé, son moral ou son couple....
 
 
 

Je suis bien d'accord. Il ne faut pas s'obstiner quand cela ne fonctionne pas et être réactif. Le but du jeu n'est pas de se mettre en danger, mais de réussir. Même si les objectifs de chacun sont différents, modestes ou élevés, il faut essayer de trouver sa place, en fonction des ses priorités propres : qualité de vie, réussite professionnelle, etc... Ces objectifs sont différents pour chaque projet d'immigration. car chacun a un vécu, une situation familiale, des espérances spécifiques.

Je pense que cela peut s'arranger...

Il peut faire des grillades habillé en pompier sur un beau barbecue au propane pour votre nouvelle maison....Un petit feu vaut mieux que pas de feu du tout...

Bonjour à tous,
 
Cela fait longtemps que je n’étais pas venue sur le forum. En fait, presque 9 mois ??.
Ce n’est pas que l’envie me manquait mais je dirai que c’etait Le temps qui me manquait. Aujourd’hui, un petit accident me permet à prendre ce temps.
 
Je suis arrivée le 11 août 2017 en terre québécoise, seule. Ayant laissé mon mari et mes enfants en France afin de pouvoir organiser tout le côté logistique et débuté mon stage d’équivalence à « tête reposée » (je suis infirmière). Je suis restée sans ma famille 3 longs mois. Je tire mon chapeau aux personnes qui restent des Moi voir des années sans les leurs.
Cela a été, je l’avoue, malgré le bonheur d'être Résidente Permanente canadienne, une période très difficile. La séparation a été douloureuse. Heureusement, mes amis et ma famille que j’avais sur place ont été là pour moi.
Cette même journée, j’ai bien sûr validé ma RP etj’ai Pu faire mon NAS (une des 1ère chose à faire, il vous sera demandé pour tout) et mon inscription à la RAMQ. J’avoue ne pas avoir perdu mon temps ?. J’avais aussi anticipé pour mon rdv à la SAAQ. J’avais pris RDV depuis la France 2/3 mois avant mon départ pour avoir le choix de la date car je ne restais que quelques jours sur Montréal.
J’ai pu profité de quelques jours avec ma famille à Montréal puis je me suis enfin rendu dans mon nouveau chez moi (que j’avais pu louer depuis la France grâce à une amie qui l’avait trouvé et visité pour moi) à Sherbrooke.
C’était très étrange car j’avais cette sensation d’être chez moi depuis toujours (je ne vous parle pas de ma nouvelle maison, bien sûr ? mais juste d’être chez moi dans ce nouveau pays qui m’accueillait). Mais, je vais être honnête avec vous, Cel ne m’a pas empêché d’avoir des coups de blues surtout par le manque de mon mari et mes enfants. Je me rappelle de la 1ère fois que j’ai dû faire les courses seule. Je me suis entièrement comme perdue, seule au monde, plus de repères. Cela va vous sembler peut être idiot mais c’est là que je me suis rendue vraiment compte que je n’étais plus dans mon pays, que j’etais vraiment seulepour vivre toutes ces premières fois sans ceux que j’aimais le plus au monde. Et bien je sus rentrée chez moi et j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Et tout ça à cause de mes courses ??.
Juste pour vous dire, que pour ceux qui prévoient un départ en 2 étapes comme moi, il y a effectivement de bons côté car ça vous laisse le temps de tout installe- mettre en place pour l’arrivée de votre famille mais il y a aussi pas mal d’inconvenients Comme le fait que lorsque votre moitié arrive, il y a un décalage entre vous pendant un temps car il faut que lui passe par ce que vous êtes passé quelques mois auparavant. Les 1ers fois et leurs bonheurs se font seul. Le truc tout bête mais l’entree Dans votre nouvelle vie, c’est à dire, la validation des RP se fait seul. Voilà, c’est plein de moments importants de votre nouvelle vie que vous ne vivrez pas avec les personnes que vous aimez et qui font parties de l’aventure depuis le début.
 
