Habitués nour30 Posté(e) 15 novembre 2003 Habitués Posté(e) 15 novembre 2003 Salut TLM Comme j’ai lu ces jours-ci , bcp de témoignages de personnes qui ont décidé de quitter le Canada pour rentrer chez eux en Europe ou ailleurs parce qu’ils n’ont pas réussi leur intégration , et aussi les témoignages des immigrants qui ont été confronté aux refus des parents ,aux des dissuasions des collègues , amis…… Alors , ça me donne à réfléchir toutes ces situations que j’ai connu personnellement avec mes parents , mes amis et même avec des résidents de Québec qui ont essayé de me dissuader d’immigrer mais depuis que j’ai lu cette histoire et que j’ai compris la moralité de cette dernière , je suis de plus en plus une vraie accrocheuse à mon projet d’immigration et comme d’habitude , je partage cette histoire , j’ai l’air d’une vieille mémère dans le forum avec mes histoires , mais bon .. en espérant aider chacun de vous à positiver et à ne suivre que ce que son cœur, instinct pour réaliser son rêve , avancer , évoluer,malgré les obstacles , en suivant ses ambitions et ne pas trop prêter écoute aux gens ……Je souhaite à tous une bonne lecture , lisez attentivement , pas hâtivement , pour bien comprendre , la moralité de cette histoire bonne journée à tous Sagesse d'un vieil homme Il y avait dans un village un vieil homme très pauvre, que les rois eux-mêmes jalousaient car il possédait un magnifique cheval blanc. Ils lui proposaient des sommes fabuleuses pour ce cheval, mais l'homme refusait systématiquement : " Ce cheval n'est pas un cheval pour moi, disait-il, c'est une personne. Et comment pouvez-vous vendre une personne, un ami ? " Il était pauvre, mais jamais il ne vendit son beau cheval.Un matin, il s'aperçut que le cheval n'était plus dans son écurie. Tous les villageois se rassemblèrent et s'exclamèrent : " Pauvre fou de vieillard ! Nous savions qu'un jour ce cheval serait volé. Il aurait mieux valu le vendre. Quel malheur ! " Le vieillard répondit : " N'allez pas si loin. Dites simplement que le cheval n'est pas dans l'écurie. Ceci est un fait, tout le reste est un jugement. Je ne sais si c'est un malheur ou une bénédiction, car ce n'est qu'un fragment. Qui sait ce qui va suivre ? " Les gens se moquèrent de lui. Ils avaient toujours pensé qu'il était un peu fou. Mais quinze jours après, une nuit, le cheval revint. Il n'avait pas été volé, il s'était simplement échappé. Il ramenait avec lui une douzaine de chevaux sauvages ! Les gens s'assemblèrent à nouveau : " Vieil homme, tu avais raison, dirent-ils, ce n'était pas un malheur. En réalité, cela s'est avéré être une bénédiction. " Le vieillard répondit : " De nouveau, vous allez trop loin. Dites simplement que le cheval est de retour. Qui sait si c'est une bénédiction ou non ? Ce n'est qu'un fragment. Vous lisez un seul mot dans une phrase - comment pouvez-vous juger du livre tout entier ? " Cette fois, ils ne purent ajouter grand-chose, mais en eux-mêmes ils savaient qu'il avait tort. Douze magnifiques chevaux étaient arrivés !... Le vieil homme avait un fils unique qui commença à dresser les chevaux sauvages. Une semaine tout juste après, il tomba de cheval et se brisa les jambes.A nouveau les gens se réunirent et, à nouveau, ils jugèrent. " Tu avais encore raison, c'était un malheur ! dirent-ils. Ton fils unique a perdu l'usage de ses jambes, et il était le seul soutien de ta vieillesse. Maintenant, te voilà plus pauvre que jamais. " " Vous êtes obsédés par le jugement, répondit le vieil homme. N'allez pas si loin. Dites seulement que mon fils s'est brisé les jambes. Personne ne sait si c'est un malheur ou une bénédiction. La vie vient par fragments et vous ne pouvez tout connaître à l'avance. " Quelques semaines plus tard, il advint que le pays entra en guerre et tous les jeunes gens de la ville furent réquisitionnés de force par l'armée. Seul le fils du vieil homme ne fut pas pris, car il était infirme. La ville entière se lamentait et pleurait : c'était une guerre perdue d'avance et tous savaient que la plupart des jeunes gens ne reviendraient jamais. Ils se rendirent auprès du vieil homme : " Tu avais raison, reconnurent-ils, cet accident s'est avéré être une bénédiction pour toi. Il se peut que ton fils soit infirme, mais il est encore avec toi. Nos fils, eux, sont partis pour toujours. " Le vieil homme dit encore : " Vous continuez à juger sans cesse. Personne ne sait ! Bornez-vous à dire que vos fils ont été contraints d'entrer à l'armée et que mon fils ne l'a pas été. Seul Dieu, le Tout, sait s'il s'agit d'une bénédiction ou d'un malheur. " Cette petite histoire devrait nous démontrer qu'il faut éviter de se plaindre dès qu'une chose nous semble être un mal. Au contraire, il faut toujours garder confiance en Dieu et être satisfait de ce qui nous arrive, même si, au premier abord, cela nous parait être un échec. esperer dans toute situation est la meilleure des choses à faire. Nour, qui adore dévorer les comtes des milles et une nuit , les comtes de sagesse Citer
Invité Posté(e) 15 novembre 2003 Posté(e) 15 novembre 2003 Un seul mot : POSITIVER C'est pas toujours facile Merci Nour30 Roni qui positive en attendant son visa Citer
Habitués lilybauer Posté(e) 15 novembre 2003 Habitués Posté(e) 15 novembre 2003 Très belle histoire Nour, pleine de sagesse.Cela fait du bien de lire des histoires comme celle-ci, cela permet de relativiser.Par exemple, je me dis que bien qu'ayant eu mon visa, si mon ami ne l'obtient pas et que dans ce cas nous ne pourrons concrétiser ce rêve, et bien cela ne signifiera rien d'autre que le fait que notre avenir est à construire autrement et ailleurs.Mais bon, si cette éventualité se révélait positive, ce serait très dur à vivre néanmoins... Depuis le temps qu'on la prépare cette immigration Lily Citer
Habitués Canneberge Posté(e) 15 novembre 2003 Habitués Posté(e) 15 novembre 2003 Et moi, j'ai pour principe de dire que rien n'arrive jamais pour rien.Si tu retournes dans ton pays, c'est parce que c'est ce qui est le mieux pour toi, peu importe la raison.Comme lorsque tu perds ton emploi (ça m'est déjà arrivé, et plutôt deux fois qu'une) eh bien, ça a toujours été pour le mieux. Ceux qui baissent les bras au moindre petit problème ou simple contrariété auront toujours des frustrations immenses par rapport à ce qu'ils attendent de leur immigration. Il n'y a qu'à voir ceux qui repartent après seulement 6 mois ici. Citer
Invité Posté(e) 15 novembre 2003 Posté(e) 15 novembre 2003 Salut nour30Superbe belle histoire , ca fait du bien de lire ca...Merci de nous faire partager tt ca ...angayie xxx Citer
Habitués Abouzyad Posté(e) 15 novembre 2003 Habitués Posté(e) 15 novembre 2003 Nour ne peut raconter que des belles histoires.En effet ,la vie tout comme l'immigration est une équation parametriqure, dont les paramètres ne sont presque jamais les mème d'une personn à l'autre.Merci ma belleLe daddy Citer
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