J’ai commencé mon stage d’intégration 1 mois après mon arrivée. J’etais terrifiée à l’idée de le rater. Heureusement, j’ai eu la chance d’être dans un service génial avec des personnes formidables, aidantes et d’une patience d’or. Mes collègues, m’ont appris tellement. Et c’était parfois à mourir de rire les incompréhensions qu’il pouvait y avoir par nos expressions ou termes médicaux différents.
Leur gentillesse, leur disponibilité m’ont permis de réussir mon stage. Je ne les remercierai jamais assez. 
J’ai la chance d’avoir un travail où je côtoie une multitudes de personnes qui sont certes souvent diminuées physiquement par leur problèmes de santé mais qui apportent tellement surtout pour moi nouvelle habitante de leur pays. Ils sont curieux de savoir notre parcours pour arriver jusque chez eux (ainsi que les collègues et chaque québécois que j’ai rencontré), de savoir d’où l’on vient. Ils applaudissent et respectent souvent notre courage d’avoir oser faire toutes ces démarches pour venir vivre au Canada. Ils aiment partager s’ils sentent que vous voulez découvrir, connaître votre pays d’accueil. Bien sûr, il y a des individus inintéressants comme partout, mais si vous les respectez, si vous vous intéressez, si vous savez rester humbles, vous n’aurez, la plupart du temps que du bon.
 
Pour mon mari, je dois admettre que ça a été plus difficile car il ne pouvait exercer le métier qu’il faisait en France. Il était sapeur pompier professionnel et il n’existe pas d’equivalence. Ça a été dur (et je pense que ça l’ai encore) de faire le deuil d’un métier qu’il aimait. Malgré cela, il ne regrette pas le sacrifice. Il travaille actuellement chez un concessionnaire et débute dès études en ligne pour obtenir un AEC.
 
Comme partout, il y’a des choses qui vont et d’autre pas mais je ne regrette à aucun moment le choix que nous avons fait. Mes enfants sont plus qu’heureux ici, et ne veulent pas plus que nous rentrer en France. Je laisse mes filles aller seules avec leurs amies au parc près de chez nous alors que je ne le faisais pas en France. Elles aiment l’école ici, c’est une autre pédagogie. L’école s’adapte à l’enfant et non l’inverse. En tout cas dans l’école où elles sont, je ne me permettrai pas de faire une généralités car je ne sais pas si c’est le cas.
 
Et pour en finir avec mon petit (enfin long ?) blabla, je conclurai par le fait que nous nous sentons si bien que nous avons finalement décidé d’acheter notre maison. Une belle occasion s’est présentée à nous et nous avons décidé de sauter le pas. 
 
J’espère ne pas vous avoir trop ennuyé et n’hésitez pas si vous avez des questions ??. Je vais essayer d’etre De nouveau plus présente sur le forum.

Ahhhh et il n'y a que moi que cela fait bondir de lire que la province estime à 70% le taux de rétention du programme des candidats de la province? Sans blague.... Je croyais avoir lu précédemment qu'il n'y avait pas d'étude...
 
Un autre article intéressant...
https://www.linkedin.com/pulse/why-newcomers-leave-new-brunswick-laurie-parris

Bonjourà tous,
 
Cela fait bien longtemps que je ne suis pas venu sur le forum. Tellement de choses ce sont passées depuis que j’ai posé les pieds-noirs sur le sol canadien.
J’ai enfin le temps d’en venir remettre mon nez sur le forum qui m’a tant aidé et qu m’a permis de rencontrer des personnes formidables.
2 choses ! La 1ère pour vous dire que je vais poster un petit compte rendu depuis mon arrivée et la 2de, je l’avoue un peu plus intéressée mais qui pourrait satisfaire quelqu’un du forum, c’est que je pars de mon logement pour le 1er juillet. A la base nous avions reconduit notre bail pour un an mais nous avons eu une occasion en or d’achat de maison. Ce qui fait que nous recherchons une famille, couple ou personne seule pour une reprise de bail à partir du 1er juillet 2018. C’est une grande maison de ville de 2 chambres avec un très grand sous sol aménagé qui, pour notre part, nous sert de 3ème chambre et salle de jeux. Elle est situé dans SHERBROOKE secteur Fleurimont. Bref, si ça vous intéresse, vous pouvez me MP pour plus de détails et photos.
Sinon, nous retrouverons nous peut-être sur mon post compte rendu de ce début de vie québécois ??.
Et pour tous ceux qui sont en attente de leur RP, je vous envoie mes fameux trèfles porte bonheur (ceux qui me connaissent savent que ça marche ??).
???????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????

Je suis d'accord sur le côté préparation, anticipation et adaptation que demande une immigration...Il suffit de lire les 2 ou 3 commentaires que j'ai pu poster sur ce fil depuis que j'y prends part...
Cela dit, pour reprendre le titre de l'article, ce qui est pointé du doigt, c'est le recrutement de la province.
Il faut aussi remettre les choses dans leur contexte:
Si j'ai bien lu, la personne est là depuis 5 ans et a donc très probablement commencé sa procédure d«,immigration il y a environ 7 ans...
À cette "époque", ce fil n'existait pas, le NB était encore assez méconnu par les francophones européens et le programme de recrutement du NB devait en être à ses balbutiements.
J'ai pu, en discutant avec certains autres intervenants de ce fil, voir une certaines modification de l'approche des candidats à l'immigration par les différents intervenants des séances d'information et des personnes des associations d'aide aux nouveaux arrivants. Ce changement de discours à été fait en l'espace d'une année alors j'imagine que sur 5 ans, le discours peut-être radicalement différent.
Lors de la séance d'information en 2015, on nous a vendu la province, le vivre 100% en français a bien été dit, tout comme d'autres "promesses". C'est la manière dont nous avons géré notre VE ainsi que les recherches que nous avons faites qui nous ont permi d'avoir une image plus proche de la réalité avant notre arrivé.
Vous avez la chance d'être mieux informé que nous avant d'arriver grace à ce fil, grace aussi à une information plus disponible car d'autres sont passés avant vous.
Soyez conscients que c'est une chance et ne jetez pas trop vite la pierre à ceux qui peuvent nourrir une amertume plus ou moins virulente envers la province car ils n'ont pas forcément eu à disposition tout cela.
Pensez aussi que dans cet article ou dans d,autres que nous avons pu lire précedement, c'est le journaliste qui choisit qu'elle partie de l'ensemble de l'interview il veut utiliser. si tu focalise sur 10 à 20 % du témoignage, tu as forcément une interprétation qui est celle que le journaliste veux que tu aies...
D'ailleurs, je vois aussi passer des articles de Huddle... regardez la vocation de cette société et ses ramification, cela vous permettra de savoir quel est le but des "articles"...
 

Je suis d'accord sur le côté préparation, anticipation et adaptation que demande une immigration...Il suffit de lire les 2 ou 3 commentaires que j'ai pu poster sur ce fil depuis que j'y prends part...
Cela dit, pour reprendre le titre de l'article, ce qui est pointé du doigt, c'est le recrutement de la province.
Il faut aussi remettre les choses dans leur contexte:
Si j'ai bien lu, la personne est là depuis 5 ans et a donc très probablement commencé sa procédure d«,immigration il y a environ 7 ans...
À cette "époque", ce fil n'existait pas, le NB était encore assez méconnu par les francophones européens et le programme de recrutement du NB devait en être à ses balbutiements.
J'ai pu, en discutant avec certains autres intervenants de ce fil, voir une certaines modification de l'approche des candidats à l'immigration par les différents intervenants des séances d'information et des personnes des associations d'aide aux nouveaux arrivants. Ce changement de discours à été fait en l'espace d'une année alors j'imagine que sur 5 ans, le discours peut-être radicalement différent.
Lors de la séance d'information en 2015, on nous a vendu la province, le vivre 100% en français a bien été dit, tout comme d'autres "promesses". C'est la manière dont nous avons géré notre VE ainsi que les recherches que nous avons faites qui nous ont permi d'avoir une image plus proche de la réalité avant notre arrivé.
Vous avez la chance d'être mieux informé que nous avant d'arriver grace à ce fil, grace aussi à une information plus disponible car d'autres sont passés avant vous.
Soyez conscients que c'est une chance et ne jetez pas trop vite la pierre à ceux qui peuvent nourrir une amertume plus ou moins virulente envers la province car ils n'ont pas forcément eu à disposition tout cela.
Pensez aussi que dans cet article ou dans d,autres que nous avons pu lire précedement, c'est le journaliste qui choisit qu'elle partie de l'ensemble de l'interview il veut utiliser. si tu focalise sur 10 à 20 % du témoignage, tu as forcément une interprétation qui est celle que le journaliste veux que tu aies...
D'ailleurs, je vois aussi passer des articles de Huddle... regardez la vocation de cette société et ses ramification, cela vous permettra de savoir quel est le but des "articles"...
 

Ahhhh et il n'y a que moi que cela fait bondir de lire que la province estime à 70% le taux de rétention du programme des candidats de la province? Sans blague.... Je croyais avoir lu précédemment qu'il n'y avait pas d'étude...
 
Un autre article intéressant...
https://www.linkedin.com/pulse/why-newcomers-leave-new-brunswick-laurie-parris

Je suis d'accord sur le côté préparation, anticipation et adaptation que demande une immigration...Il suffit de lire les 2 ou 3 commentaires que j'ai pu poster sur ce fil depuis que j'y prends part...
Cela dit, pour reprendre le titre de l'article, ce qui est pointé du doigt, c'est le recrutement de la province.
Il faut aussi remettre les choses dans leur contexte:
Si j'ai bien lu, la personne est là depuis 5 ans et a donc très probablement commencé sa procédure d«,immigration il y a environ 7 ans...
À cette "époque", ce fil n'existait pas, le NB était encore assez méconnu par les francophones européens et le programme de recrutement du NB devait en être à ses balbutiements.
J'ai pu, en discutant avec certains autres intervenants de ce fil, voir une certaines modification de l'approche des candidats à l'immigration par les différents intervenants des séances d'information et des personnes des associations d'aide aux nouveaux arrivants. Ce changement de discours à été fait en l'espace d'une année alors j'imagine que sur 5 ans, le discours peut-être radicalement différent.
Lors de la séance d'information en 2015, on nous a vendu la province, le vivre 100% en français a bien été dit, tout comme d'autres "promesses". C'est la manière dont nous avons géré notre VE ainsi que les recherches que nous avons faites qui nous ont permi d'avoir une image plus proche de la réalité avant notre arrivé.
Vous avez la chance d'être mieux informé que nous avant d'arriver grace à ce fil, grace aussi à une information plus disponible car d'autres sont passés avant vous.
Soyez conscients que c'est une chance et ne jetez pas trop vite la pierre à ceux qui peuvent nourrir une amertume plus ou moins virulente envers la province car ils n'ont pas forcément eu à disposition tout cela.
Pensez aussi que dans cet article ou dans d,autres que nous avons pu lire précedement, c'est le journaliste qui choisit qu'elle partie de l'ensemble de l'interview il veut utiliser. si tu focalise sur 10 à 20 % du témoignage, tu as forcément une interprétation qui est celle que le journaliste veux que tu aies...
D'ailleurs, je vois aussi passer des articles de Huddle... regardez la vocation de cette société et ses ramification, cela vous permettra de savoir quel est le but des "articles"...
 

Je suis d'accord sur le côté préparation, anticipation et adaptation que demande une immigration...Il suffit de lire les 2 ou 3 commentaires que j'ai pu poster sur ce fil depuis que j'y prends part...
Cela dit, pour reprendre le titre de l'article, ce qui est pointé du doigt, c'est le recrutement de la province.
Il faut aussi remettre les choses dans leur contexte:
Si j'ai bien lu, la personne est là depuis 5 ans et a donc très probablement commencé sa procédure d«,immigration il y a environ 7 ans...
À cette "époque", ce fil n'existait pas, le NB était encore assez méconnu par les francophones européens et le programme de recrutement du NB devait en être à ses balbutiements.
J'ai pu, en discutant avec certains autres intervenants de ce fil, voir une certaines modification de l'approche des candidats à l'immigration par les différents intervenants des séances d'information et des personnes des associations d'aide aux nouveaux arrivants. Ce changement de discours à été fait en l'espace d'une année alors j'imagine que sur 5 ans, le discours peut-être radicalement différent.
Lors de la séance d'information en 2015, on nous a vendu la province, le vivre 100% en français a bien été dit, tout comme d'autres "promesses". C'est la manière dont nous avons géré notre VE ainsi que les recherches que nous avons faites qui nous ont permi d'avoir une image plus proche de la réalité avant notre arrivé.
Vous avez la chance d'être mieux informé que nous avant d'arriver grace à ce fil, grace aussi à une information plus disponible car d'autres sont passés avant vous.
Soyez conscients que c'est une chance et ne jetez pas trop vite la pierre à ceux qui peuvent nourrir une amertume plus ou moins virulente envers la province car ils n'ont pas forcément eu à disposition tout cela.
Pensez aussi que dans cet article ou dans d,autres que nous avons pu lire précedement, c'est le journaliste qui choisit qu'elle partie de l'ensemble de l'interview il veut utiliser. si tu focalise sur 10 à 20 % du témoignage, tu as forcément une interprétation qui est celle que le journaliste veux que tu aies...
D'ailleurs, je vois aussi passer des articles de Huddle... regardez la vocation de cette société et ses ramification, cela vous permettra de savoir quel est le but des "articles"...
 

Je suis d'accord sur le côté préparation, anticipation et adaptation que demande une immigration...Il suffit de lire les 2 ou 3 commentaires que j'ai pu poster sur ce fil depuis que j'y prends part...
Cela dit, pour reprendre le titre de l'article, ce qui est pointé du doigt, c'est le recrutement de la province.
Il faut aussi remettre les choses dans leur contexte:
Si j'ai bien lu, la personne est là depuis 5 ans et a donc très probablement commencé sa procédure d«,immigration il y a environ 7 ans...
À cette "époque", ce fil n'existait pas, le NB était encore assez méconnu par les francophones européens et le programme de recrutement du NB devait en être à ses balbutiements.
J'ai pu, en discutant avec certains autres intervenants de ce fil, voir une certaines modification de l'approche des candidats à l'immigration par les différents intervenants des séances d'information et des personnes des associations d'aide aux nouveaux arrivants. Ce changement de discours à été fait en l'espace d'une année alors j'imagine que sur 5 ans, le discours peut-être radicalement différent.
Lors de la séance d'information en 2015, on nous a vendu la province, le vivre 100% en français a bien été dit, tout comme d'autres "promesses". C'est la manière dont nous avons géré notre VE ainsi que les recherches que nous avons faites qui nous ont permi d'avoir une image plus proche de la réalité avant notre arrivé.
Vous avez la chance d'être mieux informé que nous avant d'arriver grace à ce fil, grace aussi à une information plus disponible car d'autres sont passés avant vous.
Soyez conscients que c'est une chance et ne jetez pas trop vite la pierre à ceux qui peuvent nourrir une amertume plus ou moins virulente envers la province car ils n'ont pas forcément eu à disposition tout cela.
Pensez aussi que dans cet article ou dans d,autres que nous avons pu lire précedement, c'est le journaliste qui choisit qu'elle partie de l'ensemble de l'interview il veut utiliser. si tu focalise sur 10 à 20 % du témoignage, tu as forcément une interprétation qui est celle que le journaliste veux que tu aies...
D'ailleurs, je vois aussi passer des articles de Huddle... regardez la vocation de cette société et ses ramification, cela vous permettra de savoir quel est le but des "articles"...
 

Merci, je ne sais pas si je vais réussir à redevenir constant sur le forum mais je vais faire mon possible.
Que les IVM tombent rapidement pour tout le monde même si certains préfèreraient qu'elles soient supprimer , mais elles ont été mises en place pour le bien-être du système et des citoyens Canadien et il faut respecter cela.